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Day 1 - Rapprochement.

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Premier jour.

Quelques semaines auparavant, j’avais visualisé dans les bureaux même de la police de la ville les différents témoignages qui ont été recueillis sur les agressions qui ont eu lieu en 2011. Cette date était un tournant pour ma carrière et ma vie personnelle. D’une part, parce que c’était à cette époque qu’un couple d’amis à moi, des britanniques qui avaient envoyé leur fille, désireuse de voir le monde, étudier à Harvard, avaient appris son viol par un homme non identifié encore aujourd’hui, et son suicide peu de temps après. Nos relations m’ont conduite à leur faire une promesse : celle de démasquer le coupable et de le faire payer son crime. Ce pourquoi, je m’étais rendu ici, aux Etats-Unis alors que j’étais Ecossais, raison pour laquelle j’avais pris une disponibilité dans mon travail au MI6, et enfin, que je m’étais arrangé pour travailler en tant qu’informateur pour la police afin de ne jamais les avoir dans les pattes s’ils me surprenaient fouiner partout. D’autre part, 2011 était aussi l’année où j’avais perdu femme et enfant dans un accident de la route, ce qui m’avait conduit au début de mon enquête, à commettre erreurs de jugement, à faire une dépression et j’en passe, tant et si bien que j’avais l’intention aujourd’hui, de racheter ma conduite auprès de mes proches en découvrant, cette fois-ci consciemment et avec méthode, qui était coupable et qui devait être arrêté. J’étais donc quelques jours plus tôt le nez dans la paperasse lorsque je découvrais qu’une certaine Everest Van Rosen avait été également agressée puis sauvée miraculeusement à cette époque. Ca aurait pu être un autre nom qui m’avait tilté, mais c’était le sien et son histoire qui m’intéressait aujourd’hui. J’avais donc décidé de me rapprocher de cette jeune femme, en songeant qu’elle aurait sûrement des souvenirs de l’époque, et pourrait me fournir de cruciales informations qu’elle avait peut-être oubliées dans son témoignage, afin que mon enquête avance. C’est ainsi que j’avais demandé à plusieurs étudiants l’identité de la jeune femme, puisqu’au vu de son âge à l’époque, il n’y avait aucune photo jointe à son témoignage, et après l’avoir suivie un moment pour me faire une petite idée de la personne, je décidais enfin, de l’approcher de plus près, en remettant mon masque de clown innocent et débile à souhait. « BOUH !! » hurlai-je derrière elle en la poussant pratiquement contre le muret d’en face. « Je t’aiii euuueee !!! Poisson d’avril ! » hurlai-je à nouveau à plein poumon en tournant trois fois sur moi-même. « Poisson d’avril parce que tu as dû croire que j’étais un éléphant alors qu’en fait…non. Je suis juste un garçon qui aime faire des blagues drôles ! »


© belzébuth


@Everest Van Rosen
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Premier jour.

Certains jours, on peut avoir envie de se tirer une balle dans la tête. C'est comme si une divinité avait décidé qu'aujourd'hui, Everest Van Rosen devait passer une journée minable, un point c'est tout. Tout avait commencé par un réveil brut. Le jardinier avait décidé de faire vrombir sa tondeuse autour de la Cabot House. Je ne lui ai pas hurlé dessus, de toute façon, je ne sais pas parler l'espagnol. Une fois que j'avais réussi à m'extirper de mes draps pour boire mon café, la machine n'a pas voulu me le servir. J'ai fini avec un verre de jus d'orange, rêvassant sur la terrasse. Il y a toujours des choses à faire, c'est malheureusement ça le problème. J'aimerais pouvoir glander toute la journée mais des tas de devoirs m'appellent, aussi bien pour l'université que des devoirs personnels de femme. Par exemple, l'esthéticienne. J'avais rendez-vous en début d'après-midi pour le forfait épilation. Après être restée coincé des dizaines de minutes dans des embouteillages, j'avais eu droit à mon calvaire du jour. Mais je me suis rattrapée par un massage bien mérité. Après cette maigre consolation, j'avais reçu un message d'une amie qui m'invitait à réviser à la bibliothèque. Faisant un détour par ma chambre pour prendre mes bouquins, j'ai ensuite pris le chemin pour retrouver ma camarade. Livres sous le bras, j'avance tête haute à travers le campus quand quelqu'un me pousse vers l'avant. Je heurte un muret et mes affaires volent de l'autre côté de la cloison de pierre, dans les buissons. J'entends rire bêtement. Je me retourne et aperçois un homme d'un âge assez mûr pour ce genre de blague. Ah merde, j'oubliais, le premier avril, c'est vrai. C'est la sortie annuelle des crétins. Je fusille du regard le brun qui me sort une phrase d'un gosse de cinq ans. " Ça va vraiment pas la tête, faut se faire soigner vous savez ! " criais-je en me baissant dans les arbustes pour récupérer mes ouvrages. Je sais pas pourquoi, mais je fonce tête baissée dans le torse de cet inconnu. Je joue au taureau dans son arène. Puis une fois le choc passé et m'étant aperçu qu'il n'a pas bougé d'un millimètre, je frappe. Je frappe comme une mauviette les pectoraux solides de mon adversaire puis j'éclate en sanglots. Je crois que le trop plein d'émotions que j'ai subi sort enfin. Mais pourquoi en compagnie d'un mec que je ne connais pas ? Peut être parce qu'il ne pourra pas émettre de jugements trop hâtifs sur mon histoire, sur mon statut financier. Il ne me connaît pas alors il peut peut être comprendre ma souffrance. Après avoir vraisemblablement trempé le tee shirt de cet homme, je m'écarte et essuie mes larmes d'un revers de bras. " Pardonnez-moi, joyeux premier avril ou je ne sais quoi, je devrais y aller " dis-je faiblement à reculons.

