Même la patience a ses limites... - JOARIEL

Même la patience a ses limites...
— with joariel

Ok j'avoue je suis saoulé. C'est ça l'amour sérieux? Enfin est-ce que j'vis sur une autre planète ou bien..? À moins que se soit une épreuve ou un jeu j'sais pas mais là je le dis, j'commence à perdre patience. Mon problème? Ma relation avec Ariel, elle commence à tourner en rond. Pour elle, j'suis sérieux, j'me tiens droit, la total! Mais ça fait combien... Trois mois déjà bordel qu'on est ensemble et j'ai jamais pu la toucher. Par là j'entends bien coucher avec elle hein, soyons clair. J'veux dire.. C'quoi ce délire? C'est pas une relation ça j'suis désolé. On habite pas à 500km l'un de l'autre hein, on est même dans la même université merde faut pas abuser. On se voit presque tout les jours, on se câline, s'embrasse mais ça ne va jamais au delà, elle a jamais voulu et moi j'suis honnête, ça commence à me blaser. Jamais j'ai fais ça, jamais ON m'a fait ça non plus, alors autant vous dire que mon égo, ma fierté, mes sentiments, tout en prend un coup et ça m'fatigue. J'ai l'impression qu'elle joue avec moi là en fait, clairement! Et ouais du coup j'suis de mauvais poil. Aujourd'hui, on devait sortir, j'avais même dans l'idée de l'invité au bal mais là très franchement, j'en avais pas envie. J'y allais quand même par principe mais c'est pas avec plaisir non. Comme j'aime dire, j'serais bien resté sur ma console pour le coup! Bref, j'avais quand même son passe, pour monter direct à son appart', sonnant pour qu'elle vienne m'ouvrir. Un soupir et j'attendais, un œil sur mon portable.

Aujourd'hui, elle avait rendez-vous avec Joachim, allongée dans son lit à contempler le plafond, Ariel est perdue dans ses songes. Ouais, elle a un copain, elle heureuse comme tout, mais il doit encore y avoir quelque chose qui cloche chez elle.. Il n'a aucun mal à se taper toutes les dépravées du coin, mais elle... rien. Il se passe quoi? Bien d'accord, Ariel s'est montrée parfois hésitante à enfin passer le cap, mais faut la comprendre, chaque fois qu'elle couchait avec un gars, elle se faisait jeter comme un chiffon à poussière. Elle ne veut pas que ça arrive avec Joachim. La Quincy n'est pas en sucre non plus, il faut bien la bousculer parfois! Et ça devait faire de longues semaines qu'elle s'imaginait ce moment, elle en rêvait même... mais tout ça, ce n'est que dans sa tête. Ça semblait lui convenir, enfin, elle n'a jamais vu un mec si patient avant aujourd'hui, il doit vouloir prendre son temps pour ne pas trop brusquer les choses. Sauf qu'Ariel elle, arrive à un stade où elle serait prête à arracher le moindre de ses vêtements pour pouvoir partager ce moment avec lui. Elle reste calme, ne montre rien, restant la même à accepter les choses comme elles viennent. La Quincy ne s'imaginait pas que les choses tourneraient ainsi, mais elle s'adapte. La sonnette retenti, elle se lève d'un bond de son lit pour aller ouvrir la porte. Joachim se tient devant elle, toujours aussi séduisant... enfin vous vous imaginez bien le problème là, rien qu'en posant ses yeux sur lui, c'est un homme qu'on a envie de dévorer, avant elle pouvait se contenter de simples baisers, mais là... breathe. Ariel sourit et se jette à son cou, gardant cette même joie de vivre, elle dépose tout de suite un bisou sur ses lèvres, mais il a l'air.... de mauvais poil « Comment ça va? » Demande-t-elle l'air de rien en l'invitant à entrer chez elle, il connaît l'endroit, il fait dorénavant comme chez lui.

