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Betty Ève-Skye Kennedy fiche; en cours - terminée C'est le premier avril à New York, que la famille Kennedy-Foster m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Betty Ève Skye. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de danse et Français en première année. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Eliot (uniquement si confréries). |
Études Depuis ma plus tendre enfance, j'ai vu ma mère danser avec une légèreté enviable et une grâce que j'espérai avoir par la suite. Chez les filles de sa famille, c'était une tradition que de maitriser cet art, et c'est pourquoi je le commençais à l'âge de cinq ans avec une volonté de fer. Depuis, je n'ai jamais cessé de prendre des cours et j'excelle en classique, et je ne me débrouille pas trop mal en modern. Au début, je n'avais nullement l'envie de m'inscrire à Harvard, mais dès que j'appris qu'il était possible d'étudier et de pratiquer ma passion, j'ai sauté sur l'occasion, faisant ainsi la joie de mon père. En second domaine, j'ai pris Français. Cette langue, je la maîtrise presque mieux que l'anglais, et c'était ma fierté à l'école pour une fille que tous qualifiaient de bête. | Caractère Si vous demandez à mes anciens camarade comment me décrire il vous diront surement : sotte. Il est vrai que je ne suis ni une lumière ni une tête, mais petite je faisais tout pour améliorer mon niveau même si cela ne servait à rien. Je passais mes soirée à étudier, à apprendre en vain mes leçons, mais dès que l'on m'interrogeait, qu'une copie était devant moi, tout mon savoir s'évaporait. Je me liquéfiais devant le prof, je n'osais plus parler et je passais pour la dernière des idiotes. Naïve aussi sans aucun doute, beaucoup me menaient en bâteau, si bien que je me fourrais dans de beaux draps assez souvent. Malgré ma candeur, il m'arrivait d'être provocante dans la manière de m'habiller, et d'exposer à tous ma richesse ; au grand dam de ma mère qui fini par m'oublier complètement pour se concentrer sur son nouvel amant. Malheureusement, je parlais toujours avant de réfléchir, ce qui me conduisait à sortir des âneries plus grosses que moi et à me tourner en ridicule... Vous ai-je parlé de ma manie de changer de sujet, et de débiter des choses qui n'ont rien à voir ? Ah, vous l'aviez remarqué ? Autant pour moi. Malgré mon amour pour la luxure et la mode, j'ai le cœur sur la main n'hésite les à choyer mes proches. J'ai tendance à considérer mes amis comme le centre du monde, à les écouter avec ferveur tout en tortillant une mèche de cheveux, et à les complimenter à foison. Oui, il m'arrive d'être lèche-botte, ahurie, et alors ? |
« Meuf, t'es blonde sous ton roux ou quoi ? »
«Sauf votre respect, Monsieur Kennedy, je crains fort que votre fille soit un pot de fleur : elle est belle, mais ne sert à rien. »
À ces paroles, ledit Kennedy risqua un regard grave vers sa fille. Le roi des finances savait pertinemment qu'elle n'avait pas les capacités intellectuelles d'une lumière, mais il s'efforçait de croire en elle, même si la vérité le percutait en plein fouet. Le directeur s'empara du dossier scolaire de Betty d'un air résigné et le parcouru des yeux, à la recherche de quelque chose de notable, qui pourrait être mis en valeur, et il dû bien avouer que la demoiselle excellait dans une seule et unique matière. « Cependant, son niveau de Français est prodigieux. D'où lui vient cet attrait pour cette langue ? » La jeune fille se souvenait de cet élément déclencheur : Serge Gainsbourg. Depuis petite, elle ne faisait que se délecter de ses chansons, surtout "Je t'aime, moi non plus" même si elle pensait que les reins se trouvaient au niveau de la bouche, ce qui... Quoique ça aurait pu être une bonne version aussi. Ce fut ainsi, en voulant tout comprendre qu'elle finit par être bilingue à l'âge de quatorze ans. Comme si son cerveau ne pouvait s'intéresser qu'à une seule chose, et s'était saturé suite à cet apprentissage intensif. Le père s'empressa de répondre que ça lui était venu d'une manière assez saugrenu et qu'il n'en savait pas plus. Son interlocuteur acquiesça, tandis que Kennedy demanda à Ève-Skye de l'attendre dans le couloir.
Celle-ci se leva tout en faisant attention à sa jupe asymétrique qui virevoltait à chacun de ses pas. La demoiselle savait bien que son père allait devoir user de son chéquier afin qu'elle demeure dans cette école. La belle se laissa glisser le long du mur tout en soupirant : il aurait été beaucoup plus simple qu'elle ne soit pas si bête. Alors qu'elle s'apprêtait à sortir son portable afin de faire par à sa meilleure amie de ses malheurs une voix s'éleva parmis les ténèbres, si bien qu'elle sursauta tout en cherchant son interlocuteur des yeux. « La rousse, pourquoi tu sors de chez le dirlo ? » Etant très habituée à être désignée par sa couleur de cheveux, elle ne s'en formalisa aucunement lui répondit aussitôt. Où était le mal à s'entretenir avec le directeur avant d'entrer dans son école ? Ève entortillait autour de son doigt une mèche ondulée tout en tentant de retenir les multiples question de l'inconnu. Quelque peu déconcertée, elle s'exécutait. « De New York » Il se tue, la laissant songer à son aise.
Le temps se faisait long, si bien qu'elle trépignait de rentrer chez elle, et de se lover dans sa chambre pareille à une suite, et d'écouter du Gainsbourg. Ce luxe lui manquait, ce luxe que lui offrait son père étant directeur de la bourse de New York, et ne lésinait aucunement à choyer son unique fille, et à lui pardonner toutes ses fantaisies. Il était bien le seul à croire en elle, et à être convaincu qu'elle était intelligente, mais que tout cela n'était dû qu'à un blocage. Sa mère avait depuis belle lurette cesser de placer ses espoirs en sa personne, et ne s'occupait guère d'elle, trop débordée par sa marque de vêtements bio. Quelle logique lorsque l'on laisse couler l'eau, et que notre chambre consomme autant que tout un immeuble ! La danseuse releva la tête : la porte venait de s'ouvrir et elle gratifia son père d'un sourire. Décidément, il était le seul qu'elle adorait dans cette famille.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Lucien. ↬ ÂGE - 16 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - Inyourass. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Grâce à mon DC :P ↬ TES IMPRESSIONS - D'un canon à couper le souffle. ↬ CRÉDIT(S) - Bazzart. ↬ AVATAR - Holland Roden ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN - Fin. |
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