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Titre à venir — Shiloh

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Extirpée de ses songes par une vibration, elle se réveillait avec peine. Ève n'était guère du matin, et pour cause sa montre affichait quinze heure. Son entrainement de la veille était éprouvant, si bien que ses muscles se trouvaient tout endoloris et que de vilaines courbatures lui saturaient le dos. Le classique la passionnait toujours autant même si elle commençait sérieusement à se demander si son prof était compétent... Chassant cette idée d'un mouvement du chef, la jeune fille entreprit de retrouver son portable, disparu depuis hier. Où pouvait-il bien se cacher ? songea-t-elle tout en retournant ses draps. Il lui arrivait très fréquemment de le perdre dans sa chambre, si bien qu'elle envisagea de lui greffer un GPS... Un énième soupire passa le bord de ses lèvres au moment où ses mains effleuraient l'objet tant convoité : victoire ! Elle l'embrassa brièvement tout en sautillant sur place telle une enfant ayant gagnée à un jeu stupide et consulta ses messages. Un mince sourire étira ses lèvres pulpeuse : il provenait de Shiloh, un beau garçon rencontré lors d'une soirée mondaine par le biais de leur parent. Quelques jours après l'évènements, ils avaient convenu d'un second rendez-vous puisque le courant était passé, et le texto était justement présent pour le lui rappeler... Elle jura en se remémorant l'heure à laquelle elle devait être présente : 16 heure, or il ne lui restait plus qu'une petite heure pour se préparer.

Aussitôt, la jeune fille attrapa de quoi se vêtir, et mit d'ailleurs du temps pour choisir ses futurs vêtements, puis elle chemina jusqu'à la salle de bain commune ne croisant pas un chat. Ève-Skye n'avait aucune idée de ce qu'ils allaient faire durant la soirée, et cela la réjouissait, étant de ce genre d'étudiante à adorer l'inconnu. L'eau tiède coulait déjà lorsqu'elle se glissa sous la douche, espérant de tout cœur qu'elle ne soit pas en retard. Cette sensation lui détendait chacun de ses membres, et effaçait peu à peu les vilaines courbatures ou lassitude, l'apaisant ainsi. Ce ne fut qu'une quinzaine de minutes plus tard que l'héritière s'extirpa de son moment de complaisance tout en se séchant et admirant son reflet. Il y avait un miroir qui occupait tout le mur, et chaque matin - ou du moins ce qui se rapprochait de l'heure de son réveil - la belle se scrutait sans relâche. À la recherche d'un défaut ? Pas vraiment, tout ceci n'était que dans le dessein de se rassurer suffisamment pour pouvoir sourire à son aise, et se dire qu'au final, même si la nature lui a donné un cerveau trop petit, elle l'avait largement gâtée par ailleurs : de longues jambes longilignes entretenues par la danse intensive, une poitrine à faire s'évanouir n'importe qui ainsi qu'une visage d'une beauté incontestable. Le second élément était en quelque sorte sa fierté et se disait-elle, que puisque Dame Nature les lui avait offert à défaut de l'intelligence ces deux merveilles, il fallait les mettre en valeur. Raisonnement presque narcissisme, et un brin étrange n'est-ce pas ? Mais quand on regarde sa mère emplie de contradiction et volage à souhait et son père d'apparence froide mais qui possède un vrai cœur d'or, on se dit qu'elle est pas trop mal tombée...

Après avoir enfilé des sous-vêtements provenant de la dernière collection de Victoria Secret, la demoiselle s'habilla d'un simple t-shirt gris assez décolleté et très mou, d'un short rouge en crochet assez court qui dévoilait ses délicieuses gambettes. Le résultat n'était pas trop mal, même si tout ceci n'étaient que des must de l'année passée, Ève préférait ne pas se rendre au rendez-vous telle une gravure de mode en exploitant le fluo et le pastel, et essayait de faire simple malgré son appétit modesque. Cette dernière pencha la tête sur le côté, se mordillant la lèvre tout en tentant de dominer sa tignasse rousse, qui au réveil était aussi indomptable qu'une tigre. Cependant, elle les ramena en un chignon assez haut sur le crâne, d'où quelques mèches dépassaient, coiffure qui était presque sa signature désormais. Ravie d'être aussi resplendissante quoique très courte vêtue, elle appliqua sur ses lèvres une large dose de fushia qui ne la quittait plus depuis des lustres, et sans laquelle elle se sentait nue. Une fois qu'elle trouvait suffisamment belle pour quitter les lieux, Skye se munie d'un petit sac fluo bandoulière tout droit sorti de chez Gérard Darrel, ainsi que d'une paire de slippers clouté signée Louboutin. Suite à ses quelques accessoires griffées, l'héritière risqua un regard vers l'horloge tout en s'aspergeant à petite dose de Daisy de Marc Jacobs : horreur ! Il ne lui restait plus que deux petites minutes pour descendre !

