Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBAPTISTE ∇ avoir un endroit où aller est un foyer, avoir quelqu'un à aimer est une famille, avoir les deux à la fois est une bénédiction. - Page 2
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BAPTISTE ∇ avoir un endroit où aller est un foyer, avoir quelqu'un à aimer est une famille, avoir les deux à la fois est une bénédiction.

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❝ L'amour que porte un frère à sa sœur est l'amour le plus grand au monde ❞
Jumeau et jumelle jusqu'à la mort

La rancœur qui lui envoyait en pleine figure ne plaisait guerre à Elena. Sincèrement, elle n'était pas revenue pour qu'il lui prenne la tête. S'il continuait à lui répéter qu'elle n'était qu'une égoïste, égocentrique, narcissique et qu'il avait préféré se barrer pour ne plus être associé à elle, la brune allait reprendre ses affaires et repartir d'ici très vite. Même si sa promesse à Dante était très importante, ce n'était pas vivable que son double lui dise que vivre sans elle avait été largement bénéfique pour lui. Avait-elle pu faire semblant de ne pas avoir de frère ? Non. Elle ne parlait simplement jamais de sa famille et de sa vie à Boston car elle n'avait jamais pu faire confiance aux personnes qu'elle avait croisé sur sa route. Son double était trop précieux à ses yeux pour qu'elle évoque son existence et prendre le risque que quiconque s'en prenne à lui. Baptiste avait si souvent pris sa défense et mis sa propre sécurité de côté pour la protéger qu'elle avait du prendre exemple sur lui pour faire la même chose. Ça n'avait pas été simple car.. c'était plus son rôle que celui de la brune d'être assez fort pour eux deux. En partant, en se faisant passer pour morte, un lien entre eux s'était brisé. Une étincelle qui les liait depuis leur naissance et bien avant, même. En revenant, la seconde voulait retrouver cela. Ça ne serait pas facile, surtout vu leur deux caractère bien trempé, mais.. Elle l'aimait plus que tout au monde. Ce n'était pas concevable pour elle de vivre sans lui, bien qu'elle est réussit à le faire pendant deux années presque entière.

En parlant de leur mauvais caractère, Baptiste pouvait encore à sa sœur qu'il ne savait pas gérer sa colère. Son portable en avait fait les frais et il avait beau demander à Elena le nom de ces hommes qu'elle avait croisé sur sa route, ce n'était pas important. Au fond d'elle, le fait d'avoir dit – même s'il n'avait pas relevé – qu'elle avait fait une fausse couche la calmait un peu. C'était sorti et.. Même si la brune avait fait en sorte de le camoufler derrière d'autres déclarations, c'était dit donc.. Elle ne le redirait pas de sitôt. Son double lui rabâchait encore à quel point il était facile pour lui d'être parti pour ne pas être « le frère de la suicidée » mais ce n'était toujours pas agréable à entendre. À la place de continuer le débat, elle avait fait demi tour pour partir. Loin de lui et probablement loin de Boston. Encore une fois, oui. Elle n'oubliait toujours pas qu'elle avait promis à Dante de ne plus partir, mais face à la haine de son frère.. C'était insupportable. Sauf que. Sa voix avait brisé le silence de la nuit. Une fois. Deux fois. Un « putain » qui résonnait violemment dans l'esprit de la jeune femme alors qu'elle n'avait pas attendu bien longtemps pour faire volte face et lui foncer dessus.

