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Gabiddy ◘ Hello darkness

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Je n’oublierai jamais ce SB, le deuxième auquel je participe et je me suis jamais sentie aussi transparente de ma vie. Quand il y’a eu cette accident et que je me suis retrouvée la tête plongée dans l’eau j’ai appelé au secours et personne n’est venu me secourir. Je me suis débrouillée seule comme toujours pour sortir de l’eau. Pendant ma courte période à l’hôpital j’ai eu la visite d’une seule personne Gabriel. Je sais qu’il est venu car Zoya faisait parti de la liste des blessées mais je ne peux en rien lui reproché d’être venu me voir. Malgré la relation compliquée que nous avons parfois je me dis qu’il est la seule personne qu’il me reste. Je n’ai aucune nouvelle de ma meilleure amie depuis des lustres ( ouais elle craint Gabiddy  ◘ Hello darkness  3861440630 ) je me sens tellement seule. De toute manière je vais bientôt mourir donc au final ça ne change pas grand chose que je sois seule mais quand je fais le bilan de ma vie je réalise que je n’ai quasiment rien de positif. La femme pleine d’ambition que j’étais à laissé place à une femme perdu cherchant sa place dans la société. J’ai toujours cru que j’allais devenir quelqu’un d’important et voir qu’au final je n’ai d’importance pour personne me fait mal. Je ne devrais pas me plaindre au final j’ai ce qu’il faut dans ma vie, un toit sur la tête de l’argent et une fille mais non ça ne fait pas tout. Je rentre du SB avec Gabriel et Zoya. J’ai cette désagréable impression de tenir la chandelle tout le voyage. Qui aurait cru qu’un jour je servirai de chandelle à l’homme que j’ai tant aimé et sa copine. Il ont l’air plutôt bien ensemble. Je suis heureuse lui qui ne croyait plus à l’amour. Après avoir déposé Zoya sur le chemin chez elle, Gabriel et moi nous dirigeons vers son appartement pour que j’aille récupérer ma fille. Je n’ai jamais autant passé de temps sans la voir et elle me manque cruellement. Arrivée devant la porte de l’appartement de Gabriel je remarque qu’elle est ouverte c’est très étrange « Tu as laissé ouvert ? » Je rentre Gabriel et  une scène d’apocalypse me saute aux yeux.  Il y’a des affaires partout par terre, du sang sur les murs. Du verre brisé rend l’accès au salon très difficile.  La panique m’envahit de plein fouet, ou est ma fille ? Dans le salon une jeune femme est ligotée sur une chaise face à elle un homme qui doit au moins faire deux fois ma taille. Ma main se plaque sur ma bouche c’est la babysitter. Mon regard se tourne automatiquement vers Gabriel. Incapable de parler je sens que quelque chose ne va pas. Bordel ou est ma fille ?
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Jamais je n'aurais dû laisser partir Zoya à ce SB. J'avais encore une fois, faillit perdre la femme que j'aime. Durant le trajet du retour, alors qu'elle s'était endormie dans mes bras, je m'étais posé de nombreuses questions. Est-ce que j'étais maudits ? Est-ce que les femmes que j'aimais était tenues à un destin funeste ? Mon regard s'était porté sur Teddy et ma réponse était évidente : Oui. J'avais eu beaucoup de sentiment pour cette femme, peut être pas amoureux mais elle serait à jamais la mère de ma fille, celle qui m'avait donnée donnait le plus beau cadeau. Des pensées assez sombres s'étaient immiscées dans mon esprits, cependant, je n'étais pas au bout de mes peines. Une fois arrivé à Cambridge, nous avions laissé Zoya chez sa demie soeur, surement pour prendre de ses nouvelles ou tout simplement passer du temps avec elle puis Teddy et moi étions rentrés à Boston pour voir notre fille.  