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LEMY ► Romy Oswald & Lewis Holloway

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LEMY

 
Alycia Debnam Carey
 Jeremy Allen White
Fiche d'identité
Prénoms Romy & Lewis Âge21 & 24 ansSe connaissent depuis.. Un an et demiEn couple depuis.. Jamais faceDate d'anniversaire du couple: Soon j'ai dit LEMY ► Romy Oswald & Lewis Holloway 152426858Autre infoLemy c'est deux personnalités semblablesAutre info Lemy c'est toujours des histoires folles Autre info Lemy c'est beaucoup de silence sur les sentiments

LA RENCONTRE/LE DÉBUT DE LEUR HISTOIRE
Romy et Lewis, c'est arrivé comme ça. Le genre qu'on s'attend pas, le genre qu'on sait pas trop pourquoi. Mais le fait est qu'ils se sont rencontrés à l'arrivé de Lewis à Harvard. Au début, c'était un peu bizarre entre eux. Ils ont les mêmes raisons de vivre, ils ont besoin du même carburant. Ils sont de la même mauvaise graine, celle qu'on préfère éviter. Alors au début, ils ont dû s'apprivoiser. Puis finalement, c'était devenu quelque chose d'ambigu sans trop qu'ils s'y attendent. C'était des parties de jambe en l'air, c'était des doses d'adrénaline, de danger. Ensemble, c'était beaucoup, court, intense. Et silencieux. Parce qu'ils ont toujours caché ce qu'ils peuvent ressentir l'un pour l'autre, parce que c'était plus simple de se voiler la face. Et du jour au lendemain, Romy est partie. Elle avait quitté Harvard, parce qu'elle était comme ça. Romy elle avait pas dit au revoir.

COMMENT ILS SE RETROUVENT ?
Devant un bar, c'était complètement aléatoire. Romy étant revenue à Harvard depuis peu, il était certain qu'ils allaient se recroiser un jour ou l'autre. Puis finalement, c'est vite reparti comme au bon vieux temps. Une bière, une escapade. Alors si vous vous posez la question "Lewis il lui en veut ?" La réponse est non. Parce qu'il en avait rien à faire, parce qu'il avait aimé la voir fuir à l'époque. Et les retrouvailles ont été que plus intense, et comme on ne peut pas changer leurs natures, leur lien, ils ont fini dans les bras l'un de l'autre. Parce qu'ils se ressemblent, parce que Lemy c'est un miroir et c'est pas maitrisable. C'est quelque chose de plus fort qu'eux, ça prend comme un coup de folie, comme une maladie. La suite promet pas mal de surprises, de cris, de désir.
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# 1 We can dance in desire (hot/hide p-2/3)

contexte/résumé:

lewis- A côté de toi, il y avait cette fille. Cette fille qui était partie sans prévenir, sans dire au revoir même pour dire « allez tchao j’me barre ». Ouais, cette fille était dans ce bar. (...) "Je t'ai attendu voyons, j'savais bien que tu reviendrais me voir un jour"

romy- C'est vrai qu'à l'autre bout du monde, il n'y a pas de Lewis. Et c'est franchement con parce que le monde serait tellement plus intéressant si c'était le cas. (...) « Ah oui ? Allez, j'avoue que toi aussi tu m'as manqué. J'admets même que je suis revenue juste pour toi. »

lewis- Et si Romy allait rester pour un petit moment ici, t'avais peut-être espoir de la revoir entre tes bras.

romy- Lewis il m'a toujours embarqué dans ses histoires pas toujours nettes, il m'a toujours donné l'impression que j'étais vivante, invincible presque.

lewis- Alors là, tenant sa taille, tu venais poser tes lèvres sur les siennes. Doucement, doucement sans trop les attacher, sans trop les sceller. Tes lèvres qui soufflaient sur les siennes, un appel à l'amour. (...) C'est-à-dire l'amour de la nuit, du plaisir, l'amour sans trop d'amour. Et tu repartais, tu la lâchais comme un coup de vent.