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— with joariel

Il était temps que j'en parle, que je lui dise, que ça plaise ou pas. C'était ça où... La connerie. Car j'suis con, fier et que j'me venge ouais. À l'ancienne désolé. Donc bah aujourd'hui c'était discussion sérieuse. Elle vint vite m'ouvrir la porte avec son beau sourire et son côté pétillant comme toujours, venant s'accrocher à mon cou pour m'embrasser. Un bref sourire en coin tout de même et je répondais à son baiser mais avec un poil de réserve hélas, merci la mauvaise humeur du jour. Me relâchant elle me demandait alors « Comment ça va? » en me laissant entrer comme d'habitude, c'était limite presque chez moi ici hein. Une grande inspiration et j'allais au salon répondant d'une moue "Moyennement je dirais et toi?" commençons par le début hein...

Ariel se comporte tout à fait normalement avec lui, elle garde son sourire et vient s'accrocher à son cou afin d'obtenir un bisou de sa part. Malgré ça, elle reste perturbée par certaines pensées, mais elle n'ose pas en parler avec lui, pas tout de suis. La Quincy n'est pas du tout aveugle, il y a quelque chose qui ne va pas, il est.. bizarre. Elle a de quoi se sentir mal là ou...? Ariel referme la porte derrière lui, il entre et va s'installer dans le salon. Comme chez lui, en trois mois, c'est devenu son chez lui aussi il faut le dire. Elle qui voulait autrefois un coloc, c'est tout comme, sauf qu'en règle générale on n'embrasse et ne câline pas son coloc. Anyway, elle le rejoint dans le salon.. sa réponse est inquiétante. Elle le savait! Quelque chose ne va pas. « Tu veux en parler? » Demande-t-elle en venant s'installer naturellement à côté de lui. Ariel se pose maintenant plein de questions et elle a tendance à s'imaginer le pire, mais elle préfère chasser au plus vite ces pensées de sa tête, ça ne sert à rien de paniquer tout de suite, si ça se trouve ça n'a rien à voir avec elle.. Ou alors, il lui arrive quelque chose de grave! Elle attend, impatiemment et en silence de connaître les raisons de ce petit moral dont il faisait preuve.

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Même la patience a ses limites...
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Un instant à regarder autour et j'allais me poser dans le canapé d'un long soupire, lui disant direct que non, la forme ou du moins l'humeur n'y était pas. Curieuse comme toujours, Ariel vint s'asseoir près de moi pour me demander « Tu veux en parler? », restant silencieux quelques secondes à fixer droit devant moi, je me mordais la lèvre inférieur avant de lui demander "T'as quelque chose à boire?" ouais pour commencer "Une bière, ou n'importe quoi d'alcoolisé." ouais j'en avais envie et besoin je crois, mais il fallait que je parle, je décidais alors de me lever d'un coup pour enchainer "En fait non ça va pas, ça fait 3 mois qu'on est en couple et on a toujours pas couché ensemble, 3 mois déjà bordel. J'ai l'impression d'être.. J'sais pas, ton jouet? C'est quoi une sorte de défi? De mise à l'épreuve? Un putain de test?!" j'en riais même nerveusement sur le coup "C'est quoi un jeu?" ouais autant y aller cache hein, ça pesait trop là. "Et je t'avoue très franchement que ça commence à me rendre fou ouais. Alors dis moi clairement, ça va durer encore longtemps? Parce que j'sais pas, j'estime me montrer assez patient et respectueux comme ça pour te prouver que j'suis sérieux et honnêtement Ariel, ça commence à me travailler ouais." ouais sois honnête s'il te plait.

