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GRIMFORD ♚ " You do have some say in who hurts you, i like my choices. "

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Aujourd'hui j'avais invité Nemo à me rendre visite, je voulais passer ma soirée avec lui ce soir, j'avais besoin d'éclaircir certaines choses, de lui faire comprendre d'autres choses aussi, en fait il ne pouvait tout bonnement pas être gay. C'était juste impossible à avaler pour moi, je ne comprenais pas ni comment ni pourquoi on peut être attiré par une personne du même sexe, deux hommes en plus, mon dieeeeu.. Je secoue la tête pour m'enlever ces idées atroces de l'esprit, il n'était pas gay et ça tu feras en sorte qu'il l'imprime bien au fond de sa tête. Il ne pouvait pas faire subir ça à sa famille, dénigrer autant les Eliots quoi que maintenant c'était devenu des plus banales, cette maison coule comme le titanic j'ai l'impression. Où étaient passés les vrais principes fondamentaux de cette maison ? Disparus ? Aux oubliettes. Nemo est ton ami, son bonheur compte pour toi mais pas si son prix en est trop cher, pas si son bonheur écrase la femme que tu es. J'étais prête depuis une bonne demi heure, j'ai sortis une bouteille de vin au prix aussi élevé qu'une paire de Louboutin et, j'avais laissé sa soirée à ma femme de ménage. Je voulais être seule, en tête à tête avec Nemo ce soir. Une robe, classe, couleur beige sur le dos, je regarde tout autour de moi pour voir si je n'avais pas manqué un détail, de nature très maniaque et minutieuse je voulais que tout soit parfait. Un bruit court et aigu résonne dans toute la pièce et me fait sursauter. Je regarde à l’œillet où je découvre rapidement le visage de Nemo. Je m'empresse de lui ouvrir la porte en affichant un large sourire. - Bonsoir toi ! Je m'approche de lui avec élégance pour lui déposer un petit baiser amical sur sa joue. - J'espère que tu m'as ramené des fleurs avec toi.. Je recule et le dévisage quelques secondes avant de reprendre. - On ne vient pas chez une femme sans bouquet de fleurs, tu dois le savoir non ! Un sourire narquois se dessine sur mon visage pour finalement m'écarter du chemin pour le laisser entrer. - Tu connais la maison, fait comme chez toi ! Je referme la porte juste derrière lui avant de le suivre jusqu'au salon.
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❝ You do have some say in who hurts you, ❞
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Tu tentais de ne pas te mettre la pression pour ce soir. Être en compagnie d'Hippolyte... C'était toujours intéressant, et en même temps, elle avait une fermeture d'esprit qui parfois te faisait reconsidérer votre amitié toute entière, si bizarre et improbable lorsqu'on te connaissait. Vous vous ressembliez sur certains points, et puis il y en avait d'autres où vous étiez de véritables pôles opposés, comme sur ta sexualité en général. T'espérais ne pas avoir à t'expliquer encore une fois, t'espérais pouvoir passer une soirée tranquille avec elle, à parler, à commérer, mais t'étais pas en forme pour les intenses débats et les explications sur ce qui faisait toi toi. Mais comme à chaque fois que tu avais rendez-vous avec elle, t'avais toujours un peu d'appréhension, rêvant du jour où elle laissera tomber ses préjugés et qu'elle te laissera tranquille avec tes relations amoureuses. Bas de pantalon, chemise blanche impeccable, tu garais ta Maserati en bas de son immeuble et tu montais les étages avant de sonner à sa porte, qui s'ouvrait quelques secondes plus tard. « Heeey. » Tu la saluais alors qu'elle venait embrasser ta joue, et tu faisais de même, avant de la détailler quelques instants de haut en bas, elle qui était dans une belle robe. « J'aime comme t'es toujours la plus apprêtée, heureusement qu'on monte pas les marches du festival de Cannes, j'imagine pas comment tu t'habillerais pour l'occasion. » Tu lâchais dans un petit rire, avant d'arquer un petit sourcil amusé quant à son remarque sur les fleurs, et de lui tendre une pervenche bleue et une tige d'acacia rose. « Un bouquet, ça faisait un petit peu trop. Je préfère en prendre peu mais les choisir avec attention. » Tu avouais en haussant tes épaules, puisque tu adorais vraiment tout ce qui se referait au langage des fleurs. Elle te laissait finalement entrer et tu la laissais refermer la porte derrière elle, allant jusque dans le salon. « Je connais un peu trop bien oui. » Tu taquinais, avant de voir sa bouteille de vin posée sur la table basse. « Tu comptes me rendre saoule ? » Tu demandais en posant tes yeux moqueur sur elle.
