Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(coline) who run the world ? girls.
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


(coline) who run the world ? girls.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Espèce de connard va ! » Que tu murmures en avançant dans la rue d'un pas trop décidé pour être sérieux. Tu grommelles dans ta moustache inexistante en soupirant quand tu sors ton téléphone et que tu vois que personne ne t'a envoyé de message. En même temps, il fait nuit noire. Tu portes une cigarette à ta bouche que tu allumes rapidement, tellement rapidement que tu en fais tomber ton briquet sur ton pied. Mais merde à la fin, qu'est ce que tu fous ? Pourquoi tu trembles ? T'en sais rien. T'as juste envie de tout éclater, d'aller faire du sport et de défoncer un sac de sable en le prenant pour la tête de Jimenez. De quel droit il se permet de te passer les menottes seulement parce que tu l'as demandé ? T'es en boucle avec ça depuis hier soir. Quel con. Mais quel con. T'as juste envie de lui remettre encore et encore dans la figure qu'il s'est planté et qu'il t'a confondu avec Juanita ta collègue mexicaine qui est en irrégularité. Mais non, c'est sûr que tu lui ressembles, que t'as les chicos pourris, que t'as les cheveux tellement gras que tu pourrais en faire de l'huile de friture. Ouais c'est sûr que t'es comme ça. Tu revois encore sa tête et t'as envie de lui éclater contre le mur. M'enfin. Quand tu finis ta clope, les bras croisés sur ta poitrine parce qu'il fait trop froid, tu passes le bip pour ouvrir la porte du hall et tu montes quatre à quatre les escaliers qui mènent jusqu'à ton appartement. Tu ouvres la porte, tu jettes ton sac à main, retire tes chaussures et tu te jettes dans le canapé, là ou se trouve Coline, ta coloc. Qu'est ce que tu l'aimes cette fille ! A un point inimaginable, et t'es bien triste de ne pas l'avoir croisé hier soir, elle t'aurait peut-être permis d'oublier la journée de merde que tu avais passé. « J'vais tuer Esteban, je te jure. Il est con, mais plus con que lui, ça existe pas. T'as pas un peu de truc pour me faire planer ? » Ouais, t'as envie de te fumer un bon joint pour oublier « Je fais les mojitos si tu veux ! » Tu sais qu'elle ne pourra pas refuser. Pas les mojitos.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

color my life with the chaos of trouble 'cause anythings better than posh isolation I missed the bus you were laid on your back— Elle aurait pu rester cette feignante qui n’avait eu besoin que de l’argent de papa pour réussir, mais ce n’était pas le cas. Coline avait maintenant décidé de devenir sérieuse, de travailler. Elle avait mis du temps avant de se trouver un rythme mais elle l’avait fais. Elle avait trouver comme travailler et apprendre. Et elle finissait même par trouver l’économie intéressante, alors que pendant longtemps la seule question économique qui l’intéressait était les soldes chez Gucci ou Dior.
Assise dans le canapé du salon, elle parcourt ses cours sur son ordinateur, cigarette dans une main, bière dans l’autre. Qu’est- ce que c’est plaisant, de ne pas vivre seule, d’avoir cette compagnie, cette personne qu’on aime, malgré tout (elle avait de la chance de ne pas être tombée sur une conne d’ailleurs), et qui pourrait faire le maximum de connerie avec nous sans avoir besoin de bouger.
L’intéressée, Jezabel, finit par arriver.
« Bonsoir sinon » répond la française lorsque sa coloc lui parle de Jimenez. « Et je vais chercher la chnouff seulement si tu doses à max mon verre »
La chnouff elle s’était remis à dire ça depuis qu’elle avait revu Dikkenek. Coline se lève, la clope toujours au bec, et part dans sa chambre chercher un petit sachet et de quoi rouler.
« T’as la meilleure coloc’ du monde je crois » rajoute-t-elle alors qu’elle se met à rouler sur la table du salon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
COLOC D'ENFER
— with COLINE M. H. DUVAUCHELLE

