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SAY YOU REMEMBER ME. ► LUKÀRIA.

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SAY YOU REMEMBER ME.
— LUKAKIARA.

Deux années passées loin de cette ville et te revoilà à ton point de départ, inscrite à Harvard en médecine, un poids sur la conscience. Même si tu adorais cette ville et les personnes qui la composais, tu avais peur de tomber sur les démons de ton passé. Les couloirs et toujours les couloirs. Tu en étais entouré complètement jusqu’au moment où tu arrivais au grand hall. Ton regard pointé sur ton téléphone comme à ton habitude, tu marchais droit à pas ralentit. Les messages de tes parents t’ennuyaient le plus possible. Prendre le partit d’un des deux lors du divorce te rendais la vie dure et tes espérances de paix dégringolaient Ils ne te laisseront jamais tranquille et tu devais en prendre conscience. Dans cette famille, c’était toi l’adulte responsable et eux les babins qui aillaient pourrir tes rêves d’avancer. Quand tu terminais par relever ta tête et regarder chaque visage autour de toi comme si tu les craignais tous, tu restais planté sur une des marches en l’apercevant. Lukà. Ton cœur palpitait, tu avais de plus en plus chaud intérieurement et tu te sentais mal. Tu n’arrivais pas à délier ton regard de lui. Il t’hypnotisait dans sa manière d’être, ses beaux sourires et son charisme naturel. Figé. À cet instant précis, des millions de questions passaient par ta tête mais la plus importante était, comment feras-tu pour te sortir de cette merde sans qu’il ne te voit dans l’assistance. Comment fait pour qu’en partant il ne te voit pas. Tu lui avais brisé le cœur une fois, tu te refusais de recommencer. C’était l’homme de ta vie autrefois et tu l’avais laissé s’en aller par pur égoïsme. Tu l’aimais toujours. En fait, tu n’avais jamais cessé d’éprouver des sentiments pour lui, mais ça t’arrangeait de croire que tout c’était évaporer. Ça t’arrangeait de penser que tu l’avais oublié, que ton cœur ne se languissait plus de lui. « Lukà… » Une voix douce et délicate. Il ne pouvait pas t’entendre, et tu préférais que ça soit comme ça. Dans un élan de réalité, tu te tournais et faisais deux pas pour t’en aller, mais tu n’y arrivais plus, et ton visage revenait sur sa cible dans un demi-tour. De la déception, tu étais déçue de toi-même. Tu ne voulais pas le heurter, mais la simple vue de ton visage pourrait lui causer du tort.  

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feat. H. Kiara Duff
Je venais de sortir d'un cours assez intense sur les méthodes politiques des ressources primaires, autant dire que c'était prise de tête et que j'étais bien content que le cours soit à présent terminé. Je pouvais souffler un coup et je quittais l'amphithéâtre pour me diriger vers le hall, sac de cours sur l'épaule, je marchais tout en scrutant les messages sur mon portable que j'ai pu recevoir pendant ces deux heures de cours. Je m'arrêtais à la machine à café, parce que oui, j'en avais bien besoin là, me rebooster pour la suite de la journée, j'attendais que le café se prépare en ayant les yeux posés toujours sur mon portable puis une fois la boisson prête, je rangeais mon portable dans la poche de mon jean pour prendre le gobelet. Tout n buvant la première gorgée, je zieutais les alentours pour voir les têtes présentes et mon dieu je restais bloqué sur celle présente non loin de moi. Kiara, elle était donc de retour ? Comment peut-elle revenir ici après ce qu'elle m'a fait ? Je la fixe et je la vois aussi regarder dans ma direction, j'ai tellement une dose de colère qui monte en moi en la voyant, je repense à ce qu'elle m'a fait, comment a t-elle pu rompre avec moi alors que tout marchait pour le mieux entre nous, pire encore, me faire ça par sms alors qu'elle était déjà parti pour l'aéroport. Je n'ai même plus envie de ce café, je le jette dans la poubelle à côté de la machine à café et je ne perds pas de temps pour me diriger vers l'australienne qui a brisée mon cœur. « T'as un sacré toupet de revenir ici. » lui dis-je froidement une fois à sa hauteur « T'as même pas trouvée le courage de venir me voir pour t'excuser depuis que t'es revenue. » j'étais tellement en colère, elle mériterait une claque, mais frapper une femme, jamais de la vie.