Tu m'appelles quand tu veux rentrer, je viendrais te chercher dis-je à Zoya. Oui, depuis peu, elle avait posée ses bagages chez moi, qui était devenu tout simplement un chez nous. Je suis content que tu n'es rien tu sais ... enfin t'es une femme forte tu sais Teddy   j'hochais la tête à mes paroles, je n'avais pas beaucoup parlé durant le trajet voir pas du tout, seulement des réponses courtes ou bien des hochements de tête. Je n'en avais pas ressenti le besoin, ni l'envie. Une fois à mon étage, je remarquais la porte ouverte, chose qui me fit froncer les sourcils. Pourquoi ma porte était ouverte ?  Bien sûr que non ... je l'ai fermée. C'est surement la baby-sitter je reniflais en passant devant Teddy, on sait jamais, puis là, une vision d'effroi s'éparpillée devant notre regard. Un instant, je restais paralysé devant la porte. Je regardais l'entrée le coeur battant. Merde que s'était-il passé ? Avais-je été cambriolé ? Où est Joey ? Il y avait des traces de sang, des verres brisées, des meubles cassés et des coussins éventrés. Cependant, ce qui attirait mon attention fut la baby-sitter attaché dans le salon et surtout une voix. Je me penchais un peu pour voir un homme vêtu de noir. Aussitôt, j'attrapais Teddy dans mes bras plaquant ma main contre sa bouche, par dessus la sienne pour qu'elle ne fasse pas de bruit. Viens, il faut que j'aille dans ma chambre   murmurais-je tout doucement. Je trainais Teddy avec la plus grande discrétion jusque dans ma chambre pour prendre une arme dans ma table de nuit.  Surtout tu bouges pas, tu restes là et surtout ne fait aucun bruit dis-je en chargeant mon arme. L'adrénaline semblait couler dans mon réseaux sanguin mais aussi nerveux. Les palpitations de mon coeur semblaient guider mes pas. La gorge sèche, j'avais l'impression de faire un bond dans le passé, un soir dans les favélas de Rio.  Doucement, je longeais le petit couloir, l'arme devant le visage, prêt à tirer sur cet homme qui retenait en otage la jeune baby-sitter mais surtout ma fille. Je voyais rouge, noir, je n'avais plus aucune notion de ce qui pouvait être le bien ou le mal en cet instant seul la haine guidée mes actes et mes pas. Je profitais que l'homme se pose sur une chaise, surement au téléphone avec le commanditaire, peut être que le retour du jet de l'entreprise n'était pas passé inaperçue. Rapidement, j'arrivais par derrière pour braquer mon arme sur la tempe de l'homme cagoulé. Poses ce téléphone   ma voix était dure, sévère, sans un seul trémolos pouvant laisser entrevoir la panique qu'au fond j'éprouvais. Merde ma fille ! J'AI DIS POSE CE PUTAIN DE TELEPHONE JE VAIS PAS LE REPETER   l'homme le fit mais dans un geste vif, il me donnait un coup dans les côtés chose qui me fit me plier instinctivement. Mon arme tombait, la sienne était sur la table basse. Les coups étaient insatiable, crochet, coup de pied, coup de poing, le sang coulait, le mien comme le sien jusqu'à ce que je réussisse à prendre le dessus. OU EST MA FILLE ?! les mains sur son col je le cognais contre le sol alors que le sang baignait ses lèvres.  REPONDS MOI ! OU EST JOEY ?! Il me disait un nom, un nom que je ne connaissais pas et qui ne me venait pas en tête, mais cet instant de flottement ne dirait que le temps d'un battement d'aile de papillon avant que je ne me prenne un coup et que je puisse reprendre le dessus. Mes coups ne s'arrêtaient que lorsque l'homme qui était sous mon poids ne tombe inerte contre le plancher. Merde, je venais de le tuer.