Le choc de leur deux corps fut assez violent pour les envoyer tous les deux à terre. Le fait de se retrouver allait au-delà des douleurs de leur chute. Elena était tellement heureuse de l'avoir contre qu'elle en oubliait même de lui demander s'il avait mal à quelque part. Lui promettant à lui aussi qu'elle ne partirait plus, son cœur s'apaisait lentement. Il était là, avec elle, pour de bon. C'était comme une renaissance. Retrouver son premier amour avait été magique, mais son jumeau.. Il était toute sa vie. Sans lui, son vécu n'aurait jamais été le même. Son enfance aurait été insipide, son adolescence des plus banals et tous ces beaux souvenirs qu'elle a en tête ne serait pas aussi étincelants. Sa menace la fit sourire alors que la brunette ne bougeait pas d'un pouce contre l'homme le plus important de sa vie. « Tu penses vraiment m'effrayer ? Tu m'aimes trop pour me tuer » sourit-elle, fièrement dans son cou. C'était bien vrai. Il n'oserait même pas lever la main sur elle, donc la tuer.. C'était mignon. Le pire qu'il pourrait faire était de la kidnapper et.. Ce n'était pas comme si elle allait se débattre. Du moment qu'il la laisse manger, boire et faire pipi, sa sœur se laisserait faire avec plaisir.

Tout contre lui, le temps s'était figé ainsi que tout le reste du monde. Personne ne devenait les interrompre, sinon Elena ferait un meurtre sur-le-champ. Elle oubliait totalement Naïma et Dante, mais.. L'instant qu'elle passait avec son double surpassait tout. Frottant son nez dans son cou, les yeux fermés, son esprit se laissait aller à se rappeler de la soirée au Canada. Elle avait plus ou moins dit à Baptiste qu'elle avait été là, cette soirée-là mais.. Avait-il réellement bien compris le message ? Rien n'était certain. Cette fameuse nuit avait été le déclic. Le moment où elle s'était dit que soit, elle disparaissait pour de bon, soit.. Elle tenterait de venir. C'était risqué, mais elle n'avait écouté que son cœur. Trop de vécu sans eux et la belle demoiselle ne pouvait plus tout gérer toute seule. Se redressant légèrement, leur regard plongeait l'un dans l'autre. Au lieu de se radoucir, un pique sur le fait qu'elle ne lui rachèterait pas de portable fusa. Que voulez-vous, on ne la changera plus. « J'comptais pas t'acheter de cadeaux » dit-elle le plus naturellement au monde avec un sourire espiègle. « Mais si t'es sage.. » le taquina-t-elle avec douceur en jouant avec ses cheveux. Enfin calme et rassurée, son nez vint se frotter à celui de son frère. Elle le retrouvait. Elle n'en revenait toujours pas. « Je t'aime, Bapt » lâcha-t-elle d'un coup avant de continuer. « On peut rentrer ? J'me les pèle quand même » Parce que cette bulle trop belle ne devait pas durer trop longtemps. La jeune femme n'était pas ainsi alors.. Autant couper court.

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❝ L'amour que porte un frère à sa sœur est l'amour le plus grand au monde ❞
Jumeau et jumelle jusqu'à la mort

Elena m’a brisé le cœur en partant je me suis retrouvé comme un gamin perdu, j’ai perdu une parti de moi ce jour là, la meilleure partie de moi. Je suis parti pour des tas de raison mais la première c’était elle, parce qu’elle n’était plus là. On me connaissait comme Baptiste, le frère de Sarah, le jumeau hyperactif, le plus chiant des deux. J’étais pas bien sans elle, les gens me regardaient avec compassion avec toujours cette tristesse dans le regard des gens, la compassion, c’était de la merde tous ça je pétais des plombs, ca me rendrais pas ma sœur. J’avais besoin de ne pas être celui qui n’avait pas vu que sa sœur était mal, à la limite du suicide, elle l’avait même fait et je passais pour le mec indigne qui ne prend pas soin de sa famille. Je crevais de son absence est-ce qu’elle le comprenait ça ? Je crevais littéralement j’en pouvais plus. Alors je suis parti et je ne parlais plus de mon passé je dois le dire, comme ça je ne souffrais pas autant comme ça je pouvais espérer tourner la page. Je ne voulais plus en parler, je ne voulais plus en parler, c’était trop difficile. J’ai toujours protégé Elena de tout le monde, j’allais me battre dès qu’un gars commençait à la faire chier, j’allais en coller une à ses copain, j’allais faire peur à ceux qui l’emmerdaient mais il y a de quelqu’un que je ne l’ai pas protégé, c’est d’elle-même car finalement elle a mit fin à ses jours et j’ai tellement honte de ça. J’avais l’impression que jamais je ne retrouverais celle qui est la femme de ma vie, ma sœur jumelle. Est-ce qu’un jour on se retrouverait ? Je ne saurais pas le dire mais j’espère car elle a toujours avec elle la meilleure partie de moi. Je peux pas me résigner à m’éloigner d’elle, je me sens mal déjà rien qu’à l’idée, la voir là me soulage, je vois qu’elle est là, la vie n’est pas fini même si j’ai tous de même deux années de gachées pour ça.

