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Noam S.H. Manzini
Fiche d'identité
Nom ManziniPrénom(s) Noam Sandro HugoÂge 23 ansDate de naissance 12 juillet 1992Lieu de naissance Boston, MassachusetsStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelClasse sociale PauvreÉtudes majeures Médecine (6ème année)Études mineures pas d'étude mineure, Noam a décidé de se consacrer entièrement à son cursus de médecineJob Il travaille au Starbucks Coffee en tant que baristaChoix de groupe #1 Winthrop HouseChoix de groupe #2 Dunster HouseWINTHROP HOUSE
Au départ, je n'avais pas prévu entrer dans une confrérie. En effet, à chaque fois que j'avais évoqué ce fait, j'avais crié haut et fort que je ne voulais pas faire partie de l'une d'elle. La raison principale était que je ne voulais pas être étiqueté. Pourtant, dès mes premiers pas sur le campus, je me suis tout de même intéressé à ces maisons. Et il se trouve que je me retrouvais plutôt bien dans la description des Winthrops. Déjà, je suis un homme & ça, je pense qu'il faudrait être complètement aveugle pour ne pas le voir. Ensuite, je suis quelqu'un de fort respectueux. Et quand je veux séduire une demoiselle, je sais mettre les petits plats dans les grands. Gentleman, je connais les bonnes manières et je n'hésite pas à m'en servir. Il paraît d'ailleurs que j'ai un fort charisme et que mes yeux, d'un bleu profond, sont l'un de mes atouts charme. Alors, je m'en sers pour parvenir à mes fins. Dis comme ça, on pourrait croire que je n'ai pas de cœur et pourtant, c'est loin d'être le cas. Le mien sait aussi s'enflammer mais il a tellement été brisé que je le protège derrière une grosse carapace. Le seul truc qui ne me correspond pas chez les Winthrops, c'est le sport. En effet, je n'en pratique pas et je ne suis pas tenté de le faire non plus. Je suis plutôt anti-sport donc. Mais comme ce n'était pas un critère éliminatoire, j'ai postulé chez les rouges.
DUNSTER HOUSE
Parce qu'il fallait un deuxième choix et il faut bien que je l'avoue, celui-ci pouvait tout autant me convenir. Possédant un bon QI, je n'ai pas besoin de travailler énormément pour réussir. C'est d'ailleurs grâce à mes excellents résultats scolaires que j'ai eu la chance d'obtenir une bourse. Et puis, il faut être honnête, je suis quelqu'un d'ambitieux. Je ne pense d'ailleurs pas qu'on puisse réussir en médecine sans un minimum d'ambition. La mienne est plus grande que cela. J'aimerai faire partir des meilleurs et je m'en donne les moyens. C'est pour cette raison donc que je fréquente régulièrement la bibliothèque, bossant pour être au top niveau.
Au départ, je n'avais pas prévu entrer dans une confrérie. En effet, à chaque fois que j'avais évoqué ce fait, j'avais crié haut et fort que je ne voulais pas faire partie de l'une d'elle. La raison principale était que je ne voulais pas être étiqueté. Pourtant, dès mes premiers pas sur le campus, je me suis tout de même intéressé à ces maisons. Et il se trouve que je me retrouvais plutôt bien dans la description des Winthrops. Déjà, je suis un homme & ça, je pense qu'il faudrait être complètement aveugle pour ne pas le voir. Ensuite, je suis quelqu'un de fort respectueux. Et quand je veux séduire une demoiselle, je sais mettre les petits plats dans les grands. Gentleman, je connais les bonnes manières et je n'hésite pas à m'en servir. Il paraît d'ailleurs que j'ai un fort charisme et que mes yeux, d'un bleu profond, sont l'un de mes atouts charme. Alors, je m'en sers pour parvenir à mes fins. Dis comme ça, on pourrait croire que je n'ai pas de cœur et pourtant, c'est loin d'être le cas. Le mien sait aussi s'enflammer mais il a tellement été brisé que je le protège derrière une grosse carapace. Le seul truc qui ne me correspond pas chez les Winthrops, c'est le sport. En effet, je n'en pratique pas et je ne suis pas tenté de le faire non plus. Je suis plutôt anti-sport donc. Mais comme ce n'était pas un critère éliminatoire, j'ai postulé chez les rouges.
