Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySACHKA & EVY (+) mom, dad, don't worry everyone failed that test.
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SACHKA & EVY (+) mom, dad, don't worry everyone failed that test.

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mom, dad, don't worry everyone failed that test.
sacha & everest
Il est plus de minuit, mon téléphone vibre et inonde la pièce d'une lumière bleuté aveuglante. Je cherche à tout hasard mon mobile sur mon chevet en tâtonnant. Après que ma main se soit promenée dans des directions opposées, elle finit enfin par entrer en contact avec l'objet qui a rompu ma nuit. J'attrape mon téléphone et force sur mes pupilles pour déchiffrer le nom qui m'a ôté des bras de morphée. Sachka. Un étudiant de psycho avec qui j'ai un devoir commun complètement barré. Ça ne peut m'arriver qu'à moi, le professeur s'est probablement rendu compte que j'étais capable de motiver un étudiant à la ramasse. Il m'a mis dans les pattes un espèce de déchet humain peu fréquentable. Notre mission, élever un nourrisson. Sans blague, j'aurais préféré une bonne vieille dissertation. L'objectif de cette étude étant de mettre à l'oeuvre la parentalité, nous avons mal commencé puisque nous avons décidé de faire garde partagée. Résultat des courses, après avoir tiré à la courte paille, c'est Sachka qui doit s'occuper du bambin pour la première nuit. Et on dirait qu'il rencontre déjà des problèmes. Je relâche l'air de mes poumons et décroche. J'entends des pleurs et Sachka qui menace de flinguer le poupon. Je n'ai pas peur des frais que cela pourrait occasionné mais plutôt de la note qui fera tâche dans mon dossier. De ce fait, je propose avec tact que le jeune homme rapplique pour que mon instinct maternel puisse régler la situation. Après avoir raccroché, j'enfile un peignoir en satin et brosse rapidement mes cheveux ébouriffés. Je suis encore dans les nuages, mais je me souviens que je ne suis pas seulement chez moi ici, c'est la maison des cabot. Je descend l'escalier principal et rejoins la porte d'entrée pour éviter que le russe réveille toute la baraque. Après quelques minutes à greloter sous le porche, j'aperçois le jeune homme tenant maladroitement l'enfant en plastique par le poignet. L'enfant semble souffrir de multiples fractures, quelle misère, il faut tout leur apprendre, ah les hommes, que des incapables. Une fois que Sachka est à ma hauteur, je lui tire le bébé de ses sales mains et remet ses articulations en place. " Tu lui as donné sa dose à boire ? " demandais-je en fixant le brun à travers ma mèche blonde.  
electric bird.

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J’adore la psychologie. Déchiffrer le comportement humain. Comprendre pourquoi l’homme agit ainsi dans une situation et différemment dans un contexte qui parait pourtant être exactement le même, à un détail près. Sauf que lorsque nous avons reçu cette corvée à faire, en binôme en plus – non pardon, en « couple »- je me suis sérieusement interrogé sur les capacités mentales de notre professeur, et sur sa façon d’enseigner. J’aurai même demandé à changer de classe si je n’avais pas, en règle générale, d’aussi bonnes notes dans cette matière. Sans compter que c’était ma majeure, alors je vous laisse imaginer le coefficient. Elle, elle s’en fout, c’est sa matière mineure ! Ah oui, j’oubliais. « Elle », c’est Everest. Un prénom imbuvable qui a fini par se transformer en Evie au bout de 5 secondes à vouloir épeler –en vain- son prénom complet. Ma partenaire, censée représenter la mère de mon enfant dans ce couple imaginaire. Et mon enfant, c’était cette espèce de chose criante qui me perçait les oreilles depuis une heure. Alors quand elle avait accepté que je passe, avec dans mon esprit, l’intention de me débarrasser du môme, je ne m’étais pas fait prier. En plus étant donné que je passais souvent mes nuits dehors quand je n’avais pas trouvé de logement où dormir, ce n’était pas le meilleur endroit pour élever un…poupon ? Enfin bref, je me dirige de mauvais poil vers l’entrée du bâtiment des Cabot, tenant à bout de bras le truc beige armé d’une salopette rose –en plus j’ai horreur du rose !- qui hurlait tellement que je pensais qu’il allait finir par exploser et laisse aussitôt Everest s’en charger. « Sa dose de… ? » grognai-je en fronçant les sourcils, l’air de me demander à quoi elle faisait allusion. « Ahh ouais le lait ! » Tu parles, une espèce de faux liquide pâteux qui, sitôt deux gouttes dans la bouche de cet asticot, faisait qu’il était rassasié pendant deux heures. « J’ai ajouté un peu d’alcool avec pour le faire dormir et voilà le résultat ! » soulignai-je en la poussant pour, sans gêne aucune, entrer dans le bâtiment des Cabot. Quoi ? J’allais quand même pas rester dehors sous la pluie qui menaçait à tous moments de tomber !

