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I still hate you (Alance)

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Je détestais la situation dans laquelle je me trouvais. Le "centre de crise" comme ils l'appellent avait des airs un peu morbides. Tous ces gens qui souffraient... Quand tu allais bien, tu t'en voulais presque d'avoir eu de la chance. Je m'en voulais. Je me détestais de ne pas avoir fait suffisamment attention, que Wade ait eu besoin de me "sauver la vie". Désormais, il avait mal. Il souffrait et c'était ma faute. Et Feldt... Elle avait été mise dans un coma artificiel, me poussant à bout pendant quelques heures. Est-ce que j'allais la perdre ? Son cœur était faible et je ne pouvais pas vivre sans ma sœur, il fallait qu'elle se montre forte. J'avais eu le temps de parler avec mon frère ou plutôt, de lui hurler dessus. J'avais vu Maden aussi. Désormais, il était très tard, j'avais sommeil, mais je n'avais aucune idée d'où dormir. Je n'avais pas de lit. Je faisais donc une ronde, n'ayant pas envie de dormir par terre. Je passais de la chambre de Wade à celle de Feldt, veillant du mieux que je le pouvais sur eux. J'allais finalement jusqu'à la cafétéria, achetant tout un tas de trucs. Je commençais à avoir faim, c'était une bonne maladie. Je me dirigeais un peu plus loin dans l’hôpital, me retrouvant désormais face à Maxence, allongé sur un lit de fortune. « Tu as faim ? » lui demandais-je en chuchotant. Je lui en voulais toujours, mais ça ne m'empêchait pas de veiller sur lui aussi.
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Je suis dans le centre de crise après le tremblement de terre. J'ai passé des heures à agoniser de douleur mais, je n'avais qu'une épaule de déboîtée ainsi que le poignet cassé. Les autres élèves d'Harvard ont eu plus de malchance que moi. Certain se retrouve dans un état pitoyable. Je me trouve chanceux d'avoir comme blessure qu'une épaule de déboîtée et un poignet cassé. Je me contentais d'attendre dans un coin du centre qu'on vient m'appeler où me consulter. Je ne pouvais pas faire grand-chose, en réalité. Quelques heures plus tard, un médecin vient à mon encontre pour m'ausculter. Il finit par me faire un plâtre après avoir fait une radiographie. Je dois garder ce fameux plâtre pendant un mois. Un mois d'immobilisation ... Je ne sais pas comment je vais faire pour réussir à rester ainsi aussi longtemps immobilisé. J'ai besoin de ma dose de sport quotidien et, là en cause d'un tremblement de terre je suis obligé d'arrêter pendant un mois. C'est comme ci on punissait un gosse après une connerie. Voilà le ressenti que j'ai. Finalement, on me met dans une petite pièce pour me reposer un peu. J'ai mes yeux qui commençaient à se fermer quand j'entends la voix d'Alaska dans la pièce. « Oh oui, tu peux pas imaginer. » Depuis la soirée où elle m'a soigné de ma gueule de bois, je ne l'avais pas revu. On était devenu inexistence l'un pour l'autre. Une sensation que je n'apprécie pas tellement.
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Je ne savais même pas pourquoi j'avais mis les pieds jusqu'à Maxence. J'veux dire, je lui en voulais pour la dernière fois. Ma fierté en avait pris un coup, je n'allais pas le cacher. Il m'avait dit que je l'avais fait craquer et j'avais fangirlé comme une ado qui découvrait les hommes. Alors que bon, je les connaissais eux et leurs gueules d'anges. ils étaient très doués pour faire tourner des têtes mais on savait que c'était tous des connards. Il s'en rappelait pas, mais je crois surtout qu'il n'avait pas envie de d'en rappeler. Ouais, il avait peut-être profité. Mais je ne suis pas débile. Enfin... peut-être étant donné que j'étais devant lui à demander s'il avait faim. Je levais les sourcils en le regardant. Il était plâtré, donc quelqu'un était venu s'occuper de lui. Je laissais tomber la nourriture sur Maxence en le regardant. « Je pensais que tu allais me tenir informé sur ta santé.. » C'est ce qu'il avait dit. Je détestais m'inquiéter pour lui. Normalement, ça ne devrait pas arriver. « Oublie... régales-toi » m'exclamais-je en le regardant. Je laissais échapper un soupir en fermant les yeux quelques secondes, passant une main sur mon visage. Arg, du sang. Je détestais avoir l'air aussi débile et perdu. J'allais me sortir Maxence de la tête et pour ça, je devais... partir d'ici. Du coup, silencieusement, je tournais les talons.