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Premier jour.

Oups, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle portait quelque chose dans ses bras. D’un seul coup, mon air faussement amusé s’efface pour laisser apparaître un semblant d’inquiétude. Lui aurais-je fait mal par mégarde ? Non, apparemment non. La jeune femme est simplement contrariée que toutes ses affaires aient voltigé un peu partout dans les buissons et sur l’herbe. Encore heureux qu’il ne s’agissait pas d’un liquide ou d’un être vivant. Première leçon Lawrie : la prochaine fois, regarder si la personne tient quelque chose entre ses jolies mains. « Bah quoi ? T’as pas d’humour ou quoi ? » protestai-je sans me pencher pour l’aider à récupérer ses affaires, ce que, en d’autres circonstances, je n’aurais pas hésité à faire dès le départ. « Et puis tu peux me tutoyer hein, on a pas le même âge mais je suis sûr qu’on va devenir de grands amis tous les deux. » espérai-je en posant, l’homme en moi me hurlant le caractère franchement lourd et irrespectueux de mon geste, l’étudiant n’ayant pas vraiment le choix, ma main sur la cambrure de ses hanches alors qu’elle s’était baissée. Or, et j’en ignorais encore la raison, mais je fus bientôt repoussé par une tête blonde, qui ne me fait pas bouger d’un millimètre tandis que je fronce les sourcils en me demandant intérieurement ce qu’elle était en train de faire. Un nouveau jeu entre étudiants dont je n’avais pas idée ? A moins que c’était de cette façon qu’elle comptait me faire mal ? Ah, non. Là, elle tentait de me faire mal. Avec ses poings. Aussi légers qu’une plume contre mon poitrail musclé. J’aurais même trouvé son geste attendrissant si je ne l’avais pas amplement mérité. Pensant donc que la meilleure solution dans le cas présent était encore d’éclater de rire comme l’aurait fait mon personnage, j’oublie aussitôt toute ma bêtise lorsqu’elle fond subitement en larmes contre mon torse. Ce n’était tout de même pas deux livres par terre qui l’avaient mise dans cet état ? Encore une fois, autre part, dans d’autres circonstances, je lui aurais prêté mon mouchoir de poche, l’aurait prise par les épaules et l’aurait forcé à m’écouter pendant que je la consolais. Sauf qu’ici et maintenant, je ne pouvais pas montrer cette facette de ma personnalité. J’étais censé être un jeune homme lourd, peu sûr de lui, idiot et malhabile avec les demoiselles. « Ca va pas ! Je suis complètement mouillé à cause de toi maintenant, tu peux pas partir comme ça ! » m’exclamai-je en lui attrapant le poignet. « Si je t’offre un gâteau, tu veux bien rester avec moi ? Celui que tu veux, c’est toi qui choisis. ET je porte tes bouquins aussi pour me faire pardonner. Même si tout est de ta faute parce que t’as pas d’humour. » persistai-je en lui arrachant pratiquement les livres des mains, pour en faire –exprès- tomber deux ou trois à nouveau au passage. « Je connais personne ici en fait, vu que je viens d’arriver donc… »


