Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROMANE ❥ Le destin en a décidé autrement.
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ROMANE ❥ Le destin en a décidé autrement.

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ça faisait quelques jours que je me posais des questions à propos de Romane, je me demandais ce qu'il en était pour le mariage. Même si je regrettais un peu de le faire annuler, il devait être heureux et vivre avec la fille qu'il aime, pas avec une fille qu'on lui imposait, même si j'étais enceinte de lui, je n'étais pas une enfant. J'étais restée dans ma chambre ce soir-là où il devait annoncer à son père qu'il voulait tout arrêter, s'il avait besoin de moi, j'aurais été prête. Je me disais que ça se passerait sûrement bien, il savait (probablement) ce qu'il voulait dans la vie, son père comprendrait, je l'espérais du moins. J'étais en train de discuter avec Lara lorsque mon téléphone se mit à sonner. Ce n'était pas Romane, mais sa mère. Je fus surprise de son appel, mais je répondis. Je croyais qu'elle allait me tuer. Bonsoir, Téodora. Je suis désolé, mais j'ai besoin de ton aide. Elle semblait apeurée, triste, et j'imaginais bien que derrière sa voix tremblotante, il y avait des larmes qui perlaient son visage. Je me doutais que c'était en rapport avec Romane, mais quelle nouvelle allais-je avoir? Qu'est ce qu'il y a ? Romane a un problème, il a réussi ? Excusez moi si ça vous fait de la peine, c'était mieux ainsi pour tout le monde. Elle pleurait, se reprenait. Non, Téo. Mon mari est dans une colère noire, il a téléphone à votre père, il est dans le même état. Ils se sont menacés tous les deux si le mariage n'avait pas lieux. Ils...ton père a menacé de s'en prendre à Romane si tout ça n'était pas réglé. Et là, j'avais l'impression que le monde s'écroulait. Sa mère continuait à me parler, mais je n'écoutais pas vraiment, sauf lorsqu'elle m'indiqua le possible endroit où serait Romane. Je ne savais pas si Romane l'avait su qu'il risquait sa vie en annonçant l'annulation du mariage, sûrement que si vu qu'il m'en avait écarté. Je raccrochais, sans le vouloir, au nez de sa mère pour me précipiter dehors, tant pis pour ma robe chanel, tant pis pour mes chaussures qui s'abimaient pendant que je courrais mais je ne pouvais pas le laisser dans cette "merde" monumentale. J'accélérais de plus en plus, je m'en foutais des limitations. C'est alors qu'à travers une route, j'aperçus le fameux hangar dont m'avait parlé sa mère au téléphone. Ils prenaient vraiment pas de sécurité, j'entrais comme dans un moulin, sans défoncer la porte malheureusement. Je voyais des hommes autour d'une seul.


C'est alors que je compris. J'appuyais sur le klaxon et les hommes partirent, surpris par mon arrivée. Pour ma part, je m'arrêtais enfin, j'attrapais mon arme qui était dans la boite à gants, chargée, et je me précipitais sur Romane qui était à genoux au sol. Il était complètement ensanglanté, ça me brisait le coeur de le voir comme ça. Les hommes étaient restés pas loin, je les reconnaissais, des hommes à mon père et sûrement ceux du sien. Je me mis à genoux à coté de lui, prenant son visage entre mes mains, mes larmes coulaient. Si seulement j'avais su... Romane... Qu'est ce qu'ils t'ont fait... Pardonnes moi... j'aurais du venir... être avec toi. Désolé. Malgré son visage en sang, je déposais un baiser sur sa joue et un autre sur son front. Je glissais mes mains dans son dos pour détacher ses liens et le maintenir en essayant de pas lui faire mal, dans mes bras. Je vais m'occuper de toi, Romane. ça ira mieux, t'inquiètes pas. Je ne savais pas vraiment s'il était conscient, ou non. J'attendais que la pression redescende pour faire quoi que ce soit. Je pris sur moi-même pour ne pas m'effondrer. Je le tenais contre moi, sans serrer car je ne savais pas s'il avait trop mal. J'écartais ses cheveux de son visage ensanglanté, puis repris en le regardant dans les yeux. Romane... ça ira ? Je...je vais m'occuper de toi, t'inquiètes pas. Je te laisserais pas tomber. Dans le pire état, la réunion des deux familles pour blesser était horrible, je n'osais pas imaginer si j'étais arrivée trop tard. Je m'en voulais tellement de l'avoir mis dans cet état.oh romane... Je déposais un chaste baiser sur ses lèvres même s'il était blessé, j'avais envie qu'il reste en vie, qu'il me dise tout. Je préférais rester à ses cotés, qu'on soit bien tous les deux. Et surtout, pour parler ensemble. Ils ne nous approcheront pas, j'étais là, on était réunis.






