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Respect yourself and others will respect you pv ATHENA :D

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Respect yourself and others will respect you ★★★
Mes yeux se perdaient doucement dans le bouquin que je venais d'emprunter à la bibliothèque. Depuis mon retour pas mal de chose avait changé, frustrer de ne plus pouvoir vivre dehors. Je me terrais dans les endroits reculés de l'université. Je n'avais pas envie de parler, en vrai, je cherchais juste le moyen parfait de m'évader. Cette liberté d'autrefois me manquait. Mes sorties nocturnes, mes petits vols. Je me mis à soupirer longuement attirant l'attention sur moi. La doyenne fronça les sourcils. Je relevais mon regard et finis par lui dire : « y a un problème ? » Ce n'était pas le moment de m'embêter. La doyenne l'avait d'ailleurs bien remarqué, elle me balança un chut et continua ses occupations. La bibliothèque n'était définitivement pas l'endroit que j'avais espéré. J'avais besoin d'un endroit plus calme, plus reculer. Je me levais de ma chaise. Mon sac sur mon épaule et le livre dans ma main, je partis de la bibliothèque en lançant un vulgaire. « À la prochaine, madame. » j'avais accentué mes derniers mots. En réalité, je ne comptais pas revenir. Mon regard s'arrêta sur plusieurs étudiants, ils me dévisageaient tous reconnaissant la fille qui avait été prisonnière des décombres. Mes sourcils se froncèrent. Allez tous vous faires foutre. Je marchais le plus vite possible, grimaçant légèrement en ressentant les pressions que cela infligeait à mon pied. J'avais envie de leur hurler tous dessus. J'accélérais amplifiant la douleur avant de subitement m'arrêter dans un recoin. Je me mis contre le mur et je fermais les yeux. Ma respiration s'était accélérée. J'avais envie de pleurer. Je ravalais mon chagrin et ma colère. Je me pinçais la lèvre et finis par rouvrir mes yeux, ils pétillaient. Je me touchais le front. Je pris quelques minutes pour reprendre ma respiration. J'avais besoin d'être seule complètement seule. Une fois terminé, je partis de ma cachette en regardant derrière moi voir si personne ne m'avait vu. Rapidement, mon corps se retrouva contre celui d'une étudiante. Son visage m'était familier. Athéna. Non pas maintenant, pas maintenant. Un mince sourire s'afficha sur mon visage baissant la tête. Ce n'était pas mes habitudes de réagir comme sa en sa présence mais je n'avais pas la tête à ça. « Excuse moi... je regardais pas ou je marchais. » Noooooon non, elle n'avait pas besoin de savoir quelle trouble me hantait.
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Respect yourself and others will respect you ★★★
Depuis le séisme les sensations que j’avais étaient étranges, comme si tout avait changé et pourtant tout avait la même place. A l’université c’était comme si tout allait bien, comme si chaque chose était à sa place. Si on ne voyait pas les étudiants balafrés, on ne se douterait pas du cauchemar qu’on avait tous vécu chacun de notre coté. On avait tous été seul dans ce cauchemar et j’avais eu une peur que je ne saurais expliquer. J’avais l’impression que j’allais mourir là dedans alors que j’avais encore tellement de choses à vivre, j’avais peur pour mes proches, peur pour ma vie, peur pour ceux qui étaient avec moi, c’était un enfer là bas. Je voyais mon psychologue toutes les semaines pour en parler depuis le drame, mon père voulait et si je voulais qu’il me lâche je le faisais. J’étais justement allée là voir ce matin et mon absence était comptée comme injustifié alors que j’avais prévenu j’étais donc partie dans le hall ramenant un nouveau justificatif et regardant la secrétaire excédée qu’après un tel drame ils ne prennent toujours pas en compte ce genre de justificatifs « La prochaine fois, tachez de nous envoyer dans un endroit en sécurité car c’est aussi votre faute à l’administration si on est obligé d’aller consulter. » sa seule réponse à été qu’elle transmettrait le justificatif je l’ai regardé l’aire dédaigneux « C’est effectivement ce pour quoi mes frais de scolarité vous payent donc faites votre travaille. » bonne à rien ! J’ai levé les yeux au ciel avant de redescendre en bas. Je suis arrivée dans l’entrée de la faculté et je maronnais dans ma tête tout en regardant mon téléphone quand je suis rentrée dans quelqu’un. Je l’ai regardé, c’était Charline … Elle avait une mine pire que d’habitude et aucunes piques … qu’avez-vous fait de Charline ? Je l’ai regardé de haut en bas bouche bée avant de reprendre « Qu’avez-vous fait de Charline ? » oui de la Charline sure d’elle et pétillante, piquante que j’ai l’habitude de voir ? Je surveillais quand même mon sac et mon téléphone de près on ne sait jamais avec elle si jamais elle avait l’idée de me voler j’apprécierais pas.

(Invité)