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Je sèche mes larmes comme je peux, avec un vieux mouchoir tiré de ma poche. J'ai pratiquement tourné les talons lorsque l'homme reprend la parole et pire, m'attrape le poignet pour m'arrêter. Je reste stupéfaite par un tel geste. C'est rare de nos jours que de simples inconnus osent un tel geste. Heureusement que je ne suis pas une championne olympique de karaté. Je fronce les sourcils lorsqu'il se plaint comme un gamin. J'allais commencer à sortir de mes gongs mais ce phénomène fini par devenir aussi sucré que du miel. Je ne saisis vraiment pas ce type, il a une case en moins ou alors il est empli de bonté. Mes expressions faciales oscillent entre le sourire et la crainte. Je ne réagis pas face à cette rencontre exubérante. Je ne suis qu'un mannequin qui se laisse faire. Il attrape mes livres et en fait tomber la moitié par terre. Je lève les yeux au ciel, c'est pas possible, il le fait exprès. J'apprend par sa bouche qu'il est nouveau dans le coin, ça explique tout. Il vient bien d'une autre planète. Je l'aide a récupérer le dernier livre au sol et le pose dans ses bras. " Je veux bien un cookie, ou un bon gros muffin, et un chocolat au lait tant qu'on y est ! Je m'appelle Everest, tu sais y a pas besoin de passer par la violence pour entrer en contact " dis-je en reprenant peu à peu l'usage de mes facultés. Je pointe alors le bas du campus pour annoncer la direction et j'emboite le pas. " Et toi, c'est quoi ton prénom ? " demandais-je en sautillant pour braver les grandes enjambées de ma nouvelle connaissance.

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Premier jour.

Je ne pouvais pas la laisser partir sans rien tenter. Non seulement parce que je venais de me comporter comme un véritable goujat même si ce rôle faisait partie de ma couverture, ensuite, parce que j’étais venu…pour elle, bien qu’elle ne devait jamais rien découvrir à ce sujet. Fort heureusement, mon numéro semble avoir fonctionné, puisqu’elle accepte. « La violence ? J’ai été violent là ? Bah désolé mais si tu ne portais pas des talons aussi hauts en même temps ! » répliquais-je avec un honnêteté si candide, quoiqu’insolente, qu’elle en devenait presque comique. D’autant que lorsque j’avais prononcé ces mots, j’avais roulé des yeux dans leurs orbites comme si la chose était évidente. « En tous cas, je suis désolé si je t’ai fait mal, ce n’était pas intentionnel. » concluais-je alors que mon sourire s’agrandissait à vue d’œil. « Lawrence. Mais tout le monde m'appelle Lawrie, en fait. Je sais je sais, c’est un prénom et un surnom de fille, on me l’a déjà dit. Mais c’est pas moi qui l’ai choisi hein ! Encore que si j’avais eu le choix…non, je ne sais pas ce que j’aurais choisi. Et puis, j’ai un côté très efféminé d’après ma mère. Elle pense que je suis homosexuel, tu te rends compte ? J’ai jamais essayé avec un garçon. C’est comment ? » lui demandai-je alors que je n’avais pas repris mon souffle une minute pendant toute ma tirade. « Everest, c’est comme le Mont ? Ils étaient fans de chocolats ou de randonnées tes parents ? » Mes questions étaient éminemment sérieuses, même si elles n’en avaient pas l’air. La faute à ma fausse naïveté. « Tu manges toujours autant sinon ? » continuai-je alors que nous nous dirigions vers le café le plus proche, pendant que je luttais pour garder la pile de livres bien droite.


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Si je devais relever toutes les répliques limites du jeune homme, notre discussion irait tout droit dans le mur. Bien qu'il soit un véritable balourd, il est absolument charmant. Son physique est plus qu'appétissant pour les yeux. Son sourire, il est... communicatif. Après avoir révélé mon identité à ce mystérieux inconnu maladroit, j'apprend à mon tour son prénom. C'est peu commun, je ne l'ai jamais entendu pour un homme du moins. Et voilà qu'il me livre une histoire privée me mettant mal à l'aise. J'écarquille les yeux et regarde le paysage, gênée par son aveu. Peu inspiré par sa question outrageuse, je répond à côté de la plaque " Peut-être que c'est à cause de toutes ces horribles choses que j'ai vues mais les hippopotames en tutu ne me font plus autant d'effet qu'avant. " je pouffe de rire comme une idiote. C'est carrément insensé, à la hauteur de ce personnage haut en couleur qui déambule à mes côtés. Eh voilà qu'il me vanne de nouveau. Moi non plus je n'ai pas choisi mon prénom très original pour le coup. Mais il me plaît, je me sens comment dire... supérieure, comme ce mont si réputé. " Tu sais, tu inspires la romance autant qu'un plat de nouilles trop cuit. Et encore, c'est une insulte pour les nouilles. " lâchais-je confuse. Nerveuse, je tripote une mèche de mes cheveux tout en continuant notre marche vers un café. Une légère brise accompagne notre cheminement. Le brun m'assène une nouvelle critique. Je lui jette un regard noir, ne sachant pas si c'est pour rire ou si mon appétit se voit physiquement. " Ça dépend si on m'invite ou pas ! " m'exclamais-je en jouant à la radine. Je pourrais m'acheter le restaurant qui me sert, je voulais juste avoir de quoi à répondre. Ah, enfin, voilà le restaurant. Je me délecte à l'avance. Mon nouvel ami semble galéjer avec la pile de livres, je souris quand nous nous postons devant la porte. " Bon, c'est bien parce que tu es chargé comme une mule que je t'ouvre, la prochaine fois j'espère que tu auras l'occasion de jouer au gentleman " glissais-je en ouvrant la lourde porte du café. Le printemps est là mais c'est pas pour autant qu'il fait bon dehors. Je préfère m'installer à l'intérieur, près d'un chauffage. Je suis une frileuse ! Lawrence s'accapare les lieux et s'assoit à une table près d'une fenêtre. Je croule sur la banquette en cuir face à lui. " Tu étudies quoi au faite ? À moins que tu sois professeur je suis conne " débitais-je en fixant l'extérieur.