DUNSTER HOUSE
Parce qu'il fallait un deuxième choix et il faut bien que je l'avoue, celui-ci pouvait tout autant me convenir. Possédant un bon QI, je n'ai pas besoin de travailler énormément pour réussir. C'est d'ailleurs grâce à mes excellents résultats scolaires que j'ai eu la chance d'obtenir une bourse. Et puis, il faut être honnête, je suis quelqu'un d'ambitieux. Je ne pense d'ailleurs pas qu'on puisse réussir en médecine sans un minimum d'ambition. La mienne est plus grande que cela. J'aimerai faire partir des meilleurs et je m'en donne les moyens. C'est pour cette raison donc que je fréquente régulièrement la bibliothèque, bossant pour être au top niveau.
APRÈS LA BOMBE.
Janvier 2013. Comment oublier ce mois? Comment oublier cet événement tragique? Pour moi, c'est tout simplement impossible. On oublie jamais rien, on vit avec. Et on se souvient. Du bruit assourdissant d'une bombe qui explose. De l'incompréhension des premières secondes. Du regard apeuré de la jeune inconnue allongée à ses côtés. A ce moment, j'étais à la bibliothèque, effectuant des recherches sur une pathologie cardiaque. Je parcourais donc le rayon médecine, consciencieusement. Le bruit de l'explosion m'avait fait sursauté et j'avais eu le réflexe de me coucher, entraînant avec moi ma voisine de rayon. Nous ne nous connaissions pas mais nous étions dans la même galère. J'avais couvert ma tête de mes mains. L'étagère d'à côté était tombée. Des livres s'étaient éparpillés sur mes jambes. Rien de grave. Rien de grave par rapport aux blessés dans un état grave. Rien de grave comparé au nombre de morts. Et après? Il faut se reconstruire. Ne plus sursauter à chaque bruit suspect. Ne pas avoir peur de se rendre sur le campus. Oser quitter sa chambre et reprendre goût à la fête. Vivre simplement. Vivre pour tout ceux qui n'en avaient plus l'occasion. Se relever n'est jamais facile. Cela l'a peut-être été un peu plus pour moi qui n'ait eu aucun de mes amis blessés. Oui, c'est sans doute plus facile quand toutes les personnes qu'on aime sont toujours présentes à vos côtés.
Janvier 2013. Comment oublier ce mois? Comment oublier cet événement tragique? Pour moi, c'est tout simplement impossible. On oublie jamais rien, on vit avec. Et on se souvient. Du bruit assourdissant d'une bombe qui explose. De l'incompréhension des premières secondes. Du regard apeuré de la jeune inconnue allongée à ses côtés. A ce moment, j'étais à la bibliothèque, effectuant des recherches sur une pathologie cardiaque. Je parcourais donc le rayon médecine, consciencieusement. Le bruit de l'explosion m'avait fait sursauté et j'avais eu le réflexe de me coucher, entraînant avec moi ma voisine de rayon. Nous ne nous connaissions pas mais nous étions dans la même galère. J'avais couvert ma tête de mes mains. L'étagère d'à côté était tombée. Des livres s'étaient éparpillés sur mes jambes. Rien de grave. Rien de grave par rapport aux blessés dans un état grave. Rien de grave comparé au nombre de morts. Et après? Il faut se reconstruire. Ne plus sursauter à chaque bruit suspect. Ne pas avoir peur de se rendre sur le campus. Oser quitter sa chambre et reprendre goût à la fête. Vivre simplement. Vivre pour tout ceux qui n'en avaient plus l'occasion. Se relever n'est jamais facile. Cela l'a peut-être été un peu plus pour moi qui n'ait eu aucun de mes amis blessés. Oui, c'est sans doute plus facile quand toutes les personnes qu'on aime sont toujours présentes à vos côtés.