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Les poupées russes (Mila)

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Je n’étais guère enchanté par les futures noces de ma mère, ce n’était pas nouveau. C’était aussi la source de mes quelques tensions avec Oks, que j’exaspérais même si notre dernière conversation avait été ponctuée d’une étrange complicité et compassion nouvelle de mon côté. L’assassinat de tonton Petrov avait su me toucher… Sauf que ça avait aussi fait redoubler mes inquiétudes quant au mariage de ma mère. Epouser un type qui était la cible de la mafia russe ? Sérieusement ? C’était une très mauvaise idée. Et j’étais prêt à tout pour démonter ses fiançailles, même si une amie au bras long m’avait promis de veiller sur la sécurité de ma génitrice je ne serais tranquille que quand elle aurait renoncer à épouser ce ruskov. Quand j’arrivais ce soir dans la salle commune de la Eliot, c’est sur une tête blonde que mon regard se posa. Pas Oksanna, pas Lukà, mais l’autre exemplaire familial. Pire que des poupées russes ces Petrov. Rencontrez en un et vous en aurez deux autres aux basques. Seulement avec Ludmila, comme avec son frère d’ailleurs, j’avais là des alliés contre l’union tant redoutée. C’est donc avec un petit sourire machiavélique, l’esprit bouillonnant déjà d’idée à mettre en place pour saboter le futur mariage que je m’approchais de la demoiselle. « Fais pas semblant de réviser et suis moi donc dans ma chambre, faut qu’on parle… » lui soufflai-je discrètement alors que la jeune femme avait le nez dans ses cahiers. Clairement, parler dans la pièce où risquait se surgir Oksanna à tout moment, ce n’était pas un bon plan. Ma chambre constituerait un endroit plus sûr et plus privé pour nos petites magouilles.
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COLE & LUDMILA


La reprise de la danse achevait Ludmila, aussi moralement que physiquement, et ses entraînements intensifs pour tenter de retrouver son niveau d'antan lui bouffait tout mon temps, tellement qu'elle n'avait plus le temps d'étudier d'autres matières que la danse, c'était aussi simple.  Et pourtant, arrivant en milieu d'année, elle se devait aussi rattraper toutes les autres matières au risque d'échouer. Et il était hors de question qu'un ou une Petrova échoue, pour quelconque raison. Une deuxième fois qui plus est. C'est pourquoi elle s'était retirée pour le reste de la soirée dans la salle commune des Eliots pour tenter de rattraper ses cours en paix, sans avoir quelconque sale étudiant autre qu'Eliot lui collant lourdement aux basques. La salle commune avait toujours été sa solution première pour fuir le bas peuple, même il y a trois ans de cela, car ses confrères semblaient tous se comprendre, et personne ne venait manger l'espace vitale d'autrui sans leur accord au préalable, et là, tout résidait la beauté des Eliots. Ou presque tous ses confrères. Certains semblaient être plus durs de la feuille que d'autres, et alors qu'elle sentait des pas s'approcher d'elle, et avait été parée à sauter à la gorge de l'inconnu, c'est à la fois sans surprise et avec surprise que Mila reconnut Cole au son de sa voix alors qu'il l'abordait discrètement. D'où l'abordait-il à tout va maintenant ? Et pour l'inviter dans sa chambre qui plus est. « Je ne pensais que tu avais ce genre d'intention envers moi Wildingham, je suis flattée. Mais je me vois dans l'obligation de refuser vu notre future condition, je préfère éviter l'inceste, le prends pas mal ! » Avait-elle répondu sans même daigner lever un regard vers l'intéressé et d'un ton neutre, sans émotions qui cependant trahissait tout ce qu'elle pensait de lui, de cette histoire qui les contraignait à bientôt faire partis de la même famille. Quelle tare ! Elle s'apprêtait à continuer de l'ignorer royalement comme elle le faisait si bien jusqu'au moment où elle comprit qu'il ne comptait pas lâcher l'affaire vu comment il campait fermement de ses deux pieds à côté d'elle. Et un regard vers son visage et son sourire machiavélique lui fit comprendre la raison de sa venue.  « Bon ça va, j'arrive, j'espère que t'as rangé ta boîte de Viagra ! » Abdiqua-t-elle non sans lever exagérément les yeux au ciel, puis se leva pour le suivre tout en jetant son livre à côté d'elle, l'abandonnant sur le coup. Pas une très grosse perte. « Et j'espère que t'as un bon plan, histoire de ne pas me faire perdre mon temps qui est assez précieux. »