© LOYALS.
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Nemo venait d'arriver chez toi, je souris en voyant le visage de mon ami faire son entré, bien entendu que j'étais contente de le voir malgré les multiples désaccords qu'il y avait entre vous. J'avais une façon de pensé et lui la sienne, c'était beaucoup trop dur pour moi d'accepter ces actes, c'était vraiment plus fort que moi, je sais très bien que la discussion tournera à un moment ou à un autre sur ce sujet précis et, je sais aussi que je n'en démordrais pas, je ne savais pas comment ça finirait par contre.. J'étais vraiment prête à tout pour mettre fin à ce couple minable et ridicule, c'tait juste avide de sens, Nemo se devait d'être avec une femme digne de ce nom et pas avec.. Avec un homme. Je mettrais toute les chances de mon côté pour parvenir à mes fins même si cela doit dire que je fasse glisser une vilaine pastille dans son verre, envoyer une petite femme facile à le dévergonder et prendre des clichés spéciaux pour Graham. C'est pas comme si je ne l'avais pas fait une fois.. Tu lâches un petit rire suite à se remarques, je tire légèrement sur le tissus de ma robe. - Si on doit monter les marches du festival de Cannes ma robe sera d'un tout autre level, rien à voir avec ce tissu ! Ce n'était qu'une robe ancienne qui traînait quelque part dans ton placard, puis c'était Nemo t'avait pas à sortir le grand jeu non plus. A la suite de ma remarque il me tend des fleurs, on aurait dit qu'il venait des les cueillir dans mon jardin mais, la tige d'acacia rose était juste sublime, d'autant plus que le rose était ma couleur préférée, quelle cliché mon dieu, blonde, qui aime le rose, une barbie des temps modernes.. Je les prends en main en humant leurs odeurs. - M'bon je te pardonne on va dire que tu as de bons arguments, tu t'en sors bien mais la prochaine fois je veux un grand bouquet. J'avais une mine d'enfant pourrie gâtée que j'étais collé au visage, qui veut tout, tout de suite. Je le laisse avancer vers le salon tout en suivant ses pas de près répondant à sa remarque par un sourire. Depuis que j'ai mis les pieds ici, je crois bien que #Nemo était venu un nombre incalculable de fois, en même temps je me sens tellement seule ici. Je pars à la cuisine mettre les fleurs dans un vase avant de revenir rapidement en entendant ses propos, mon regard se pose alors sur la bouteille de vin encore fermé. - C'est ça, je veux abuser de toi ce soir, je peux ? Le ton de ma voix était mi-sérieux mi-ironique, avec un air aguichant sur le visage.
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Tu ne savais pas trop comment vous étiez devenus amis au final. C'était d'ailleurs très difficile à y croire si on connaissait chacune de vos personnalités, et on finirait par te demander souvent le pourquoi tu allais jusqu'à t’infliger sa présence, le pourquoi tu l'acceptais dans ton cercle d'ami quand à première vu elle n'avait aucun points communs avec toi – ou si peu. Et peut-être qu'au fond de toi, t'espérais la faire changer. Peut-être que t'espérais qu'elle finisse par t'accepter entièrement, sans chichi, si elle se désignait comme véritablement ton amie. Et peut-être que tu avais des espérances trop hautes, des rêves trop beaux, et que tu allais droit dans le mur, que tu fonçais pour une nouvelle fois te casser la gueule contre le sol en gravier, et que t'allais avoir mal, comme à ton habitude – pour une amitié à sens unique. Tu riais à sa réponse sur sa robe, qui serait bien plus majestueuse si elle foulait un jour le tapis rouge. « Je suis sûr que tu serais capable de te vêtir d'une robe en viande façon Lady Gaga pour te faire remarquer. » Tu soupçonnais, tes yeux légèrement plissés, l'imaginant déjà dans cette robe si originale et controversée. Tu lui tendais ensuite les deux petites fleurs, et c'était sûr que c'était loin d'être très chic donné comme ça, sous ce nombre réduit. Mais tu ne voyais pas l'aspect du bouquet mais plutôt les fleurs en elles-mêmes – t'irais jamais lui offrir une ribambelle de roses rouges par exemple. Là c'était plutôt simple et bien, l'acacia rose pour son élégance, et la pervenche bleue pour votre amitié naissante. « On verra si tu le mérites. Et quelles fleurs devraient composer ce bouquet. » Tu sentais bien qu'elle allait vouloir te ruiner en fleur la nana – heureusement que c'était comme une passion pour toi. Elle allait mettre tes fleurs dans un vase et pendant ce temps tu observais dans le salon la bouteille de vin, et tu éclatais de rire à sa réponse sur son envie d'abuser de toi. Tu levais tes mains en l'air en signe d'innocence, et tu secouais légèrement ta tête de droite à gauche, un petit air désolé mais amusé sur ton visage. « Malheureusement... Je ne pense pas que ce soit permis, non. Puis ce serait triste, que tu me fasses boire comme un vulgaire Mather... » Tu répliquais, l'air entendu – peut-être que la mention des verts lui donnerait moins l'envie de te faire boire.
