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Night Visions [Dante]

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Elles étaient froides, beaucoup trop froide pour ma charpente. Les petites perles cristallines se mouraient sur ma chaire et dans ma chevelure. Oui la pluie m'avait prise au dépourvu lors d'une sortie comme tout les autres sous les étoiles. De minuscules filaments qui tombaient à travers la noirceur agrémentée de poteaux lumineux. Perdu dans mes pensées, je n'évaluais plus vraiment la distance qu'il me restait à parcourir. Cet étrange moment me forçait à rester en réflexion avec moi même. La nuit avait toujours été trop lourde pour la créature que j'étais et pourtant je l'aimais profondément. Dans la noirceur j'étais encore cette poupée fragile, mais il y avait un élan de confiance qui m'habitait d'une certaine façon. J'étais vulnérable sous cette température mouillée. J'étais ignorante des dangers, insouciante de toute ce qui pouvait m'arriver. La liberté me poussait toujours bien loin, elle était enivrante, aussi forte qu'une drogue intraveineuse. Je ne m'étais pas endormi les sens ce soir comme j'en avais l'habitude. Quelques gorgées d’alcool, mais insuffisante pour me faire perdre le nord. J'avais sentie l'approche d'une voiture. La rue baignait dans un silence avant son entrée. Allait-elle marquer un nouveau tournant à ma soirée sans histoire ? Les pages blanches étaient encore vierges, mais elles attendaient que les détails s'inscrivent.

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C’est une nuit froide qui se dessinait dans la ville de Boston. Basini, comme chaque nuit avait des choses à faire, à droite à gauche, prêt en cas de besoin. C’est l’inconvénient des doubles vies, on dort peu et on vit jour et nuit. En sortant de ce club, trop huppé, trop bondé, le froid électrise un instant ses muscles et son souffle relâche de la fumé. Les nuits sont fraiches en ce moment. Et en plus de ça, ce soir, il pleut. En quelques secondes, le voila trempé et il referme un peu son manteau, histoire de garder le reste de son corps au sec. Il file vers sa voiture, ses longues jambes l’y conduisant en trois quatre pas tout au plus et entre dans l’habitacle, enclenchant d’emblé le chauffage histoire de se chauffer un peu après ce froid glaciale. Ses cheveux trempés gouttent sur le cuire de la voiture de luxe qu’il a en sa possession mais avec la soufflerie, ils devraient bientôt sécher non ? En tout cas, il espère ne pas attraper froid, lui qui ne tombe jamais malade, n’a pas envie de s’encombrer d’un gros rhume. Il démarre et c’est dans le silence de la nuit que la voiture se jette dans les rues de Boston bien trop vite d’ailleurs mais bon, quand on a une voiture de la sorte, autant faire ronfler le moteur non ? Les essuies glaces chassent l’eau qui rebelle se repose sur le pare brise de manière incessante. Entrant dans une zone trente, l’italien est contraint de ralentir à cause d’un dos d’âne qui pourrait fortement écorcher sa carrosserie si onéreuse. C’est à ce moment là qu’il distingue une silhouette, une jeune femme, trempé jusqu’à l’os, qui marche dans la nuit et sous cette pluie torrentiel. Au début, il ne comptait pas s’en préoccupé, mais sa silhouette toute frêle et probablement frigorifier firent ressortir son côté gentleman. Clignotant, coup de freins mesuré, il s’arrête à sa hauteur et ouvre la vitre côté passager histoire de pouvoir lui adresser quelques mots fort, histoire qu’elle entende malgré le bruit des gouttes d’eau qui s’écrasent sur le sol « Je peux vous déposer quelques parts ? » quelques mots simples, une proposition des plus anodines pour lui. Il la regarde, plantant son regard azure dans celui qu’il distinguait à peine car la pluie brouillait sa vision.
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[par un accident complètement stupide j'ai perdu mon rp Night Visions [Dante] 2442039969 ]
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La luxueuse voiture filait dans la nuit noir. Seule ses feux et les lampadaires éclairaient sa route. Son conducteur, Basini, à l'affut du moindre obstacle qui pourrait survenir était au à guet. Prêt à freiner si la situation l'imposait, il savait qu'il devrait être réactif car avec la pluie, les voitures mettent bien plus de temps a se stopper dans leur course, ça c'est une des règles de base qu'on voit pendant le passage de permis et qu'on vérifie quand on est un pilote. L'italien, de ses yeux bleus perçants fixait le paysage avec attention. Les rues étaient désertes, pas une voiture, pas un bruit, dans sa voiture, il n'y a que le bruit de la soufflerie qui rompe ce silence imposé. Il n'avait pas mis de musique, après un temps à écouter la musique de boite de nuit sans cesse, à s'en crever les tympans, un peu de calme, il n'y dit pas non. C'est une silhouette au loin qu'il aperçoit, elle se trouve sous la pluie, avance lentement, à son rythme et le conducteur aguerrie fronce les yeux, voir si il reconnait cette personne. C'est une petite blonde, toute frêle qui se trouve dans la nuit noire. Il aurait pu la laissé partir. La laisser faire son chemin sous la pluie, sans aucun remord mais en même temps, il s'est dit que si c'était une amie à lui, il aimerait qu'une bonne personne la ramène à bon port, histoire d'éviter d'attraper la crève. La voiture se stoppe à la hauteur de la blondinette, la vitre teinter se baisse et le visage de Basini apparait pour la jeune femme, même si elle ne devait pas voir grand chose en vue de cette pluie torrentiel. Il lui propose d'une voix assez forte de la ramener et elle ne semble pas hésiter bien longtemps. Elle s'approche de la voiture alors que la vitre se remonte et que le jeune homme actionne l'ouverture des portes. Elle se glisse sur le siège et le trempe bien au passage. Dante aurait sûrement râler en temps normal, mais bon, la galanterie l'oblige à se taire. Ses cheveux sont trempés, en bataille, Dante aurait probablement pas une meilleure tête si il avait passé de longue minutes sous cette eau démentiel. La jeune femme brise le silence, elle se nomme Veïa, Basini de son côté redémarre. Il lui adresse un regard alors qu'elle le remercie et ajoute « Veïa ? Jolie prénom, c'est de quelle origine ? Moi c'est Dante » un petit sourire sur les lèvres, histoire de lui montrer qu'il n'a rien de méchant, il ajoute « Je vous dépose où ? » Sa proposition première était bien de la ramener après tout. L'air chaud évacué par la soufflerie la réchaufferait sûrement, parce qu'elle a l'air d'avoir quand même froid.