T'as l'impression qu'à chaque seconde qui passe tu revois son sourire de con quand il te passe les menottes comme si t'étais une criminelle qui avait commis le plus horrible des crimes, comme si t'avais commis une ignominie alors que tu rigolais juste. Pauvre con. Et surtout pauvre Coline qui allait devoir te supporter dans des états pas possibles vu que tu es en boucle avec ça depuis hier soir. T'es persuadée qu'elle serait capable de te tuer. Enfin elle ferait mieux de le faire comme ça, ça t'éviterait de croiser la belle gueule de Jimenez et ça te ferais des vacances. Mais ce serait égoïste de penser ça parce que ça lui en ferait aussi. Et t'as envie de lui pourrir la vie. Lui pourrir la vie jusque la moelle et t'es bien partie pour le faire, plaie que tu es. Quand tu rentres, t'es sûre que Coline te reprocheras de ne pas avoir dit bonjour, mais t'as pas envie, passablement trop énervée pour le faire. Lorsqu'elle te dit qu'elle va chercher ce qu'il faut pour te détendre que si tu doses un max ton verre, tu te redresses d'un bond du canapé et tu te diriges comme quelqu'un en manque au bar. Et tu sors deux verres à cocktails et le nécessaire pour faire les mojitos. Heureusement que t'as été faire les courses hier. Tu doses un maximum le rhum pour lui faire plaisir et tu la regardes qui revient et te dis que t'as la meilleure coloc du monde « ça va tes chevilles ? » Et t'exploses de rire avant de revenir dans le canapé, claquant les deux verres sur la table. « Mais putain, t'y crois toi ? Le mec je vais le voir, je déconne et il me passe les menottes. Oh il a cru que j'étais sa pote ou c'est comment ? » Tu croises les bras sur ta poitrine, et étend tes jambes sur l'un des innombrables poufs en face de toi, avant de reporter ton attention sur ce qu'elle fait « T'as bientôt fini bébé ? » Bébé. Pourquoi tu l'appelles comme ça, t'en sais rien, c'est ton habitude. Et il faut vraiment que tu commences à la perdre. Tu serais bien capable d'appeler l'autre con "bébé" et tu te brûlerais la langue pour ça. Clairement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
changement de personnage coline->valentina

color my life with the chaos of trouble 'cause anythings better than posh isolation I missed the bus you were laid on your back— Tina aurait aimé pouvoir dire qu’elle était une petite fille sage, modèle. Mais le fait était qu’elle savait rouler un joint, qu’en plus de ça elle avait de la drogue dans son appartement et qu’elle faisait ça bien. Elle ne savait pas trop si c’était parce que ses frères avaient, un jour où l’autre proposé à la petite italienne d’ « essayer » la beuh -sans savoir qu’à chaque fois l’un d’entre eux l’avait déjà fait- ou si c’était parce qu’elle en avait qu’elle fumait. Et puis merde, au final, ça la détendait et lui permettait de bien dormir. Et puis aussi, mine de rien, ces petites cigarettes magiques avaient permis à Tina de se rapprocher de Jezabel. Donc dans un sens, c’était pas plus mal.
« Mes chevilles vont hyper biens je te remercie de cette attention toute particulière à mon égard » dit-elle alors qu’elle utilise son grinder.
Elle sourit. Bien évidemment qu’elle taquine sa coloc’. La coloc’ du love c’est toujours comme ça.
Valentina soupire quand elle entend, encore une fois, Jezabel se plaindre d’Esteban. Qu’est-ce qu’elle aimerait qu’ils se jettent dans les bras l’un de l’autre plutôt que de se tourner autour comme ça… Elle lèche alors le papier afin de le coller.
« Passe à autre chose ce soir, tu veux ? Profite que j’ai pas la tête dans mes bouquins ou que je sois pas en train de te parler de Freud. Please »
Elle prend la main de son amie mais part, quelques secondes plus tard pour atteindre un des briquets posés sur la table. Trop de briquets. Beaucoup trop de mégots aussi. Depuis qu’elle est dans cette colocation, fumer n’est plus un loisir mais une habitude malsaine.
Elle boit un coup dans son verre, sans trinquer.
« J’ai fini, veux tu me faire l’honneur de l’allumer et de me dire ce que tu en penses ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
COLOC D'ENFER
— with VALENTINA LINETTI