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Ecarquillant les yeux en m’attendant à une réplique sensée, contrairement à tout le baratin que je lui avais offert il y a quelques minutes de cela, je reste interdit l’espace de vingt secondes face à son humour, avant d’éclater d’un rire sincère. « Je te comprends. Ils font cet effet-là à tout le monde. » la taquinai-je à nouveau avec un clin d’œil. Etait-ce l’étudiant ou l’homme derrière le masque qui avait parlé ? Mystère. Quant à son euphémisme concernant les nouilles, en bon idiot de service, je fis celui qui n’avait pas compris là où elle voulait en venir. Au moins, cela prouvait que mon petit manège fonctionnait à merveilles. « J’aime pas les nouilles. Enfin si, mais sans crevettes. Je hais tout ce qui vient de la mer. » résumai-je en fronçant les sourcils, songeant à un calamar géant en train de me poursuivre dans tout le campus. De quoi parlait-on déjà ? « J’ai pas très bien compris ce que tu voulais dire. » Et ça s’arrête là. Je n’ai pas compris, mais ce n’était pas important. Un jour, peut-être… Fort heureusement pour moi, je viens une nouvelle fois de faire mouche alors que nous arrivons enfin devant le fameux café. Taquiner une femme sur son poids, c’est risqué de se faire tuer dans la minute. Etrange que je ne m’étais pas encore pris une gifle. Soit Everest était d’une patience d’ange, soit elle me pensait vraiment trop crétin pour se donner la peine de me dire mes quatre vérités, ou soit...elle était la jeune femme la plus conciliante qu’il m’ait été donnée de rencontrer. « Bah oui, j’ai dit que je t’invitais, tu t’rappelles pas ? » lui demandai-je en fronçant les sourcils, l’air de dire : « t’as des trous de mémoire ou quoi ? » Oups, la porte. Comment l’ouvrir alors que tous ces livres m’empêchent de me gratter le nez ? « Hééé c’est pas de ma faute, c’est à cause des livres ! » m’exclamai-je d’un air boudeur en traversant l’entrée pour aller jusqu’au comptoir…alors que Everest s’était quant à elle tout naturellement dirigée vers une table, me laissant là planter comme un idiot. Trop vite, je cherche à la rattraper, et m’écroule pratiquement sur la table, faisant voler en l’air deux gros livres dont l’un atterrit sur le pied de la voisine à talons de derrière. « Désolé désolé ! Jolies chaussures. J'aime bien le rose. » C’était ce qu’on appelle des excuses en langage « lawrencien ». « Professeur ? Tu trouves que j’ai l’air…remarque, avec la barbe et tout…et c’est vrai que je suis intelligent et beau garçon… » Et je continue, gonflant le poitrail comme un coq, un grand sourire fier sur le visage, caressant ma barbe naissante du pouce et de l’index. Tout à coup, j’étais dans un autre monde. Je me voyais roi au milieu de ses sujets. Les saluant brièvement d’un geste de la main tandis qu’ils s’agenouillaient devant moi à mon passage. « Eh non. Non j’suis pas prof. Je suis doctorant en mathématiques appliquées. » Et pouf, on redescend sur Terre tellement vite qu’on s’écrase contre le plancher. « Et toi tu étudies quoi ? Attends attends, je vais deviner… » Plissement des yeux, bouche qui se tort, langue sortie… « MANNEQUINAT !! Je suis sûr que c’est mannequinat ! » hurlai-je en faisant sursauter tous les clients, dont l’un venait de se renverser du café dessus, et sans même savoir si cette filière existait à l’université.


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