romy- Je te veux Lewis, c'est ça que tu veux entendre ? Je veux pouvoir t'embrasser jusqu'à en perdre le souffle, te serrer contre moi, parcourir ton corps de mes lèvres et m'abandonner dans tes bras.

lewis- Tu venais la coincer Romy, ouais, tu la coinçais entre toi et la porte d'entrée. Tu l'observais, tu lui disais avec les yeux qu'elle te rendait fou. Tu lui disais avec tes lèvres que tu n'attendais plus qu'elle. Tu lui disais avec ton souffle que c'était la plus belle. (...) Désir mélangé, partagé. Amour éphémère désabusé toujours.

romy- Je pensais que je pourrais recroiser la route de Lewis sans retomber dans ce drôle de petit jeu dans lequel je m'étais engagée il y a plusieurs mois. (...) J'avais réussi à me convaincre que Lewis et moi, c'était du hasard, une belle coïncidence. Que ça arrive souvent de tomber sur quelqu'un en qui on peut se voir, comme dans un miroir. Quelqu'un qui donne l'impression d'avoir passé sa vie avec une moitié manquante. Parce que je suppose que je dois pas être la seule à ressentir ça. Non ? Lewis et moi, c'est si spécial que ça ?

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# 2 Suck it and see

contexte/résumé:


romy- « C'est la bière qui te fait sourire comme ça ? » je lui lance en lui donnant un petit coup de coude, avant d'entamer ma boisson. Une part de moi voudrait qu'en réalité ce soit moi, la raison de son bonheur, tandis que l'autre part espère ne jamais le savoir.

lewis- Elle était drôle, elle avait le sens de faire des soirées et le brin de folie qui t'amusais. Puis elle avait ce côté séductrice, ce côté sourire en coin et des baisers qui enflamment ta peau. Elle était l'amie qui avait le charnel au fond d'elle. Mais tout s'arrêtait là. N'est-ce pas ?

romy- La preuve, il n'y a jamais rien eu de bizarre entre nous. A l'époque on se comportait déjà comme ça, on couchait ensemble, deux jours plus tard on se retrouvait pour traîner au Back Bay Fens ou autre part, et pas un moment on a arrêté ce qu'on faisait pour se demander "alors, qu'est-ce que cela fait de nous ?". C'est le genre de question qui pourrait tout foutre en l'air, qui pourrait laisser le doute s’immiscer entre nous, nous donner envie de prendre la fuite et ne plus jamais oser nous retrouver pour une soirée comme celle que nous avons passé. Les sentiments ? On connait pas.

lewis- "T'as eu raison de partir, Romy. T'as eu raison de choisir ta vie plutôt que de laisser les autres la décider." C'était son plus beau choix, t'aimerais lui dire de repartir... mais tu ne lui dirais pas. Non, parce que toi ça te faisait trop plaisir de la revoir ici. Tu te sentais un peu moins seul depuis son retour, un peu plus compris, moins enfermé, plus libéré. Tu souriais.

romy- Car même quand sa soeur se trouvera un mec et le laissera de côté, il sera pas capable de lui en vouloir. Il sera de ces personnes qui disent "du moment qu'elle est heureuse". Et ton bonheur à toi Lewis ? T'y as déjà pensé ? J'aimerais lui dire ses mots sauf que je garde le silence.

lewis- Elle venait s'introduire dans ce havre de paix que tu te construisais toujours tout seul. Elle avait par sa présence, ce don inexplicable d'élargir la bulle pour s'y introduire. (...) C'était une bulle de survie, un monde venu d'ailleurs au milieu du leur.

romy- Comme si en fin de compte j'étais aussi destinée pour toujours à me retrouver en train de graviter autour de lui. Comme si qu'importe le chemin que j'emprunte, il fini toujours par mener jusqu'à son lit.

lewis- "Si tu veux, on peut y aller ensemble cette année. Comme ça, à la fin je peux te sauter" Tu levais un sourcil, sourire en coin. Ouais, comme ça, tu pourrais l'emmener au septième ciel à la fermeture du bal. Ou encore, pendant le bal.

romy- « Ah, si c'est alcool puis baise alors tu peux me compter présente. » (...) En fait maintenant j'ai presque hâte d'y être. J'ai toujours hâte quand je sais que je vais pouvoir passer un moment avec lui. Mon monde serait bien terne sans Lewis.