Pendant son périple elle avait rencontré des gens pas spécialement fréquentables dont certains qui lui ont voulu du mal. Cette idée me rendais fou, heureusement qu’on était que tous les deux au milieu de ce parc parce que j’ai pété un plomb envoyant violement mon téléphone dans le mur j’étais énervé je n’arrivais pas à me controler savoir que quelqu’un a voulu lui faire du mal me tue et je pète un plomb. J’ai même donné un coup de pied dans l’arbre. J’étais énervé je voyais rouge si bien que je n’écoutais pas le reste j’étais bien trop énervé pour ça, j’étais en colère, quelqu’un lui avait voulu du mal. J’explique une nouvelle fois que oui ne pas être le frère de la fille qui s’est tuée en se jetant du haut d’un pont c’était plus facile pour moi. Je la vois partir et là c’est la panique pour moi, je me sens mal, j’ai envie d’hurler j’avais peur de la perdre encore une fois, j’avais l’impression qu’on me l’arrachait à nouveau, j’étais mal, un enfant qui perdait son seul repère dans cette triste vie . Je l’appelle une première fois en hurlant comme un fou et en ajoutant un « putain » la seconde fois, je lui en veux de me faire ça. Elle revient, elle me fonce dessus, elle est petite et menue mais avec la vitesse elle me percute.

Je tombe au sol, encore une fois elle elle n’avait pas mal, non parce que j’ai amorti la chute. Je la garde contre moi alors que nous sommes par terre, je l’ai enfin entre mes bras, elle est pour moi, juste pour moi ma sœur ma vie. Je la serre contre moi et souris alors qu’elle ne peut pas le voir, je ressens du soulagement de la sentir là. Peut etre qu’après tous, on aura pas besoin de se retrouver, peut etre que c’est déjà fait. Je la serre fort pour pas qu’elle reparte, hors de question, peut etre que finalement aucun lien ne s’était brisé entre nous. Elle est toute ma vie, je ne suis rien sans elle. Je n’ai jamais vécu sans elle avant ces deux années loin l’un de l’autre, ces deux années chaotiques. Je la menace, si elle part encore je la tuerais moi-même je le pense vraiment. Elle elle sourit elle est amusée elle me croit pas je reprends « T’as pas idée de ce que c’est que la vie sans toi Sarah, ça vaut pas le coup, la mienne en tous cas elle valait pas le coup » oui elle est toute ma vie. Si elle veut repartir je la kidnappe je l’attache et je la garde pour moi rien à faire du reste. Je retrouvais le sourire près d’elle, j’étais soulagé.

Finalement le temps s’était comme arrêté alors que nous étions là, personne autour n’existait, rien du tous, il pourrait même pleuvoir je n’en ai fichtrement rien à faire. Je ne veux pas que ça se termine, les moments comme ça sont trop précieux. Je la gardais contre moi, j’étais soulagé de la sentir là. On parle alors rapidement du canada, j’étais une loque à cette période de ma vie. J’étais toujours mal en colère je me droguais parfois même, j’avais des hallucinations de Sarah, je me sentais un peu mieux jusqu’au réveil le lendemain. Je la serre un peu plus contre moi et elle me dit qu’elle ne m’achetera pas de nouveau téléphone. Je lui dis que c’est bientôt notre anniversaire et je souris à sa réponse « Ah oui rien du tous ? Tu sais que je ne l’ai pas fêté pendant deux ans » c’est un blasphème pas de cadeau pour mon anniversaire. Je ne l’ai pas fêté sans elle. Je souris et reprends « J’suis toujours sage » avant qu’elle me dise qu’elle m’aime, je lui souris et reprends « Je t’aime aussi Sarah » oui Sarah son prénom. Elle me demande alors si on peut rentrer, je me redresse et reprends « Ouais on peut y aller, déjà mets ma veste » oui qu’elle tombe pas malade.