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— LUKAKIARA.

Tu sais quoi, le fait de le revoir après deux ans était peut-être le signe que tu avais mal fait les choses autrefois. Après tout, rompre avec lui d’une telle manière n’était pas du tout sympathique, ni même classe. Un message. Un simple message avait servi à mettre fin à vos années de couple. Tu avais refusé de le faire en face à face, parce que tu savais qu’il allait te le faire regretter, que tu allais tout plaquer pour rester dans ses bras. C’était plus simple d’appuyer sur un simple bouton quand ta valise était déjà enregistrée dans le système. Savoir qu’il n’aurait jamais le temps de venir te chercher. C’était ta solution de facilité. Maintenant, tu te sentais comme la pauvre fille de l’histoire. La fille qui n’avait même pas assez de cran pour réellement aimer quelqu’un. Ce qui était faux. Tu l’aimais à l’époque, et peut-être même que tu l’aimes toujours. En le regardant, tu remarquais qu’il t’avait vue. Et tu lui refaisais complètement face en le voyant se déplacer dans ta direction. Un visage sans aucune émotion se dessinait sur ton visage. Tu étais maintenant froide et sans vie. Qu’est-ce que tu voulais prouver ? Que tu avais ta dignité ? Mais pourtant tu l’avais perdue depuis longtemps celle-là. Son visage à proximité du tien, sa voix se faisait comme un poison. Comme des poignards qui te traversaient le corps à chaque mot qui se laissait prononcer sèchement. « Bonjour Lukà. » Ta voix n’était pas reconnaissable. Elle était si dure. Mais bon, il avait oublié ses manière, donc peut importe. Tes yeux ne quittaient pas les siens, et que dieu te protège, mais tu les aimais toujours autant. Ils étaient perçants et attirant à la fois. « Écoute, je ne savais même pas que j’allais rentrer aussi tôt, je n’étais même pas prête à avoir une vraie discussion avec toi après ce qui c’est passé… » En fait, tu avais imaginé des centaines de fois cette conversation. Et aucune d’entre elles ne commençaient par des remontrances de sa part. Tu l’imaginais toujours plus calme, à croire que tu te voilais la vérité. « Mais me voilà maintenant, alors dis moi tout ce que tu as sur le cœur et passe à autre chose après s’il te plait. » Non, ne passe pas à autre chose. Tu ne pensais rien de tes mots, tu voulais te coller contre son torse et le serrer contre toi, mais les choses c’étaient si mal faites que tu ne pouvais pas. Si seulement tu lui avais parlé de vive voix avant de t’enfuir, tu aurais peut-être la chance de te rattraper maintenant.

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feat. H. Kiara Duff
Je ne pensais pas la revoir un jour, ça fait deux ans qu'elle est parti, mettant un terme à notre histoire en m'envoyant un sms, je ne la pensais pas aussi lâche de faire ça, elle aurait pu au moins rompre en face avant d'aller à l'aéroport mais non, elle a préférée l'option de facilité, que je n'ai pas mon mot à dire. La voir à quelques mètres de moi je ne voulais pas y croire mais pourtant c'était la réalité, je sentais une dose indescriptible de colère monter en moi et dès que j'étais à sa hauteur, je lui crachais mon venin à la figure sans même commencer avec ces manières qui m'ont toujours tenu à cœur mais elle ne le méritait pas. « Oublie tes manières avec moi Kiara. » elle aussi s'adressait à moi froidement et au fond j'en avais rien à faire, j'étais en colère et à l'écouter parler je voulais partir loin d'elle mais je voulais cette discussion qu'on aurait du avoir il y a deux ans. « Après ce qui s'est passé oui, t'as vraiment été lâche de m'envoyer ce fichu sms alors que t'aurais pu me larguer en face. » je ne retenais pas mes mots, pourtant moi qui suit un homme de principes et de valeurs, qui lâche chaque parole de mes lèvres avec prudence, là non, j'étais bien trop en colère pour essayer de lui dire les choses avec prudence. « Je suis déjà passé à autre chose, j'ai pas pris la peine de t'attendre deux ans Kiara. Je vais pas te retenir longtemps, tu m'as juste déçue, je te pensais sincère quand tu me disais que tu m'aimais, moi je l'étais et m'envoyer ce sms... t'avais pas e droit, pas après ce qu'on a pu vivre, crois-moi je t'en veux, je te déteste. » je ne l'avais pas lâcher du regard, mon cœur battait vite, c'était l'adrénaline, mes sentiments pour elle qui remontaient parce que moi j'en ai encore, elle a été ma plus belle histoire depuis que je suis arrivé à Harvard et elle m'a brisée le cœur.