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# 3 J'ai besoin de toi comme d'une infirmière, que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien

contexte/résumé:


romy- « T'as raison, je pense qu'on ne peut compter que sur nous deux pour rattraper le massacre de cette soirée. » (...) Lewis a le don pour me faire tourner comme une girouette. Un moment attendrie, l'autre excitée, il me fait tourner la tête. Je sais que c'est dangereux et dans le fond, c'est ça qui me plaît avec lui.

lewis- "Je ne suis pas n'importe qui Romy. Tu le sais ça, non ?" (...) Et t'étais là, venant laisser une trace indélébile sur sa peau porcelaine. Un baiser, un unique, de tes lèvres amochées par cette soirée.

romy- Tout ce qui compte à cet instant, c'est nous. C'est son visage contre le mien, ses mains sur ma peau. Il fini par me plaquer contre le mur derrière moi, j'en ai le souffle coupé. Lewis s'éveille, il est en train de sourire comme s'il savait qu'il allait obtenir ce qu'il veut.

lewis- C'était une course folle, contre la montre, contre les autres, contre vous-même. Les silences ne sont éternels que lorsque la vie s'arrête, que ton coeur cesse de battre. Il était impossible que vos maux restent silencieux, il était impossible que vos sentiments ne soient connus que dans les cieux. Parce que vous étiez là, l'un contre l'autre, ensemble. C'était étrange de se dire que tu n'avais aucune connaissance de l'amour, parce que quiconque lirait à l'intérieur de toi, se dirait que tu étais sûrement éperdument noyé dans tes sentiments inavoués. C'était la tromperie à soi-même, c'était l'hypocrisie sur ta vie. Mais un jour, Lewis, tu verrais tout ça.

romy-  Suis-je malade ? Lewis me rend fiévreuse, faible, comme s'il jouait avec mes émotions. Son influence sur moi m'est presque insupportable, et sa présence m'est vitale. Lewis et moi, ça n'a pas de logique, ni d'explication. C'est comme une tempête qu'on ne peut qu'endurer, qu'il ne sert à rien de vouloir traverser. Notre relation en devient inébranlable, inévitable car quoi qu'on fasse, quoi qu'on décide, nos chemins finissent toujours pas se recroiser.

lewis- Vous étiez désormais seuls dans des couloirs assombris. Tu rigolais d'excitation, d'un léger grain de folie. Bordel, cette fille, c'était quelque chose. "Mademoiselle Oswald, il est interdit de se trouver ici" que tu murmurais, t'approchant doucement de son corps qui se dessinait par les restants de lumières du bal.

romy- J'essaye de me rapprocher de lui, les yeux mi clos, prête à lui voler un baiser, mais le voilà qui disparaît et mes bras retombent le long de mon corps. Je serre les mâchoires de frustration. Quand je dis qu'il joue avec moi.

lewis- Mais tu préférais jouer, l'espace de quelques secondes, tu voulais la faire flancher. Elle devait t'embrasser. Tu ne savais pas pourquoi, ni même ce que ce petit jeu que tu t'imaginais tout seul devait signifier, mais c'était ainsi.

romy- Quand il me demande de ne pas bouder, n'est-ce pas par rapport à son petit jeu de "suis moi je te fuis" ? J'ai pas envie de faire semblant de ne pas comprendre ses allusions, j'ai pas envie de faire comme si je n'avais pas senti cette tension qui était née entre nous tandis qu'il me plaquait contre ce mur. « Je ne t'appartiens pas. » je finis par chuchoter, alors que mon visage se trouve à quelques centimètres du sien.

