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{KB&&OU} Un pas de plus, vers le summun

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    Merde gueule de bois et j'avais complètement oublié de mettre mon réveil. C'était au pas de courses que je courais dans les couloirs de la confrérie à la recherche d'un jean propre. Je finis par en trouver un sauf que c'était dans une chambre de femmes que je l'avais trouvé, du coup je l'avais quitté pour en trouver un, plus adéquate à mon sexe. Je prenais vite fait de quoi grignoter en route, et je partais en courant jusqu'à l'université. C'était pas loin mais quand on revient d'une soirée plus qu'arrosée, forcément que ça devient plus dur. J'étais arrivé en plein milieu d'un DS et autant dire que le professeur avait pas hésité à me le faire remarqué, bref j'avais pu finir le DS avant tout le monde, ce que je trouvais étrange d'ailleurs.

    Je recevais un texto et comme par hasard mon portable n'était pas sous silencieux, ce que j'ai finis par faire, en voyant la contrariété du professeur. Mais ça m'empêchait pas de répondre avec un sourire plus que satisfait. C'était Kal, me demandant de l'aide, pour trouver un livre au sein de la bibliothèque. C'était plus que codé comme message car elle n'était pas aussi sérieuse par moment, enfin j'espérais que ça ne l'était pas. Je me méfiais quand même et j'attendais la fin du délai impartit de l'épreuve pour quitter l'amphi. Je prenais le temps de faire chier quelques amis que je croisais et je perdais du temps à faire le con, comme toujours. Je finis par déposer mes affaires dans mon casier avant de me rendre à la bibliothèque, ayant même du mal à ouvrir les portes. La documentaliste me fit le signe de silence alors que j'avais tout juste passé la porte, à croire que je suis réputé ici.

    Je la trouvais enfin cette rangée, et j'avais pourtant fait le tour deux fois en retombant toujours au mauvais endroit. Je la surprenais en posant mes mains sur ses hanches et en chuchotant à son oreille, avec un souffle d'air chaud.

    OZARIO : Ne me dis pas que tu cherches à étudier quelque chose, dans ce coin là !

    Je la fis se retourner après un instant, et je la collais bien assez pour qu'elle n'est pas tout à fait d'espace pour bouger ailleurs.

    OZARIO : Alors tu tiens vraiment à trouver ce roman, ou tu l'as déjà trouvé, et on discute d'une toute autre histoire possible ici, même ?!

    J'étais en forme, et je pensais même plus à la gueule de bois que j'avais eu ce matin. Je savais pas même si j'avais cours là maintenant, tant pis.
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Je sursautais à peine lorsque deux mains se posaient sur mes hanches avec une douceur qui était propre à ce cher Ullys. Son souffle d'air chaud me fit frémir, il savait comment s'y prendre avec une élégance remarquable; sachant comment m'exciter sans me donner l'impression d'être une cochonne. OZARIO : Ne me dis pas que tu cherches à étudier quelque chose, dans ce coin là ! « En effet. » Répondis-je puisque c'était vrai. Lorsqu'il me fit retourner afin que nous puissions nous faire face, j'esquissais un sourire et regardais des côtés de la rangée de livres. J'avais beau apprécier l'adrénaline que procurait le danger, il n'en restait pas moins que je faisais attention à ma réputation. D'autant plus que je partageais déjà mon lit avec mon petit ami et ma petite amie et bien entendu, ni l'un ni l'autre n'était au courant de l'existence de l'autre et encore moins d'Ullys.

