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(+xaver) the rumor has it.

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the rumor has it
— with xaver von hohenzollern

On devait parler de moi. C'est sûr, j'avais reçu deux fois plus de notifications que d'habitudes, mais comme d'habitude je n'y prenais pas attention. Je suis sûr que ma mère ou Xaver s'en était déjà occupé, je m'en fichais totalement. Ce qui m’ennuyait, c'est qu'en conséquence je sois convoqué chez Xaver. J'avais beau me demandé ce que j'avais fait, je ne me posais pas la question. Peut-être que ça arriverait à mes oreilles, je n'ai pas eu le temps ou l'envie de me poser plus de questions que ça. Mais les Von Hohenzollern était rapide, ils devançaient les scandales. C'est comme ça que la maternel a pu faire disparaître bon nombre de scandales avant qu'ils ne sortent. Je ne m'étais pas précipité pour aller chez Xaver, je n'avais pas envie d'y aller aussi, mais quand le prince vous demande... C'est moi, je t'ai manqué ? La personne qui m'avait ouvert fermait la porte derrière moi et je me dirigeais vers la voix de mon frère. Tout cet endroit et si... Eliot. Literralement rien n'avais changé, mais la maison de mon frère si alors ça m'insupporte voilà. Immature, oui, mais je l'assume. C'est à propos de ma petite aventure avec Max ? Si c'est ça t'as quelques mois de retard Xaver, tu te ramollis. Et je te l'ai rendu en bonne état pour ma défense. Je fais une pause et sors mon téléphone, curieuse de savoir ce que j'avais fait. C'est à quel propos ? Sérieusement, ça avait l'air assez sérieux.