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J'étais contente, pour une rare fois je n'allais pas être seule ce soir. Non, faut le dire mon cercle d'ami était très restreint, je ne pouvais compter que sur très peu de personne c'était malheureux mais c'était aussi compréhensible. Je n'étais pas du genre facile à vivre, bien au contraire même. Insupportable la garce. L'un de mes fidèles amis, Nemo était venu histoire qu'on se retrouve un peu tous les deux. Il était allé au Spring Break ce qui n'était pas mon cas, me retrouver entouré d'une bande de déluré de première noooon merci. Du coup j'avais pas trop eu de ses nouvelles et il m'avait un peu manqué je dois l'avouer. Je suppose qu'il avait dû bien être occupé avec l'autre connard.. Juste d'y penser me mettait la rage. - Lady quoi ?! Nemo si tu veux que notre amitié dure encore longtemps ne me compare plus à ce genre de personne.. S'il te plait. Je soupire longuement en faisant la moue. Lady Gaga quoi, c'était pas la bonne personne avec qui me comparer.. J'aurais préféré qu'il m'assimile a Marilyn Monroe ou encore Hillary Clinton, mais pas cette artiste dont on entend plus parler que de son anorexie ou encore de ses tendances dépressives plutôt que de son talent.  Quelle horreur.  - Puis quitte à tuer des animaux sans défense je préfère de loin me vêtir de leur fourrure. Quoi ? C'est vrai je voulais pas ressembler à une entrecôte géante et manquer de me faire attaquer par une horde de clébards des rues. Je lui fais part de mes exigences florales pour notre prochain rendez-vous, tout en allant mettre les deux, trois, médiocres fleurs qu'il m'avait si gentiment offerts dans un vase, histoire qu'elle ne meurt pas en une soirée. Il me répond alors quelque chose qui me faisait froncer les sourcils. Non, ta réponse ne me convient pas Nemo, try again. - Je n'ai pas besoin de prouver quoi que ce soit, et je veux que les meilleures fleurs composent ce bouquet. J'haussais les épaules fièrement en toute arrogance. J'avais le droit et je méritais de loin le meilleur. Je viens alors le rejoindre dans le salon en m'asseyant sur le canapé sans quitter Nemo des yeux. Je mettais les verres à l'endroit histoire qu'on puisse commencer les festivités. - Oh non ne parle pas de sujets qui fâchent.. Mather de merde ! Je ne les aimaient pas, non pas du tout même, j'aimerais les anéantir tous un par un et, d'ailleurs, il faut que je mette en place quelques petites idées pour ça. Leur chute n'était qu'une question de temps. - Puis, franchement, entre nous je ne pense pas être aussi désespérée pour t'inciter à boire pour réussir à parvenir à mes fins. Mes paroles m'arrachent un mince sourire tout en nous servant deux coupes de champagne. - Comment ne pas être consentant ?.. Oui, oui j'étais loin d'être désagréable à regarder. Je me lève, foulant le sol d'une démarche de tigresse je venais lui tendre son verre avec un regard séducteur en prime.