Ariel commence à connaître les réactions de Joachim depuis les trois mois qu'ils sont ensemble et quelque chose cloche, ça se voit clairement dès qu'elle eut ouverte la porte de son appartement. Evidemment qu'elle veut savoir, non seulement elle est curieuse et puis quand Joachim ne va pas bien, elle veut être là pour aider au moral. C'est en tout cas le rôle qu'elle estime adopter maintenant qu'ils sont ensemble.. Puis merde, elle ne sait pas comment il faudrait toujours agir, elle reste elle-même, cherchant à ne pas brusquer quoi que ce soit. Bon sang, dis comme ça, on dirait que c'est Joachim la petite chose fragile dont il faudrait prendre soin, alors que c'est tout l'inverse, c'est elle. Il veut une bière. La Quincy s'apprêtait à se lever pour rejoindre la cuisine, mais Joachim la devance et il... explose. Sous les yeux ronds de sa petite amie, qui n'y comprend pas grand-chose. « Non.. je.. je ne joue pas » Depuis quand c'est elle qui joue avec les mecs? Ce n'est pas ce qu'elle voulait projeter.. mais le faire patienter... ça commence à pas mal frustrer et ça marche dans les deux sens. Oui, elle a voulu y aller progressivement, mais à force d'attente, elle venait aussi à se questionner, il a envie d'elle ou bien? « J'avais peur de te voir partir oui, parce que.. c'est ce à quoi je suis habituée, mais à force d'attendre.. t'as rien dit, rien fait et je me suis demandée si.. » Et si elle n'était pas assez bien par rapport à ses anciennes expériences? Non, elle doit se sortir ça de la tête. La Quincy relève les yeux vers lui et se dresse du canapé pour se planter devant le Winthrop « Tu as envie de moi? » Question con, mais elle avait besoin de savoir à force de tourner en rond.

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La pauvre... Ou pas. En fait là fallait que je pète mon câble ouais. Du coup, je lui laissais à peine le temps de se lever pour trouver à boire que je m'étais levé à mon tour pour déballer mon sac. J'enchainais, mettais le nez direct dans le plat et du coup elle en restait plantée là, silencieuse un instant, yeux ronds, avant de ne réussir à me sortir qu'un petit « Non.. je.. je ne joue pas » hésitant. alors quoi Ariel?! Si tu ne joue pas, pourquoi j'attends encore?! J'avais besoin de savoir. si j'avais bien fait ou non, si je perdais mon temps ou pas. Et enfin, elle me disait « J'avais peur de te voir partir oui, parce que.. c'est ce à quoi je suis habituée, mais à force d'attendre.. t'as rien dit, rien fait et je me suis demandée si.. », je la fxiais, yeux ronds à mon tour avant de froncer les sourcils "Oui! Je t'ai respecté Ariel. Alors quoi? Qu'est ce que tu t'es demandé?" ouais vas au bout là car j'comprends plus rien « Tu as envie de moi? », un très léger soupire et je venais l'embrasser fougueusement sans l'ombre d'une hésitation. J'crois qu'il y a pas meilleure réponse à cette question que ça. Relâchant ses lèvres quelques secondes, je gardais mon front contre le sien pour lui susurrer "J'ai pas envie de toi... Je MEURS d'envie de toi.", une de mes mains qui tenaient son visages fermement vint glisser dans son dos alors que l'autre restait accrochée à sa nuque, la repoussant vers le canapé pour l'y allonger. Je crois que tu coup, on avait quelque chose à régler, à arranger plutôt! J'en retirais direct ma veste et mon t-shirt, revenant l'embrasser, glissant l'une de mes mains le long de son corps jusqu'à sa cuisse "Je n'attendais plus que ça..." c'est la seule chose qui manquait même à cette relation.