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Un léger petit déluge qui se produisait sur le banc de la voiture. Peut-être il aurait été mieux que je reste à l'extérieur. Mes vêtements ainsi que mes cheveux trempées me donnaient l'aire de faire partie du paysage. Elle s'était fondue en moi comme une amie cette couche limpide et glacée. Ce petit geste venant d'un pur inconnu me touchait beaucoup. Il était rare d'avoir la chance d'une aide pareil. Tout ceci était même intriguant et emballant. Mes rencontres nocturnes se finissaient souvent de la même façon après les sens bien enveloppés dans l'alcool. Je ne laissais pas ce genre d'impression à première vue. Mon visage semblait être égaré dans un autre univers construit par ma propre pensée. Malgré tout mes courbes féminines et mon aire angélique m'avait attiré plus d'une fois vers les plaisirs charnels et les caresses. Une nouvelle rencontre n'était jamais désagréable, je trouvais même cela souffrant de ne pas avoir mon cahier sur la main afin d'écrire l'analyse que je faisais déjà sur le jeune homme aux facettes cachées. Une étincelle se pointa en laissant son prénom dans l'espace. Le mien qui avait accentué celle-ci quelques secondes à peine, avec sa douceur comme sa force se voyait se faire demander son origine. «C'est Italien. » Je laissais souvent la surprise aux gens de mes origines, car ce n'était pas forcément à ce pays qu'il avait pensé, pourtant il était une grande partie de moi. La nuit était déjà bien entamée dans toute sa splendeur et ses étoiles illuminées. Il était enfin l'heure de rentrer avant de se faire aborder par les rayons du soleil. Cette chaleur pouvait s'avérer dangereux pour les créatures plutôt nocturnes amochées par la frénésie de leurs nouvelles expériences. Je ressemblais à un oiseau égaré je ne m'accordais pas aussi bien dans la noirceur. « Et vous ? » Il avait un certain silence qui se passait entre mes réponses, mais mes paroles étaient plutôt captivantes et chaleureuse. «Près du campus de l'université. J'habite dans les habitations tout près.» Il y avait encore de la route à faire. Le cher inconnu pourrait avoir la force de briser mon silence. Je l'observais sans m'en rendre compte. Je n'étais sans doute pas une rencontre des plus habituelle, mais c'est ce qui pouvait rendre la chose intéressante. Deux âmes aux antipodes sous une météo torrentielle.