acidbrain
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sacha & everest
Son comportement me révulse. Il le fait exprès c'est pas possible ! S'il ne sait pas s'occuper d'un simple poupon, alors ça en dit long sur lui. Je le dévisage quand il hésite sur sa réponse. Il a fumé ou quoi ? Avec une chevelure aussi dense et sans entretien, on ne peut qu'avoir à faire à un drogué en puissance. J'ai un autre haut le coeur quand il avoue avoir mélangé de l'alcool au lait de synthèse. Sans gêne, il me bouscule pour entrer dans la cabot house. Je reste immobile et choquée un instant avant d'entrer à mon tour dans la maison. Je berce le gosse qui finit par se calmer et ronronner comme un chat. Je referme la porte derrière moi et je m'avance dans le hall avec prudence. Il fait noir, je n'aimerais pas renverser quoique ce soit et réveiller mes soeurs. " Pssst ! Oh, aucun bruit ok ? " murmurais-je en colère. Je presse le pas et attrape fermement le bras de Sachka. " Suis-moi, sois un adulte un peu " continuais-je en trainant mon deuxième gosse dans les escaliers. Je ne sais pas comment je vais me sortir de ce pétrin, ce devoir commence à me courir sur le haricot. Il savait qu'on était pas en couple le prof merde. Enfin arrivée à l'étage, je marche sur la pointe des pieds pour rejoindre ma chambre tandis que le jeune homme à mes côtés ne se gêne pas pour faire couiner ses semelles. Je soupire une fois de plus et m'arrête une fois devant ma chambre. " Aller rentres ici " dis-je en dévoilant ainsi mon intimité à un quasi inconnu. Harvard m'aura fait faire de sacré sacrifices. J'allume mes lampes d'appoint et dépose le bambin sur ma couette. " Maintenant, on fait comment ? Il va falloir que tu fasses des efforts " balançais-je en croisant mes bras sur ma poitrine, gênée de la tenue dans laquelle je me trouve face à ce fou alcoolique.
electric bird.

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Minute papillon rose, ma tignasse rousse était peut-être effectivement un croisement entre un pétard explosif et les poils d’un caniche, mais ils n’étaient pas « sans » entretien. C’est juste qu’ils étaient « incoiffables », et qu’en plus de ça, j’ai horreur qu’on s’approche de mes magnifiques boucles emmêlées avec une paire de ciseaux en main. Fort heureusement, le « bébé » finit par se taire. Heureusement, car un accident est si vite arrivé. Non sérieusement, je n’aurais pas pu supporter ses cris plus longtemps. Et dire qu’en plus nous on en avait un faux, vous imaginez ceux qui ont des « vrais » ? Je comprends pourquoi on parle de baby-blues ou de dépression nerveuse après l’accouchement. « Pffff !! » ruminai-je lorsqu’elle me demande de ne pas faire de bruit. Tu me prends pourquoi, un hippopotame ? Et puis, me dis pas ça à moi mais au truc à piles que t’as dans les bras. Lui, il s’en fiche de faire du bruit, mais il s’en fiche VRAIMENT ! « Pardon ? » Et en plus elle ose me traiter comme un gosse ? « Me touche pas. Et me parle pas sur ce ton si tu veux pas que je rameute toute la baraque ! » Très mâture, effectivement. Mais après tout, ce n’était pas moi qui avais décidé de ce foutu devoir ! J’avais d’autres problèmes bien plus graves à gérer en ce moment, comme mon…seigneur le simple mot me donne des vertiges - …mariage récent avec Sharon Francescov. Tous les jours depuis cette date fatidique je me répète que je ne suis qu’un imbécile. Je me suis même fait la promesse de ne plus boire un seul verre provenant de mes « soi-disant » amis. « Trop aimable. » J’entre finalement dans la fameuse chambre rose, lâchant un soupir de dépit au passage. « Quoi ? Que MOI je fasse des efforts ? Parce que mad'moiselle sait mieux s’en occuper de ce…ce…cette espèce de… CE TRUC !?!! » Je ne sais même pas ce que c’est au juste, mais je suis en pétard à cause du ton moralisateur de Everest. « J’te rappelle que c’est pas moi qui voulais qu’on soit ensemble ou qui ais eu l’idée de jouer les maman papa pendant une semaine hein, alors si t’as des doléances, vas voir le prof et fous-moi la paix j’ai assez de soucis comme ça ! » hurlai-je presque dans la chambre avant d’aller m’affaler contre un mur, bras croisés sur mon torse, à la regarder dans le blanc des yeux dans l’attente du prochain commentaire. « En plus, j’vois pas c’que tu m’reproches. Au moins je l’ai ramené en un seul morceau. » repris-je avec sérieux. Bah quoi ? J’aurai pu le balancer contre une voiture, c’est vrai !