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Cette fille, même sur ses choix musicaux elle faisait la difficile. En même temps tu pouvais comprendre, Lady Gage n'était pas un model de classe et d'élégance, et toi-même tu écoutais d'une oreille distraite quand ses chansons passaient à la radio, sans vraiment aimer et être très fan de l'artiste. Il y avait des tubes que tu étais obligé d'avoir entendu ci et là, mais si on te demandait de décrire ses albums plus en détails, tu ne serais capable de sortir aucun réel adjectif. « Pourquoi ? Tu ne trouves pas que tu serais su-blime dans sa garde-robe de folle digne de la mode du Capitole ? » Tu insistais un peu dans une expression amusée, parce que pour le coup, si la voir en Lady Gaga ce n'était as le top, tu l'imaginais bien dans une variation semblable, avec des couleurs et des designs géométriques ressemblant aux riches du Capitole dans Hunger Games. Peut-être que ça, ça lui ferait plus plaisir comme comparaison... Et encore, après tout, tu ne savais toujours que très peu ses goûts. « Ça fera plus luxueux, oui. » Tu acquiesçais quand elle parlait de porter de la fourrure d'animaux plutôt que leur chair crue – pour le coup, porter un beau manteau de fourrure, même si les mœurs avaient changées contre la cruauté envers les animaux, c'était toujours l'un des signes distinctifs des vieilles mères de familles riches grâce à leur époux. Tu supposais ensuite que tu lui offrirais un plus joli bouquet si elle le mériterait la prochaine fois, et voilà que son expression changeait un peu, et qu'elle te répondait de toute le snobisme qu'elle pouvait trouver en elle. Tu lâchais un petit rire devant ce spectacle – des fois tu te demandais si les eliots qui se comportaient vraiment comme ça même avec leurs amis ne jouaient pas plutôt un jeu pour réussir à être susceptible et ne rien prendre avec humour, et à ton tour, machinalement, tu relevais un peu ton menton en signe de supériorité, un sourire moqueur et amusé sur ton visage. « Et moi, en quel honneur devrais-je t'offrir le meilleur ? Tu n'es pas encore ma femme pour que je doive me plier en quatre pour tes petits caprices. » Tu répondais simplement, haussant dénigrement tes épaules, tes yeux posés sur elle en la détaillant. Des preuves ? Il allait en falloir oui, malgré tout ce qu'elle pouvait prétendre. Tu n'offrais déjà que très peu d fleurs à Graham, et elle n'était qu'une amie pour exiger de toi un bouquet parfait à chacune de vos rencontres. C'était encore toi qui décidait ce que tu souhaitais offrir et quand – puis t'étais un mec égoïste au final, t'aimais la réciprocité, chose que tu étais presque certain de ne pas retrouver des les actes d'Hippolyte. Tu mentionnais les Mathers, et tu finissais par une petite moue de dégoût quand elle parlait de sujets qui fâchent – mais bizarrement, pas pour les Mathers en eux-mêmes. Plutôt pour un sujet similaire qui commençait réellement, depuis quelques petits mois, à te remettre en question quant à tes raisons personnels sur ton choix à entrer chez les Eliots il y a un peu plus d'un an. « Ce ne sont pas les plus fâcheux quand tu regardes. Pas à l'heure actuelle du moins. Avant d'espérer reprendre notre dominance sur eux, il faudrait d'abord arrêter de jouer les hypocrites et entreprendre un nettoyage de la Eliot House qui... Devient un peu trop ouverte. » Oui, c'était toi qui disait ça, oui. Toi qui prônais l'ouverture d'esprit et l'acceptation. Tu le prônais toujours, mais pas de tout. Tu commençais juste à trouver ça risible les activités de groupe avec les Mathers pour espérer générer un conflit, quand on acceptait dans ta confrérie des gens pas très propres sur eux. Ça ne te dérangeait pas de critiquer les autres et de sortir les plus gros stéréotypes possibles pour les dénigrer – mais tu ne faisais pas ça quand ton propre groupe n'était pas d'une perfection stricte. Quand on insultait, on faisait en sorte que ceux d'en face ne puissent rien trouver pour vous descendre. Et à l'heure d’aujourd’hui, avec les Eliots qui viraient alcooliques toxicomanes, ce n'était plus le cas. Elle continuait sur la boisson en clamant qu'elle n'avait pas besoin de te faire boire pour parvenir à ses fins, et qu'avec son physique sûrement, tout le monde pourrait être consentant. Tu ne t'éclatais pas de rire à t'en faire mal au ventre par respect pour elle – elle ne semblait pas apprécier beaucoup les moqueries, tu ne faisais qu'être un bon ami – et tu attrapais la coupe qu'elle te tendait, lui lançant un grand sourire charmant avant d'avaler une petite gorgée. « C'est très facile, détrompe-toi. Je ne suis pas un pauvre attardé dont la bite seule manipule ses actes. T'oublies peut-être que je suis un Grimaldi, j'ai reçu une éducation. » Tu lui disais clairement – et les valeurs de tromperies n'étaient pas les tiennes.