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Non je ne suis pas une femme forte, je suis une lâche, une femme qui laisse ses sentiments l’envahir et dicter sa vie. Je suis exactement la femme que j’ai toujours détesté : faible et prompte à écouter ses sentiments. Mais je préfère laisser Gabriel penser que je suis une femme forte. Non pourquoi le détromper si il veut croire à ces conneries tant mieux pour lui. Moi je sais ce que je suis et je sais à quel point j’ai voulu mourir là dans l’eau. La porte de l’appartement de Gabriel est ouverte et en voyant la scène d’horreur qui se déroule devant mes yeux. La nourrice est attachée et un homme lui parle. Il y’a un flingue sur la table et du sang partout. Rapidement Gabriel me plaque la main sur la bouche pour m’empêcher de hurler et il fait bien. J’ai le coeur qui bat à 1000 ailleurs. Mais putain dans quelle merde nous sommes ? Je suis Gabriel dans sa chambre et je le vois tirer une arme de je ne sais ou. « Putain mais tu as un flingue » Dis-je les yeux ronds comme les soucoupes. Depuis quand il a un flingue ? J’aimerai lui dire que c’est super dangereux surtout avec notre petite mais justement notre petite à disparu. Il me demande de rester là mais c’est hors de question «  Tu vas avec cette arme faut appeler là police » Dis-je d’un ton sec. Je n’ai même pas envie de pleurer je veux qu’on retrouve ma fille. Gabriel me laisse là  et je colle mon oreille contre la porte pour essayé d’entendre. Je ne distingue pas forcément ce qui ce passe mais je sais que les deux hommes sont en train de se battre. Du coup je sors rapidement de la chambre pour rejoindre Gabriel dans le salon. Putain de bordel Gabriel est sur le mec qui est en sang. Il y’a des armes par terres et l’homme a les yeux fermés. Très vite je me dépéche de libérer la nourrice « Vite allez y partez » Dis-je à son attention jusqu’a ce que je vois que l’homme ne bouge vraiment plus « Ne dites rien de ce que vous avez vu » L’homme ne bouge plus mais je n’ose pas poser la question car j’ai peur de la réponse. « Gab est-ce que tu .. » Non je ne peux pas finir ma phrase.  « Ou est notre fille » Dis-je à l’intention du jeune homme. Calme il faut que je me calme.
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Tu n'appelles pas les flics, je m'en charge dis-je en me penchant vers son visage, l'air dur et dangereux. Mes yeux ne trahissaient aucune peur et aucune porte de sortie. Non, elle n'allait pas appeler la police, sinon, elle risquait d'envenimer les choses. Une fois dans le salon, tout s'enchainait rapidement. Les coups volaient, le sang coulait et finalement sous l'adrénaline de l'instant, sous la peur et la rage une vie venait de s'éteindre. La sienne. Assis sur lui, je continuais un instant jusqu'à entendre la voix de Teddy. Je m'arrêtais, regardant mes poings et cet homme qui gisait au sol. Son sang était e train de tâcher mon tapis. Merde. Autour de moi, tout semblait flou, la voix des filles ne me revenait pas en tête, mon esprit était concentré sur cet homme inerte dont le dernier souffle avait expiré. Donnes lui ... donnes lui de l'argent Teddy dis-je d'une voix un peu perdu et rauque prenant peu à peu conscience de ce que je venais de faire. Je regardais mes mains qui étaient en sang. Le sien et le mien. Un instant, je restais bloqué dessus, alors que Teddy venait de faire un chèque à cette femme avec mon chéquier comme je le lui avais dit. Puis , la mère de ma fille venait vers moi. Je ne répondais pas à ce qu'elle me demandait, je me levais d'un air un peu perdu. Je ..je dois me laver les mains dis-je comme un automate alors qu'elle me suivait dans la salle de bain. Je nettoyais aussi mon visage plein de sang, merde, il m'avait bien amoché aussi. Il a dit un nom, un nom que je connais... on va lui rendre visite au Qatar dis-je en attrapant la trousse de secours que Zoya avait faite pour la tendre à Teddy afin qu'elle me soigne. Faut que j'appelle Zoya .. pour .. pour le corps et pour lui dire de ne pas venir est-ce que Teddy savait pour la famille mafieuse de Zoya ? Je n'en sais rien, je n'avais pas l'esprit assez clair en cet instant. Ma fille avait disparue et je venais de tuer un homme de mes mains.