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Si j'avais les idées claires sur la soirée que j'ai passé avec Alaska, il est évident que je lui aurais reparlé de ses baisers. Mais, j'en ai que de vagues souvenirs. C'est ça qui m'arrache le cœur. Puisque je suis attaché à-elle. Je l'aime bien Alaska mais, je ne sais pas ce que je ressens réellement pour elle. À vrai dire, elle me fait craquer, son caractère trempé me fait craquer, sa bouille me fait craquer. Tout me fait craquer c'est pour cette raison que je lui ai avouée de vive voix la dernière fois. Sauf, qu'avec la cuite monumentale que je me suis mis, bah c'est le flou total. J'étais allongé sur un petit lit où on venait de m'installer. Soudainement, j'entends la voix d'Alaska venir se réfugier dans mes oreilles. J'ouvre rapidement les yeux pour la voir debout devant moi. Je souris tendrement. « Je te l'avais dit, je sais. Mais, on vient tout juste de m'installer ici. Le médecin venait de partir quand tu es arrivée. » C'est la stricte vérité. Il était venu pour me donner les consignes sur les médicaments à prendre contre la douleur. Je n'avais pas eu une minute à-moi pour rassurer mon entourage. Je récupère la nourriture qu'Alaska venait de me ramener et je l'écoute me parler. Quand je la vois tournée les talons, je me racle la gorge avant de dire. « Reste s'il te plaît ... » Dis-je sans pour autant la supplier davantage. « Je sais que depuis la dernière soirée on ne se calcule plus du tout ... ça doit être de ma faute. Je vais être franc, j'ai des vagues souvenirs qu'on s'est échangé un baiser ... j'ai beau vouloir me rappeler intégralement de la soirée mais, rien n'y fait. Je suis vraiment désolé. Sincèrement Alaska ! » Maintenant à elle de voir si elle veut rester pour qu'on puisse éclaircir les choses avec moi ou si elle préfère partir rejoindre son meilleur ami ou sa soeur.
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Maxence, il m'agace. Nous nous étions embrassés et il ne s'en souvenait pas. Je le fuyais depuis et j'y pensais. Je pensais à cette nuit-là, où j'avais dormi dans ses bras. Ça m'avait fait du bien et puis, le lendemain matin, c'était dur retour à la réalité. Et depuis plus rien. Le genre de silence radio que je déteste, qui me fait trop réfléchir. Surtout, ça me rendait légèrement minable. Je boudais un homme qui me plaisait et pourtant, j'étais là à lui apporter à manger parce qu'il était mal en point. Je suis stupide, non ? Je déposais la nourriture - avec assez peu de délicatesse - sur le jeune homme, l'accusant de ne pas m'avoir tenu au courant sur sa santé. Je ressemblais à une conquête frustrée. « Au moins, tu as été ausculté, tant mieux ! » m'exclamais-je dans un soupir. Je passais ma main sur mon visage avant de finalement tourner les talons. Il ne fallait pas que je reste plus longtemps. Maxence se racle la gorge avant de me dire de rester. Je m'arrête aussitôt, lui tournant toujours le dos afin de l'écouter. Bizarrement, je ressens cette douleur à l'estomac en écoutant les propos du jeune homme. Je me tournais finalement pour lui faire face. « N'essaie pas de t'en souvenir, je suppose que c'est une erreur » m'exclamais-je alors. Je suis stupide ? Je sais.  C'est juste que je suis perdue en ce moment, j'ai besoin de prendre mes distances et je ne crois pas que c'était ni le moment, ni le lieu pour ce genre de discussion.