Je agrippais à ses cheveux bouclés qui me faisaient tant chavirer et ses beaux yeux noisettes qui semblaient toujours aussi rieurs. La vue de ce garçon me donnait le sourire, il savait me faire rire et c'est la qualité que j'appréciais le plus chez lui. Cultivé et mignon, il n'avait rien pour me déplaire. Alors pourquoi je n'en tombais pas amoureuse ? Cela aurait été plus simple dans cette optique. OZARIO : Alors tu tiens vraiment à trouver ce roman, ou tu l'as déjà trouvé, et on discute d'une toute autre histoire possible ici, même ?! « A vrai dire... » J'échappais à ses bras et ris. « Je t'ai vraiment appelé ici pour m'aider à trouver un livre. » Bien entendu, ça pouvait donner l'impression du classique : je t'offre mon corps donc tu es à ma disposition. J'aurais pu demander à n'importe qui de m'aider mais voilà, Ullys n'était pas n'importe qui. « En fait, le temps que tu arrives, je l'ai trouvé. Mais, je ne peux pas l'attraper. » Je portais en effet ma tenue de cheerleader rouge et blanche avec mes baskets et malgré mon bon mètre soixante treize, je n'atteignais pas la rangée dans laquelle se trouvait mon livre et pas de trace d'échelle à l'horizon. Un idiot l'avait probablement monopolisé dans une des rangées adjacentes. Je reportais mon attention sur Ullys et fut prise d'une crise de rire que j'essayais d'étouffer. « Tu sais qu'on fait la même taille ? » Dis-je, moqueuse, le taquinant. Seuls les jours ou j'arborais ma tenue de l'équipe me rendaient ma taille naturelle, aucun artifice, pas de talons, pas de compensés, pas de triche en somme. Cela dit ça lui donnait un côté sexy qui n'était pas sans me déplaire. « Plan B. Porte-moi. » Finis-je par dire, me tenant droite devant lui comme s'il n'y avait aucune négociation. Peu importe la manière dont il s'y prendrait, j'avais vraiment besoin de ce livre.
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    Je sais pas ce que ces étudiants trouvaient à cet endroit. Je n'y mettais les pieds que par intérêt, et celui-ci n'était pas de pouvoir m'instruire. Je préférais lire tranquillement chez moi avec de la musique, une compagnie et puis de quoi manger. Je demandais rien d'extraordinaire qu'un endroit où on pouvait que chuchoter, et où le moindre bruit passait pour un sacrilège. J'étais ici par un sms, que je pensais plutôt subjectif à vouloir un moment tendre en ma compagnie, et pas à retrouver un stupide bouquin de pages ennuyantes.

    J'avais plutôt trainé à venir, de toute façon il valait mieux ne pas me filer de rencard précis pour être sûr que j'arrive au final. Là y'avait pas d'heures ou d'urgences, juste que ce qui me pressait c'était de savoir ce qu'elle me réservait. Je priais pour qu'elle n'ait pas eu ce qu'elle voulait, notamment avec ses relations, histoire que je puisse la combler un peu plus que d'habitude. Pas que j'étais en manque mais disons qu'une bibliothèque c'était tentant, surtout au sein même de son université.

    OZARIO : T'es pas sérieuse là ?! Tu m'as fait perdre tout ce temps pour t'aider à attraper de la paperasse en livre !

    Je me frottais le visage, tout en soupirant. Je faisais bel et bien savoir mon mécontentement car j'étais pas partant pour cela au départ. Mais l'idée de la porter me motivait un peu plus car je pouvais avoir les mains baladeuses sans qu'elle m'en tienne rigueur, si elle voulait pas finir par terre, en deux secondes.

    OZARIO : Et le plan C, baise-moi il vient quand ?!

    Je la regardais de haut en bas, tout en grattant l'intérieur de ma gorge, pour redevenir plus que rien, je me baissais pour qu'elle s’assoit sur mes épaules, ainsi on serait plus grand à deux. La portant je pestais un peu car je la pensais pas si lourde, j'en rajoutais forcément histoire de la faire criser un peu.