lewis- Elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Mais au fond de toi, t'avais envie que ce soit le cas. T'avais envie qu'elle te dise qu'elle était tout à toi. (...) Tu la laissais libre, défaite de ta prison faite de tension. "Alors vas-y, pars si t'en as envie. Je te retiens pas, on ne se doit rien Romy" que tu disais, légèrement, à ton tour.

romy- J'ai mal aux pieds, mal au coeur. « Puisque c'est comme ça, j'irais me faire sauter par un mec qui en a vraiment les couilles. » je lui dis, croisant les bras sur ma poitrine. A cet instant là, je déteste Lewis, j'ai envie de le faire disparaître et en même temps, je veux pas le quitter. Je veux pas aller me trouver un autre gars avec qui passer la soirée. Je veux l'aimer à l'en détester. Rien de tout ce que je ressens n'est logique et je reste là face à lui. Il me repousse et j'arrive pas à partir. Est-ce bien lui que je déteste, ou moi-même ?

lewis- Alors c'était à ton tour de te poser des questions Lewis, dans le fond, t'as jamais été le mec méchant. Sûrement un idéaliste du réalisme, un terre à terre mathématicien qui ne voit pas la beauté dans la littérature. (...) L'amour ne pouvait pas être simple, et peut-être que c'était une vision trop effrayante. T'aimais l'aventure, mais le genre qui fait mal au coeur, c'était pas vraiment ton truc. (...) C'était maintenant, maintenant ou jamais. "Si tu retrouves ailleurs ce qu'on  a pu avoir ensemble, alors qu'est-ce que tu fais encore ici ?" Tu la fixais. Mâchoire contractée. T'hurlais de tes yeux qu'elle se casse, bien que ton coeur l'implorait de revenir vers toi.

romy- Qu'est-ce que je fais là ? Qu'est-ce que je suis venue faire au bal ? Qu'est-ce que je fais avec Lewis ? Qu'est-ce qu'on fout bordel ? Tous ça n'a pas le moindre sens à mes yeux. Un peu comme si j'avais loupé un épisode de ma propre vie, comme si tout avait basculé en un clignement d'yeux. Car clairement, je ne m'étais pas posé cette question, puisque je ne pouvais pas retrouver avec qui que ce soit ce que j'avais avec lui. Mais ça il ne le saura pas. Trop de fierté, trop d'orgueil. Le coeur et les poings serrés, je dévisage une dernière fois Lewis, comme si je savais qu'une fois la porte passée, notre histoire serait avortée. A peine un semblant de début et c'est déjà la fin. C'est dramatique, mais c'est l'impression que cela me laisse.


lewis- Alors était-ce toi le problème ? T'avais vu trop loin, t'avais pensé que le jeu n'aurait aucune conséquence ? Peut-être que c'était la réalité, elle n'en avait rien à foutre de toi. Ouais, qu'est-ce que t'avais d'exceptionnel ? A vrai dire, pas grand chose. (...) Alors au-delà du fait que tu n'y croyais même pas, t'étais pas le genre de gars à qui on donne de l'espoir. T'étais le mauvais, t'étais le mec avec qui on aimait passer quelques nuits pour du bon temps. Ça avait toujours été comme ça pour toi, parce que t'étais un danger, et tu le comprenais.

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# 4 Quiet Storm

contexte/résumé:

romy- « Je m'attendais pas à te voir là. » je dis à Lewis d'un ton neutre alors que j'arrive à sa hauteur. Non, je m'y attendais pas. Et je ne sais pas si ça me fait plaisir ou souffrir.

lewis- "Quand t'étais partie, je t'ai attendu ici. (...) Mais tu n'étais jamais venue, parce que t'étais déjà plus dans le coin et j'avais bien vite compris. Et j'étais content pour toi. (...) Alors pourquoi, pourquoi aujourd'hui quand j'suis ici sans t'attendre, en te voyant arriver, j'arrive pas à sourire ?" (...) T'aimerais connaître la réponse, parce que t'avais la gueule triste et le coeur qui venait de tomber au sol sur la terre. Il était sale, un peu cassé, et tu commençais seulement à te rendre compte de tes conneries.

