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sophia jacobson
Fiche d'identité
Nom jacobson, tout simplement.Prénom(s) sophia.Âge vingt-cinq ans.Date de naissance neuf mars, 1991.Lieu de naissance vancouver, (canada).Statut amoureux célibataire.Orientation sexuelle hétérosexuelle.Classe sociale moyenne.Études majeures informatique.Études mineures sport.Job baby-sitter, STUDENTS.
Si la blonde ne figure aujourd'hui pas, parmi les nombreux adhérents de confréries différentes, c'est tout naturellement qu'elle ne correspond à proprement dit, à aucune d'elles. si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, pour Sophia il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. jacobson, elle se fond naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle quelle soit. Profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, la canadienne privilégie ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. Néanmoins, tolérante des autres et de leurs convictions, mademoiselle concède sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. Pour être parfaitement honnête, cette dernière n'a de plus, foutrement jamais tenté auparavant, quelconque intégration, sous prétexte qu'il en serait pleinement inutile. L'esprit faussement fraternel que tente désespérément de véhiculer -publiquement-, ces confréries, horripile grandement Sophia, qui n'a selon-elle, absolument rien à regretter. Malgré tout, il est pourtant compréhensible et concevable, que cet attrait communautaire en réconforte plus d'un, bien que jugeant -intimement- l’assimilation, définitivement malsaine.
Si la blonde ne figure aujourd'hui pas, parmi les nombreux adhérents de confréries différentes, c'est tout naturellement qu'elle ne correspond à proprement dit, à aucune d'elles. si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, pour Sophia il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. jacobson, elle se fond naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle quelle soit. Profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, la canadienne privilégie ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. Néanmoins, tolérante des autres et de leurs convictions, mademoiselle concède sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. Pour être parfaitement honnête, cette dernière n'a de plus, foutrement jamais tenté auparavant, quelconque intégration, sous prétexte qu'il en serait pleinement inutile. L'esprit faussement fraternel que tente désespérément de véhiculer -publiquement-, ces confréries, horripile grandement Sophia, qui n'a selon-elle, absolument rien à regretter. Malgré tout, il est pourtant compréhensible et concevable, que cet attrait communautaire en réconforte plus d'un, bien que jugeant -intimement- l’assimilation, définitivement malsaine.
APRÈS LA BOMBE.
Par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, je dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque j'assimilais l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, je prolongeais mon séjour -familial- dans ma ville natale qu'est Vancouver, d'une semaine, bien loin de toute catastrophe. Néanmoins, il ne m'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais je dois reconnaitre la totalité de mon appréhension, avant même mon retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes quant à eux, de cette tragédie. Pour être parfaitement honnête, j'ai longuement demeuré dans le déni, procédant d'ordinaire comme si rien auparavant, ne s'était passé. J'ai depuis, considérablement appréhendé de déambuler dans les couloirs de Harvard à l'exemple d'autrefois, particulièrement terrifiée à l'idée que la situation ne se récidive une nouvelle fois.