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❝ L'amour que porte un frère à sa sœur est l'amour le plus grand au monde ❞
Jumeau et jumelle jusqu'à la mort

Leur petite guerre incessante n'avait jamais faibli entre eux. Même si avant, cela paraissait bien plus doux, c'est un fait. Depuis qu'elle était partie, Elena n'avait rien pu faire pour retrouver ses proches rien qu'un peu. Bien entendu, les messages vocaux de Dante lui avait permis de ne pas se noyer dans ce monde, mais.. Les appels manqués de Baptiste avaient toujours été vides. Le fait de ne pas pouvoir entendre sa voix avait été une torture pour elle. Alors même si avant ils ne faisaient que de se chamailler gentiment, la tournure qu'avait pris leur parole ce soir n'avait rien d'habituel. C'était bien plus cru et violent que d'ordinaire. Une façon de se retrouver ? Pas vraiment. Personne ne pourrait jamais les comprendre. Personne, ni même Dante ou Naïma. Leur lien était aussi doux qu'explosif et ce soir, cette explosion était bien trop brûlante et brusque pour qu'ils s'en tiennent à de simple retrouvaille. Les mots percutent et se croisent ou se heurtent. Une façon de tout se dire une bonne fois pour toute, parce qu'après.. Ils souhaitaient l'un comme l'autre faire table rase et repartir sur de bonnes bases. Retrouver leur complicité d'avant. Si seulement ils savaient que ça allait être bien plus dur qu'avant. La vie ne leur avait pas fait de cadeaux, à l'un comme à l'autre. Néanmoins, voir son frère au plus mal au Canada n'avait pas été supportable pour elle. Le temps d'une soirée, elle l'avait retrouvé, profitant de son état des plus ignobles pour être avec lui, contre lui, s'en fichant de se faire passer pour une fille intéressée alors qu'en réalité, elle était sa sœur passée pour morte. Être contre lui, lui parler et être en sa présence lui avait fait le plus grand des biens. Revenir quelques temps plus tard avait été une logique. Certes, il lui en voudrait sûrement à vie d'avoir vu les parents, Dante, Naïma et uniquement lui après. Mais elle savait parfaitement ce qu'il se serait passé s'il avait été le premier et ça.. Elle n'aurait pas été capable de le supporter.

Malgré tout ce qu'ils se crachaient au visage, Elena n'en oubliait pas de tout dire. Cela ne pourrait que sortir en compagnie de son jumeau. Bien entendu, parler d'abord des hommes qui avaient voulu jouer avec elle permettait de placer le reste sans problème. Se rendait-il seulement compte qu'il aurait pu être oncle ? Que sa sœur aurai été mère et son meilleur ami, père ? Naïma aurait été la marraine, bien entendu. Non. Il n'avait pas du tout relever et avait préféré passé ses nerfs sur cet arbre et son portable qui se trouvait être en miette. Triste fin de vie. Il ne se rendait pas compte que la vie de la petite brune aurait été bouleversée d'un coup, avec un enfant. Cependant.. Si cet enfant avait réellement vu le jour, elle ne serait jamais revenu. La famille de Dante aurait bien trop vite fait le rapprochement pour comprendre cet enfant a du sang Basini et il aurait été en danger bien trop vite. Baptiste ne l'aurait sûrement pas accepté non plus, d'ailleurs. Enfin, peut-être avait-il grandi et avait-il compris qu'il fallait mûrir un jour ? Ils étaient jeunes mais.. Il fallait y penser un jour, non ? Il est vrai que niveau sentimental.. La cadette battait largement son aîné, au vu de sa relation – bien que chaotique à la fin – avec Dante. Soit, elle ne doutait pas qu'un jour il serait heureux avec une femme – Naïma, bien sûr – et qu'elle serait tante et marraine de mini Baptiste tous aussi chiant les uns que les autres. Pitié, faites qu'ils tiennent leur caractère de leur mère !