romy- Après tout, je peux pas l'empêcher de venir ici, tout comme lui ne peux pas m'en empêcher. On est pas en instance de divorce, il n'y a pas de garde partagée ou de séparation des biens. De toute façon, il n'y a même pas eu de nous au départ. Lewis et moi, c'était juste quelques nuits partagées, pas de quoi en faire un drame. Et pourtant nous voilà, comme au coeur d'une tragédie grecque.

lewis- "On va jouer à un jeu, toi et moi" que tu commençais doucement. Tu reprenais une latte, tu la fixais en essayant de discerner la moindre désapprobation.  "Ça s'appelle l'honnêteté. Et chacun son tour, on va se dire une vérité. Tu sais, les mots qui se trouvent ici et qu'on sort jamais".

romy- « J'avais peur. Ça se passait bien, toi et moi, mais au bal j'ai perdu le contrôle, j'ai flippé. Je voulais pas que tout se complique ou devienne bizarre, qu'on perde ce qu'on avait. Du coup je t'ai repoussé. » je lui explique, non sans peine, presque incapable de le regarder dans les yeux. J'ai presque envie de me frapper quand je m'entends parler. J'ai horreur de tomber dans le sentimental, dans le mélodramatique.

lewis- "J'sais que j'ai été un piètre cavalier au bal. Et j'voulais pas que tu ..." tu marquais un temps de pause, tu tirais sur ta cigarette. "J'voulais pas que tu partes quand on était dans ce couloir" que t'avouais pleinement. Parce que c'était la vérité, mais t'avais pas eu les couilles de la rappeler. T'avais trop de fierté, puis d'ailleurs, tu voudrais lui en dire des dizaines d'autres de choses.

romy- « Il n'y a personne d'autre avec qui j'ai ce que j'ai avec toi. » j'avoue à mon tour. Traduction : t'es le seul Lewis, t'es spécial. J'en reviens pas. Qu'il mémorise bien cet instant car une telle chose n'arrivera plus jamais. « Je voulais pas partir, c'est avec toi que je voulais terminer ce bal. »

lewis- Tu laissais ton coeur parler, pour une fois. Les sentiments n'étant plus seulement que des pierres, comme des poids insurmontable à traîner derrière toi. T'étais plus prisonnier de tes émotions, et ça, c'était bien la première fois depuis des années que ça t'arrivais. "T'es spéciale pour moi Romy. Je tiens à toi, et c'est peut-être con à dire, mais tu m'manques tu vois. Et j'ai pas envie de perdre ce qu'on a"

romy- Je me dis qu'on a été cons de tout foutre en l'air. Mais maintenant qu'on est là, qu'est-ce qu'on peut y faire au juste ? Je suppose que notre relation ne sera plus jamais comme avant, plus jamais aussi légère. L'a-t-elle été vraiment un jour ? « J'ai l'impression de perdre tous mes repères avec toi. » je lui dis, troublée, tracassée.

lewis- Puis d'un sourire malicieux, tu te reculais pour finalement te pencher en avant et attraper Romy par la taille. Hop, ni une ni deux, tu la portais pour venir la mettre sur ton dos comme un sac à patate. Le jeu était terminé, les vérités avaient été dites.

romy- Couchée dans la poussière, je reste sur le dos, les bras en étoile, à rire et à la fois observer le ciel. Je me rends compte que l'univers est vaste et qu'on est tellement insignifiants. On est que deux abrutis dans un parc, deux abrutis parmi tant d'autres. « Je voudrais que ce moment finisse jamais. »