Précipitée comme jamais, Miss Kennedy ne prit même pas le temps de fermer sa chambre, ou encore de prendre son portable. Le retard était l'une des choses qu'elle exécrait le plus, après sa grand-mère maternelle qui ne pouvait s'empêcher d'analyser à voix haute chacun de ses faits et gestes. Heureusement pour elle, elle ne voyait cette vilaine femme qu'aux fêtes. Le point où ils devaient se rejoindre trouvait lieu en le banc jouxtant le chalet féminin, donc elle n'avait plus beaucoup de mètre à parcourir. L'air chaud lui caressait le visage lors de son cheminement, et la détendait au possible, bien qu'elle se crispa à l'instant même où elle le vit l'attendre. Voyant qu'il lui tournait le dos, son âme d'enfant la poussa à se comporter d'une manière tout à fait puérile mais des plus charmantes. Ève posa ses mains sur ses yeux et lui exposa l'habituelle devinette ne prenant aucunement la peine de tarabiscoter sa voix.

« Qui c'est ? »

thekillingmoon
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« I know that between you and me is to love Ève & Shiloh »


Une matinée passe vite quand vous êtes dans le monde des rêves, vous n'avez guère conscience du temps, des tours d’aiguilles que fait votre montre, vous êtes là à construire votre rêves, à y participer, vous êtes déconnecté de cette réalité qui ne vous voit que dans un sommeil plus ou moins profond car vous avez abusé de l'alcool lors de la soirée passée, j'avais tellement bu que les seuls souvenirs que j'avais étaient quand j'étais arrivé à la fête, la première heure durant cette fête puis je crois que ça s'arrête là, le reste n'est que trou noir et absence du aux doses d'alcools si tout est logique. C'est finalement par un bruit assourdissant que mes rêves s'effacèrent, que je quittais ce fabuleux monde pour rejoindre cette réalité que j'avais laissé de côté avant ce sommeil de plomb, je me réveillais presque en sursaut, je n'étais pas encore assez réveillé pour savoir ce qui se passait, je savais juste que quelque chose m'avait fait basculé du monde des rêves dans celui du réel, je tournais la tête à gauche comme à droite mais j'étais envahis d’obscurité, le noir total, je me demandais sur le coup où étais-je vraiment ? Puis en tournant une seconde fois ma tête vers la gauche, je rencontrais apparemment par le bruit de l'impact le mur contre lequel mon lit s'appuyait, je savais maintenant exactement où j'étais, dans ma chambre, dans mon lit, avec désormais une douleur à la tête qui empirait avec ce petit mal de crâne, résultante des doses d'alcool encaissées lors de la soirée d'hier. Je me levais allumant la lumière, j'avais cru que l'origine du bruit avait été l'un des gars mais j'étais seul, seul avec le silence, le fait de remarquer ça me faisait regarder le réveil pour voir l'heure et je voyais la réalité en face, une réalité tardive, très tardive, il était 15h et dans une heure j'avais rendez-vous avec Ève. Avant de faire quoique ce soit, je prenais mon portable pour le lui rappeler, je ne voulais pas qu'elle me plante un lapin, je suis pas le genre de mec à se prendre un lapin, je ne le vois pas comme ça « Oublie pas... rendez-vous à 16h au banc à côté du chalets des filles... XoXo Shi' » une fois le message envoyé, je pouvais enfin me préparer pour tout à l'heure tut en essayant d'oublier ce mal de crâne. Je quittais alors la chambre pour filer alors dans la salle de bain, la première chose fut de me mettre devant le lavabo, de me regarder dans le miroir et de remarquer à quel point j'étais dans un piteux état, j'enlevais mon caleçon, la seule chose dont j'étais vêtus cette nuit et qui sait peut être même avant, j'entrais dans la douche et j'appréciais littéralement chaque goutte tomber sur mon corps, j'avais besoin d'une douche, sans elle je ne peux être totalement réveillé et survivre pour le reste de la journée. Cette douche me détendait, je retrouvais peu à peu les idées clairs, je revenais peu à peu conscient dans ce monde et ce n'est qu'après 15 bonnes minutes que j'en sortais enfin, je saisissais une serviette, une fois mes cheveux séchés, c'était mon corps pour ensuite entourer la serviette autour de ma taille, je me plaças devant le miroir et il était temps de préparer cette gueule d'ange au caractère démoniaque, son physique à toujours été son plus grand atout et il le restera autant que possible. Je regardais chaque centimètres de mon visage, scrutant chaque parcelle de ce visage qui attire tous les regards, je faisais en sorte qu'il soit parfait, et ce n'est qu'après que je retournais dans la chambre pour m'occuper du côté vestimentaire, toujours être bien habillé. Après avoir enfilé un caleçon de chez Dolce&Gabana, j'optais pour un short Levis et un t-shirt Redskins, bien sapé en simplicité je ne demandais rien de mieux. Je finissais par enfiler une paire de chaussures, des TBS, ces chaussures classes et confortables accompagnant presque n'importe quel ensemble de fringues, je retournais rapidement dans la salle de bain pour me coiffer et fignoler les derniers détails, j'étais tout beau tout propre et bien habillé, il ne me restait plus qu'à enfiler ma rolex, mettre mes lunettes de soleil sur le nez, de prendre mon paquet de clopes, mon briquet et mon portable et de sortir du chalet pour me rendre au point de rendez-vous. J'arrivais à ce fameux banc après quelques minutes de marche, je posais mes fesses dessus et j'enlevais mes lunettes et j'allumais une clope en attendant la belle rouquine, je l'avais rencontré par le biais de nos parents respectifs, à une soirée mondaine, et je devais avouer qu'elle était mignonne et que me rapprocher d'elle était une bonne choses pour nos deux familles, je regardais ma montre, 16h pile, j'étais à l'heure mais elle ne semblait pas en prendre compte, j'avais parlé trop vite, mes yeux voyaient l'obscurité, le néant total, on avaient poser des mains sur mes yeux et on me posait une question assez simpliste, cette voix c'était celle d’Ève sans aucun doute possible, j'étais surpris un quart de seconde avant de sourire et de répondre « La belle rouquine mignonne ? » elle retirait ses mains de mes yeux et je la voyais, belle, craquante dans son short, son décolleté offrait une très belle vue, non je pense que la suite promet et dans le bon sens.