acidbrain
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Je rêve, c'est quoi ce type ? Il n'a pas grandi dans une bonne famille, je dois me calmer. Ce n'est pas de sa faute s'il est si... impoli. Parfois les préjugés s'avèrent justes. Je le relâche face à son comportement explosif. Je n'ai pas envie de crever ce soir. Je déteste craindre un homme, mais là, j'ai peur pour mon intégrité. Je laisse entrer Sachka dans ma chambre et je n'ai pas le temps d'emmitoufler le gosse en plastique dans la couette qu'il m'hurle dessus avec sa voix rauque. Je crois que mes yeux ont failli tomber et rouler sur le parquet. J'hallucine, comme si c'était de ma faute si on avait ce devoir de merde. Son ton m'effraie. Il reprend et sa phrase me fait simplement pouffer de rire. Il ne se rend pas compte de sa désinvolture, il est innocent au fond. " T'es vraiment un cas social tu sais ? " je me dirige vers mon petit frigo et y sort deux bières. Je les décapsule sur mon bureau et en tend une au jeune homme. " Ça va te calmer, ça marche toujours avec moi " je joue déjà la maman d'un gamin sans âme, maintenant je suis mère pour deux. Bon, une vraie mère n'aurait pas donné d'alcool à son gosse m'enfin, il est vieux celui-ci. J'embrasse le goulot de la bouteille et bois une première gorgée en allant m'asseoir au bout de la pièce, face à Sachka, par terre. Je retire mes chaussons et remue mes orteils vernis. Est-ce que je continue de le malmener ou bien je tente autre chose ? Après tout, il est peut être intéressant si on creuse. Certes, une pelle ne me suffira pas pour déblayer sa connerie mais je suis armée d'une pelleteuse, ça devrait le faire. " Alors, ça roule la fac, les amours, toussa ? " lançais-je innocemment.
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« Un quoi ? » soupirai-je alors que ma colère commençait à peine à retomber au ras des pâquerettes. Moi et les expressions américaines, si elle savait. Je n’étais pas aux Etats-Unis depuis un an et j’avais pris apprentissage de la langue anglaise en mineur, ce n’était pas pour rien. « Génial, j’suis en couple avec un mère alcoolo en plus. » soufflai-je en attrapant la bière qu’elle me tendait sans pour autant la boire. « Merci, mais non merci. » Ca partait d’un bon sentiment, j’en suis sûr, mais si elle m’avait demandé avant, je lui aurais dit que je ne pouvais pas boire d’alcool, même si ce n’était pas l’envie qui me manquait parfois. Quoiqu’il en soit, j’espérais qu’elle n’avait pas mal pris mon sens de l’humour. Evidemment que deux bières dans son frigo ne fait pas d’elle une alcoolique, mais j’avais dit ça histoire de détendre l’atmosphère que j’avais contribué à faire refroidir peu de temps auparavant. Je sais pas trop quoi ni pourquoi, mais il y a toujours quelque chose de sexy dans l’image d’une femme en train de dévisser le bouchon d’une bière et de porter sa bouche au goulot. Les hommes manquent carrément de charme quand ils le font, alors qu’une femme…ça donnait presque envie d’être à la place de la bière à sa façon de la boire et de la tenir. Fronçant les sourcils alors j’étais en pleine contemplation de la décoration kitsh de la pièce, je l’observe avec un intérêt mêlé avec de l’amusement lorsqu’elle reprend la parole. « C’est une question piège ou quoi ? Tu veux vraiment qu’on parle de ça ? Maintenant ? Surtout qu’on se connait même pas toi et moi. » argumentai-je en ricanant, comme si l’idée même était stupide. Quoique, c’était peut-être sa façon à elle de faire les présentations, en un sens. Allez, fais un effort pour une fois Sach’. Gros soupir, avant de commencer. « La fac ça va, les cours sont pas trop compliqués même si j’ai envie d’arracher la tête de certains profs. Les amours… » Le temps d’une hésitation, d’un nouveau plissement du front et d’un regard mauvais en direction d’une chaise –tout était de la faute de cette chaise !- et j’articule dans un grognement. « …ça va moins bien, mais ça va pas tarder à changer. » Fin des questions à mon sujet, pour ma part, j’en avais déjà trop dit pour une seule soirée. « Et toi alors ? » lui demandai-je, l’air à la fois curieux et pensif.

acidbrain
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