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Ne décroche pas des prunelles du bouquin surtout… Mila restait d’abord scotchée, yeux rivés sur l’ouvrage qu’elle tenait, me répondant avec un sarcasme certain sa surprise de découvrir que je pouvais avoir ce genre d’intention à son égard. « Ne prends pas tes rêves pour une réalité… » répliquai-je avec dédain. Et puis Wild et Petrov ne faisaient pas un très bon mélange, la preuve en était puisque c’est pour cela que l’on se retrouvait à manigancer, pour empêcher cette alliance… Et bien sur, loin de plier, je restais planté devant elle, me retenant de l’attraper et de l’entrainer par le bras… Si je savais Oksanna douce et vrai petit rayon de soleil, et dans ma bouche ce n’était pas un compliment, je me méfiais bien plus de Mila que je savais imprévisible. Il ne manquerait plus qu’elle me tape un scandale parce que je la forçais à me suivre. Mais le simple fait que je ne bouge pas et que je l’attende là, campé devant elle, cela eut raison de son indifférence à mon égard. Et lorsqu’elle posa le regard sur moi, elle saisit bien vite à l’expression de mon visage que ce n’était pas pour une partie de jambe en l’air que je la conviais à ma suivre. « Si tu n’étais pas contre l’inceste, je te prouverais que je n’ai aucunement besoin de pilule bleue ma chère –presque- sœur. » rétorquai-je à son affront avec un petit air sur de moi. Jamais on n’avait eu à se plaindre de mes performances. Dommage que le lien qui unissait nos parents m’empêchait de lui faire une démonstration de l’étendue de mes talents. On avançait vers ma chambre alors qu’elle continuait de se plaindre du temps que je lui faisais perdre et c’est après l’avoir fait entrer dans les pièces que je l’interrogeai avec un ton narquois : « Qu’est-ce qui se passe ? Tu devais récupérer ton tutu au pressing ? » C’était ça qu’elles portaient les danseuses dans son genre non ? Je désignai ensuite le sofa de ma luxueuse suite. « Je t’en pris, installe toi… » J’aurais bien ajouté –fais comme chez toi- mais je connaissais déjà suffisamment la blonde pour savoir qu’elle n’allait pas se gêner pour prendre ses aises.
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COLE & LUDMILA


« Ew, par pitié, enlève-moi ces images horripilantes de toi et tes .. performances de la tête ! »  Evidemment elle l'avait suivi, après quelques piques habituels de salutations et réflexion, curieuse comme elle était de connaître ses futurs plans. Parce que oui, c'était la seule raison pour laquelle Cole pouvait venir à elle, et vice-versa. Le futur - peut-être - mariage Petrova-Wildingham. Ludmila avait du mal à avaler la pilule du remariage de son père, qui non seulement était un peu trop rapide et soudain au goût de la jeune fille après si peu de temps la mort de leur mère, mais en plus s'avérait être la cerise sur le gâteau pour ternir l'image de leur famille parfaite après l'épisode  infidélité de papa Petrova il y a quelques années. Leur famille partait littéralement en lambeaux, mais malgré tout, Ludmila aimait à croire qu'ils restaient la belle petite famille qu'elle a connu, et elle était prête à tout pour y revenir et empêcher le futur désastre qu'était le mariage Petrova-Wildingham. Quitte à être alliée avec les enfants Wildingham, tout particulièrement Cole, avec qui elles'entendait plus ou moins, arf, mal. C'était dire à quel point elle tenait à la rupture de ce mariage.  « Qu'est-ce qui se passe, tu te crois enfin drôle ? » Rétorqua du tac-au-tac Ludmila à sa pique sur le tutu, copiant la réplique et l'intonation de Cole, une fois qu'ils étaient arrivés dans sa chambre. Puis avant même qu'il n'ait de lui dire de s'installer sur le sofa de la pièce, elle était déjà en place, bras et jambes croisés, signe d'impatience et soupira. Elle ne daigna même pas jeter un regard autour d'elle, ne prévoyant pas de s'éterniser ici bien longtemps.  « Alors monsieur le génie diabolique, éblouis-moi avec tes plans diaboliques ! » Renchérit-elle ensuite quelques secondes plus tard alors qu'il ne pipait toujours mot de son plein gré. Quelle belle façon de lui faire perdre son temps !