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— LUKAKIARA.

Dans cette ville, tu avais plusieurs fois tenté de l’éviter parce que tu n’étais jamais prête à lui parler. Lui, et ses manières qui t’avaient fait craquer, te faisaient peur aujourd’hui. La méchanceté qui régnait dans sa voix, tu n’en étais pas fan du tout. En fait, si tu lui avais permis de ce lancer et de te reprocher tout ce qu’il voulait, tu n’avais pas envisagé qu’il te dise qu’il était passé à autre chose. À sa réaction, ça te laissait perplexe. S’il était vraiment au-dessus de toi, pourquoi est-ce qu’il ne t’avait pas simplement ignoré. Pourquoi est-ce qu’il t’engueulait presque si tu ne comptais plus pour lui. Selon lui, tu n’avais pas le droit de lui faire ça dans le passé. Tes yeux se déconnectaient des siens immédiatement après cette phrase pour se poser par terre. Ils finissaient, bien entendu, toujours par revenir sur les perles qui ornaient son visage, mais cette fois tu faisais un mouvement. Ta main droite venait à se poser sur ton avant-bras gauche. Et tu visualisais tout ce qui c’était déroulé en Australie. Des traces ornaient toujours ton corps, et tu cachais le plus possible avec des pantalons et des chemisiers à manches longues. « Les manières elles ne sont pas à moi, elles sont à toi. Mais qu’est-ce que j’en sais, tu as tellement changé en deux ans apparemment. » Un reproche, enfin. Tu te lançais dans la course du qui sera le plus fort avec lui comme si tu le faisais pour sauver ta vie. Comme si tu avais quelque chose à lui prouver alors qu’il te haïssait déjà assez. « Bon, stop. Tu vas trop loin sur les bords par contre. Sous prétexte que je t’ai envoyée un sms je ne t’ai jamais aimée ? Tu te fous de ma gueule Lukà. Non sincèrement, tu me prends pour quoi ? Une garce ou une manipulatrice sans cœur ? Tu me connais putain ! Et tu sais très bien que j’ai fait ce choix parce que j’étais pas capable de te regarder en face pour te dire ça. Tu sais que si j’étais venu te voir je ne serais jamais partie ! » Tu l’avouais enfin à haute voix. Tu ne t’étais jamais rendue compte du pouvoir qu’il pouvait exercer. Si tu l’avais toujours su intérieurement, le fait de l’énoncer à voix haute changeait la donne complètement. Et tu repensais à ses derniers mots. Je te déteste. Ça te faisait mal, plus qu’auparavant. « Je t’empêcherais pas de me détester, mais moi je pourrais jamais le faire. Parce que tu es le seul qui m’a vraiment aimé. » Hé merde, tu repensais au connard d’Australie pendant que tu arrangeais tes cheveux pour masquer l’arrière de ton cou. Trop de secrets te rongeaient. Tu avais envie de lui lâcher au visage toute la vérité si jamais il répétait qu’il te détestait. Juste pour qu’il comprenne que toi aussi tu avais cette rancœur contre toi-même.

