Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAin't It Fun [Tom , Alana , Sabi ]
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Ain't It Fun [Tom , Alana , Sabi ]

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J'avais passé ma vie presque au complet dans la solitude. Je n'étais pourtant pas une enfant unique dans ma famille , mais la distance d'âge avait fait en sorte que je m'étais retrouvé très rapidement seul dans le milieu familiale. Mes parents quant à eux préférait empiler les billets verts au lieu de me voir m'épanouir. Il y avait un changement plutôt radical à mon arrivé ici. Je partageais ma demeure avec deux autres personnes et il faut dire que cela permettait d'alléger les fins de mois , moi qui ne profitait en aucun cas de l'argent de mes géniteurs. Les pièces étaient envahie d'une odeur de gâteau fraîchement sortie du four. Je me permettais de me faire plaisir à tout le monde dans l'appartement. On aurait presque pu dire que d'une certaine façon c'était moi la maman du foyer. Mes habitudes de voir tout immaculé était rester de même et de plus je ne demandais pas d'aider. J'avais toute fois encore changé la configuration du salon. Il était dur pour moi de me débarrasser de cette fâcheuse d'habitude de vouloir constamment tout déplacer , l'origine même en était inconnu. La filialisation faite , je cognais sur les portes des chambres de mes colocataires avant de retourner dans la cuisine pour les avertir. Ils le savaient eux aussi que les paroles n'étaient pas ma première source de communication.

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I treasure each side, just as I have treasured our life together
En ce moment, Sabian passait pas mal de temps à l'appartement des threesome. Veia, Alana et petit Tom. Il aimait l'ambiance conviviale qui y régnait, il passait vraiment de bons moments et s'y sentait bien. A la limite, s'il n'avait pas un appartement avec les jumeaux Holloway, il aurait bien posé ses bagages ici. Autant, Sabian a toujours été un solitaire dans l'âme, autant depuis quelques années, il s'ouvrait aux autres. Attention, toujours dans la limite du raisonnable. Loin de lui l'idée de parler à tout le monde et à passer pour un gars bien. Non, non. Disons simplement qu'il savait s'ouvrir un peu. Sabian sortit de son appartement en quatrième vitesse. Il dévala les escaliers quatre par quatre avant de se retrouver dehors. Il ne faisait pas très chaud mais au moins, il ne pleuvait pas. Il fourra ses mains dans ses poches et marcha tranquillement. Sabian se dirigeait bien évidemment vers l'appartement threesome. Une simple envie de voir les deux blondinettes ainsi que son ami. Sabian savait qu'il n'allait pas s'ennuyer là-bas et il préférait largement ça plutôt que d'étudier. On verra plus tard pour les révisions. Le beau brun ne mit pas longtemps avant d'arriver devant chez eux. Il termina sa clope et attendit que quelqu'un sorte pour pouvoir entrer dans l'immeuble. Le student grimpa les escaliers et arriva au bon étage. Style de rien, il posa sa main sur la poignée et ouvrit la porte. Nan mais je vous le dit, Sabian était comme chez lui ici. Il entra dans l'appartement et vit Veia dans la cuisine. Il afficha un petit sourire. Ils ne s'étaient pas revus depuis la soirée de donation. « Ca sent bon ici. » lança-t-il calmement à Veia. Il s'approcha d'elle et déposa un chaste baiser sur sa joue. Vraiment ça sentait super bon. Pour ce nul en cuisine et en pâtisserie, ça lui donnait l'eau à la bouche. Sabian n'a jamais été très gourmand mais là, l'odeur venait lui chatouiller les narines, c'était plaisant. « Ne me dis pas que tu as fait un gâteau ! T'es bonne à marier toi. » dit-il avant de rigoler. Ouais, Sabian était plutôt de bonne humeur, il se tapait bien l'incruste chez les threesome, c'était parfait.
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Le retour à la vie d'étudiant été catastrophique. T'avais jamais autant dormis depuis six long mois, chacun de tes réveilles étaient doux, soft et sans : PREND TA BLOUSSE ON VA AUX URGENCES, qui te réveiller en sursaut. Tu aimais ça, tu aimais la douceur de cette appartement, la grandeur de ta chambre et le fait que tes colocataire sont : ni trop absent, ni trop présent. C'était soft, c'était ce que tu chercher, parce que t'a vécu toute ta vie avec les Halberstam et tu savait que pour la douche, la bouffe et les toilettes ça a toujours été la guerre. Or, ici, chacun respecte l'espace de l'autre. 'fin c'est pas Alana qui va te voler ton miam en sachant que tu la réveiller à trois heures du matin juste pour la faire chier. Quoi qu'il en soit, un toc toc te réveiller, tu pensais d'abord que c'était ton épisode de Shameless qui avait démarrer tout seul et au final, tu as compris que c'était une réelle personne, et une réelle odeur. Tu te redresse toujours en caleçon et te laisse emeneger par l'odeur alléchante de gateau, du gateau. « Pour conquérante un homme il faut passer par son estomac. » dis-tu en entrant dans la cuisine, impatient de manger du gateau. Veïa est géniale, y a deux plaisirs dans la vie : les filles et la bouffe, et les filles qui font la bouffe c'est un fantasme extrême. Sauf quand c'est ta mère, bref, passant se détail étrange. « Tu squattes encore toi ? » dis-tu en charriant Sabian, tu tape d'ailleurs sur son épaule en lui adressant un sourire, tu t'en fou pas mal qu'il squatte, il est ton meilleur ami, alors ça te déranger pas. Ça te dérangerais si il commence à empreinte tes caleçons et manger tes chips, mais il sait, il sait que Tom pas partager son manger. « C'est quoi, c'est quoi ? J'veux le plus gros morceau. » dis-tu en passant à côté de Veïa pour voir ce qu'elle fait.
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J'écrase comme une grosse larve dans mon lit, mon oreiller bien collé contre mon corps, je le serre de toutes mes forces contre moi, un rêve, un merveilleux rêve. J'aime m'y perdre, c'est si beau, si plaisant.... toc toc, putain de merde qui me sors de ce pur délice? Comme si on n'avait pas assez de Tom comme boulet dans l'appartement! Je grogne dans mon lit, refermant les yeux pour tenter de rattraper mon rêve, mais impossible et maintenant, j'ai la délicieuse odeur de la pâtisserie qui vient me chatouiller les narines, c'est au tout de mon ventre de se réveiller. Je pose ma main dessus en geignant. Tant pis, peut-être que je réussirais à retrouver ce joli rêve cette nuit. Je quitte mon lit, habillée d'un petit short et t-shirt, en quittant ma chambre, je relâche ma longue chevelure blonde que j'avais jusqu'à présent attachés en chignon. Une personne, deux personnes... trois, intrus! intrus! intrus! Peut-être qu'on devrait te faire payer un loyer toi aussi Je plaisante à l'attention de Sabian et viens faire la bise à tout le monde, ébouriffant les cheveux de Tom juste pour l'embêter. C'est la réalité, Sabian passe plus de temps ici, que dans son propre appartement. Je m'installe autour de la table comme mes camarades Qu'est-ce que tu nous as fait de bon aujourd'hui Veïa? La petite maman du groupe. Je sais cuisiner, mais la Lowell est bien plus souvent derrière les fourneaux que moi.
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Mon arrivé à Boston avait fait en sorte que j'avais trouvé une certaine forme de famille que j'avais jamais eu la chance d'avoir auparavant. La confrérie m'apportait déjà beaucoup , mes colocataires remplissaient le silence que j'avais toujours entretenu. Sabian était rentré sans même cogné ce qui m'avait fait sortir de mes rêveries passagères. Un léger baiser sur ma joue qui se suivait ensuite de quelques paroles.  «J'en fais souvent en plus. » Il n'était pas question de mensonge , car j'avais toujours fais beaucoup de pâtisseries. J'aimais bien ce rapprochement qui c'était formé entre nous . Un secret , un moment bien gardé.    Il n'allait pas être question d'intimité pour aujourd'hui. Je déposais la gâteau sur le comptoir afin de pouvoir le finaliser et éclairer tout le monde dans la pièce de ce que je leur réservais . L'impatience avait prit son comble déjà en attendant que je finisse ma gâterie que je leur réservais. Je déposais un peu de glaçage sur le nez à Tom. «Patience. » Je prenais soins d'eux sans vraiment m'en rendre compte. J'étais devenu une mère bien avant le temps .Je finalisais le tout avant de leur servir chacun une part . «Régalez-vous. » Ils ne pouvaient pas se plaindre du traitement que je leur donnais. Un sourire restait sur mes lèvres. J'étais bien, je ne voyais pas vraiment ce qui aurait pu gâcher ce moment.   