Par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, je dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque j'assimilais l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, je prolongeais mon séjour -familial- dans ma ville natale qu'est Vancouver, d'une semaine, bien loin de toute catastrophe. Néanmoins, il ne m'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais je dois reconnaitre la totalité de mon appréhension, avant même mon retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes quant à eux, de cette tragédie. Pour être parfaitement honnête, j'ai longuement demeuré dans le déni, procédant d'ordinaire comme si rien auparavant, ne s'était passé. J'ai depuis, considérablement appréhendé de déambuler dans les couloirs de Harvard à l'exemple d'autrefois, particulièrement terrifiée à l'idée que la situation ne se récidive une nouvelle fois.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Était-ce un énième coup de chance, ou tout simplement le fruit du hasard ? Je l'ignore, tout ce dont je suis certaine, est encore de ne pas avoir été victime de ces bourrasques incessantes. Bien qu'à proximité des lieux concernés, je n'ai guère appartenu à cette catégorie d'individus lamentablement brutalisés par ces immondices. Bien qu'ayant eu connaissance de ces agressions, j'ai concédé à ne pas subsister dans l'appréhension, probablement ai-je même davantage persévéré -un temps- dans l'imaginaire, pour ne pas avoir à constater ouvertement le précipice de ces derniers mois. Après tout, fallait-il réellement m'épouvanter de ces attaques ciblant délibérément les étudiantes? N'ayant d'appartenance à aucune confrérie, de quoi devrais-je faire les frais? Toutefois, et bien qu'à l'aspect finement détaché à toute forme d'égarement, je ne pouvais contenir cette psychose omniprésente rythmant ma solitude. Et puis, comment retracer cette sensation pour le moins étrange, si ce n'est absurde, que d'être parvenue à me dérober de justesse à cette méprisable prise d'otages. La bibliothèque, étant l’emplacement même, dans lequel je devais me trouver à la minute où les circonstances n'ont été que plus extravagantes. Un empêchement inattendu au centre-ville, et me voilà une nouvelle fois épargnée par tant de connerie humaine -en si peu de temps remarquons-. Je me remémore encore, mon visage blêmir instantanément, tant mes jambes ne me portèrent soudainement plus. Mon chocolat à peine happé, que je me précipitais par conséquent en direction du campus, tentant difficilement d’accélérer la cadence, intérieurement horrifiée par cette morose découverte. À cet instant, je pris considérablement conscience, à quel point nous n'étions plus en sécurité, où que nous soyons. Mais bien qu'il nous faille d'une certaine manière, demeurer au travers d'une inquiétude omniprésente, nous n'avions irrémédiablement aucun droit, de cesser de vivre.
Était-ce un énième coup de chance, ou tout simplement le fruit du hasard ? Je l'ignore, tout ce dont je suis certaine, est encore de ne pas avoir été victime de ces bourrasques incessantes. Bien qu'à proximité des lieux concernés, je n'ai guère appartenu à cette catégorie d'individus lamentablement brutalisés par ces immondices. Bien qu'ayant eu connaissance de ces agressions, j'ai concédé à ne pas subsister dans l'appréhension, probablement ai-je même davantage persévéré -un temps- dans l'imaginaire, pour ne pas avoir à constater ouvertement le précipice de ces derniers mois. Après tout, fallait-il réellement m'épouvanter de ces attaques ciblant délibérément les étudiantes? N'ayant d'appartenance à aucune confrérie, de quoi devrais-je faire les frais? Toutefois, et bien qu'à l'aspect finement détaché à toute forme d'égarement, je ne pouvais contenir cette psychose omniprésente rythmant ma solitude. Et puis, comment retracer cette sensation pour le moins étrange, si ce n'est absurde, que d'être parvenue à me dérober de justesse à cette méprisable prise d'otages. La bibliothèque, étant l’emplacement même, dans lequel je devais me trouver à la minute où les circonstances n'ont été que plus extravagantes. Un empêchement inattendu au centre-ville, et me voilà une nouvelle fois épargnée par tant de connerie humaine -en si peu de temps remarquons-. Je me remémore encore, mon visage blêmir instantanément, tant mes jambes ne me portèrent soudainement plus. Mon chocolat à peine happé, que je me précipitais par conséquent en direction du campus, tentant difficilement d’accélérer la cadence, intérieurement horrifiée par cette morose découverte. À cet instant, je pris considérablement conscience, à quel point nous n'étions plus en sécurité, où que nous soyons. Mais bien qu'il nous faille d'une certaine manière, demeurer au travers d'une inquiétude omniprésente, nous n'avions irrémédiablement aucun droit, de cesser de vivre.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
treasure
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle treαsure, (mαllαury) et j'ai vingt-deux αns. Je suis frαnçαise et j'ai connu le forum grâce à je ne sαis plus vrαiment. je suis seulement une revenαnte, qui tenαit plus ou moins, ά récupérer mon personnαge. le forum étαnt mαgnifique, comme toujours, alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise erin heαtherton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @endlesslove. Je fais environ tout dépend de l'αutre joueur, je m'αdαpte mots par RP et mon personnage est un personnαge inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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(Invité)