© SEAWOLF.
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J’étais content d’être de retour dans mon appartement à Cambridge après la fin désastreuse du Spring Break. Je me demandais vraiment pourquoi la vie s’acharnait sur nous de la sorte depuis que j’étais à Harvard, je n’avais eu que de la merde dans ma vie. À se demander si cette université réputée n’était pas en vérité un trou à merde. Je ne pourrais dire que j’aurais la meilleure éducation possible, le meilleur diplôme, mais j’aurai aussi eu beaucoup de dégâts. Ma vie avait retrouvé son cours normal depuis mon retour du Chili. J’étudiais, et je prenais mon travail de chef de famille à coeur. Je ne pouvais pas décevoir ma famille, et je devais continuer à maintenir notre nom de famille intact. Cependant, j’avais de plus en plus de mal à contrôler la situation avec la réputation de ma soeur. Généralement, j’interceptais les scandales à temps pour ne pas les faire diffuser, mais je n’avais plus la force de vraiment le faire. J’en avais encore intercepter un, ou plutôt on m’avait fait comprendre que cet article finirait par sortir un jour ou non. Je devais parler avec Leonor. Je ne pouvais pas juste rester comme cela sans rien faire. J’avais demandé à ma petite soeur de venir chez moi. Cela ne serait pas une conversation facile. Elle arrivait. Je l’emmenais jusqu’au salon, la laissant s’asseoir sur le canapé. « Range ton téléphone, s’il te plait. » Lui dis-je. C’était une conversation sérieuse. Le reste n’avait pas d’importance aujourd’hui. « Leo, je veux savoir si il t’a touché d’une manière que tu ne voulais pas. » J’insistais bien sur le il, pour lui faire comprendre que je parlais de son ex. Limite, son aventure avec Max, je m’en foutais. Max était un adulte et il faisait ce qu’il voulait.
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Je détestais me faire diriger, même par mon frère. J'étais sans doute la personne la plus indépendante que je connaissais, et il était la personne qui me dirigeait le plus dans ma famille. Dans ma vie, en général. Et le pire, c'est que je l'écoutais. Peut-être parce que je le respectais. Parce que c'était mon grand frère. Parce qu'il avait toujours pris soin de moi. Parce qu'il voulait que le meilleur pour moi. Je ne sais pas pourquoi précisément, peut-être pour toutes ces raisons, tout ce que je savais c'est que parfois, c'était éprouvant. Je rangerais mon téléphone si je veux. Alors oui, en réponse à tout cela, quand il me demandait des trucs aussi simple que de ranger mon téléphone pendant qu'il me parlait, je lui tenais tête. C'était bête, c'était immature. Ca me ressemblait. Il ? Je ricane, lève les yeux de mon téléphone et le regarde dans les yeux. Au moment où mon regard à croisé le sien, j'ai su de quoi il parlait. Il. Wolfgang. Comment... Comment il l'avait su ? Qu'est-ce que j'avais fait ? J'avais laissé une information glissé, j'avais trop bu et dit quelque chose ? C'était impossible, je n'en parlais jamais. J'avais beau me battre contre de telles choses, je n'ai jamais parlé de cette événement en particulier. C'était mon secret, mon vilain petit secret, l’événement dont j'avais survécu, qui m'avait rendu plus forte. Je n'en ai parlé à personne. Enfin, presque personne. Tellement peu de gens que je peux les compter sur les doigts d'une main. 2 personnes n’était au courant. Un psy avec qui j'avais couché et Wolfgang. Et peut-être une de mes amies.. Je ne sais plus. Xav... Je Je n'avais aucun mot, aucun qui me venait en tête. Je ne voulais pas en parler. Je ne voulais pas qu'il pense ou dise quoi que ce soit. Ou qu'il me regarde avec pitié. C'est pour ça que je voulais que personne ne sache, je ne voulais pas que leur regard change. Et je sais pertinemment ce que les gens vont dire. Je l'avais cherché. Avec mon attitude, mes vêtements, ma débauche. J'imaginais déjà les commentaires sanglants dans la presse, les réseaux sociaux. Ca allait être un vrai bain de sang, je ne m'en remettrais jamais. Étouffe cette histoire Xaver. Comme tous les autres trucs que j'ai pu faire, étouffe l'histoire et on n'en reparle plus.
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e me retenais de m’énerver devant ma soeur. Elle n’était surement en rien responsable de ma mauvaise humeur. Pour être honnête, j’étais à deux doigt de monter dans mon jet et d’aller voir Wolfgang pour lui en mettre une bien placée. Cela ne servirait à rien, et je pensais surtout à ma soeur ce que cela pourrait lui faire, si je l’avais fait. Je préférais parler avec elle. Leonor a toujours été ma petite soeur, celle qui je voulais protéger. Helene et Marie, mes grandes soeurs, je n’avais pas ce sentiment. Leo, elle était fragile comme une poupée de chine que l’on voulait absolument protéger. Je ne pouvais imaginer que quelqu’un ait osé mettre la main sur elle, alors je me contrôle en l’affrontant. Bien qu’elle soit insolante, lui gueuler dessus pour qu’elle range son téléphone n’apportait rien. Je ne savais même pas comment gérer la situation. Rester de marbre, ou la prendre dans mes bras? Je savais que la violence domestique et les abus sexuelles dans une relation étaient choses courantes. Leonor se battait même contre cela. Je n’avais simplement jamais cru que cela me toucherait personnellement. En voyant la réaction de ma petite soeur, je compris directement que ce que j’avais pu lire dans l’article que j’avais intercepté était vrai. « D’accord. » Je me levais pour aller chercher l’enveloppe, la tendant à Leonor avec un briquet. « Tu as le droit de bruler l’article. C’est la seule copie. » A force d’avoir à jouer la police pour ma soeur, j’avais appris à négocier avec les affreux journalistes, et de toujours avoir la seule copie qu’il existe. « Le reste, je vais m’en charger. Mais Leo, il doit payer pour ce qu’il a fait. » Je ne pouvais pas laisser ce mec comme cela, alors que ma soeur en souffrait.
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Je me sentais souvent comme un boulet, pour ma famille en général et pour Xaver, de plus en plus. Et d'habitude, je ne pouvais pas en avoir moins à foutre. C'est vrai, j'étais une femme libre, dans une époque qui me permettait d'être qui je voulais et de faire ce que je voulais, alors pourquoi me préoccuper de ce qu'ils pensaient ? J'étais moi, et c'est tout ce qui comptait... Même avec Xaver. Et pourtant, c'était celui que je respectais le plus, celui qui me respectait le plus. C'est par respect et par amour mutuel qu'on s'entendait si bien, ou plutôt mieux qu'avec les autres membres de ma famille. Il n'essayait pas de me contrôler, il essayait plus de me contenir qu'autre chose et parfois sans succès, mais il ne m'a jamais laissé tomber. Alors je savais que je pouvais compter sur lui, compter sur lui pour faire le bon choix, pour me protéger, faire ce qu'il demande. Merci. Soulagement. Grand soulagement. Je prenais l'article d'une main tremblante et le regardais, sans le lire. Une simple petite feuille, qui pourrait me définir pour tout le reste de ma vie. Je le déchire, le chiffonne et pourtant je n'ai pas l'impression que c'est assez. Je le brûlerais que ça ne serait pas assez. Je ne peux pas... Je ne savais pas quoi dire. Au fond, ce qu'il me disait, je l'avais dit à la centaine de victime de viol que j'avais rencontré. Pourtant, je n'arrivais pas à suivre se conseille moi-même. Et maintenant, il était au courant. Ca faisait de moi la plus grande des hypocrites non ?
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J’essayais encore de me mettre à l’aise avec cette nouvelle. J’avais eu beaucoup de problèmes Leonor au cours des dernières années, mais ô grand jamais ne lui souhaitais-je cela. Leonor avait ses défauts qui allaient souvent contre l’image de notre famille, et je savais qu’avec notre mère s’était tendue. Peut-être que si cette dernière savait, cela pourrait aller mieux. Cependant, tout cela ce n’était pas à moi d’en parler, mais bien et bel à Leonor. C’était un chemin que elle devait prendre. Je pouvais la comprendre un peu mieux à présent. Je la regardais avec compassion, alors que je lui donnais l’enveloppe contenant l’article. Rien ne pouvait lui arriver. Et si le journal finirait par publier cet article tout de même, il y aura un très grand procès contre le journal en question. Cette histoire ne pourrait jamais sortir au grand jour, et si Wolfgang en parlait, alors il aura de très grand problème avec moi. Je viens m’agenouiller devant ma petite soeur. Elle était tout pour moi. J’avais toujours pris sa défense, agis pour son meilleur, sans jamais lui mettre des freins. « Bien sûre que tu peux, et je serais là pour toi du début jusqu’à la fin. » On ne touchait pas à ma famille, cela était un fait.
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