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feat. H. Kiara Duff
J'ai toujours imaginé ce moment, j'aurais tellement espéré qu'elle mette fin à notre histoire en face alors j'ai toujours essayé de m’imaginer ce qu'on aurait pu se dire et finalement moi qui pensait qu'on parlerai calmement et tout le baratin, en réalité, je lui crache mon venin à la figure sans même lui laisser le temps de répliquer. Je lui en veux tellement, j'ai tellement de colère contre elle mais malgré toute cette haine, je n'ai jamais cessé de l'aimer, j'ai mis mes sentiments pour elle de côté, j'étais complètement amoureux d'elle, notre histoire est la plus belle que j'ai jamais eu mais j'arrive pas à calmer cette colère en moi, il suffit que je la regarde dans les yeux pour bouillir de l'intérieur. « La faute à qui ? » ouais je rejetais la faute sur elle si je ne faisais pas preuve de ces manières qui ont toujours été ma marque de fabrique mais j'en avais strictement rien à faire d'être impoli et irrespectueux, quand on me trahi, je ne pardonne pas, j'ai l'impression de revenir des années et des années en arrière quand j'ai appris que père avait trompé mère pour lui faire un gosse dans le dos, pendant longtemps je lui ai craché au visage et c'est pour ma défunte mère que je lui ai pardonné, et ça me fait tellement mal de parler à Kiara comme je le fais mais qu'elle me quitte comme elle a pu le faire, c'était irrespectueux. « Tu viens clairement de me prouver que tu ne voulais pas rester avec moi, sinon tu serais venu me voir pour rester d'après toi. T'as été garce oui d'agir comme tu l'as fais. Je n'aurais pas eu peur de venir te voir en face pour rompre, parce que j'assume toujours ce que je fais mais visiblement, je ne te connaissais pas si bien que ça pour voir que tu a été lâches. » je lui sortais finalement que je la détestais, je ne sais pas si je le pensais, c'était ma colère qui parlait mais je le lui avais dis et elle arrêtait de me fixer comme elle le faisait depuis tout à l'heure et elle me disait qu'elle ne sera jamais capable de me détester parce que je suis le seul homme qui a su véritablement l'aimer. « Je te demande pas de me détester, je m'en fou de ce que tu penses. Maintenant que es choses sont claires entre nous, je veux plus te voir. » lui disais-je dans les yeux avant de grimacer et de me retourner pour m'éloigner d'elle.

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— LUKAKIARA.

La faute à qui ? La tienne sans doute. Enfin, c’est ce que tu pensais quand il te disait ça d’un seul coup. Ta faute, la tienne. Tu l’avais détruit, tu l’avais massacré en un seul message. Et puis merde, qu’est-ce que tu avais fait. Tu te rendais compte que tu l’avais blessé à une pointe que tu ne pouvais plus revenir en arrière. Tu le laissais reprendre la parole et il utilisait tes propres mots contre toi. Tu étais une garce. Oui, une garce. Il l’avait dit et ta bouche s’entrouvrait sur le coup. Tu ne pensais pas qu’il aurait pu te décrire comme telle, mais il venait de le faire, et tu te devais de le prendre pour toi. C’était si facile pour lui de te faire mal. C’était si facile que tu souffrais à chaque mot qu’il prononçait. Tu te sentais trembler de l’intérieur. Comme si ton corps allait te lâcher dans quelques secondes. Ta bouche s’ouvrait doucement pour que tu puisses répondre. Mais tu ne devais pas flancher. Pas maintenant. « Je ne voulais pas te faire face, parce que je ne pouvais pas. Je pensais que si je venais je t’aurais fait plus de mal qu’en t’envoyant ce message. Je pensais pas que ça prendrait des proportions pareils ! Je pensais pas que je te reverrais un jour, parce que je devais rester là-bas mais… mais… je ne pouvais pas ! » Comment être plus explicit sur le, là-bas il y avait un problème. Ici il y avait lui. L’amour de ta vie, le garçon que tu ne pourrais jamais oublier ni même effacer de ta vie comme ça. Tu avais fait la pire erreur de ta vie. Et tu le regrettais maintenant, mais c’était trop tard. Tu lui avouais qu’il était le seul qui t’avait un jour véritablement aimer, et en même temps, tes yeux se fondaient dans les siens. Tu le perdais au fur et à mesure de tes paroles. Et quand il recommençait à t’ouvrir son cœur, tu te sentais mal. Plus qu’auparavant. « Si tu veux plus me voir, pourquoi tu es venue me parler, hein ?! Bref… » Tu lui disais ceci après qu’il se soit retourné, la voix plus élevée qu’avant. Il allait te répondre que c’était pour mettre les choses aux clairs, que c’était pour mettre fin à tout ça. Tu le savais d’avance. Tu anticipais la réponse sur ce coup, mais tu n’en croirais rien. Pas comme ça. « Je me fous pas de ce que tu penses, si ça peut te faire plaisir. » Tu haussais les épaules, il ne te regardait toujours pas, mais bon, c’était tout à son honneur, il allait partir et tu devais en faire de même. Tu devais te forcer à faire des pas en arrière. Mais sur le coup, tu n’y arrivais pas. S’il voulait partir, tu allais le regarder faire jusqu’à ce qu’il disparaisse. Jusqu’à ce que tu ne le vois plus et que ton corps ne soit plus figé.

