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Trevor Clyde Montgomery fiche; en cours - terminée C'est le 16 mai 1992 à Cambridge, que la famille Montgomery m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Trevor Clyde. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel voir gay et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' arts visuels. depuis 2ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Students. |
Études Trevor il fait des études d'arts visuels tout simplement parce que le cinéma a toujours été sa grande passion. Il cherche toujours un moyen de s'évader et il a trouvé ça. Il peut passé des heures à mater un film, à chercher les moindres petits défauts. Sur le campus c'est plutôt un mec discret, même si quelques uns le connaisse parce qu'il refile de la drogue en douce des fois, mais hormis ça, il est plutôt inconnu. | Caractère Trevor c'est le type mystérieux, qui parle jamais de sa vie ou alors qui te raconteras toujours de bobards. C'est le mec qui a peur de s'engager, qui cherche toujours à fuir ses sentiments. C'est le mec qui cherchera toujours la merde, qui se bat pour un rien. Un brin protecteur, possessif et jaloux, prêt à tout pour avoir ce qu'il veut. C'est le type sensible au fond, mais ça personne ne le sait. C'est celui qui se démerdera toujours, même seul au milieu du désert, c'est celui qui ira seul en pleine nuit dans les ruelles sombres pour se chercher de la coke. C'est un homme passionné, autodestructeur. |
Everyone Has Their Own Story
« Mec, attends j’résume, ton père c’est un militaire et ta mère c’est une prostituée australienne ? » T’hoche simplement la tête. C’est encore une de ses conneries toute faite que tu lui as sorti. Tes parents c’est des gens normaux, c’est loin d’être des phénomènes de foire pourtant tu peux pas t’empêcher de venter ici et là qu’ils sont géniaux, qu’ils sont parfaits, originaux. T’as pas honte d’être leur fils. Fin, juste un peu peut-être. Ils sont jamais fiers de toi, c’est toujours tes problèmes qui prennent l’dessus. Jamais un ‘bravo, t’as assuré’ Non, jamais. Ils ont honte de toi. Ils marchent à deux kilomètres de toi dans la rue, ils baissent les yeux et murmurent quand on leur demande si ils ont des gosses. T’es leur poids. Ils ont qu’une hâte, que tu te barres, que tu leur foutes la paix. Mais ça a pas toujours été comme ça. Un jour, ils ont été fiers de toi, quand t’étais gosse, la première fois où t’as mis un pied devant l’autre et qu’t’as marché. C’est trop facile de mentir à leur propos. T’as perdu l’habitude de parler des vrais. Des modèles uniques, de ceux qui t’ont fait. Tu finirais presque à croire à tes bobards et quand tu rentres, tu te prends une gifle monumentale en te rendant compte que tout ce que t’as pu dire bah… C’était faux. « Ouais, c’est ça. » Tu portes ta clope à tes lèvres et tu tires doucement dessus. Tu mens toujours aux meufs que t’as envie d’avoir dans ton lit. Tu peux pas faire autrement, elles te suivraient jamais si elles savaient que t’étais juste la honte de la famille. Remarque, le fait d’être un mauvais garçon leur plait, parait-il. On cherche jamais à en savoir plus que ce que tu peux dire, on te demande jamais de les rencontrés. On te croit sur parole juste parce que t’as une gueule d’ange. Si t’es rentré à Harvard c’est pas juste pour tes bonnes notes. Tes parents ont mis leurs économies dans tes études, juste pour que tu sois pas tout l’temps chez eux. Qu’ils aient du temps pour eux. Ca te déranges pas tellement, t’as une certaine indépendance du coup. Besoin de personne. On est jamais mieux servi que par soit même non ? « T’es un putain d’menteur en fait. » Il t’a grillé. Surement parce que t’as un tic à deux balles qui fait qu’on voit de suite quand tu mens. Au pire, ça peut lui faire quoi que tu mentes ? Il est flic ? Surement pas. Ta vie c’est la tienne. T’en fais ce que tu veux, tu dis ce que tu veux d’elle. Même si c’est un énorme mensonge sans importance. Tu te caches peut-être, derrière toutes ses fausses familles que t’inventes. C’est tellement mieux quand on ne sait pas qui tu es. Tu peux faire croire aux gens tout et n’importe quoi. Tu leur montres ce qu’ils veulent, tu es ce qu’ils veulent. Pourquoi être toi-même ? On ne t’apprécierait pas. « Et alors ? Ca veut juste dire que j’ai pas envie d’te causer de mes parents. Ca t’fais quoi ? Rien j’suppose. Bien. Fous moi la paix. » Tu détournes le regard et tu tires longuement sur ta clope une fois de plus. Qu’il se barre si il est pas content. T’as pas envie de lui causer de ta vie, alors merde. Il te forcera surement pas.