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Okay Nemo Okay, continue sur cette pente glissante et tu finiras au fond d'un ravin, mort tragique accidentelle -oupas- Je grimace face à sa remarque en y prêtant pas vraiment d'intérêt en fait. - C'est pas mon style mais c'est peut être le tient finalement ? Je dis en passant mon regard sur lui de haut en bas comme pour dénigrer sa tenue vestimentaire. Je souris légèrement en tordant la bouche, luxueux ouais c'est sur si c'était pour faire un défilé à la SPA ou un endroit dans le genre. Là, c'est certain je ferais un carton. Mon visage se décrispe en l'écoutant, "pas encore" je m'arrête à ce petit bout de phrase qui me fait sourire légèrement.  - Pas encore comme tu dis.. J'en conclus donc que ce n'est qu'une question de temps pour que je porte ce titre ? Je pouffe un petit rire en sa direction, être princesse ou reine c'était l'un de mes rêves de gamine, ouais j'appréciais la notoriété qu'apporté ce nom. Puuuuis j'avais tous les atouts nécessaire pour le devenir et réussir à régner sur un peuple. Je m'y voyais déjà, je m'imaginais entouré de mes gardes, une sublime couronne sur la tête incrustée de diamants. Le tableau serait magnifique. Si je m'écoutait j'irais à la recherche d'un prince charmant là, tout de suite. - Je suis certaine que tu serais ravi de m'avoir pour femme ! Quoi ? Si je peux essayer de gratter pourquoi pas.. Ce serait cool un mariage Nemo/Hippolyte, il ne serait pas déçu du résultat en plus. Le sujet change, les choses dérives sur des conversations moins joyeuses, moins plaisantes.. J'entends un tas de sous entendus dans ses propos, sous entendus qui ne me plaisent pas vraiment.. Il savait très bien que je voyais sa relation avec Graham d'un très mauvais œil, et que partir sur ce terrain là avec moi était une mauvaise idée, c'était source de problèmes autant le dire. - Ça c'est certain.. En parlant de sujets qui fâchent, comment va ton.. Ton.. Je déglutis, j'avais du mal à avaler ma salive, je voudrais dire "passe-temps" mais je pense que Nemo n'apprécierait pas. Hors je n'arrive pas à le définir comme son petit ami alors je préfère laisser ma phrase en suspend. Mon visage s'illumine soudainement quand il parle de faire le ménage chez les Eliot, mon dieu ouuuuiii. J'attends que ça, notre maison mérite un grand nettoyage mais nos présidents n'ont pas l'air du même avis, à croire qu'ils sont aveugles. En intégrant les Eliot il y a une sorte de règlement pré-défini, un règlement qui est censé nous convenir pour solliciter y entrer mais j'ai l'impression que beaucoup prennent ça à la légère. Ce n'était pas du tout mon cas et bien entendu je ne comptais pas laisser les choses se passer comme ça, certains d'entre nous portent préjudice à notre image et, ça, ça c'était hors de question. - M'en parle pas, je suis la première à le crier et à faire la chasse aux imposteurs. Cette maison c'est devenu du grand n'importe quoi, une honte et j'ai l'impression que personne ne s'en préoccupe comme si tout était normal ! J'haussais un peu la voix sans y faire attention, c'était un truc qui me dépassé, que je ne pouvais pas accepter comme tout le monde normalement mais, les choses ont bien changés apparemment. Tout était différent. Ridicule. M'enfin j'avais versé l'un des meilleurs Champagne qui puissent exister dans nos coupes et j'en tendis une à Nemo, il s'en emparé buvant une gorgée après avoir fait quelques allusions sur la difficulté que j'aurais à le faire succomber. Cela me faisait doucement sourire, j'étais assez sûre de moi pour savoir si oui ou non j'étais capable de le faire tomber. - Je n'ai jamais dis que tu faisais partie de ce groupe de personne.. Loin de là, mais ne me sous estime pas, je pourrais bien te surprendre si je le voulais. Ma voix sonnée comme une appellation à une sorte de challenge. Challenge dangereux, avec beaucoup de choses en jeu, enfin plus pour lui que pour moi pour le coup.