Ariel ne pensait pas voir Joachim déballer tout ça de but en blanc. La Quincy pouvait maintenant comprendre ce qui le tracasse tellement, ce qu'il pouvait ressentir face à toute cette frustration. Elle ne pouvait pas continuer à faire comme si de rien n'était, mais elle ne pouvait pas non plus se permettre de suivre ses désirs directement, comme ça, en se jetant sur lui en lui arrachant son t-shirt pour lui faire comprendre qu'elle ne joue pas et qu'elle a certainement tout autant envie que lui. Au bout d'un temps, elle pensait même que c'était elle le problème, car en trois mois, elle avait gardé sa petite culotte sur ses fesses.. Pas habituée non plus et elle reconnaît que Joachim avait été un vrai gentleman en tentant de la comprendre et de la mettre à l'aise, mais voilà, il l'avait aussi trop mise à l'aise. Ariel se dresse du canapé pour se poster devant lui tout en affrontant son regard, posant une question simple qui mérite réponse précise ou.. action bien défini comme dans ce cas-ci. A peine a-t-elle le temps de la poser qu'il l'attire vers lui pour venir l'embrasser fougueusement. Ses baisers ont toujours cette capacité à lui faire perdre pieds, surtout quand il y met autant de conviction, de fougue, tout ce qu'elle aime. Elle va faillir, non Ariel doit tenir bon. Elle glisse sa main à l'arrière de sa nuque, elle s'y accroche tout en prolongeant ce magnifique échange. Il meurt d'envie d'elle, attention, elle va rougir! Elle sourit de plus en plus et bien, il n'y a rien qui cloche chez elle! Joachim a même décidé de régler cette chose qui les frustrent l'un comme l'autre. Allongée sur le canapé, elle garde ses yeux rivés vers lui, admirant cette façon rapide de retirer sa veste et son t-shirt. Elle a des étoiles dans les yeux. Admirative, elle glisse ses petits doigts frais contre son torse tout en se mordillant la lèvre. Le regard plein de désirs. Il n'attendait plus que ça « Et moi donc.. » Oui, elle avait espéré voir ce moment pointer le bout de son nez rapidement, parce qu'elle a terriblement envie de son homme. C'est un nouveau cap à franchir pour eux. Les mains tremblante, parce qu'elle est tellement impatiente et excitée comme une passe qu'elle a du mal à gérer tout ça, elle retire à son tour rapidement son t-shirt pour se retrouver en soutien-gorge. Le vêtement fait vite une virée à travers l'appartement avant de finir sa course au sol, un peu plus loin. Elle attire tout de suite Joachim par la nuque pour venir l'embrasser avec passion, sa langue part à la rencontre de sa nouvelle amie pour une danse langoureuse. Les mains de la Quincy se glissent le long de son dos jusqu'à ses fesses qu'elle palpe légèrement tout en réalisant peu à peu que tout ça lui appartient totalement. Les mains un brin coquines maintenant dévirent leur trajectoire pour venir déboutonner le bouton de ce jean, qui ne fera pas long feu lui aussi de toute évidence puisqu'elle commence déjà à vouloir le lui abaisser, mais elle galère un peu, trop d'impatience dans ses gestes.