« C’est fini. » Tu le regardes. T’as les larmes aux yeux limite mais t’essayes de tout garder en toi. T’as pas le droit de chialer. Il est face à toi, droit comme un piquet, l’air grave. Il est sérieux, c’est ça le pire. Tu ne peux pas faire grand-chose, t’es obligé d’accepter. A contre cœur. Maxence c’est le mec que t’aimes de tout ton cœur. C’est le mec pour qui tu serais prêt à tout. Pourtant tu lui as menti, plus d’une fois et puis tu l’as trompé aussi, des fois. Malgré tout tu l’aimes. C’est le problème dans votre relation. Tes sentiments sont bien trop présents, bien trop prenants. Tu t’en veux de le faire souffrir, alors toi aussi tu te fais souffrir. Tes bras tailladés en sont la preuve. T’es prêt à tout pour lui, pourquoi il te vire ? « J’peux savoir pourquoi au moins ? » Ta voix est beaucoup moins sure que d’ordinaire. T’es au bord de la crise de nerfs, de larmes. T’as pas le droit de baisser les armes, surtout devant lui. Il sait pas comment t’es au fond, il sait pas que tu l’aimes bien qu’il doit s’en douter vu la façon dont tu te comportes. T’es une merde et même lui finit par te laisser tomber. Tu sens limite ton cœur se fissuré, t’as mal. Il a pas le droit de te laisser comme ça, tu l’aimes, c’est pas mal non ? Il en veut surement plus. « Parce que t’es qu’un mytho, parce que t’es pas foutu d’être vrai une seule fois dans ta putain de vie, faut toujours que tu mentes. J’suis incapable d’être avec un type comme toi . » Ce qu’il ignore c’est que pour une fois, tu mens pas tellement. Bien sur, ta vie est un tissu de mensonges, mais tes sentiments sont réels. Ou alors tu te voiles la face. A choisir. Il ne te regarde même pas et finit par se tirer, sans même un au revoir, sans rien dire. Et toi, t’es là, et t’as mal au cœur. T’as une occupation ce soir, faire passer ton malheur sur tes avant-bras.
Trevor c’est l’type mytho à qui tu feras surement jamais confiance mais qui demande que ça. Il aura beau t’dire qu’il a pas besoin de quelqu’un, ça sera faux. Ca sera juste un appel à l’aide. Un moyen de te faire comprendre qu’il se sent seul, qu’il est à bout. Pourtant, il te mentira, encore et encore. Jusqu’à ce qu’il apprenne à te faire confiance en retour. Tu l’croiseras un jour dans les couloirs, tu t’en foutras pas mal, c’est comme ça quand tu l’connais pas. Après, il s’accroche, il rentre dans ta vie et n’en ressors que si tu le vires. Harvard c’est un peu son terrain de jeu au final.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Pimouss. ↬ ÂGE - 14 anyos. ↬ PAYS/RÉGIONS - Francia o/ ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Je sais pus '-'. ↬ TES IMPRESSIONS - Très beau forum. ** ↬ CRÉDIT(S) - ALLESS && Tumblr. ↬ AVATAR - Luke Worrall. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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