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Laisse aboyer les chiens (William)

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«Laisse aboyer les chiens»


Louise est fragile. Taillée dans une chute. C'est ce qui la rend si abordable, si adorable à première vue, et ce qui fait qu'il est facile d'en faire une cible. Elle est frêle, et son visage n'aide en rien. Pompon, gamin, la ramenant dix ans en arrière. Il n'y a bien que son comportement distant qui peut dissuader les quelques inquisiteurs. Pas celui-là, apparemment. Une sorte de type, un peu balourd et gauche. Idiot à n'en pas douter. Presque beau si on oublie l'odeur d'alcool qu'il se trimballe. Malgré le verre qu'elle sirote la jeune professeur maitrise encore très bien ses instincts. L'autre débarque sur sa droite, s'appuyant sur le bar, et commence son baratin. « Dégage. » Lui intime-t-elle, armée d'un sourire ravissant. En plus de la mettre mal à l'aise ce genre d'individu lui démontrait combien elle était absolument dépourvue de patience. Histoire d'humilier publiquement le jeune homme, elle haussa le ton, afin que tout le bar puisse entendre son échec. « Toutes ces nuits passées avec ta main droite, ça a dut te rendre dur de la feuille. Je vais donc reformuler : casse-toi. Retourne avec tes copines. » Léger regard vers le troupeau de muscles. Le genre de groupe qu'il ne faut pas emmerder. Qu'importe, Louise n'a jamais vraiment fait attention à sa survie. « Tu me le payeras. » Reprit le fourbe, sifflant entre ses dents d'un air qui se voulait -surement- menaçant. Elle prit cet avertissement comme une plaisanterie, et leva les yeux au ciel avec un léger soupire. Ses lèvres se plongèrent dans le cocktail coloré qu'elle avait commandé précédemment, avant l'entrée en scène du clown. Déjà qu'elle sortait peu, ce genre d'évènement ne l'encourageait guère. Peut-être serait-elle plus à sa place dans les environs de l'université, à préparer ses cours pour la rentrée.. c'était tellement plus elle que ce Summer Camp.
redsky




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Comme tous les soirs ou presque Will était venu passer la soirée au bar du village avec quelques potes. C’est sur ça ne valait pas les établissements qu’il fréquentait habituellement ou les bars du campus mais l’alcool était le même qu’ailleurs et il y avait quand même une bonne ambiance. A la base il était venu juste boire un verre entre potes mais au final ils étaient là depuis maintenant au moins deux heures et sans manger les effets de l’alcool commençait à se faire sentir gentiment. Il commençait à avoir envie de bouger, de danser et de s’amuser mais ici ça allait être difficile, la soirée s’annonçait plutôt du genre à rester à picoler sagement assis au comptoir.

D’ailleurs pendant qu’il parlait avec ses potes il avait remarqué du coin de l’œil une jolie brune assise un peu plus loin qui sirotait un verre toute seule, elle semblait bien calme et personne ne semblait l’accompagné, Will se dit que peut-être il irait la voir un peu plus tard. Et alors que la serveuse arrivait pour lui servir un nouveau verre il vit un mec se diriger vers la demoiselle en question et d’après ce qu’il put entendre elle ne voulait pas le voir et il n’avait pas l’air de l’avoir bien pris. Même s’il ne la connaissait pas il garderait un œil sur elle, même si lui aimait bien boire et faire la fête il ne supportait pas les mecs et les saoûlots qui faisait chier les filles et l’alcool montant il se ferait un plaisir pour le remettre à sa place. Pour le moment il se retourna vers le comptoir et la serveuse et bu le shooter qu’elle lui offrit en surveillant quand même l’autre bout du bar juste au cas où …
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«Laisse aboyer les chiens»

Le barmaid semblait amusé par la situation. C'était bien le seul. Louise n'avait pas passé ses années d'études comme la plupart des étudiants ; comme la plupart des personnes présentes dans le bar, à s'amuser et profiter d'une époque qu'on dit trop brève. La sienne fut tellement courte qu'elle semblait inexistante. Dommage. Oh, ne croyez pas que la demoiselle ne regardait pas parfois avec envie les jeunes gens vivant une existence trépidante et excitante. Elle avait juste finit par se convaincre que ce n'était pas pour elle, et qu'il était maintenant trop tard pour se sortir de son quotidien très.. routinier. Déjà, car elle n'avait pas encore finit son verre que ses sens commençaient à s'amenuir. Hum, c'est ça quand on n'est pas habituée. Pas ivre, juste à peine embuée. Assez pour que la demoiselle estime sa soirée presque terminée.

Dans un regain d'honneur, elle se redressa sur son siège, et se décida à quitter momentanément sa place au bar pour rejoindre une petite porte située dans le fond du bar, paquet de cigarettes à la main. Encore une belle idée de la part de Louise, de se terrer dans une impasse, au lieu de choisir l'entrée principale donnant sur la rue peuplée et éclairée. Oui mais voilà, quand on est plutôt solitaire, et souhaitant fuir le défilé des étudiants éméchés en plein rêve américain, on pense d'avantage à son confort qu'à sa sécurité. Comme quoi l'âge n'apporte pas forcément la sagesse ; au contraire. Inutile donc de préciser qu'elle n'avait guère aperçue les trois types -dont le blaireau de tout à l'heure-, suivre ses pas jusqu'à l'arrière-cour. Leur présence se révéla bien plus flagrante lorsque la porte claqua, la sortant de ses rêveries, clope coincée entre les lèvres. L'un se tenait près de cette porte, tandis que les deux autres souhaitaient vouloir faire un brin de causette en s'approchant de la jeune femme. « Monsieur est vexé, c'est ça ? » S'adressa-t-elle armée d'un fin sourire à son boulet du bar. Vu comme il la plaqua contre le mur.. surement. Elle parvint à écraser sa cigarette contre l'un des poignets masculin, mais ca ne fit qu'énerver encore un peu plus la brute. Et maintenant, on fait comment ?
redsky

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