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❝ i know that between you and me is to love ❞


Sa voix... Un délice. Un simple compliment, un pléonasme même, lui extorqua son plus grand sourire. Qu'elle aimait les éloges ! Même si la plupart n'était destinée qu'à son physique agréable, Ève ne pouvait s'empêcher de se réjouir à chacune d'entre elle, notamment venant de Shiloh. Elle aurait voulu ne jamais décoller ses mains de son visage, et continuer de sentir sous ses doigts chaque parcelle de sa peau et pourvoir être presque collée à lui. Leurs corps se touchaient de temps à autre, jusqu'à ce qu'elle s'avoua vaincue et le lâcha, lui libérant la vue par la même occasion. Un élan d'admiration pour le jeune homme l'assaillait, si bien qu'elle ne put s'empêcher de détailler son faciès parfait, et osait imaginer son corps sans rien dessus. Ses joues se teintèrent de rouge malgré elle, rien qu'à cette pensée.

Il ne fallait nullement être tout droit sortie diplômé d'Harvard pour deviner l'endroit pour lequel il accordait un vif intérêt, et ceci attira le plus grand bonheur de la rousse. À vrai dire, elle espérait qu'il y prête un attention toute particulière... Etant de ce genre de filles sottes à ne miser que sur les attributs, la belle ne lésinait devant aucune manière afin de devenir plus désirable, plus merveilleuse. D'un timbre enjoué, cette dernière brisa le silence dominant jusqu'alors leur rendez-vous. « Tu es doué, Shi... » Sur ces mots accompagnés d'une œillade langoureuse, elle posa son postérieur sur le dossier du banc et se pencha légèrement en avant, offrant ainsi une vue valant le détour. Ses yeux brillaient d'une malice nouvelle à mesure qu'elle l'observait. « Aussi doué que beau... » Soupira-t-elle sans vraiment s'en rendre compte. Il lui arrivait plus que souvent de prendre la parole sans réfléchir avant, et ainsi de débiter des aberrations ! Quoique cette fois-ci, c'était beaucoup plus agréable.

« Tu veux qu'on fasse quoi ? » Murmurait Ève à son égard tout en se mordillant la lèvre inférieure. La suite des évènements lui étaient malheureusement inconnue, et elle aurait plus que souhaité que cela se finisse comme dans un de ses romans à l'eau de rose, où le beau poète embrasse fougueusement son âme-sœur puis l'étreint tout en lui susurrant des poèmes. D'ores et déjà, elle remerciait intérieurement ses parents et les siens de les avoir présenté l'un à l'autre, même si au début elle s'avouait réticente. Mais toute hésitation fondait devant son minois angélique et ses yeux profonds. Le dévorant du regard avec une passion non dévoilée, Kennedy ne faisait aucunement dans la discrétion. Allait-il se rendre compte de ses 'avances' ? Allait-il les accepter et lui même donner du sien ? Une étrange sensation la taraudait, parcourait son corps tandis qu'elle tentait de penser correctement. Une idée lui traversa l'esprit - Etait-ce au moins possible ? - et elle s'empressa de lui en faire part, le ton enfantin. « Tu sais, on pourrait... aller au lac tous les deux, c'est joli et je crois qu'il n'y a personne... »

thekillingmoon
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