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« Peut-être que ça m'irait bien. » Tu répondais dans un petit rire, faisant le tour de toi-même comme si tu étais une grande célébrité qui montrait aux gens à quel point elle était magnifique dans ses habits avec son corps parfait – c'était presque ça. Tu avais toujours l'habitude de faire des suppositions dans la majorité de tes propos, parce qu'après tout, tu ne savais pas de quoi sera fait demain, sauf qu'Hippolyte elle sautait sur toutes les occasions et ne laissait jamais rien passer. Alors c'est vrai, elle n'était pas encore ta femme... Mais ça voulait aussi dire qu'il était probable qu'elle ne le soit jamais. « Tu rêves. Si un jour tu deviens ma femme j'pense qu'on ferait qu's'engueuler tout le temps, et c'est pas le genre de relation qui m'fait triper malheureusement. » Tu avouais dans une fausse mine déçue – il suffisait de vous imaginer avec des enfants, bonjour le carnage. « Mon ? » Tu demandais innocemment, un regard blanc et sans réel émotion posé sur elle, comme si tu étais réellement paumé et que tu ne comprenais pas de qui ou de quoi elle voulait parler. Au final, si on réfléchissait un peu, c'était la vérité. Tu n'avais pas à comprendre quoi que ce soit de son début de phrase, puisque pour toi, parler de ton petit-ami ne ressemblait nullement à la définition d'un sujet qui fâchait, bien au contraire. Alors si elle souhaitait laisser sa question en suspend, tant pis pour elle, tu n'allais pas faire l'effort de comprendre où elle voulait en venir, et tu ferais l'idiot. Elle n'était pas obligée de dire qu'il était ton copain si ça la gênait tant, mais il avait un prénom comme les autres et si elle ne pouvait pas le prononcer correctement, alors ça ne te poserait aucun problème de taire le sujet, puisque ça voudrait dire qu'elle ne pourra pas te fatiguer l'esprit avec ses ondes négatives. Tu acquiesçais ensuite à ses propos sur votre maison, parce que tu avais toi-même aucune envie qu'elle parte dans une dérive impossible à remonter : oui, l'activité de la maison avait repris si tu comparais avec comment elle était lorsque tu y étais entré, mais à quel prix ? « J'sais pas si Vic et Tate s'en foutent complètement ou s'ils ne peuvent pas faire grand-chose, mais ça m'sidère. Merde quoi, si on rentre dans une confrérie on peut en ressortir, j'capte pas qu'ils en aient pas encore virés quelques uns. L'autre jour j'vois Arthur en train d'se droguer tranquille en pleine soirée, et l'mec il continue son bizutage comme si de rien n'était. » Il a du se tromper de porte quand il cherchait sa future confrérie lui, c'est la drogue et l'alcool ça, il cherchait les Mathers mais il n'avait tellement pas les yeux en face des trous qu'il s'est complètement trompé de fraternité. Tu attrapais ensuite la coupe de champagne qu'elle te tendait, et tu l'écoutais faire des allusions. « Me surprendre hm... Et si moi, je ne le veux pas ? » Tu lui demandais clairement, tes doigts venant tapoter le tissu de la chemise de ton bras. Parce que pour tout avouer, tu n'aimais pas vraiment l'air de défi que tu semblais ressentir de sa part au fur et à mesure que la discussion progressait, ça ne te plaisait. Ce n'était même pas un problème que tu la sous-estimais ou non, mais il fallait qu'elle apprenne à devenir un peu respectueuse de la situation des personnes autour d'elle, et si ce n'était pas pour Graham, ce devait être pour toi. Tu ne voulais pas de surprise, tu ne voulais pas de problèmes, seulement une amie sur lequel tu pouvais compter malgré vos divergences d'opinions.