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Je suis mal en point dans tous les sens du terme. Que ce soit physiquement que mentalement. Je suis épuisé de tous les évènements qui se produisent les uns après les autres. J'aimerais me rappeler de cette soirée avec Alaska. De tout mon cœur. Mais, je n'y arrive pas. Ce n'est pas faute d'essayer, pourtant. Je viens à ne plus adresser la parole à la seule femme qui me fait de l'effet. Alaska est la seule femme que j'ai envie de combler de bonheur, de la faire sourire. Mais, c'est impossible. Dès que j'approche une femme où que je m'y attache, elles finissent par disparaître. Finalement, c'est ce qui se passe avec Alaska. Elle m'échappe petit à petit. Et ça m'arrache le cœur d'en faire la constatation ce soir. Elle est devenue en si peu de temps ma dose d'héroïne, ma bouée de sauvetage, mon rayon de soleil. Dès que je passe du temps loin d'elle, je ressens un vide à l'intérieur de moi. Mais, comment lui dire? Je ne suis pas doué pour faire des déclarations. De toute façon, en écoutant sa façon de me répondre. Cela semblait déjà être une cause perdue. Néanmoins, je ne perds pas espoir. Peut-être qu'un jour on n'y arriverait. « Ça te fait ni chaud ni froid de me voir ainsi ? » J'ai besoin d'explication sur sa réaction. Je ne comprends rien. Bref, je la regarde tournée ses talons pour partir. C'est à ce moment-là que je décide de tout lui dire. De cette fameuse nuit. Finalement, elle vient à se retourner pour me faire face. « Parce que pour toi c'était une erreur ? » Demandais-je. Étant donné que ce n'était pas une erreur pour moi. Au contraire j'en avais eu envie de ce baiser. Or, aucun moment de m'en souvenir, le cœur y est malheureusement ... « Tu as un autre homme en tête, c'est ça ? » Je préfère qu'elle me dise les choses explicitement. Au moins, je serais à quoi m'en tenir.
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La situation m'échappait peu à peu. Je sentais Maxence se braquer, comme si une certaine panique était palpable dans son regard. Pour ma part, j'étais en train de fuir, comme à mon habitude. Fuir, c'était vraiment ce que je savais faire de mieux. J'étais assez mauvaise pour affronter les histoires de cœur, l'attachement et tout le reste. Ouais, j'étais carrément nulle pour ça, fallait juste regarder comment j'avais géré ma précédente relation. Malgré des pics de bonheur absolu, elle avait surtout été chaotique. Désormais, je me retrouvais face à Maxence en pleine "panique" si je pouvais dire. Il m'avait dit en pincer pour moi, je l'avais embrassé et puis, plus rien. Nous n'avions pas communiqué et je crois que c'était la pire des erreurs à faire. « Ne me fais pas dire des choses que je n'ai pas dite.. Je viens de vivre mille fois pire il y a quelques heures et crois-moi, ce n'est pas le moment de me prendre la tête Maxence. » J'étais ferme, peut-être blessante. Mais je trouvais ça tellement déplacé de me demander une telle attention alors que ma sœur venait d'être placé en coma artificiel. Je ne pouvais pas rester ici, parce que j'avais la sensation que j'allais craquer encore et toujours et... non, il ne fallait définitivement pas que ça arrive. Puis, il me demandait de rester, me disant qu'il savait ce qui s'était passé, mais que ses actes restaient flous. Je laissais échapper un soupir avant de me retourner pour lui dire qu'il ne doit pas essayer de s'en souvenir, que tout cela est une erreur. Tentative de fuite numéro une. J'assume ce coup bas. Sa question me désarme et je laisse retomber mes bras le long de mon corps, le regardant alors qu'il était toujours allongé. « Ce n'est pas ça... c'est... » C'est quoi ? Non, ce n'était pas une erreur. Enfin, je ne sais pas. Je ne crois pas. Puis, il posa une deuxième question, bien plus bizarre cette fois. Un autre homme ? Oui, bien sûr. Mais pas de la façon dont il pense. « J'sais pas... non. » Je n'étais plus amoureuse, mais j'avais toujours des sentiments pour mon ex-petit ami. Je devais m'installer avec lui et fonder une famille... j'étais enceinte. Comment je pouvais oublier ça du jour au lendemain. Je pouvais dire que j'en avais rien à faire, je resterais toujours vague à ce sujet, ça ne regarde que moi. En tout cas, pour ce qui était des autres hommes, je savais recevoir de la tendresse, mais si celle-ci ne voulait rien dire. « C'est le vécu. » Tout simplement. Je m'accroupissais à ses côtés, le regardant toujours. « Ecoute, tu n'as pas le droit de m'emmerder avec tout ça ce soir, parce que là, j'ai mon meilleur ami qui vient de sortir d'une opération et ma sœur qui est dans le coma... alors tout ça, tu le gardes pour toi, je n'en ai pas besoin dans ma tête, ça ne fait que l'encombrer. Un autre jour... » Qu'il ne le prenne pas mal, mais je venais de vivre quelque chose de terrifiant et non, je n'avais pas envie de me poser des questions sur Maxence et moi à ce moment-là.