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Je rejetais la faute sur elle, parce que c'est de sa faute, il n'y a rien à redire dessus. C'est elle qui m'a larguée comme une merde, elle qui m'a brisée le cœur, je n'ai rien fait pour détruire notre histoire d'un an, c'est elle qui a tout fait merder alors lui donner la faute est plus que justifié. Je ne mâchais pas mes mots, je ne voulais pas me retenir parce qu'il fallait que je laisse exploser ma colère, je lui disais clairement qu'elle avait agit comme une garce, ça me faisait mal de lui dire ça mais c'est ce que j'ai ressentis à l'instant même où j'ai lu ce sms qui m'a brisé dans tous les sens du terme. Je sais que mes propos lui font du mal, au moins elle peut voir maintenant qu'elle a fait l'erreur de sa vie en rompant avec moi pour partir en Australie « Fallait réfléchir avant d'agir Kiara. » lui disais-je tout aussi froidement que toutes les autres paroles que je lui ai sortis. Elle me disait que j'étais le seul homme qui ne l'ai jamais aimé comme on peut l'aimer, au fond je savais que c'était la vérité, notre histoire à été la plus belle de toutes et je la crois mais je ne réagis pas face à ce qu'elle vient de me dire préférant continuer à lui cracher mon venin. « T'as toujours pas compris ? Parce que j'ai eu les couilles de venir mettre les choses au clair avec toi en face, tu l'as pas fais, je règle le problème c'est tout. » disais-je avant de rajouter que je ne voulais plus la voir et je me retournais pour m'éloigner d'elle. Alors que la distance qui nous sépare se fait plus grande par mes pas, je l'entends me dire que contrairement à moi, elle ne se fout pas de ce que je pense et je ne réponds rien, les choses ont été clarifiés entre nous, maintenant elle peut bien penser et faire ce qu'elle veut. Une fois la porte du hall passée, je souffle un bon coup, la revoir m'a complètement retourné l'esprit et je me sors une cigarette pour décompresser, parce que j'en ai clairement besoin.

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— LUKAKIARA.

Lukà. Tu le laissais te parler comme ça simplement parce que tu savais que tu avais fait la plus grosse erreur de ta vie. Tu ne pouvais pas lui en vouloir d’être fâché, tu ne pouvais pas non plus lui en vouloir pour le ton qu’il prenait en te parlant. Mais par contre tu haïssais la manière dont il te parlait. C’était quoi ses mots vexants et blessants ? Tu ne le connaissais pas sous cette facette, et au final il a fallu deux cœurs brisés pour que tu comprennes que c’était de ta faute. Qu’il n’avait pas entièrement tort malgré qu’il dépasse les bornes quand il le voulait. Ton regard insistant sur le sien. Tu encaissais tout ce que tes oreilles entendaient avec une attention particulière. Le voir partir, en te disant que tu n’étais qu’une lâche qui n’avait pas eu le cran de lui dire un adieu sincère te touchait plus que tu ne pouvais le laisser paraître. Ses pas s’éloignaient et avec eux cette silhouette. Quand il n’était définitivement plus dans la pièce, tu sentais quelque chose de chaud couleur sur ta joue. Une larme. Tu l’essuyais sans attendre avant de te tourner une énième fois pour réellement partir. Ton pas se faisait lourd et rapide. Quand tu terminais par arriver dans un coin désert de l’université, tu t’asseyais sur l’encadrement d’une fenêtre avant de taper de ta paume tes genoux. « Merde merde merde ! Putain ! » Tu n’arrivais plus à te contenir. Et tu comprenais que si tu avais rêvé à de meilleures retrouvailles pendant deux ans, c’était parce que tu n’avais jamais voulu le perdre. Il était passé au-dessus de toi. Il te l’avait dit. Ses mots te revenaient en tête comme du poison s’attaquant à chacun des organes vitaux du corps. Tu devais passer à autre chose, mais ça te semblait impossible sur le coup. La seule chose que tu trouvais, c’était de lui montrer qu’au fond il t’appréciais quand même un minimum. Qu’il ne t’avait pas oublié comme il le clamait si haut et fort. Tu ne savais pas encore comment faire ça, mais tu n’allais pas respecter sa volonté de ne plus jamais te revoir. Tu t’y refusais catégoriquement.

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