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J'hoche la tête activement, ouais c'est certain que ça lui irait bien il aurait encore plus un style digne de la gaypride comme ça. Comme si c'était pas déjà le cas. Pauvre Nemo, il était totalement paumé et il ne le savait pas, c'est malheureux. Heureusement que je suis là afin de lui remettre les idées en place rapidement. Je n'aimais pas le voir dans cet état, ouais clairement, de un parce que j'étais homophobe et que les gens comme ça pour moi c'est comme s'ils avaient une grave maladie incurable les pauvres petits, de deuuuux je savais qu'un jour ou l'autre ça va l'faire souffrir et l'toucher gravement cette histoire. Je voulais donc l'empêcher de se casser la gueule en beauté, ne suis-je pas la meilleure amie qui puisse exister ? Franchement ? J'aimerais bien m'avoir en tant qu'amie perso. AÏE. Ses mots font l'effet d'un coup de poing bien placé, ça faisait mal. Il ne me voyait pas comme une femme potentielle, lui, ton ami ne te verrait pas toi à ses côtés pour le restant de sa vie mais qui d'autres mieux que moi pourrait le combler ? Je le connaissais comme si je l'avais porté neuf mois dans mon ventre, je suis persuadée que je serais une femme irréprochable. - Merci, c'est gentil de le savoir.. On s'embrouillerait pas parce que tu serais "normal" si j'étais ta femme, tu serais pas un pauvre gay perdu dans sa tête ! Voilà les problèmes qui perdurent entre nous, c'est la seule chose qui m'dérange chez toi. Je le regarde, insistant, plantant mes yeux dans les siens, clairement j'étais en train de monter son jugement petit à petit. C'était des accusations qui volaient à travers ma bouche venant s'écraser dans sa tronche de cake de gosse de riches qui faisait un caprice. - Je serais la meilleure des femmes et, je te comblerais mieux que personne je suis sûre. Je lance sur un ton sec à son égard avant de porter mon verre entre mes lèvres, je buvais une légère gorgée, savourant le goût onctueux et doux du champagne. Je repose ma coupe sur la table en relevant le regard vers Nemo, mes membres se relâchaient, exaspérée de sa question. Il jouait au con, il voulait te faire dire ce que tu ne voulais pas, ce que tu repoussais plus que toi, il voulait torturer ta bouche. Je lui lance un regard noir, restant silencieuse quelques secondes. - Greg ? Gary ? Gordon ? Je souris en écorchant volontairement son prénom. - Quelque chose dans le genre, tu m'as comprise. C'est bon, c'était suffisant comme réponse, c'était déjà beaucoup, qu'est ce qu'on en avait à foutre au final de son prénom ? C'était pas ça le problème. Je levais les yeux au ciel, pff Tate et Victoria, ils ne bougent pas le petit doigt tu parles.. Ils avaient qu'à s'occuper et surveiller de leur maison, c'était leur boulot non ? Alors qu'ils le fassent correctement. C'était quoi ce bordel là, si nous on pouvait le remarquer pourquoi pas eux ?! - Tate et Victoria ne font que porter leur titre sur leur front, au final ils font rien avancer du tout ! C'est tout c'que j'peux dire, c'est tout c'que je remarque.. C'est bien beau d'être président, mais président de quoi au juste ? D'une bande d'Eliot périmé qui se dégrade de jour en jour ? Que notre maison commence à avoir trop de points communs avec les Mather ? Ils sont en train d'entraîner les Eliot dans une chute libre.. La fin de ma phrase se faisait à voix basse, voix stricte, non, je ne voulais pas voir notre maison au fond du gouffre, on a trop longtemps été au sommet pour revenir à zéro. Cela voudrait dire que nos anciens confrères auraient bâti et se seraient battus pour cette maison pour rien au final ? Pour récolter ça ? Pour détruire leur boulot en un claquement de doigts ? Jamais. - S'il faut je les pousserais un à un à bout pour qu'ils débarrassent le plancher rapidement. Je finis ma phrase en trempant une nouvelle fois mes lèvres dans le fin alcool. Sa réponse suscité rapidement ton intérêt.. Il supposait ne pas vouloir que je le surprenne, j'arquais un sourcil me rapprochant de lui dangereusement. Je tournais autour de lui pour m'arrêter derrière son dos, l'effleurant à peine, je passais ma main sur son épaule comme pour balayer la poussière qui s'y trouver. - Tu ne le veux pas ? Je chuchote à son oreille en me soulevant à peine sur la pointe des pieds. Mon regard se pose alors sur son cou, mes lèvres proches de cette petite partie de peau dénudée. - Vraiment ?.. Murmurais-je dans un souffle chaud.