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Habituellement, je ne suis pas quelqu'un qui s'attache facilement aux gens. Au contraire, je fais tout pour éviter cet attachement. Je préfère fuir mes responsabilités que de les assumer. J'ai toujours été comme cela avec mes ex petites amies. Ce n'est pas une qualité que j'aime forcément parler. Que dis-je, plutôt un défaut. Je préfère montré les bons côtés avant de montrer les mauvais. Sauf, qu'avec Alaska tout avait été différent avec elle. J'avais d'abord était exécrable avant d'être tout mielleux devant elle. Elle me fait fondre cette femme, je ne peux pas m'en empêcher de craquer devant elle. Dès qu'elle pose ses yeux azurs sur moi, je fonds littéralement. Une sensation que je n'aime pas avoir. D'où le fait que je commence à paniquer légèrement quand elle me dit de ne pas essayer de me remémorer la soirée qu'on avait passé ensemble. Comment devais-je le prendre ? « Je ne te prendrais plus la tête, promis. » Je n'ai même pas envie de savoir ce qui se tramait dans sa vie en ce moment. Sur le coup, je suis blessé et mon égo vient d'en prendre un coup. Je suis encore allongé sur le lit et mon regard toujours ancré sur Alaska. Je la vois laisser tomber ses bras le long de son corps, son regard change immédiatement. « C'est ? » Dis-moi les choses pour une fois. Quitte à me blesser une nouvelle fois, fais-le maintenant avant qu'on me récupère à la petite cuillère. Je ne sais même pas ce qu'elle peut ressentir à l'intérieur d'elle. La dernière fois je lui ai avoué que je craquais sur elle mais, je n'ai rien eu en retour. Cela signifie que je me suis pris un râteau ? Que sais-je ... C'est le bordel dans ma tête, dans ma vie. « Ok. » Je ne me vois pas répondre autre chose que ça. « Très bien, je ne viendrais plus t'emmerder avec tout ça. Quand tu seras disponible, fais-moi signe que je sache ce que je pourrais te dire ou non. » Évidemment que je le prends mal. J'essaie d'éclaircir les choses entre Laska et moi. J'ai besoin de ça, pour avancer. Sauf, que ça ne semblait pas réciproque pour elle à l'heure actuelle. Après c'est compréhensible quand on a un meilleur ami qui sort d'une opération et une sœur dans le coma. Or, quand ton égo est touché ... tu ne penses qu'au ressenti que tu peux avoir et non au sentiment des autres. J'ai fait mon égoïste, j'en suis conscient. Et je m'en veux de réagir de cette façon. Pourtant, je ne m'excuserais pas. J'en ai marre de toujours devoir m'excuser.
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Je flippais atrocement. J'étais Alaska Hamilton, une personne qui me connaissait bien pour exactement dire ce qui allait se passer par la suite. Malheureusement, Maxence ne me connaissait absolument pas et sans s'en rendre compte, il accumulait les erreurs à mon égard. Je suis certaine qu'il pensait que j'étais une toute autre personne que je ne pouvais le faire penser... Vous suivez ? J'étais assez têtue, j'avais un fort caractère parfois et ça pouvait vraiment dénoter avec ma sensibilité. J'étais naïve, mais j'avais aussi une grande part de lucidité. Il n'était pas facile de me faire gober quelque chose, néanmoins, facile de piquer ma curiosité, de me faire partir au quart de tour et j'en passe. Là, je pouvais dire qu'il était facile de me faire fuir, en tout cas, Maxence commençait vraiment à comprendre le truc. Il paraissait si vulnérable que j'en étais presque désarmée. Pourquoi il se comportait de cette manière avec moi ? Pourquoi il s'était attaché aussi facilement ? Et surtout, à quel degré ? J'veux dire, je l'étais moi aussi, mais j'avais tout de même l'impression que ça avait plus d'importance à ses yeux. J'essayais de lui faire comprendre les choses, faisant en sorte de garder des certaines distances entre lui et moi, et je me rendais rapidement compte qu'il prenait très mal mes propos. C'était assez égoïste finalement. Je venais lui dire que mon entourage, ma famille avait des problèmes, il venait tout de même d'avoir un tremblement de terre et il me pétait un câble parce que je n'étais pas assez là pour lui ? Pour discuter à propos de nous ? Je regrettais d'être venue et de lui avoir apporté à manger finalement. « Très bien. Reviens quand tu seras moins égoïste. Bon appétit. » m'exclamais-je finalement me redressant et en disparaissant.

FIN DU RP
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