    OZARIO : T'aurais pas un peu grossit ?! J'avançais en direction de son dit bouquin. Tu sais je pourrais t'aider à perdre facilement un ou deux kilos ... Sous entendant éliminer cela, de ma propre façon. Mais je voulais pas me soustraire à être venu pour rien, pas de fun ou de bon moment.
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OZARIO : T'es pas sérieuse là ?! Tu m'as fait perdre tout ce temps pour t'aider à attraper de la paperasse en livre ! « Arrête de te plaindre et aide-moi. » Répondis-je alors qu'il soupirait. OZARIO : Et le plan C, baise-moi il vient quand ?! « Quand j'aurais mon bouquin mon mignon. » Il s’exécuta, se baissant de sorte que je puisse venir m'assoir sur ses épaules. Je n'avais pas prévu ça, tant pis. Je grimpais sur son dos lorsqu'il pesta, semblant visiblement avoir des difficultés à se relever avec le pois de mon corps sur ses épaules. Je me regardais instinctivement le ventre et me rassurais immédiatement, c'est qu'il aurait presque réussi à me faire douter de mon propre poids et de ma condition physique celui-là ! « Oh ça va femmelette. » Dis-je en pouffant alors qu'il me demandait si je n'avais pas grossi, ajoutant qu'il pourrait m'aider à perdre un ou deux kilos avec un sous-entendu aussi gros qu'il était adorable. Rien de plus flatteur que de se sentir courtisée, du moins désirée dans ce cas. Je préférais le faire languir un peu, d'autant plus que mon but premier était d'obtenir mon livre.

Il se rapprochait de l'étagère et j'en profitais pour tendre le bras et attraper le livre désiré. Puis je plissais les yeux et découvrais d'autres ouvrages du même thème qui me paraissaient tout aussi intéressants et immédiatement indispensables. J'en attrapais deux autres et tentais de les équilibrer sur mon bras gauche, inutile de préciser que le format pavé est le plus répandu dans cette monstrueuse bibliothèque dont je n'avais en quatre ans aucunement écumé tous les recoins. « Tu t'imagines même pas tout ce qu'on peut trouver en haut ! » Je citais plusieurs ouvrages, excitée à l'idée de les lire et de les découvrir alors que je jouais toujours l'équilibriste sur ses épaules. Puis, je décidais de m'arrêter, trois bouquins dans les bras et hésitais à m'accrocher à ses cheveux pour redescendre, il n'avait qu'à se baisser après tout. « Descends-moi Ullys. » Dis-je, réalisant à quel point j'aimais être ses épaules, à quel point j'appréciais sa compagnie. Il me semblait même l'apprécier parfois plus que mon petit-ami ! Ullys savait que je partageais déjà ma vie avec un jeune homme mais ignorais l'existence d'une jeune femme. Je n'avais même pas eu à lui présenter mon petit-ami puisque nous nous affichions déjà en public depuis plusieurs mois. Quoi de plus officiel que cela ? En revanche s'il pouvait savoir que je partageais mon lit avec quelqu'un d'autre, j'ignorais tout de lui. Je ne lui avais d'une part jamais posé la question et ne m'étais aucunement occupée de ses affaires. Puis, je compris que ça m'importait peu puisque nous partagions une relation physique et que nous l'avions tous deux compris comme ça. Néanmoins la curiosité me taraudais et je réussis à me retenir en me focalisant sur ses mains robustes.
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    OZARIO : T'as pas intérêt à me faire un coup tordu !

    J'étais venu dans l'intention de passer un bon moment et pas de dépoussiérer les hautes étagères de la bibliothèque. Cela m'amusait quelque part car cela n'était pas quelque chose qu'on voyait couramment. Et puis l'avoir sur mes épaules c'était déjà un bon début. Un service pour un service c'était plutôt équitable comme deal. Le mien tout de même lui rendrait mieux l'occasion de s'épanouir un peu avant ses révisions, avec ce bouquin.

    Je la laissais flâner pendant que je faisais attention à ce que la vieille de l'endroit ne débarque pas et nous flanque dehors. Mais à mon avis vu la pile de livres en retour qu'elle avait sur son bureau, elle en avait pour longtemps à rentrer et à ranger tout ça. Je croisais les doigts. Je sentais qu'elle prenait pas qu'un livre puisque l'un d'eux venait de frapper mon front, par sa rainure. Je voulais pas trop perdre patience. Je profitais pour lire les titres des livres qui se présentaient devant mes yeux. C'était pas mon rayon préféré, mais ça m'occupait deux minutes, à aller jusqu'à compter le nombre qu'ils étaient par rangée.