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 « Fais pas ta mijaurée… » me marrai-je en voyant sa petite tête écoeurée alors qu’elle me demandait de garder mes performances au lit pour moi. Parce qu’au final, malgré les piques, elle me suivait jusque dans ma chambre. On était plus liés qu’on ne pouvait le pensait en nous observant ainsi : en apparence de futurs demi frère et sœur qui s’insupportaient, en vérité, deux jeunes gens liés par leur aversion et leur opposition communes à l’encontre du mariage de leurs parents.  Une fois dans mes quartiers, je la charriais d’emblée sur son activité de danseuse, ce à quoi elle répliqua sur un air mimant le mien. « Je m’intéresse un peu… Enfin j’essayais de faire semblant mais soit, puisque tu le prends comme ça… » Qu’elle garde ses histoires de tutu et de ballerines pour ses copines, et entrons donc dans le vif du sujet. La voilà déjà prenant ses aises dans la pièce. « J’ai trouvé le plan parfait pour déjouer cette union. » annonçai-je alors fièrement devant son impatience. « Il suffit que tu annonces à ton très cher père que tu es tombée follement amoureuse de moi… Je suis convaincu que vu la tendresse qu’il a pour toi, sa très chère fille, il renoncera donc à épouser ma mère. » Puisqu’alors leur mariage rendrait une potentielle histoire entre nous un brin incestueuse. « Faut que tu y mettes du cœur, mais vu mon côté parfait, j’imagine que tu n’auras aucun mal à feindre de profonds sentiments à mon égard. » ajoutai-je sans aucune modestie. Plan parfait donc, parce que son père en parlerait surement à ma mère, et si cela permettait à cette dernière d’abandonner l’idée de mes fiançailles arrangées avec Ombeline, je serais donc doublement gagnant. Je posai les yeux sur Mila, toujours installée sur le sofa de la pièce, scrutant son regard pour y lire sa réaction.
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Ludmila ne prit pas la peine de relever l'explication de Cole sur son "intérêt" sur ses activités de danseuse, le sachant tout sauf honnête et se contenta de rouler des yeux, impatiente qu'il rentre dans le vif du sujet. Malgré tout, elle avait hâte d'entendre son plan, et espérait profondément qu'il en vaille la peine et qu'il était génialement diabolique pour fonctionner et tout annuler. Elle n'en voulait vraiment pas de ce mariage, à l'image de Cole et était prête à tout. Du moins tout, jusqu'à ce que Cole commence à parler et à annoncer son plan. Au fur et à mesure qu'il parlait, elle le regardait avec des yeux ronds, voire des yeux prêts à lui sortir de la tête, totalement incrédule et hallucinée. Est-ce qu'il était sérieux ? Vraiment, complètement, à 305% sérieux ? Dites-moi qu'il n'a pas fini d'élaborer son plan et qu'elle avait cru mal entendre ? Mais après une minute de silence, et Cole qui scrutait son regard pour une quelconque réaction, Ludmila comprit qu'il était à 305% sérieux. Après une minute de silence et un regard qui en disait long sur son avis, elle explosa enfin. De rire. « Oh mon dieu, c'est ça ton plan de génie ? » Faire croire qu'elle était tombée amoureuse de lui ? Sérieusement ? On peut reprendre du début et annuler cette mauvaise blague s'il vous plaît ? « Qu'est-ce qui t'est passé par la tête pour penser ne serait-ce qu'une seconde que ce plan fonctionnerait ? Cole, franchement ? Ils nous connaissent, ils savent pertinemment le genre de sentiments qu'on se porte l'un envers l'autre et pas besoin de te préciser quel genre de sentiments il s'agit. » Décidément, il était totalement fou à lier ce Wildingham. Une raison de plus pour que papa Petrov n'épouse pas la mère Wildingham tiens, avec des enfants pareils. Ou peut-être qu'il avait bu, espérons-le, qu'il ait bu. « Et pourquoi, JE devrais être l'amoureuse transie d'amour ? Pourquoi TU ne pourrais pas endosser ce foutu rôle ? » Bon, oui, parce que malgré tout, ce n'était pas un si mauvais plan, c'était seulement l'idée qu'elle puisse être l'amoureuse désespérée qui la titillait. Un peu, beaucoup. Après tout, elle n'était jamais tombée amoureuse pour de vrai, comment faire croire ça pour de faux ? Mais ça, elle se gardera bien de lui dire.
