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« Entre les lignes. » Anna et Esteban.

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A la réception de son message me proposant une soirée en sa compagnie, j'avoue que dans un premier temps, j'ai hésité. N'ayant plus envie de grand-chose, depuis quelques temps, depuis ce jour où j'ai appris ce qui se trouve en moi, résultat de cette luxure dans laquelle Clay et moi, au Chili, on s'est vautrés. Persuadés de pouvoir défier les lois de la procréation. Comme deux cons. Ma décision pourtant prise, cela n'empêche pas que nous allons devoir attendre quelques jours avant de voir ma volonté réalisée. Parce que je dois faire face à plus de contre temps que prévu, un mariage a préparer, une société à reprendre, dans lesquelles je dois encore imposé ma marque, ma patte. Mon autorité, face à une bande d'employés ayant du mal avec l'idée qu'une femme va bientôt les diriger. Et même si l'envie de sortir, de m'évader pourrait être parfaitement justifiée, c'est tout le contraire que j'ai ressenti, ne sachant plus vraiment comment me comporter et être moi, portant ce monstre embryonnaire qui aliène mes façons de faire. Preuve en est cette dernière soirée un tantinet mondaine que l'université a cru bon d'organiser, nuit pailletée durant laquelle je n'ai pas forcément brillé, hésitante entre le désir de faire comme si tout va bien, et celle de passer mon chemin. Aussi bien que je le fais maintenant, alors que je suis en train de me dresser sur mes louboutins que la grossesse me donne du mal à supporter, première fois de ma vie que je me suis laissée penser que ces putains de chaussures pouvaient me défoncer les pieds. Tout à l'heure, même, lorsqu'à travers le miroir je me maquillais, je me suis faite cette étrange réflexion, celle de changer. De voir mes traits se fatiguer, ne plus réellement me ressembler. Émotive, j'en ai eu le besoin à la limite vital de me mettre à pleurer, et c'est en colère contre cette Annalynne que je ne suis pas que je me suis retenue de le faire. Assise sur le canapé en l'attendant, je tourne entre mes doigts, mon téléphone sans trop savoir si je dois envoyer un texto à Clay ou pas … Même si nous sommes toujours ensemble, je ne peux plus nier, non accorder aux choses le fait qu'à ce qu'elles étaient elles ne peuvent plus ressembler. J'en déverrouille malgré tout mon clavier, pianote rapidement afin d'accéder au menu prédisposé à me voir envoyer quelques mots à mon amant. Mais l'interphone me coupe dans les possibilités de phrases que je pourrai lui vomir, alors j'en viens à me contenter d'appuyer sur le bouton effacer, au moment de me lever. Accusant un haut le coeur, ma tête semblant vaciller. Je n'ai pas mangé, et je ne saurai dire depuis quand, hier peut-être, oui, sûrement. Et j'attrape mon sac à main, mes clefs, et ferme la porte derrière moi, marche dans le corridor, laisse mes prunelles s'attarder sur cette porte que j'ai de plus en plus de mal à passer, l'appartement que plusieurs mois nous avons partagés. Instants si lointains, de notre relation à l'époque, toute à nos différences, à ces moments de guerres et d'espérances. Un à un je descends les escaliers, avant de pousser la porte du bâtiment, et de croiser directement le regard de celui qui s'apparente le plus à ce qu'on appelle plus communément ami. J'esquisse un sourire, quand ma joue s'appose sur la sienne en une bise simplifiée, arquant les sourcils, demandeuse et accusatrice quand je lui sers en guise de bonjour « T'as intérêt d'avoir des choses à raconter, j'ai besoin de me changer les idées. » Pas polie pour un sous, mais il est habitué. Il est de ceux qui arrivent à me supporter depuis déjà nombre d'années.
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Annalynne & Esteban
Je me tenais tel un gentleman, appuyé sur ma voiture. La nuit était tombée, et il était l'heure de prendre mon amie pour partir en soirée. Je ne sais où notre virée aura lieu, mais je vais avoir le temps d'y réfléchir au volant. Mes yeux se promènent, et actuellement, ils sont sur mes chaussures de ville noires. Le genre de shoes qui accompagnent parfaitement mon jean, ma chemise et ma veste de costume. Tous de la même couleur : le noir. Valeur sûre. Mon bras se soulève légèrement pour me renseigner sur l'heure qu'indique ma montre, et je vois une silhouette au loin. Mon regard sur elle, je reconnais mon amie. Mon alter ego au féminin. Qui marche de son pas assuré, ses grandes jambes fines l'amènent de plus en plus vers moi. Ça a des talons de la taille de mes dossiers empilés sur mon bureau. Ça a l'oeil aguicheur toujours prêt à servir, se baladant avec la dégaine de la femme fatale. Une garce, une vraie de vrai. Qui se fout d'avoir des amis ou non, du moment qu'elle reste jeune et désirable. Elle joue, elle séduit, elle rit. Mon alter ego n'est qu'une hypocrite avec ce monde, à la recherche d'une identité. Elle n'est qu'une façade peinte de rouge à lèvres sur fond de teint.