    OZARIO : Tu serais pas même capable de me soulever, alors tu peux parler, bras en chocolat !

    Je finis par la faire descendre, tout en la poussant légèrement pour qu'elle tombe avec ses livres. Me mettant à sa hauteur je la bloquais un peu vu comment j'étais mis devant elle. Prenant ses bouquins je regardais un instant ce que c'était avant de les mettre de côté. Et de m'approcher d'elle :

    OZARIO : Ne me sort pas que tu es pressée de les lire ?! Je le regardais tout en attendant sa réaction, elle allait sans doute pester mais c'était l'occasion d'être ici et de s'amuser un peu. Alors on le fait ensemble ce régime ...

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« Hinhinhin. » Répondis-je en guise de réponse alors qu'il me poussait dans le but de me faire tomber. Manœuvre évidente; Ullys n'était pas empoté et les allées étaient suffisamment spacieuses pour me reposer sans me pousser. Je soupirais alors qu'il se baissait pour se mettre à ma hauteur, ramassant mes bouquins éparpillés sur le sol dont les pages froissées se pliaient sous le poids des autres. S'approchant de moi, nos regards se croisèrent un instant et je plongeais quelques temps dans ses adorables prunelles couleur noisette. OZARIO : Ne me sort pas que tu es pressée de les lire ?! Alors on le fait ensemble ce régime ... « T'es lourd parfois, tu sais ? » Dis-je en levant les yeux au ciel, néanmoins amusée par son insistance et quelque peu flattée aussi. Je regardais à droite et à gauche, m'approchant à mon tour du jeune homme, laissant l'allée vibrer de possibilités. « Tu croyais pas qu'on allait le faire là quand même ? Entre l'époque baroque et le néoclassicisme ? » Dis-je en désignant les rangées de livres dans lesquelles j'avais déniché trois bons ouvrages qui m'aideraient à rédiger mes prochaines dissertations. « J'ai pas envie de me froisser un muscle. C'est inconfortable. » Ajoutais-je, me redressant sur mes coudes. Peut-être allais-je l'énerver mais allais-je me réduire pour son propre plaisir, à coucher dans la bibliothèque comme de vulgaires animaux en manque d'amour ? Néanmoins son œil taquin et ses bouclettes me donnaient envie de l'inviter dans mon lit. Je l'étudiais un instant, le faisant mariner.

« Et je n'suis pas grosse. » Dis-je, me sentant soulagée de l'avoir précisé. Je savais qu'il me taquinait mais peut-être qu'une part de lui-même avait dit vrai et cette part m'inquiétait. Était-elle négligeable ? Je baissais la tête et m'examinais quelques secondes dans ma tenue de l'équipe. Peut-être avais-je en effet des cuisses trop volumineuses, des mollets trop musclés, un ventre quelque peu rebondi, des bras manquant de fermeté... puis je relevais la tête. N'importe quoi. Je n'avais en rien l'air d'une grosse vache. J'étais fine et sportive, grande et élancée. Ullys plaisantait, bien entendu. Alors, je l'embrassais soudainement, voulant à tout prix me sentir désirée et désirable. Je m'agrippais à ses cheveux et lui demandais : « J'ai une demi-heure devant moi. Candice est là ce matin. » Candice partageait ma chambre dans la maison Eliot, nous ne pouvions donc nous permettre de forniquer en sa présence. Implicitement, je suggérais qu'il nous emmène dans sa chambre, d'accord pour faire un peu de sport en sa compagnie, rattrapant les livres que je fourrais dans mon sac de sport. Quand bien même il y aurait quelqu'un dans sa chambre, Ullys ne manquerait pas de libérer l'espace, tiraillé par l'expression de son désir pour moi; désir qui ne tarderait pas à venir. « Viens. » Je l'entraînais par la main, déposant rapidement mon sac sur son épaule et lâchant ses doigts tout aussi rapidement pour qu'il n'ai plus le choix. « Dépêche, j'ai super envie. » Mordant la lèvre inférieure dans l'espoir de susciter encore plus son intérêt, j'emboîtais le pas.
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