Même si tout cela paraît idyllique, Elena venait de tourner les talons pour partir. Parce que toutes les paroles que lui envoyaient son frère à la gueule n'était plus supportable. Elle voulait partir loin de lui et de ses paroles si abjectes mais.. Voilà qu'il la retenait. Qu'il lui disait de rester et.. Il ne lui en fallut pas plus pour se retourner et lui foncer dessus. Parce que le retrouver était tout ce qu'elle désirait ce soir et que même si tout n'était pas régler ce soir, au moins, là, elle était dans ses bras et c'était le plus bel endroit du monde à ses yeux. Les mots s'enchaînaient cette fois-ci plus calmement. Posément. Réfléchis. Ce n'était plus des paroles pour se faire mal, mais pour se retrouver. La brune ne voulait plus quitter son frère et même si elle savait qu'ils ne pourraient pas rester ainsi des heures, quelques secondes lui offraient une dose d'oxygène qu'elle n'avait pas eu durant deux années. Les paroles de son frère lui chamboulait son petit cœur alors qu'elle souriait grandement. Si elle était un brin sensible, elle pleurait sûrement tant ses phrases ont un impact fort sur elle. « La mienne non plus. Même si tu pourrais croire l'inverse, c'était.. horrible » souffla-t-elle contre lui. Elle ne pourrait jamais dire qu'elle est partie par choix et par envie. Ce n'était pas de gaieté de cœur qu'elle avait suivi Guiseppe pour une destination tout sauf accueillante et chaleureuse. Rester vivre à Boston avec son frère – même sa mère et sa belle mère s'il le fallait – aurait été largement mieux. Parfois, le choix que l'on nous donne à faire dans la vie n'en est pas vraiment un.. Tout comme l'a été son départ précipité.

Le Canada fut vaguement évoqué. Ce n'était pas une partie très joyeuse de la vie d'Elena, en particulier en voyant son frère si mal. L'homme de sa vie, totalement drogué et défoncé.. Elle aimerait oublier cette image pour le restant de ses jours. Ça avait été malheureusement un mal pour un bien vu que c'était l'élément qui l'avait faite revenir. Ne préférant pas parler de cela plus longtemps, le sujet « anniversaire » et « téléphone portable » fut largement plus simple à aborder et à continuer. Ayant envie de ne pas changer à ses habitudes, elle lui dit qu'il n'aura rien à son anniversaire à moins d'être sage. Quoi ? Elle resterait égale à elle-même.. en toute circonstance. La suite lui fit quelque peu perdre son sourire. Deux ans. Deux ans qu'ils n'avaient pas fêté leur anniversaire ensemble. La culpabilité venait lui mettre une grande claque d'un coup. Ne restant pas sur ce sujet, elle riait à la suite pour ne pas montrer ce qui la rongeait. « Toujours ? Tu t'avances un peu vite là, quand même » rit-elle encore doucement. Et comme elle est ainsi, elle lui balançait qu'elle l'aimait avant de lui dire qu'elle avait vraiment trop froid. Non, elle ne changerait plus. Entendre qu'il l'aime aussi la rendait si heureuse que rien n'avait d'importance. C'était tellement beau qu'elle oubliait l'espace d'une seconde qu'elle avait vraiment froid. Se redressant, la demoiselle roulait des yeux en remettant la veste de son jumeau, ravalant un « oui papa » qui aurait franchement été mal accueilli entre eux. Ne parlons pas des choses qui fâchent. « Apple ou Samsung ? » demanda-t-elle, l'air de rien, en glissant sa main dans cette de son frère.. l'homme de sa vie. ♥

the end
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