lewis- Tu tournais la tête vers elle, l’observant à demi éclairé par les restants de lune mais aussi par les réverbères de la rue. C’était votre endroit, votre cabane, votre moment, c’était vous, ensemble. Elle était belle Romy, là, tout de suite. Elle l’était toujours, même après une nuit de désir. Mais à cet instant, elle avait cet éclat. T’avais les émotions dans une balançoire, ou encore dans un avion Paris ; New-York qui irait à toute vitesse. Tu te laissais aller de l’amour à la haine, envers elle, envers toi-même. Tu laissais difficilement la vérité entrer dans ta tête, mais ce soir, tu baissais les armes. Tu te laissais aller à tout, à rien, à vous. Tu finissais par te redresser sur le côté, toujours en observant Romy. Finalement, assez furtivement, tu t’approchais d’elle, de son visage, plus particulièrement de ses lèvres. Et yeux dans les yeux, les visage un peu penché l’un de l’autre, tu venais déposer tes lignes rosées sur les siennes. Toi aussi, Lewis, tu voudrais que ce moment ne finisse jamais.

romy- Dans ses putains d'yeux bleus. Je pourrais me noyer dans le turquoise de ses iris. J'y plongerais volontiers, même si j'ai pas pieds, et sans bouée. Ses lèvres finissent par effleurer les miennes pour les rencontrer enfin. Un simple baiser, le premier depuis le bal. La violence aura fait place à la tendresse.

lewis- "Tu m'as manqué" que tu laissais échapper. Romy, t'avais manqué à Lewis. Le goût de ta peau, la tension sexuelle, la simplicité, la folie. Vous deux, ensemble, Lewis et Romy, Romy et Lewis, vous, nous, toi et moi. C'était tout ça, un mélange de choses dont on ne peut énoncer la grandeur.

romy- Lewis n'est pas une de mes soeurs, il n'est pas l'un de mes meilleurs amis. Lewis n'est pas non plus mon petit ami ? Qu'est-il au juste à mes yeux ? Une évidence, une âme soeur. Celui en qui je me reconnais, celui avec qui je suis moi. Coupable de lui donner autant d'importance, coupable d'avoir tant besoin de lui.

lewis- On a tous une étoile qu'on préfère par dessus toutes dans le ciel, et peut-être que Romy ça pouvait être cette étoile. La tienne, celle que tu voudrais voir briller pour toi durant le reste de ta vie. T'avais pas envie de courir après ta solitude, t'avais pas envie d'te barrer en courant parce que tu l'avais embrassé un soir de lune, ouais

romy- On a certainement pas envie de se l'admettre, pas envie d'en parler de peur de gâcher cet instant, mais on ne peut pas nier la vérité. Lewis et Romy a évolué. En bien ou en mal, je ne saurais pas vraiment le dire, en tout cas pour l'instant c'est doux, c'est agréable, c'est rassurant. C'est tendre et c'est probablement ça qui est nouveau.

lewis- Cette fille te mettait sur les nerfs, Romy, elle était sujet à beaucoup d'émotions chez toi. Et en fait, fallait bien l'dire que les sentiments et toutes ces conneries, tu ne t'y connaissais pas trop.

romy- Je me perds dans mes souvenirs, je repense à notre rencontre, nos retrouvailles, la fois où il m'a invitée au bal. Je repense à ses sourires quand il me voit. A la joie que je ressens quand je le vois. « Je t'aime trop Lewis. » je dis dans un soupire, d'une voix à peine inaudible.

lewis- Lewis, respire, t'as peut-être mal entendu. Non, impossible. Elle l'avait dit Romy, elle avait dit je t'aime. Tu te passais une main dans les cheveux, t'osais même pas la regarder. "Ouais, bon bah à la prochaine" que tu disais dans un souffle avant de tourner les talons.

romy- « Donc tu te casse ? » je lui dis froidement à mon tour. (...) J'aurais tout entendu sérieusement. Et le voilà qui me tourne le dos et me laisse plantée là, toute seule sur le sol. Sérieusement ? C'est ça Lewis, barre toi. Vas donc aider ton assistée de soeur.