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"Ils arrivent...", voilà le sms que venait de m'envoyer mon père et je savais pour ça qu'il était l'heure que je m'en aille. Je quittais donc Nayeli afin de tracer ma route à pied, seul. Je savais ce qui m'attendais et malgré ça je n'avais pas peur, ne broncherais pas... Après tout, je m'y étais préparé, je savais me maitriser plus que personne et de toute façon, il fallait admettre que c'était la seule issue possible pour mettre fin à tout ça. Quand je l'avais appelé, il m'avait engueulé comme jamais il ne l'avait fait, je sentais sa propre peur dans ses mots. Ouais, mon annonce l'avait rendu furieux et je savais qu'il allait en être 4 fois pire du côté des Italiens qui comptait vraiment sur ce mariage pour étendre leur pouvoir aux USA. Mais malgré tout ça, mon père me prévenait quand même, à croire qu'au fond subsistait un brin d'amour? Tss... Conneries, c'était juste pour le principe car on était comme ça chez les Morgan. Mais le truc, c'est que ce soir, je n'en avais plus rien à foutre... J'allais prendre chère surement mais au moins j'allais être libéré de tout ça et puni pour tout ce que j'avais fait, puni pour ma petite sœur, puni pour Lyssandra...

Je savais par où ils allaient arriver, et c'est d'ailleurs sur cette route même que je les attendais, à l'écart du camp, à l'écart du village, là où personne ne serait présent pour regarder. Je m'étais même couché sur le bitume afin de souffler un grand coup et de regarder les étoiles... Elles étaient sublimes cette nuit, ça me rappelait ces nuits ou avec ma sœur on restaient éveillé pour les regarder pendant des heures à dessiner entre elles. Cette pensée me fit apparaitre un maigre sourire avant que d'autres ne suivent. Alors comme ça tout allait être fini? Est-ce qu'ils allaient me tabasser à mort? Me tuer? Je ne savais pas et ça m'importait peu, ce soir, plus rien ne comptait mise à part que Nayeli était mise à l'écart et que ma Teodora soit libre... J'aurais aimé seulement m'excuser de la laisser ainsi avec le bébé. J'aurais aussi aimé dire au cas où, au revoir à mon prof de psycho, mes amis, l'université même car j'y avais passé de grand moment. Après tout, on ne sait jamais quand tout peu se terminer...

Ça y est, des phares apparaissent au bout de la route, un 4x4 noir typiquement de chez nous... C'est eux... Ne prenant même pas la peine de me lever, je les entend sortir, ils sont au moins 4 ou 5, pas grave, ça aura le mérite de se finir plus rapidement comme ça (ou pas..). "Vous avez été long les mecs... Qu'est ce qu'il s'est passé? Vous vous êtes perdu en route?" L'un d'eux me ramasse furieux à coup de pied dans le ventre pour ensuite me trainer dans le coffre de leur bagnole accompagné de quelques coup de poing. Un temps passe et enfin le coffre s'ouvre pour qu'ils me frappent de nouveaux avant un bon trou noir... Ce qui m'a réveillé par la suite? La douleur... Un poing dans la gueule de nouveau et j'ouvre enfin les yeux, je vois trouble mais ça ne dure qu'un instant avant que l'un d'eux passe avec un couteau sur mon torse. Je ne pu que serrer les dents pour souffrir en silence avant de souffler "Sale con...", BIM un nouveau coup de pied dans le ventre, là je douillais comme jamais auparavant. Mais pas grave, j'encaissais même si je ne sentais plus mes bras, j'avais de plus en plus froid et à en juger par ma gueule et le sol, j'avais perdu pas mal de sang, ça expliquait pas mal de choses... "Pourquoi t'as fais ça hein?! Tu sais dans quel merde tu nous à foutu? Et ton père, t'y a pensé?!", tsss.... Les sbires... "Ouais... J'imagine que c'est pas la fête au château. Vous pouvez remballer le caviar..." BOOM et coup de plus, là j'avoue que je commençais à ne plus le supporter, je peinais à rester conscient. "Tu vas prendre chère... Ça t'apprendra le respect de ta famille!".