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La voiture de l'italien file dans la nuit, rompant le silence par un léger bruit de moteur, un bruit agréable d'ailleurs ce silence. L'italien l'appréciait grandement après cette musique commerciale mise à pleine bal dans ce club. A s'en faire saigné les tympan. Basini se l'ai toujours dis : pour aller en boite, il faut avoir bu, parce que bourrer, toutes les perceptions changent et supporter une telle musique C'est dans ce calme ambiant ou seul le bruit régulier de la pluie se faisait entendre qu'il repère la jolie blondinette toute frêle qui marche sur le trottoir. Il met quelques instants à se décider : y aller, ne pas y aller ? Un cruel dilemme. D'un côté si c'était Athéna il apprécierait qu'une personne bienveillante s'arrête mais d'un autre, il en voudrait à Athéna de grimper dans une voiture avec un inconnu total. On ne sait jamais de nos jours, tout pour arriver malheureusement même le pire. Mais la jolie blonde semble trempé, ses pas se font pas rapide pourtant, aime t-elle resté sous cette douche naturelle ? Si c'est le cas, elle continuera sa route sans se retourner. Décision prise, Basini s'arrête sur le bas côté, feux de détresse enclenchées histoire de se rendre visible, même si à cette heure, il n'y a personne et que le risque est minime. La fenêtre se baisse, il lui propose de monter et elle le fait elle le rejoint dans sa bagnole de luxe. C'est peut être ça qui l'a mise en confiance d'ailleurs. Dans le silence complet qui s'étend entre eux, la jeune femme se décide à donner son prénom : Veïa. Basini lui demande son origine, même si il s'en doute déjà. Ses doutes se confirme, elle est italienne. Ah l'Italie, le plus beau pays du monde. « Italien aussi. Vous venez de quel coin en Italie ? » Si ça se trouve, il connait la ville, sait on jamais parfois les surprises et les coincidences peuvent être révélé à des moments inattendus. Le silence s'installait à chaque fois entre leur réponse, un silence pas gênant aux yeux de Dante, le silence ne le dérange guère. La jolie blonde lui annonce qu'elle vit du côté de Cambridge c'est donc en silence que le jeune homme cherche dans sa tête la route à suivre et qu'il prend la direction adéquate.


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J'avais l'impression de vivre les histoires que je couchais sur mes papiers. Mes nombreuses observations qui se transformait par la suite dans un récit où mon imagination semblait me guider. J'avais plongé tout droit dans cette histoire d'une fille marchant sous la pluie perdue dans ses pensées et un bon samaritain qui en avait eu pitié. Je me délectais au final de la chaleur à l'intérieur de la voiture. J'étais si frêle le froid s'accrochait très rapidement à ma chaire. Je donnais l'impression d'avoir besoin d'être protégée et c'est souvent mes aires d'anges qui me valaient des faveurs comme celle-ci. Il avait eu sans doute eu pitié de l'oiseau qui semblait esseulée. Je renfermais quelques blessures, mais au final je ne montrais jamais mes éraflures. J'étais la jeune fille insouciante et cela plaisait à bien des personnes, je voguais sur un nombre la plupart du temps. Et pas besoin d'une drogue intraveineuse ou de la poudre à l'intérieur du nez. Ma joie s'emballait de nouveau à l'intérieur de moi en attendant qu'il était Italien aussi. Moi qui avais tant de mal à me faire à la langue anglaise. Je m'étais infiltré facilement dans la culture, mais le besoin de m'exprimer dans ma langue maternelle était sans doute un de mes besoins les plus puissants. Je ne ressemblais pas aux Italiens, mais cela me démarquait d'une certaine façon et j'avais toujours le même effet de surprise pour une nouvelle rencontre. Je lui répondis en prenant mon aise pour lui parler en Italien. «Je suis née à Florence. Je ne sais pas si vous êtes déjà y aller.» Mon sourire avait fleuri étendant de plus belle ses pétales sur mes lèvres merveilles. Un vent de fraîcheur semblait s'installer dans la voiture. Rien ne serait comme l’Italie. «Ça fait vraiment du bien de rencontrer quelqu'un d'Italien.» La soirée m'avait réservée une surprise et elle s'avérait de plus en plus intéressante. Un doux rayon sur la pluie dansante. L'envie d'être solitaire se dissipait lentement au fond de mon coeur . Mes pensées revenaient dans leurs tiroirs compartimentés. Il ne se plaignait pas de mon silence ce qui permettait à mon coquille de s'ouvrir lentement. J'en avais bien besoin en ce moment vu les derniers évènements.