Je suis l'alter ego de mon alter ego. Elle pense à moi, et je pense à elle. La preuve ce soir avec mon invitation. Mon alter ego traîne pour être populaire, parce que son image, elle l'entretient. Elle traîne parce qu'elle ne veut pas rentrer chez elle. Et ce soir ce sera à mon bras qu'elle entrera certainement dans un bar.
En gros, mon alter ego à la fierté mal placée. Calculatrice. Manipulatrice. Têtue. Autonome. Fêtarde. Drôle. Une ombre accrochée à mes Basques. Et son regard se pose sur moi, avant que ce ne soit sa joue contre la mienne. Et un sourire se dessine sur mes lèvres, qui s'agrandissent à l'entente de sa menace qui sonne plutôt comme un appel à l'aide. " J'ai deux ou trois histoire embêtantes de boulot. Tu tiens à entendre le désarroi d'un policier que certaines personnes se plaisent a torturer? " Un léger rire, et de ma main, j'ouvre la portière pour l'inviter à s'installer sur la place "passagère". Je contourne mon véhicule, et me retrouve au volant en tournant le visage sur celui de la demoiselle, afin de lui demander le choix du futur endroit qui va nous recevoir. " Une préférence pour le lieu? Ou tu me fais pleinement confiance? " Ce qui lui offrirait le plaisir de me donner de la pression. Mais je suis un adepte de pression. Je ne bosse que parfaitement si elle est là. La clé se tourne, et je garde ce sourire qui m'anime quand je sens Anna à mes côtés.

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L'envie de penser à autre chose, de me changer les idées. De ne plus me laisser dépasser par ce mariage que je n'ai jamais eu la prétention de contrôler. Bien que j'ai voulu faire croire à n'importe qui que c'était le cas, aux yeux du monde entier heureuse d'être emprisonnée. D'oublier l'espace d'une soirée, que j'ai en moi un enfant indésiré. De mettre pause dans les méandres de mon esprit, de me dire, que rien n'est foutu dans le bordel qu'est ma vie. Et en son sourire, déjà, je perds pieds, aussi simplement qu'il faut le faire pour le penser, je commence à me dire que je vais y arriver, que grâce à lui, oui, ce soir, cette nuit, je vais omettre tout ce qui peut me rendre aliénée. « J'ai deux ou trois histoire embêtantes de boulot. » Sans attendre, ma réaction lui parvient, puisque j'en soupire et fronce les sourcils en synonyme d'un « sérieusement ? » je vaux pas mieux que quelques ragots de boulot ? « Tu tiens à entendre le désarroi d'un policier que certaines personnes se plaisent a torturer? » Policier. Non bordel, non. Il n'en faut pas plus, rien qu'un mot, pour que j'en perde mes idéaux. Parce que j'en ai un, de flic à moi, ou je l'avais, et me poser cette question me rends déjà mélancolique, j'ai tant horreur de devenir si facilement mélodramatique. Et tandis qu'Esteban s'approche de la portière pour me l'ouvrir, je me contente de faire vaciller mon visage de gauche à droite pour lui signifier, que je n'ai aucunement envie d'entendre parler de ce qu'il peut se passer au commissariat. Cependant son rire me dépend, puisque c'est quelque chose que je connais, et j'en esquisse un sourire à mon tour avant de me positionner sur le siège passager. Il me rejoint, se place derrière le volant, et non sans un dernier regard vers ses lèvres étirées, je laisse mes prunelles voguer sur la route qui s'offre à nous. « Une préférence pour le lieu? » Il y a ce quelque chose en moi qui a envie de lui murmurer que si ce n'est pas au moins un endroit quatre étoile je ne veux pas. Mais je me contiens, pensant que tant qu'il y aura de l'alcool, ça me conviendra. Alors que je me remémore – comme si je pouvais oublier – cet alien que je porte malgré moi. « Ou tu me fais pleinement confiance? » Alors que le contact s'allume, j'en crache un rire prétentieux quand je m'en vais à la recherche de ses yeux. Je me fais taquine quand je me permets de lui balancer finalement. « Je ne fais confiance à personne. » Un haussement d'épaule succinct vient parfaire mes dires. Avant que je ne me recale dans le siège, ma bouche encore quelque peu étirée, amusée. Evidemment, je lui fais confiance, mais à un certain point, bien que ce soit plus que pour certains. Et encore, cet étrange refrain … Celui de Clay, du souvenir de ses mains, des secrets partagés lors de nos matins. « Mais j'imagine que tu peux t'en sortir pour nous trouver quelque chose. » Lui glissant finalement sur un ton de défi, tandis que mes doigts se baladent sur le tableau de bord afin de chercher de quoi mettre un fond sonore à notre virée.