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# 5 I call your name but you're not around

contexte/résumé:

romy- Je gravis les marches de l'immeuble deux par deux, on dirait que je m'entraîne pour un marathon ou une épreuve de survie. On est pas loin de la vérité, je suis encore embarquée dans une course contre la montre avec Lewis. Une fois devant l'appartement, je commence à tambouriner la porte. « Ouvre cette putain de porte Lewis ! »

lewis- Et en fait tu comprenais pas grand chose, t'étais vraiment éclaté et elle faisait chier à débarquer comme ça. Puis surtout, ta couverture tombait totalement à l'eau. A peine la porte ouverte, tu lui disais "Tu veux bien arrêter d'hurler comme ça, j'habite pas seul ici" le ton un peu grognon.

romy- Mais je veux qu'il me dise quelque chose. Je refuse de rester dans l'attente d'un éventuel retour de sa part. Je suis pas un labrador qu'on laisse sur le bord d'une route avant de partir en vacances.

lewis- T'étais énervé, elle n'avait aucun droit sur toi après tout, puis toi qu'est-ce que t'en avais à foutre qu'elle t'aime ? Tu ressentais un frisson à cette pensée, ça te mettait mal à l'aise. "Tu veux savoir c'est quoi mon problème ? Je t'aime pas moi Romy ok ? Moi j'suis pas amoureux de toi ! Alors tu vas arrêter tes conneries et tes scènes à deux balles là".

romy- C'est comme si Lewis était venu plonger sa main à travers ma poitrine, pour en arracher mon coeur et l'écraser sous mes yeux. Ca fait mal, ça me détruit, mais je n'en montre rien. (...) « Qu'est-ce que j'en ai à faire de tes sentiments ? Je suis pas amoureuse non plus et j'en attendais pas plus de ta part. »

lewis- Seulement il existe quelque chose de plus fort que l'angoisse, plus fort qu'un sentiment de peur, c'était la haine. Et actuellement, à cet instant, tu avais toute la rage du monde dans ton corps. T'étais énervé contre Romy, contre elle et ses mots, contre elle et sa jolie peau.

romy- Sur le moment, j'ai envie de me gifler pour avoir été assez stupide pour croire à ses belles paroles l'autre soir. Ses "c'est unique ce qu'il y a entre nous". J'ai l'impression d'être la cinquième roue du carrosse, celle qui pourra jamais faire partie de son cercle si privé qu'est sa famille

lewis- "Moi j'veux pas d'amour Romy, j'sais même pas c'que c'est" que tu disais la voix de plus en plus las. T'étais tellement énervé, fatigué, défoncé que ton corps ne réagissait plus tellement.

romy- Le pire c'est que j'ai l'impression de m'entendre quand je l'entends parler. J'ai toujours tenu le même genre de discours que lui. C'est comme si je faisais face à mon propre reflet.

lewis- Alors dans le fond, on pouvait pas vraiment tout reprocher à Romy. Peut-être même que tout était parti de toi Lewis. Seulement t'avais perdu la vue, t'avais perdu la mémoire, t'étais obnubilé par la peur et jamais, Ô grand jamais tu pourrais dire que tu étais la cause de toute cette histoire.

romy- C'est comme s'il me méprisait à l'idée que je puisse avoir des sentiments envers lui. J'ai le droit de me mépriser pour ça, mais je tolère pas trop que ça vienne de lui.

lewis- C'était la vérité en face, c'était la preuve même de ta fuite, le doigt pointé sur ta peur et tes angoisses des responsabilités. En fait c'était pas d'avoir une vie plus adulte qui te gênait, c'était surtout le fait que ça impliquait des sentiments et des conneries comme ça. (...) "Je suis fatigué d'me battre".

romy- Je refuse d'évoquer le fait que je lui ai dit que je l'aimais, par contre je peux pas nier que je tiens à lui. Sinon je serais pas là, je serais pas venue comme une furie, je serais pas en train d'essayer d'arranger la situation malgré mon petit coeur brisé de fille rejetée.

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# 6 Late night when you need my love

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# TG Balade en Kayak

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# 7 Don't get too close it's dark inside

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