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Il n’y a que dans les films normalement, ou dans les romans, que le gars s’arrête et propose à la fille de monter. Dans la vie, beaucoup aurait foncé, sans même voir la silhouette frêle et trempée de la jeune blondinette marchant dans la nuit, sous cette pluie. Mais Dante n’est pas tout le monde et il n’a pas le rang de Winthrop pour rien. Il est gentleman et galant. Il est le genre de gars a aidé une fille a attrapé les trucs trop haut, a garer la voiture d’une mamie en créneau car elle n’y arrive pas. A tirer la chaise de sa conquête quand il l’emmène en restaurant, à prêter sa veste pour que le corps menu et féminin d’une jeune femme n’attrape pas froid. C’est peut être sa double vie de mafieux qui a accentué ce côté-là chez lui, mais résultat, il ne cesse jamais d’aider les autres de manière totalement altruiste ou bien parfois, intéresser, parce que pour draguer, on va pas se mentir, ça fait gagner des points. Mais ce soir, c’est totalement innocent. La jolie blonde, il le savait maintenant qu’elle était à ses côtés, se glisse dans l’habitacle chaud de la voiture et peut sentir la ventilation réchauffé sa peau pâle et trempée. Son prénom brise le silence pendant un instant et c’est sympathiquement que l’italien lui demande d’où elle vient, même si il sait que ce prénom a une consonance italienne. Comme le sien enfaite. A Boston, c’est pratique, il y a peu de chance de quelqu’un ai le même, sauf peut être dans le quartier italien. Sa pensée se confirme, elle est italienne, même son accent du pays de la botte trahissait ses origines. Quand il annonce qu’il est aussi italien, c’est avec grand plaisir surement que les deux interlocuteurs poursuivent leur discussion dans cette langue maternelle et chérie qu’est l’italien. Ce que ça fait du bien aux oreilles d’entendre un peu d’italien ailleurs que dans le quartier. Elle a l’accent de Florence, il la trouvé dès qu’elle a parlé ses premiers. Lui, son italien a l’accent prononcé de Naples, légèrement différent de celui de la jeune femme. « J’ai visité Florence, j’ai beaucoup aimé. » c’est une jolie ville, même si dans son cœur, rien n’égalera jamais Naples. « Moi je viens de Naples. » la jolie italienne semblait se détendre pour le coup et un sourire resplendissant apparait sur son visage, un sourire que l’italien lui renvoi, toujours ravis de rencontrer d’autres compatriotes de son si beau pays. En bon patriote, il chérie ce pays comme jamais. « Ouais c’est super. Je suis toujours ravi de rencontrer de nouvelles têtes italiennes. J’en vois souvent au quartier, mais c’est toujours agréable. Alors, le soleil et la chaleur vous manque pas trop ? » Parce que franchement Boston, niveau temps, ce n’est pas le top, la preuve en est ce soir avec cette pluie battante qui ne cesse de tomber …


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J'aurais dû avoir une existence sous les étoiles. Je n'étais pas la même personne que sous le soleil brulant. J'étais un peu moins réservé et mon corps semblait revivre le temps d'un moment. Mes plus belles rencontres se faisaient au cours de la noirceur la plupart du temps. Le jour j'étais celle qui observait et la nuit j'étais celle qui agissait. Peut-être que j'avais la constante l'impression de vivre mes rêves de façon éveillés. Ils me guidaient loin ce que je croyais être des illusions. Pourtant je n'étais pas assoupie sur un oreiller dans un lit douillet et je le savais très bien. J'essayais de ne pas trop l'analyser comme j'avais pour habitude de faire. Je voulais pouvoir apprendre à le connaitre et avoir une surprise sous cette pluie battante. Il avait déjà un moment de bonheur à inscrire. Nous étions tous les deux Italiens pour mon plus grand bonheur. Il avait dit avoir visiter ma ville, par contre je ne me rappelais pas dans mes souvenirs avoir visité la sienne. «Je ne crois pas malheureusement avoir visité la votre. » Après tout , j'avais passé la plupart de ma vie dans une même pièce Je n'avais pas la même chance que lui je ne me rappelais pas vraiment d'avoir engagé la conversation avec des personnes étant origine du même pays. Cadell me parlait la plupart du temps en Italien pour me faire plaisir, mais sinon je devais me contenter de m'exprimer en anglais. «Je n'ai pas la même chance que vous alors. » Il me parlait du soleil. J'en eu presque frisson me rappelant la température extérieur en regardant par la fenêtre. Le soleil et moi nous n'avions jamais été de grands amis vu la couleur de mes cheveux et la blancheur de mon épiderme. Malgré tout, il me manquait énormément. J'étais très nostalgique de mon pays natal. Si cela n'avait pas été mon besoin de liberté et le besoin de devoir m’éloigner, je ne serais sans doute jamais parti. L'Italie avait tout pour me plaire. Je ne lui ressemblais pas pourtant, mais j'avais ma racine là-bas. «Si vous saviez comme j'aimerais être là-bas parfois... » Ma voix apportait une légère tristesse sans toute fois changé les traits de mon visage. Je revenais par contre rapidement à mon sourire de quoi ne pas alarmer ce cher inconnu bienveillant. «Et vous ? » Après tout la pluie avec le don de rendre tout mélancolique.