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Annalynne & Esteban
Elle m’inspire, me fait rire, me fait pleurer, me fait réfléchir. Nos silences sont de grandes conversations, nous nous comprenons en un seul regard, un seul geste, un seul sourire. Un alter-Ego que je suis venu rejoindre pour un manque d'oxygène quand je me trouve loin d'elle. Ce n'est pas une amitié démonstrative. Nous ne nous faisons pas de câlins en public, ni de bisous, ou je ne sais quoi que toutes les meilleurs amis sont censés faire. Nous nous faisons la bise, comme de simples connaissances, mais ensuite, nous ne pouvons plus nous lâcher. Du regard pour le moment, ma main s'occupe d'ouvrir la portière. Je remarque que ma proposition de conversation ne la tente pas. Je lève alors mon autre main comme si je faisais un salut " J'ai compris. Pas de conversation de boulot! " Et je souris en la laissant s'installer. A mon tour de le faire. Derrière mon volant, je guette son visage, et je ressens comme un petit malaise profond. Une chose que je ne suis pas certain d'avoir le plaisir de la révélation. Nous ne nous racontons pas nos petits secrets. Peut-être, nous diriez-vous, que ce n'est pas digne de meilleurs amis, et pourtant… Chacun décrypte l'autre comme si c'était lui-même, c'est-à-dire que nos petits secrets, nous ne les disons pas, nous les comprenons, nous les décryptons, nous les lisons dans les pensées de l'autre. C'est une connexion totale. Qui se retrouve brouillée par sa taquinerie qui me conforte dans l'idée de camouflage. Ma main actionne le levier de vitesse et mon pied dans un moment coordonné appuie sur la pédale. Le moteur gronde et le véhicule avance pour débuter la route. " C'est pour ça que tu n'as pas d'homme dans ta vie. " A la taquinerie sa réponse. Qui en soit, n'est qu'une constatation. Je ne vais pas fouiller ses draps pour m'en assurer, mais à ma connaissance... Malgré la route, ma tête se tourne pour que mon regard amusé vienne toucher le sien tendrement. Le sourire l'est tout autant, même en revenant sur la route. Il fallait que je décide rapidement d'un itinéraire, sinon je sens que mon carburant va passer en ronde dans la ville. Je réfléchis alors, matant un peu sa main qui caresse le poste radio. Le silence est il aussi pesant? Je n'en sais rien, quand je suis en sa compagnie, je me sens bien. OH! "Je crois que je sais où je vais t'emmener. J'ai découvert ce bar récemment, et je pense qu'il peut te plaire." Je l'espère. C'est un bar lounge un peu reclus du centre. Peu fréquenté pour son manque de popularité, mais aussi pour la clientèle qu'il touche. Forcément, c'est un peu réservé aux gens ayant les moyens. Pour ce qu'il en est de l'intérieur, je dirais des couleurs froides rapidement réchauffées par la musique, les bougies, les éclairages minimes et le personnel respectueux et chaleureux. Impatient d'y être et de voir la réaction de Annalynne. Après, peut être qu'elle connait déjà... Un risque que je prend.
Mes doigts tapotent le volant au rythme de la musique légère qui passe. Autant m'animer pendant les vingt minutes de route qu'il y a à faire. " Si jamais l'endroit ne te convient pas. Tu peux faire semblant d'aimer pour moi?" Je sais parfaitement qu'elle va m'envoyer sur les roses. Et j'en serais heureux. Je ne veux pas de mensonges entre nous, ni d'hypocrisie. Nous ne nous disons  jamais «  je t'aime », « ma chérie », « mon meilleur » , nous le pensons, nous le savons, nous y croyons très fort. Et mon sourire se fait mignon, ainsi que mes mouvements de paupières quand mon visage se tourne sur le sien furtivement.