Mais soudain, un klaxonne résonna et les types s'écartèrent avant que ne viennent face à moi un parfum qui m'était loin d'être inconnu Romane... Qu'est ce qu'ils t'ont fait... Pardonnes moi... j'aurais du venir... être avec toi. Désolé., je connaissais cette voie... Mes yeux s'ouvrèrent difficilement "Teo...?", oui c'était bien elle. Un puis deux baisers et elle allait me détacher Je vais m'occuper de toi, Romane. ça ira mieux, t'inquiètes pas.. "Qu... Qu'est-ce que tu fais là...? Tu ne devrais pas être là...", j'avais du mal à parler, me laissant tomber contre elle alors qu'elle posait son regard dans le mien Romane... ça ira ? Je...je vais m'occuper de toi, t'inquiètes pas. Je te laisserais pas tomber.. Je n'y croyais pas et pourtant si, elle était belle et bien là, me tenant dans ses bras. Je peinais à lever le bras pour aller toucher son visage baigné de larme, caressant sa joue comme je le pouvais avant qu'elle ne m'embrasse comme à son habitude. Ça faisait du bien de la savoir là, de sentir sa peau, son souffle, son cœur battre. Je comprenais là à quel point j'avais besoin d'elle. Je m'agrippais alors à elle, serrant mes mains autour de son bras, blottissant mon visage contre son corps. Je me sentais mieux comme ça. Elle venait de me sauver la vie.
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Rien ne pouvait décrire à quel point j'étais peinée de le voir souffrir. On ne cherchait qu'un peu de bonheur, et on ne trouvait que la douleur. Je m'en voulais de ne pas l'avoir accompagné, j'aurais emmené de quoi le protéger, il n'aurait rien eu... J'essayais de calmer mes larmes, mais c'était plus facile à dire qu'à faire, il était dans un sale état à cause de moi. Mais maintenant que j'étais là, j'allais m'occuper de lui. Il semblait plutôt conscient, il m'avait reconnu, et je ne pus réprimander un sourire parmi mes larmes. Qu... Qu'est-ce que tu fais là...? Tu ne devrais pas être là. Je le réconfortais. J'étais là, c'était le principal. Je le tenais comme je le pouvais, je ne voulais pas y aller trop fort, ça risquait de lui faire mal. Je le sentis alors s'aggriper à moi, et je répondis simplement par un baiser sur ses cheveux. J'avais envie de les tuer, ils avaient touchés à Romane, et ça, j'y arrivais pas. Je comprenais à présent ce que je ressentais, et plus je comprenais ce que j'enfouissais en moi, plus la colère montait. Je posais ma main sur sa nuque. Donnes moi deux minutes, mon beau. demandais-je à Romane alors que je le guidais vers le sol pour qu'il puisse s'y allonger. Je me relevais vers le petit groupe d'italiens. Ils me regardaient de loin, ils savaient qui j'étais, et la colère d'une femme enceinte n'était pas une simple montée d'hormones, c'était pire que ça. Surtout lorsqu'on touchait à une personne qui lui était cher. Je m'avançais vers eux. **Partite o vi uccido uno ad uno! Come avete osato toccare al padre del mio bambino?! Banda di avvoltoi! Tornate in Italia prima che mi occupo di voi! Je leur criais dessus alors que le bras tendu vers eux, je laissais quelques coups partir avec mon arme. Je n'en avais blessé aucun, j'avais tiré au hasard et j'avais réussi à les faire partir. Je balançais mon arme dans la voiture et je retournais vers Romane.

Je m'agenouillais à ses cotés, souriant tendrement. Je passais ma main sur sa joue, même tabassé, il restait charmant, cette idée me tentait de sourire, mais ce n'était pas le moment. De mon autre main, j'essuyais mes larmes. On est tranquille maintenant. Ils ne te feront plus de mal. Tu es libre, Romane. Je refuses qu'il te fasse plus de mal que ça. Je passais mes mains dans son dos pour le relever, et m'asseyant derrière lui, je reposais son dos contre mon buste, tout en passant ma main sur son bras tout doucement. J'aurais aimé pouvoir faire mieux que ça. J'aurais aimé avoir eu le courage de leur avoir fait face après avoir annuler le mariage. Mais j'étais là si besoin, j'étais là et je ferais tout pour qu'il soit heureux. Même s'il ne m'aimait pas, je pouvais toujours essayer qu'il soit heureux avec les personnes qu'il aime. J'aimais l'avoir dans mes bras, j'aimais ça malgré que la situation ne soit pas tellement...facile étant donné qu'il était caboché. Je repris plus doucement à présent. On va aller passer la nuit à l'hotel, guérir tes blessures et tu te reposeras. Tu en as plus que besoin, Romy. On appellera ta copine, tu pourras passer la nuit avec elle si tu veux. Ils n'ont pas intérêt à te toucher, ils perdront leur unique fille s'ils osent te tuer ou te faire du mal, je ferais tout pour leur faire payer, Romane. Ma main arriva jusqu'à la sienne, où j'y entremêlais doucement mes doigts. J'avais envie de lui dire deux petits mots en plus, mais ce n'était pas possible. Je ne voulais pas lui mettre un autre problème dans les pattes. Je tenais trop à lui pour continuer à le faire souffrir. Tu me raconteras tout quand on sera à l'hotel. Tu as assez de forces pour monter dans la voiture ? Je vais t'aider...