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Rencontrer des personnes de son origine est toujours un plaisir pour Basini. Il en croise tous les jours, l'avantage d'avoir un appartement placé dans le quartier italien le quartier où il a vécu dès son arrivé à Boston. Dans ce quartier, se trouvent beaucoup de membres du clan Basini, sa famille mafieuse pas très nette, même très louche sur les bords mais qui n'en reste pas moins une famille soudée. Là bas, dans ce quartier de la ville, les discussions en italien vont de bon train, tout le monde se connait, s'apprécie, se côtoie. Y ayant grandit, Dante y connait la plupart des personnes, pour ne pas dire toutes. Mais pour lui, ça fait toujours plaisir de connaitre des nouvelles têtes de son origine, car en tout bon patriote du pays de la botte, il adore parler italien de ce pays somptueux, parler avec des gens de d'autres horizon que sa ville natale. Oui, il aimait vraiment son pays et ça se voyait. Il portait sur lui la caricature de l'italien de base : classe derrière ses vêtements surs mesures à la marque du pays, voiture du pays aussi, l'accent qu'il a toujours en dépit de ces années passés en amérique et son sourire charmeur et charmant. Il est le tchatcheur italien de base qui aime les rencontres, les connaissances. Ses amis s'en amusent d'ailleurs de la caricature qu'il est. La surprise est donc merveilleuse quand il apprend que la jeune femme est italienne aussi et la conversation se poursuit en italien bien entendu, parce que quel plus beau langage que celui ci ? Il lui annonce qu'il a déjà visité la ville qu'elle habitait là bas, il avait vécu la plupart du temps à Naples, mais pendant un été, dans un road trip fou avec 5 de ses cousins, il était partie à la découverte du territoire entier, des vacances superbes où la découverte du pays était à l'honneur. Elle n'avait malheureusement pas eu l'occasion de découvrir Naples. Il lui adresse un sourire « Si vous avez l'occasion, n'hésitez pas à faire le tour du pays, c'est tellement magnifique. » les paysages, le côté chaleureux des gens, les rires, le vin, la fête, ouais, l'Italie est bien pour Basini le plus beau pays du monde. Il ne l'échangerait pour rien au monde et les retour au pays sont un plaisir qu'il ne cache pas. « Vous devriez venir vous promener dans le quartier italien de Boston. Il est magnifique et le café y est sans rien, bien meilleur que dans ces bouiboui du centre ville ... » oh oui, le café, tout italien qui se respecte ne boit pas le jus de chaussette des machines automatiques. Dante le décrit lui même comme imbuvable, ne comprenant pas comment les américains peuvent boire un merde pareil ... La jeune femme semblait devenir nostalgique à ce si beau pays. Dante l'est souvent, nostalgique, et c'est là que le quartier italien est un vrai plus, il y va rencontre des gens de son milieu, de sa communauté et ça lui donne du baume au coeur ... « Oh oui, ça me manque... Surtout le soleil je pense. Là bas, je peux passer des journées sur un transat à prendre le soleil, c'est tellement bon. » c'est quand même bien plus agréable que cette pluie battante, il faut bien l'avouer ... Un nouveau sourire et il ajoute « Heureusement que le quartier italien existe, là bas, même si on est en Amérique, on a apporté le soleil italien pour mettre du baume au coeur. » Oui, dans ce quartier des plus agréables, il y a du mouvement, des bars, de la musique et de la bouffe italienne a volonté, en s'y promenant, pendant quelques instants, on se croit encore là bas, en hiver, parce que bon, on va pas se mentir, vu le temps, on ne peut guère imaginer mieux, mais on est là bas quand même ...


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