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Septembre 2014 & les mois suivants. Ceux-là aussi resteront gravés dans ma mémoire. Alors que certains continuaient encore à panser leurs plaies liées aux dégâts provoqués par la bombe, un autre malheur nous tombait déjà sur la tête. Je me souviens encore de ce climat de peur qui régnait sur le campus. Certains en étaient devenus presque paranos, refusant de sortir seuls, scrutant chaque personne comme un potentiel agresseur. Moi aussi, il m'arrivait de me retourner sur des visages un peu plus suspects. Mais comment être certain que ce soit l'un d'entre eux? Ils avaient décidé de s'attaquer aux femmes. Du coup, j'avais cette peur pour chaque demoiselle que je connaissais. Si je pouvais les raccompagner après les cours, je n'hésitais jamais. Plus aucun endroit sur le campus ne semblait sécurisé. Il y avait eu 8 agressions. Et la fermeture des maisons. Je pensais sérieusement que cela ne servirait pas à grand chose. Si ils attaquaient réellement les maisons, en les fermant, ils gagnaient. Ils allaient se sentir tout puissants. Tout puissants. C'était certainement cette puissance qu'ils avaient voulu démontrer ce 17 janvier là. Des prises d'otages. Des morts. Partout sur le campus. J'avais eu cette chance de ne pas être présent ce jour-là. Chez mes parents, j'avais suivi de loin l'évolution des évènements. Encore une fois j'avais tremblé. Tremblé pour ceux que j'aimais et que je n'arrivais pas à joindre sur leurs portables. Dans ce tragique événement, j'avais perdu des connaissances, des amis avaient été blessés. Une nouvelle fois on avait dû se relever. Encore plus difficilement. Sortir de nouveau avec cette peur au ventre que tout ne recommence.
Septembre 2014 & les mois suivants. Ceux-là aussi resteront gravés dans ma mémoire. Alors que certains continuaient encore à panser leurs plaies liées aux dégâts provoqués par la bombe, un autre malheur nous tombait déjà sur la tête. Je me souviens encore de ce climat de peur qui régnait sur le campus. Certains en étaient devenus presque paranos, refusant de sortir seuls, scrutant chaque personne comme un potentiel agresseur. Moi aussi, il m'arrivait de me retourner sur des visages un peu plus suspects. Mais comment être certain que ce soit l'un d'entre eux? Ils avaient décidé de s'attaquer aux femmes. Du coup, j'avais cette peur pour chaque demoiselle que je connaissais. Si je pouvais les raccompagner après les cours, je n'hésitais jamais. Plus aucun endroit sur le campus ne semblait sécurisé. Il y avait eu 8 agressions. Et la fermeture des maisons. Je pensais sérieusement que cela ne servirait pas à grand chose. Si ils attaquaient réellement les maisons, en les fermant, ils gagnaient. Ils allaient se sentir tout puissants. Tout puissants. C'était certainement cette puissance qu'ils avaient voulu démontrer ce 17 janvier là. Des prises d'otages. Des morts. Partout sur le campus. J'avais eu cette chance de ne pas être présent ce jour-là. Chez mes parents, j'avais suivi de loin l'évolution des évènements. Encore une fois j'avais tremblé. Tremblé pour ceux que j'aimais et que je n'arrivais pas à joindre sur leurs portables. Dans ce tragique événement, j'avais perdu des connaissances, des amis avaient été blessés. Une nouvelle fois on avait dû se relever. Encore plus difficilement. Sortir de nouveau avec cette peur au ventre que tout ne recommence.
sans pseudo fixe
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas. Je n'ai pas de pseudo fixe et j'ai la vingtaine. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à une publicité sur Bazzart. Superbe design, membres accueillants alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Nicolas Simoes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par viceroy (avatar). Je fais environ 500-800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je vous aime déjà.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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(Invité)