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Ouais c'est clair que je l'avais beaucoup trop respecté la miss. Avec du recul, je m'en rends bien compte et il est temps de changer ça. Jamais au grand jamais j'ai fais ça dans ma vie, m'attacher autant pour commencer, mais me tenir de lui sauter dessus aussi longtemps! 3 mois bordel cet exploit! Si c'est pas une preuve ça j'sais pas ce que c'est hein. Mais aujourd'hui, je craquais totalement. Je viens m'emparer de ses lèvres d'un baiser langoureux, fougueux même! Ariel s'accroche à ma nuque, prolongeant celui ci, se laissant aller, me laissant la guider jusqu'à son canapé sans la moindre lutte. Ses yeux rivés sur moi le temps que je retire veste et t-shirt, elle alors vite plaisir à venir glisser ses doigts frais sur ma peau alors que je revenais l'embrasser un instant avant de lui avouer que oui, je ne voulais que ça, elle, son corps tout entier. Se mordant la lèvre elle répondait d'un soupire « Et moi donc.. », un sourire en coin en la dévorant des yeux et je retrouvais ses lèvres quelques secondes avant qu'elle ne retire un peu tremblante son t-shirt à son tour, me permettant d'accéder à sa chaleur, sa peau si douce et ses formes parfaites. Je prenais d'ailleurs plaisir à laisser mes mains glisser entre ses seins, sur son ventre avant de venir embrasser celui ci passionnément. Elle vint vite tirer ma nuque pour récupérer mes lèvres dans un baiser fougueux, sa langue venant se mêler à la mienne et dieu que j'aimais ça. Je voulais la dévorer vivante! Je sentais ses doigts glisser dans mon dos jusqu'à mes fesses, me laissant frissonner à leur passage. Je venais alors embrasser son menton, son cou et son épaule tandis que ses mains venaient tenter de me retirer mon jean. Sauf que là, ça devenait plus galère et je venais à son secours d'un sourire en coin, tirant sur celui ci d'une main pour le faire glisser le long de mes cuisses. Mon regard plongé dans le sien, je glissais alors ma main le long de sa joue, un sourire se dessinant sur mes lèvres avant de revenir l'embrasser. Une de mes mains descendait alors de nouveau le long de ses côtes, de sa hanche, venant à mon tour déboutonner son jean. Sourire en coin, je relâchais ses lèvres le temps de descendre tirer un grand coup sec sur son pantalon pour le lui retirer et le jeter au sol, glissant mes doigts le long de ses jambes, remontant doucement d'un regard provocateur...

C'est ce qui manquait à cette relation, tous les deux attendaient comme deux pauvres imbéciles que l'autre soit prêt, enfin surtout Ariel, mais elle, elle était prête déjà, même si elle ne pouvait pas définitivement se débarrasser de cette appréhension, mais son désir pour son homme est bien plus fort que tout le reste. Trois mois, c'est long et elle ne peut plus attendre de mois, de semaines, de jours, supplémentaires. Elle le veut tout de suite, maintenant. La Quincy a bien compris que l'attente devenait insoutenable pour lui et qu'il venait à se poser des questions sur leurs relations. Peu à peu elle découvre ses sentiments, l'aime un peu plus chaque jour et elle veut lui montrer ce soir. Enfin, elle ne lui a toujours pas dit de vive voix, qu'est-ce qu'elle attend pour ça aussi? Chaque chose en son temps, elle ne veut pas trop brusquer les choses et puis elle ne veut pas le faire fuir non plus si elle venait à lui dire. Quelle serait sa réaction franchement? Elle se le demande parfois. Joachim a pris une grande place dans son coeur et elle ne pensait pas ça possible, elle qui s'était engagée à devenir nonne à force de se faire rejeter, elle est encore plus heureuse de l'avoir rien que pour elle maintenant. Elle a été séduite au premier regard, en même temps, quand vous voyez l'homme, la première chose qui vous vient en tête est mamamia! Ariel était légèrement gauche dans ses gestes, elle se laisse tellement submerger par ses émotions qu'elle n'arrive pas à tout gérer comme il faut. Excitation, elle a envie de sauter dans tous les sens, rien qu'à l'idée de se dire qu'elle va enfin franchir cette étape avec lui et elle vient peut-être aussi à se demander si elle va être à la hauteur.. C'est vrai quand on sait les meufs qui sont déjà passées dans son lit, Ariel se retrouve avec bien moins d'expérience.. mais peu importe. Elle suit le mouvement, caresse son corps, elle pense à le débarrasser de ce jean qu'elle ne veut plus voir sur lui, elle le déshabille peu à peu, ce sourire heureux toujours accroché à ses lèvres. Elle le voit se débarrasser de son jean en même temps, la Quincy rougit un petit peu rien qu'en se disant qu'elle se retrouve maintenant en sous-vêtements sous ses yeux et ce regard qu'il lui lance, quel diable. La Quincy se redresse un peu pour arriver à hauteur de ses lèvres « Arrêtes de me regarder comme ça, je vais te dévorer sur place sinon » Et elle tient ses promesses.

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