Peut-être qu'un joint ça te détendra, ça te fera oublier l'épisode digne d'une télé-réalité stupide que t'as vécu la veille. Tu sais qu'elle n'aime pas spécialement que tu parles de lui tout le temps comme ça, tu sais même pas ce qu'elle pense de tout ça. Après tout, elle doit le voir comme le pire des cons tant les insultes qui sortent de ta bouche sont fréquentes, mais après tout, avec qui tu pourrais en parler si ce n'est pas à elle ? Au sdf du bas de la rue ? A un junkie qui vient se défoncer dans le hall de votre immeuble ? Certainement pas. Alors oui, t'as besoin d'extérioriser la chose et tu te doutes qu'elle te remettra une fois de plus à ta place, mais il te faut bien ça. Rager un bon coup, taper dans quelque chose, l'insulter et ensuite te détendre en fumant un bon joint. Joints qui deviennent de plus en plus fréquents et pour lesquels tu te dis qu'il faudrait peut-être te calmer sur ta consommation personnelle. Mais tant que ça te fait du bien, tu continueras. Tu la regardes s'activer à faire l'objet délictueux que vous allez fumer par la suite après t'avoir remercié pour ses chevilles, ce à quoi tu ne répond rien. Cela ne sert à rien de répondre de toutes façons, tu sais bien qu'elle n'est pas sérieuse et qu'elle te taquine. Quand tu l'entends soupirer, t'as le coeur qui se pince, alors tu te tais directement et tu l'entend te demander de passer à autre chose, une petite voix dans ta tête te dit de te stopper tout de suite. « Oui promis, je vais arrêter de parler de Voldemort. Oups, celui dont on ne doit pas prononcer le nom. » Et tu te mets à rire avant de serrer doucement la main de ton amie et de boire une gorgée de ta boisson alcoolisée. Mauvaise idée, t'as rien manger depuis le déjeuner, tu vas vite monter. Tant pis. Quand elle te le propose, t'attrapes l'objet du délit et tu l'allumes du briquet qu'elle te tendait. Tu coinces alors le joint entre tes lèvres et tu tires dessus d'abord lentement, puis un peu plus désespérée. Comme si tu voulais oublier un truc. Quand tu recraches la fumée, tu attends quelques secondes avant de la fixer « C'est de la bombe bébé. » Et tu lui souris avant de rajouter « Bon quoi de neuf sur la planète Tina ? Et si je suis tentée de parler de bidule, je bois. Ca marche ? » Comment finir bourrée en deux temps trois mouvements.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

color my life with the chaos of trouble 'cause anythings better than posh isolation I missed the bus you were laid on your back— Elle aurait pu mal tomber, avoir la pire des connes comme colocataire mais Tina avait eu la chance de tomber sur Jezabel. Elles s’entendaient désormais comme deux soeurs. Bien sûr, Tina en avait déjà une, mais elle l’avait fuit. Et puis Jezabel ne lui parlait pas de comptes frauduleux comme sa soeur avait déjà pu le faire à table. Et puis même si sa consommation de cannabis avait augmenté depuis qu’elle vivait avec Wellington, elle vivait mieux ici que chez ses parents. Sa première colocation se passait plutôt bien finalement, quand on y pensait. Elle n’avait en effet jamais vécu avec personne d’autres que ses parents et ses frères et ses soeurs. Et maintenant, elle prenait quand même un peu son indépendance. Et il était temps à vingt-cinq ans !
Valentina soupire quand elle entend parler de Jimenez, parce qu’au fond d’elle même, elle sait que ces deux là ne font que jouer à une sorte de jeu du chat et de la souris. Mais si ces mots osent sortir de la bouche de l’italienne, elle peut être sûre que sa colocataire va l’incendier.
« Tu dis que tu arrêtes d’en parler mais tu continues. Sérieusement, je devrais instaurer une Jimenez Free-Zone : pas le droit de parler de lui dans cet espace ! » dit-elle en faisant de grands gestes instaurant la zone du canapé comme la zone dont elle parlait. Bizarrement, elle n’avait plus envie de quitter cet endroit. Ce n’était pas comme si Tina n’allait pas s’en prendre une de la part de Jezabel si elle lui disait que ce jeu de chasse était inutile !
« Bon, ne me dis pas merci, on dirait merci à celui chez qui je l’ai acheté »
Parce que oui, maintenant, elle avait un fournisseur. Si ça ce n’était pas un début d’addiction.
« Rien de neuf à l’horizon sur la planète Tina. Le calme avant la tempête peut-être ? J’espère pas, j’ai connu la tempête vingt-quatre ans de ma vie tu sais…. »
Linetti rigole.
« Si tu es tentée, je te frappe. Si je te frappe, je bois, ok ? »
Elle a la main en l’air, attendant l’approbation de son amie par un high-five.
« Putain on va dormir sur le tapis ce soir, si on commence comme ça. » commence-t-elle en prenant une gorgée de mojito. « Tu as mis la moitié de la bouteille de rhum ou quoi ? »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)