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I treasure each side, just as I have treasured our life together
Sabian a toujours été le mec sans gène, qui se tape l'incruste où il veut, quand il le veut. Aujourd'hui ne faisait pas exception à la règle. Il y avait quelque chose derrière sa présence ici. Comme attiré comme un aimant vers cet appartement, il ne semblait pas vouloir s'en détacher. Le jeune homme n'avait pas vu Veia depuis la soirée de donation et avait des choses à lui dire. La blondinette lui avoua faire souvent des gâteaux. Elle pourrait aisément le réconcilier avec la nourriture celui-là. Un petit sourire malicieux dans sa direction. Le moment de complicité fut vite dissipé avec l'arrivée de Tom dans la cuisine. Il pose sa main sur son épaule, Sabian lui adresse un large sourire à sa remarque. Effectivement, il était souvent là. « Attends, il y a des gâteaux ici vieux. Il faudrait être fou pour ne pas succomber. » lança-t-il en regardant Veia droit dans les yeux. Pure provocation. Quelque chose s'était passé entre ces deux-là, cela crevait les yeux. Après Tom, ce fut au tour de la petite Alana de débarquer dans la cuisine. Décidément, le gâteau avait du succès. Elle le taquina également sur sa présence ici. « J'suis fauché, tu ne vas pas tirer grand chose de ma fortune. » dit-il en rigolant légèrement. Tom et Alana prirent place autour de la table. Regardez-moi ces chacals. Sabian esquissa un sourire en les voyant aussi affamé. Le beau brun restait un peu en retrait, adossé contre l'un des meubles de la cuisine. Veia servit son fameux gâteau et les deux se jetèrent dessus comme des sauvages. Il rigola et attendit qu'ils aient la bouche bien remplie pour poser cette question qui lui brûlait littéralement les lèvres. « Dites, vous allez au bal? » lança-t-il avec un petit rictus sur le coin des lèvres. Il les regarda un par un, guettant leurs réactions. Sa meilleure amie, son meilleure ami, cette fille qui hante ses pensées et un gâteau. Il ne lui en fallait pas plus pour être bien. Le bonheur avait un visage familier aujourd'hui.
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