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Putain c’est pas possible il n’y a rien qui va. J’ai l’impression de vivre un cauchemar ce n’est pas possible. Il y’a cet homme dans le salon couvert de sang et Gabriel couvert de sang également mais pas le sien. Je ne sais pas quoi faire je pourrai rester paralyser par la peur mais poussée par l’adrénaline je me retrouve à essayer de trouver une solution. Je fais un chèque à la nounou afin d’acheter son silence. Elle parle et c’est terminé pour nous. J’ai l’impression d’être dans un film dramatique ou tout va très vite. Gabriel me parle du Quatar de Zoya mais j’avoue que je n’ai clairement pas l’esprit à l’écouter. « Je veux retrouver ma fille » Dis-je d’une voix de robot tout en essayant de soigner les quelques blessures de Gabriel. J’essaie de ne pas lui faire mal mais nettoyer le sang sur lui me donne envie de vomir. J’ai la tête qui tourne je réalise encore mal ce qui vient de se passer. « Il faut retrouver Joey » Je crois que cette phrase tourne en boucle dans mon esprit si bien que je suis incapable de sortir autre chose. Dans ma tête des tonnes de pensées plus terribles les unes que les autres me font tourner la tête. Après avoir soigné Gabriel je range la trousse « Je vais réserver deux billets d’avion il faut que tu te lave.. » Oui il a besoin de prendre une douche et se nettoyer de tout ça. De mon côté j’évite de me retrouver au salon. Je chope quelques affaires de Gabriel et je retourne dans la salle de bain pour lui donner. Une fois prêt nous prenons soin de fermer la porte à clés et grimpons dans un taxi pour nous rendre à l’aéroport. Je pense que ni lui ni moi avons envie de parler si bien que le voyage se fait dans le plus grand des silences. Je n’arrive pas à dormir dans l’avion. C’est dingue encore quelques heures avant j’étais déjà dans l’avion.. Gabriel a l’air aussi perdu que moi. J’attrape sa main pour la garder dans la mienne pendant tout le voyage. J’en ai besoin tout autant qu’il en a besoin. Une fois arrivé au Quatar nous récupérons rapidement nos affaires, maintenant c’est quoi la suite ? j’en ai aucune idée. « Qu’est-ce qu’on fait maintenant » Il faut aller vite il faut retrouver notre fille.
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Elle n'arrêtait pas parler. De répéter qu'il fallait retrouver Joey comme un automate. Mes prunelles se posaient sur elle sans pour autant la voir. Un instant, je restais là, espérant que le vent vienne balayer mes idées, vienne balayer ce qu'il venait de se passer. L'idée de me pincer me traversa l'esprit. Est-ce que c'était un putain de cauchemar ? Tout ceci ne pouvait pas être réel si ? Je fermais les paupières, fort, encore plus fort pour mais lorsque j'ouvris de nouveau les yeux, la réalité s'imposa à moi. C'était réel. Le sang roulait toujours sur mon visage, mes poings, gouttant sur mon tapis d'un blanc immaculé. Les petites mains de Teddy s'évertuaient de me soigner mais je ne ressentais pas son contact, je ne ressentais rien. Ma fille. Ma fille avait disparu ! Cependant, je revenais à la réalité en entendant la porte de l'appartement se fermer. La nounou était partie. Ouai ... t'as peut être raison dis-je en essuyant d'un revers de la main le sang qui coulait d'entre mes lèvres. C'est par un automatisme nonchalant que je me dirigeais vers la salle de bain mais mon coeur dégoulina de ma poitrine lorsque je passais devant la porte de Joey. Un bruit sourd raisonnait. Mon poing venait de s'abattre contre la porte y laissant la marque de ma douleur comme emprunte. La tristesse n'avait pas encore atteint mon système, la haine me faisait respirer, vivre. Une fois sous la douche, les bienfaits de l'eau ne coulaient pas sur ma peau. Je restais là, un instant, seul en essayant de me remémorer les dires de l'homme vêtu de noir et à présent mort dans mon salon. Je connaissais l'homme dont il m'avait parlé ... peu à peu mon esprit s'engourdissait sous le poids de l'absence, sous la résonance de la réalité et c'est Teddy qui venait me tirer de la douche. Après cela, tout