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 Mon plan. THE plan. L’idée du siècle puisqu’elle me permettrait en théorie, et dans l’hypothèse où Mila mordrait à l’hameçon, de me débarrasser et des fiançailles Petrov/Wild ET de mes fiançailles avec Ombeline… Sauf que la réaction de mon interlocutrice ne laissait rien présager de bon : elle explosa littéralement de rire avant de me demander confirmation que j’étais bien sérieux. Et c’est avec un air stoïque, un brin pincé et vexé par son hilarité que je me contentais de la répondre : « J’ai l’air de plaisanter là. » Pas l’ombre d’un sourire sur mon visage donc non, no joke, j’étais on ne peut plus sérieux. Sauf que direct, Mila objectait : ça ne fonctionnerait pas, nos parents nous connaissaient, ils avaient bien remarqué l’électricité entre nous. A mon tour je rétorquai : « Les spécialistes s’accordent à dire que parfois, une hostilité démontrée est l’expression de sentiments enfouis… » Fausse excuse Ludmila, j’étais persuadé que la blondinette pouvait sortir ses talents d’actrices et entrer dans le jeu, avec un peu de bonne volonté, pour convaincre son père, ma mère, et le campus tout entier de son admiration sans fin pour moi. Mais finalement, je compris à ses dernières paroles que le problème se tenait peut être là : elle ne doutait pas de ses compétences de comédiennes, c’était plutôt d’être celle qui tombait amoureuse transie qui lui déplaisait. « Parce que JE suis fiancé, et que si c’est moi qui suis censé être tombé sous tes charmes, crois moi, ça va me retomber dessus. » Ombeline ou ma mère, qu’importe, mais l’une des deux aurait vite fait de m’étriper. « Faut que ça vienne de toi pas le choix… » conclus-je alors, incapable de ne pas afficher un petit sourire amusé devant son air dégoûté. Et histoire d’en ajouter un peu, et de l’énerver un peu plus j’avoue, ma main glissa doucement jusqu’à son genou, remontant doucement sur sa cuisse : « Et s’il te plait, essaie d’être convaincante… »
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Il ne plaisantait pas. Vraiment pas. Et Ludmila était tentée d'attraper la petite lampe qui se trouvait à portée de main à côté d'elle et le frapper violemment la tête avec pour lui faire reprendre ses esprits. Vraiment, vraiment tentée. Parce qu'il avait vraiment perdu la tête, vraiment. Mais quelques secondes de réflexion supplémentaires lui permit de se souvenir que les génies étaient parfois des fous. Non pas que Cole soit un génie, non, mais, bref. Vous voyez l'idée. « Les spécialistes ? Quel type de spécialistes tu consultes dis-moi ? Non, ne réponds pas à cette question, je ne veux pas savoir en fait.  »  elle leva les yeux au ciel face à l'excuse qui ne tenait absolument pas la route de Cole, mais s'avouait intérieurement qu'il n'avait pas tord, il suffisait de la regarder avec Caesar. Seulement, elle refusait catégoriquement de jouer la fille désespérée, en mal d'amour, capricieuse et égoïste qui ne pensait qu'à son bien-être avant celui de son père. Enfin, plus qu'elle ne l'était, cela va sans dire. Mais malheureusement Cole avait un bon argument pour ne pas non plus endosser ce rôle, elle devait le reconnaître. « Tu dois bien content que ta foutue fiancée te serve au moins à quelque chose.  »  A savoir, échapper à cette tare. Ludmila soupira longuement, inspira, expira, lança des regards noirs vers Cole tout en le maudissant intérieurement pour cette idée, puis maudissait son père, cette histoire, tout. Elle s'apprêtait à reprendre parole pour dire n'importe quoi pour objecter, mais elle sentie la main un peu trop baladeuse de Cole sur son genou, remontant vers sa cuisse. Consciente de son jeu, elle ne prit pas la peine de partir au quart de tour, mais se contenta juste d'accentuer son regard meurtrier et jeta d'un ton sans appel :  « Les trois coups n'ont pas encore été frappés, enlève tout de suite tes sales pattes de là, Wildingham. » Sans qu'elle attende qu'il n'agisse, elle l'enleva brusquement elle-même et se leva pour faire les cents pas devant lui. S'ils allaient jouer ce jeu, ils allaient être plus proches que jamais, donc pour l'instant, Ludmila avait besoin de profiter de sa non-proximité avec lui. Enfin, cela dit, elle n'avait toujours pas officiellement accepté. Elle réfléchissait toujours à une autre issue. « Et Victoria et Lukà ne peuvent pas se charger de ça ? T'as pas remarqué à quel point ils sont dangereusement proches en ce moment ? On leur balance l'idée, basta. » Sortit-elle à toute vitesse, tout en faisant les cents pas, toujours. « Parce que si tu penses que je vais accepter tes attouchements perverses en public sans grincer des dents ou te donner un coup bien placé, tu te mets le doigt dans l’œil. On se fera très vite  démasqué. » Elle avait des talents d'actrice, mais elle avait aussi des limites.