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Et voilà, ça commençait. Ce dont tu avais espéré tasser, oublier, omettre pour cette soirée revenait à la charge en plein dans ta gueule. Et t'étais déjà fatigué avant même que le débat n'ai réellement commencé – ça voulait vraiment dire à quel point tu avais hâte que le sujet revienne sur le tapis. Ce n'était tout de même pas de ta faute si tu savais qu'entre vous, ça ne pourrait jamais coller en tant que couple sur le long terme. Et même sur le court terme, ça risquait d'être assez explosif. Tu l'acceptais comme elle l'était – ou presque – en tant qu'amie, mais tu savais que tu aurais du mal à être d'accord ou à supporter toutes ses opinions ou ses expressions froides avec les gens qui l'entourait s'il y avait plus entre vous – et non, tu ne pensais pas que le seul problème qui vous différenciait était ta bisexualité. T'avais un sourire mauvais sur ton visage à la mention de ta sois-disant anormalité, ton regard devenu plus froid posé sur elle. « Normal, hm ? Avec un esprit si étriqué que le tiens, on n'va pas aller loin. Mais ça n'm'étonne même plus j'imagine, que tu penses que je sois si perdu seulement parce que j'aime une personne que tu n'aimes pas. Je te ferais remarquer que je suis déjà mariée. Une très belle femme, blonde, suédoise, intelligente. J'ai déjà donné dans le faux mariage sans sentiments et tu sais quoi ? Ça n'a pas stoppé mon attirance pour les mecs. » Tu lui expliquais, parce qu'au final, ce qu'elle insinuait, c'était un énième mariage avec une femme, sans aucun sentiments entrant en jeu, juste pour le paraître. Et t'avais l'impression d'avoir déjà donné assez de ton temps et de ton énergie pour ce genre de chose sans grande importance au final. Tu lâchais un petit rire sans humour à la mention de devoir – et d'arriver – à te combler au mieux, et elle parlait de quoi là concrètement ? « Tu comptes faire quoi pour me combler ? Promettre de me sucer deux fois par jours ? Acheter un gode ceinture quand mes envies sexuelles deviendront trop fortes et que tu n'auras pas les bons attributs pour les satisfaire ? Être toujours d'accord avec moi pour pas créer d'conflit? C'pas ça que je veux. Tu te rends compte que t'es comme prête à vouloir me rendre normal comme tu dis sans même que tu éprouves aucun sentiments pour moi ? » Tu lui demandais, dans l'incompréhension totale. C'était comme si elle était prête à vendre son corps pour ton faux problème de normalité, genre elle était prête à te prostituer pour te rendre hétérosexuel, et ça faisait un peu peur. Beaucoup même. Elle avait tellement un problème avec le sujet qu'elle serait prête à être rattachée à toi pour toute la vie – et mon dieu, tu savais très bien que ce serait loin d'être une bonne relation, où tromperie et ennuie feraient rapidement surface. Tu ne flanchais pas devant son regard noir alors que tu faisais la sourde oreille lorsqu'elle tentait d'éviter de mentionner comme il le fallait Graham, et tes lèvres s'étendaient dans un petit sourire sarcastique et faux lorsqu'elle faisait une nouvelle tentative ratée. « J'connais personne de ces noms-là. » Tu avouais dans un faux haussement d'épaule désolé, et non, Graham n'était pas « quelque chose du genre ». Tu soupirais ensuite lorsque vous commenciez à parler de la Eliot House, qui semblait bien différente de lorsque tu y étais entré il y a un peu plus d'un an. Alors peut-être que c'était de ta faute, peut-être que tu n'avais jamais vraiment fait attention des vices et des travers de cette maison, que tu pensais si parfaite. Mais ouais, la vision que tu en avais se dégradait, mais quand tu entendais les bruits de couloirs qu'untel se droguerait ou qu'untel au final s'en fout d'être Eliot et est ici seulement pour montrer une fausse image – et plus élogieuse – de lui, ça te cassait les couilles, franchement. T'avais cru que tu pouvais faire confiance à tout le monde, fréquenter chacune des personnes de la maison sans soucis pour ton avenir puisqu'elles faisaient partis de « l'élite », mais tout ça c'était faux, car même ici il fallait que tu tries tes amitiés si tu voulais pas te faire planter plus tard. « J'sais bien. Pourtant Tate il n'a pas l'air d'être tant pour les Eliots drogués même s'ils se cachent, mais il doit être bien trop humaniste, à ne rien oser faire parce que les virer du jour au lendemain serait trop méchant. En attendant, c'est nous qui allons subir une image dégradée et de menteur lorsque tout sortira et qu'ils n'auront rien fait.. Faudrait les trouver ces faux fraté et leur faire passer l'envie d'recommencer si on peut pas les dégager. » Tu avouais d'une voix plus dure, parce qu'après tout, ils ne méritaient pas d'être là, s'ils n'avaient pas compris que certaines choses ne se faisaient pas de vos rangs. T'indiquais ensuite que tu ne souhaitais pas qu'elle te surprenne ni rien, parce qu'à vrai dire, t'en aurais rien à faire puisqu'elle ne t'intéressait pas de cette manière – et t'étais presque sûr que c'était réciproque, alors qu'est-ce qu'elle foutait quand elle faisait le tour et arrivait dans ton dos, sa main touchant ton épaule et son souffle un peu trop près de ton cou ? Ton regard s'assombrissait et tu te retournais, une main venant contre son épaule pour la repousser plus loin de toi. « Tu peux arrêter ton cinéma ? Tu commences vraiment à devenir irrespectueuse, que ce soit envers moi ou envers mon petit-ami. Quand je dis non, c'est que je veux dire non, ok ? C'est simple à comprendre pourtant. » Tu lançais d'une voix tranchante, énervé.
(Invité)

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