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Annalynne & Esteban
Il est un des rares à connaître, les deux parts de moi. L'héritière ainsi que la serveuse du Nirvana. Mais parler de boulot, ce soir, ce n'est pas dans mes projets. J'ai plutôt des envies d'oublier. Mettre de côté, tout ce qu'Omnicom pourrait me compter, tout ce qu'il se passe entre moi et Clay. Et puisqu'il me connaît, il se fond en un sourire, une main haussée, un stop mimé, tout en prononçant une phrase qui accède à mes souhaits. " J'ai compris. Pas de conversation de boulot! " Parfait, parce que dans le fond, ils font partis quelques peu de mes maux. Alors on s'installe, alors il démarre. Et mes pensées s'étiolent, elles se déversent, sur les lumières de la nuit, ville éclairée, qui ne dort presque jamais. Je me noie dans mes propres combats, et j'en oublie presque celui qui se tient à côté de moi. Je ne suis pas des meilleures compagnies, je crois. Je pourrai presque m'en excuser, mais ce n'est pas mon genre, tout comme faire confiance aux gens, ce que je ne manque pas de lui rappeler. " C'est pour ça que tu n'as pas d'homme dans ta vie. " Qu'il se permet de rétorquer, et j'en ovalise un sourire. De toute ma vie, justement, j'ai toujours pensé que mon plus grand secret, était la vérité au sujet de mon mariage arrangé. Ces apparences que je mets tant de mal à sauvegarder. Mais aujourd'hui, tout diffère. Tout, du début à la fin. Me ramenant à l'état de rien. Me foutant en pleine gueule, à quel point je suis une menteuse. Incapable d'avouer, à mes amis les plus proches, que je ne suis plus seule, et bien loin de l'être d'ailleurs, puisque j'ai ce monstre en mon intérieur. « J'ai bien assez d'un fiancé. » Que je prononce, blasée. Irrémédiablement dégoûtée. Et là encore, il sait, qu'Alan ne m'a jamais touché, que je ne l'aime pas, que d'amour de toutes les façons, je n'en suis pas vraiment capable. Que je suis coincée, que je ne sais plus comment me sortir de cette prison improvisée. Que je crève, bordel, je jure que je le fais. Je crève, et j'en garde le silence, parce que c'est plus beau, parce que ça ne servirait à rien un esclandre. "Je crois que je sais où je vais t'emmener. J'ai découvert ce bar récemment, et je pense qu'il peut te plaire." J'ai mal au ventre … Je relève les prunelles vers mon ami, je tente de lire en lui. Il possède cette étincelle, cette joie de vivre, bien réelle. Ils sont rares les gens comme lui. Et mon expression lui murmure un « tout ce que tu voudras » que je ne prononcerai pas, parce que je ne suis pas comme ça. Parce que l'affection n'est pas naturelle chez moi. Je préfère piquer plutôt que d'aimer. Je préfère mordre au lieu de cajoler. Je ne sais pas faire autrement, c'est ma manière de fonctionner. Il n'est pas que cet enfant comme monstruosité, il y a aussi la mère. A ne pas douter. Je vais l'avorter, et devenir cette salope que par avance je hais. Et j'en viens à me questionner, savoir si lui aussi va me haïr pour cela, à quel point, il va changer d'avis sur moi ? Il serait peut-être comme Clay, à me voir comme une tortionnaire, l'objet des desseins de mon père. " Si jamais l'endroit ne te convient pas. Tu peux faire semblant d'aimer pour moi?" Je lui décoche un regard, au moment même où je me mets à rire. La demande est bien faite, je me dois de l'avouer. J'en lève les yeux au ciel, et me fondant un peu plus dans mes mensonges, sachant que je vais finir par être submergée. Le problème, avec les bobards, c'est qu'on ne sait jamais les arrêter. Et que lorsque la vérité explose, elle s'étale partout, comme un vomissement extrême, incontrôlé, elle en devient laide, affreusement véridique et démontrant la mauvaise foi, volonté. L'horreur qu'une personne peut être à l'intérieur. Celle que je suis. « Je suis certaine que ça va le faire. » Et même si ce n'est pas le cas, je saurai me taire. Je veux juste une soirée où je pourrai me mettre en veille. J'en grimace, en faisant comme si cela venait de mes futurs possibles mensonges, alors que c'est tout autre, il y a vraiment un problème à l'intérieur de moi, j'étouffe, je crois. Le trajet continue, et je tente de rester avec lui, de répondre à ses phrases anodines, à nos semblant de retrouvailles, car il est vrai que l'on ne s'est pas vu depuis quelques temps. Chut, chut, Anna, ça va aller, calme toi. C'est la voiture, il est trop loin son bar, je crois. Et quand le moteur s'éteint enfin je le vois comme un délivrance, ayant soudainement besoin d'air. Étrangement, je me demande quand va tomber le moment, où il me demandera ce que j'ai, parce que même moi je réalise que je suis de plus en plus loin de celle que je suis, que j'ai été. « Alors c'est ici que t'amènes tes copines ? » Je finis par lui dire en descendant de voiture, regardant l'entrée du bar, essayant du mieux que je le peux de m'amuser, sans penser à mes entrailles en train de tirailler.



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