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she's umbel and kind (evy and dallas)

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she's umbel and kind
Everest & Dallas



Journée d'examen. Faut comprendre que nous sommes presque rendu à la fin de notre année d'étude et que la plupart doivent travailler extrêmement fort pour y arriver ou même à se reprendre. Lorsqu'on travail dans un concessionnaire qui appartient à ta famille en mécanique, c'est très facile de terminer un projet en ingénirie. Ce projet qui était d'une durée de deux mois, ceci ma pris au moins quelques semaines pour le faire. Lorsque je suis plongé dans un projet qui m'inspire beaucoup, je veux le terminer et en profiter pour le reste. Parfois, il m'arrivait de rajouter ou d'enlever des choses pour améliorer mon projet. Je ne perdais absolument rien de tout ça et même que parfois, mon professeur me demandais de rester avec lui après les cours pour parler ou même pour travailler sur des projets futur. Il est tout simplement un passionné comme moi et même un bon ami de la famille maintenant. Étant un homme qui avait consacré sa vie pour les camions Ford, il est maintenant un acheteur Dodge pour le restant de ses jours. Par contre, depuis hier soir, mon corps est tout débalancé. Je voulais simplement dormir et j'ai dormi pratiquement tout la journée. J'avais tout mon projet de fini alors je me sauvais de ne pas avoir de stress sur mes épaules. Ce matin, s'était moins pire que hier soir. Je me suis bien rendu dans le parking du campus, mais un mal de tête venais me déranger. Je stationnait mon Jeep près de l'entrer principal, car s'était un stationnement réservé aux étudients qui n'habitait pas le campus. Merde, pourquoi j'ai autant mal comme ça ? Je débarquais de mon Jeep avec mon sac avec mon iPad dedans et je verrouillais mon Jeep. Je n'avais fais que trois, quatre pats devant moi et je me suis évanoullit. Pourquoi ? Je n'avais pas fais de crise depuis les attentats et... oh merde... j'ai oublier de prendre ma médication pendant deux jours.

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Ma vie est un véritable chaos. Je ne sais plus où j'en suis et quel avenir il m'attend. Je peux toujours m'accrocher à ma carrière, mais tout le monde sait qu'un jour ou l'autre, la famille et les amours manquent. Je dois mettre de l'ordre mais l'univers s'acharne à balayer mes efforts. J'ai une pile de révisions qui se moque de moi. Pour pouvoir atteindre un bon niveau de concentration pour gober ces tonnes d'informations, j'ai choisi de me rendre à la bibliothèque de la faculté. Mon sac à bandoulière sur l'épaule, je verrouille mon cabriolet coupé sport et vérifie si je n'ai pas de messages sur mon téléphone. Non, rien, personne ne souhaite savoir si je vais bien. Tant pis. Je range mes affaires et avance tête haute à travers le parking. Il y a peu de monde, je comprends, la fin d'année approche alors tout le monde déserte les bancs. J'entends quelqu'un fermer une portière, mon attention se dirige vers cette source sonore. J'aperçois un jeune homme et puis tout d'un coup, il disparaît. Comme ça, évanouie dans la nature en une seconde. Inquiète qu'un trou noir se soit formé sous ses pieds, je slalome entre les véhicules et trouve face contre sol le garçon. J'accoure à sa hauteur et m'agenouille devant son corps inanimé en apparence. J'appuie mon index sur son cou et ressens son pouls. Tout à coup ses membres se mettent à vibrer, il est pris de convulsion super. Après sept ans de médecine, je sais reconnaître une crise d'épilepsie. Ça fait plus peur que de mal. Enfin, tout dépend de la sévérité du trouble. Je suis inquiète. Je n'ai aucune solution miracle sur moi pour apaiser la crise du jeune homme. J'essaie de maintenir l'inconnu pour lui éviter des blessures inutiles " Calmez-vous, je suis interne en médecine, ça va aller, je suis là " je me tâte à appeler les secours. Après une minute de secousses les muscles de l'individu se relâche, la crise prend fin. Je le savais, ça n'allait pas durer longtemps. Sa respiration reprend, je suis soulagée. Le jeune homme semble reprendre conscience. " Je m'appelle Everest, vous venez de faire une sorte de crise d'épilepsie sur le parking de la faculté, vous êtes ? " demandais-je pour m'assurer qu'il ne présente pas de lésions graves. Quand il s'agit de l'être humain, mieux vaut être prudent.
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Je ne sais jamais quand une crise va survenir. Je peux toujours avoir une crise sur l'autoroute ou encore en classe, mais en ce moment, la mal chance est venu me rencontrer pour la cinquième fois dans ma vie. Je n'avais pas eu de crise le lycée et je vais toujours me souvenir de cette accident où est-ce que mon père avait amener la famille du jeune McMurry en court et surtout l'arbitre qui avait pris le côté de la famille de mon adversaire. Nous avions gagné en court et mon père à eu la chance de changer bien des choses dans la ligue Midget. Lorsqu'on fait une crise, on peut ressentir des moments différents d'une personne à l'autre. Pour ma part, ce sont des mots de tête qui sont difficile à faire partir et je vois complètement embrouillé. Je vois un énorme mur noir devant moi et je tombe dans les pommes. Mes crises durent généralement quelques minutes et je dégage très peu décume de ma bouche, mais parfois, je peux faire peur aux gens et ce n'est pas du tout mon intention de faire ça. En ce moment, je n'ai aucune conscience de qu'est-ce qui se passe à l'entour de moi. Ceci prend beaucoup de mon énergie. Je suis très fatigué et je dois avoir de la surveillance avec moi pour ne pas que je sois dans une autre crise, car en faire deux de suite, ceci peut être extrêmement dangereux. J'entend une voix. Elle est douce et elle m'explique qu'elle est étudiante en médecine. Je crois que cette crise n'était pas très énorme, car je peux parfaitement comprendre ce qu'elle me dit, mais je n'ai tout simplement pas d'énergie. Je la regarde et j'ai une douleur au bas du dos. J'ai du tombé d'un coup sec. Je lui pointe mon Jeep avec mes clés. J'essayais de reprendre mon souffle et je la regardais toujours.

"Mes médicaments. Mon Jeep... dans le coffre à gans."
Je n'avais pas ressentie une t'elle résistance comme ça.

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