s'enchaina rapidement tant que je n'eu pas le temps de considérer les mouvements, les pas que j'étais en train de faire. Teddy m'avait entrainé sans vraiment que je ne m'en rende compte, complètement amorphe par ce qu'il venait de se passer. Les jointures de mes doigts me faisaient mal, je les pliaient, les dépliaient pour ressentir toute la vivacité de la douleur mais aussi la rage m'envelopper dans ses bras d'acier. Je serais son soldat. Sans que je ne m'y attende, Teddy attrapait ma main libre pour la serrer dans la sienne. Mon regard plissait se tourner vers elle, je pouvais sentir l'aura de la peur planer au dessus de sa tête. La mère par excellence alors d'un geste compatissant je la ramenais contre mon torse en laissant mes doigts caresser ses cheveux. Joey avait les mêmes. Nous ne parlions pas, nous n'en avions pas besoin, je me contentais de boire le verre de whisky que l'hôtesse m'avait apporter tout en réfléchissant, tout en élaborant un plan. Il fallait qu'on se prépare, nous ne pouvions pas y aller sans armes. Puis je ne pouvais pas laisser Teddy m'épauler dans ce combat ci. On va se prendre une chambre, on va réfléchir et se poser, je peux pas y aller tête baisser. Il est évident que tu resteras dans la chambre d'hôtel Tedddy. J'veux pas qu'il t'arrive quoique se soit, si jamais il devait arriver quelque chose, tu seras là pour elle
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Je ne connais pas la suite du programme et Gabriel non plus il a raison nous avons besoin de nous poser afin de trouver la suite logique de l’histoire. Par contre il est hors de question que je reste dans la chambre d’hôtel pendant qu’il va faire je ne sais quoi. « Tu as raison nous devons réfléchir avant d’agir » Je ne veux pas lui dire pour le moment que je ne veux pas rester dans la chambre d’hôtel sinon il va s’énerver et nous avons besoin de nous reposer un peu afin d’avoir les idées plus clairs. Cette situation me rend dingue. J’ai tellement peur que j’ai l’impression que mon coeur à cesser de battre de ma poitrine depuis que ma fille à disparu. Je n’arrive toujours pas à analyser les choses. Gabriel a tué un homme.. rien ne sera plus jamais comme avant. Nous étions déjà lié tout les deux par notre bébé mais maintenant nous sommes liés par un terrible secret qui me glace le sang. Le reste du voyage ce fait en silence. Ni l’un ni l’autre n’avons envie de parler. Lorsque nous arrivons enfin à destination je demande au taxi de nous amener au premier hôtel sur la route. J’ai peur, j’ai terriblement peur. Une fois dans le hall de l’hôtel nous réservons une chambre pour la nuit je ne sais même pas combien de temps nous allons rester ici. Nous montons rapidement dans la chambre que nous avons réservé. Une fois la porte fermé à double tour je vais m’assoir calmement sur le lit « Est-ce que tu sais qui nous devons voir ici ? » Je suis perdu je ne sais ni quoi faire ni comment réagir. Je n’ai pas envie d’être envahissante mais je veux pouvoir aider. « D’ailleurs avant que tu parles j’aimerai que tu m’écoutes attentivement d’accord ? Ce qui c’est passé tout à l’heure n’affecte en rien l’homme que tu es Gabriel. Je ferai ce qu’il faut pour récupérer notre fille quitte à recommencer je tuerai n’importe qui se mettra en travers de notre chemin. » Je veux qu’il sache que rien ni personne ne m’empêchera de retrouver mon enfant. « Il faut élaborer un plan et tu vas avoir besoin de moi je sais que tu n’as pas envie que je sorte mais c’est peut être le seul moyen de retrouver Joey. Toi ils te connaissent moi non. Il faut que je serve d’appas que je me rapproche afin d’obtenir des informations » J’ai vu ça dans les films et maintenant c’est la réalité. Je pense pas que Gabriel accepte mais je ne vais pas lui laisser le choix. « Il nous faut des vêtements. Des vêtements moins voyants que ça  sauf si je joue les appâts dans ce cas il va me falloir beaucoup plus que ça » Lui dis-je car avec nos vêtements normaux c’est même pas la peine d’essayer faire quelque chose.
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