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  Un éclair de colère presque effrayant éclaira les yeux de la blondinette alors qu’elle me toisait, réalisant que j’étais tout à fait sérieux concernant ce plan. Ce n’était pas plausible selon elle, alors que moi de mon côté, spécialistes cités à l’appui, je lui démontrais pas A+B que même avec une animosité démontrée il pouvait y avoir des sentiments. Elle retourna ma propre phrase contre moi, se moquant mais ne me laissant pas démonter je l’attaquai à nouveau : « Peut être que tu devrais consulter toi aussi, tu n’as pas l’air très au clair avec toi même… » Et à la question du rôle de l’amouraché, je me le refusais, mon statut de jeune fiancé me refusant d’avoir des sentiments pour une autre. Facile et pratique, j’avoue. Une excuse aisée et qui tombait à pique et qui n’échappa pas à mon interlocutrice. « Il faut bien que les mariages arrangés servent à quelque chose. » J’avais abattu mes cartes, et je laissais miss Petrova songeuse, réfléchissant aux tenants et aboutissants qu’un tel plan comprenait. Sauf que dans l’attente, et histoire de donner un peu de crédit à cette soit disant idylle qu’elle aurait pour moi, je choisis de laisser glisser ma main sur sa jambe, geste qui me permit de récolter un regard noir et un rappel à l’ordre cinglant. « Détends toi un peu Lulu… » la taquinai-je, sauf que sans avoir le temps de cesser la course dangereuse de mes doigts, elle s’en empara vivement, se leva comme pour s’échapper à mes paluches baladeuses et elle se mit à faire les cents pas. « Tu me donnes le tournis… » grommelai-je en essayant de la suivre des yeux. « Vic et Luka ? Qu’est-ce que c’est que cette connerie ? » questionnai-je en perdant mon ton taquin et mon sourire amusé pour le coup, tout ça remplacé par une franche expression dégoûtée. On ne touchait pas à ma sœur, qu’on s’appelle Silver ou Petrov, rien à battre. Ludmila ignorait probablement la relation entre ma jumelle et ce bon à rien de winthrop, sinon elle ne suggérerait pas que notre plan s’applique à ma sœur et son frère. Sans dire de nom, sans évoquer les détails de l’histoire, je me contentais de balayer cette idée : « C’est pas possible, tu as du imaginer des choses. Victoria a quelqu’un. » Ca me dégoûtait presque de le dire mais bref, passons. « C’est pas tout à fait officiel alors n’en parle pas. » Je retrouvais néanmoins le sourire, amusé de la voir continuer à faire les cents pas en ronchonnant sur tout ce que je risquais à me lancer dans une telle comédie avec elle. « Si tu ne t’en sens pas capable, c’est pas grave, je comprendrais… » Remettre en doute ses talents d’actrice ? Mieux la provoquer pour la pousser à accepter ? Oui, c’était clairement le but. Mais ce cinéma était LE plan idéal pour me sortir de mes deux galères du moment, j’y croyais.

Hj : t'inquiète j'suis pas mieux en fait j'étais absente désolée Les poupées russes (Mila) 1779901633
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