** Partez ou je vous tue un par un ! Comment avez vous osé toucher au père de mon enfant ?! Bande de charognards ! Retournez en Italie avant que je m'occupe de vous !

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Même si j'avais encore mal partout, sa présence, sa chaleur, me faisaient un bien fou... Être dans ses bras comme ça me soulageait tellement. J'avais l'impression de ne pas l'avoir vu depuis des mois, des années et pourtant j'étais encore avec elle il y quelques jours à peine. Son baiser sur ma tête m'apaisait, j'en voulais encore, d'autres, j'aimais ses baisers et je ne pensais pas ça parce que j'étais mal mais parce que c'était la vérité. Mais c'est là que doucement elle me reposait sur le sol Donnes moi deux minutes, mon beau., non où allait-elle?... Je ne voulais pas qu'elle parte, je ne voulais plus. Je tentais de marmonner "Teo non... Où tu vas..?", mais très vite je l'entendis crier furax en italien sur les types qui m'avaient agressés avant que quelques coup de feu ne retentissent et que les types ne s'enfuient pas en mesure ni en droit d'agir contre elle. J'avais eu en cet instant peur pour elle, mon regard rivé sur elle, mon bras allant en sa direction. J'étais prêt à puiser dans ce qu'il me restait pour me relever la protéger s'il le fallait! Mais tout allait bien, ils étaient parti et elle revint près de moi.

On est tranquille maintenant. Ils ne te feront plus de mal. Tu es libre, Romane. Je refuses qu'il te fasse plus de mal que ça., libre... Pourquoi entendre ça ne me comblait pas? Parce que c'était faux... Je n'étais pas libre et ne le serais jamais simplement parce que je viens d'un monde qu'on ne quitte pas, du moins pas vivant. Question de secret, de préservation de l'empire et sa puissance, c'était comme ça chez nous. Et puis... Je ne voulais pas l'être, du moins je ne le voulais plus. Je voulais rester avec elle car s'était là que je me sentais le mieux, le plus serein, je me sentais chez moi dans ses bras. Elle vint se placer dans mon dos afin que je m'appuie contre elle On va aller passer la nuit à l’hôtel, guérir tes blessures et tu te reposeras. Tu en as plus que besoin, Romy. On appellera ta copine, tu pourras passer la nuit avec elle si tu veux. Ils n'ont pas intérêt à te toucher, ils perdront leur unique fille s'ils osent te tuer ou te faire du mal, je ferais tout pour leur faire payer, Romane., je caressais son visage de nouveau tendrement alors que nos mains fusionnaient. Tu me raconteras tout quand on sera à l’hôtel. Tu as assez de forces pour monter dans la voiture ? Je vais t'aider..., elle commençait à se redresser quand je l'arrêtais soudainement la fixant droit dans les yeux "Non je ne veux pas Teo'... J'veux appeler personne, je veux rester avec toi. Ma réponse à ta question de l'autre soir c'était non... Non je ne penserais pas à une autre avec toi, je ne verrais que toi car je suis bien avec toi... J'étais aveugle c'est tout. Je n'ai besoin rien d'autre quand tu es là. Je veux me marier avec toi Teodora...".

Mes doigts caressaient toujours sa joue tandis que je me redressais au mieux tout en approchant son visage du miens avant de l'embrasser. Un vrai baiser... Et dieu que ça me faisais du bien de sentir ses lèvres si douces. Oui, tout était clair à présent... Je ne voulais pas quitter mon monde, je ne le voulais plus, car je voulais rester avec elle, près d'elle et de notre bébé. J'avais fait mon choix.
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Plus personne ne nous fera du mal, c'était la promesse que j'essayais d'avoir du haut de mes un mètre soixante et onze, mais j'étais pas sûre que ce soit mon rôle. Romane était beaucoup plus fort que moi, plus grand, plus apte à nous protéger. Mais je lui faisais confiance, je savais qu'on y arriverait, simple instinct pour vous l'avouer. Je cherchais à le protéger, à le rendre heureux, quitte à le laisser à une personne qui pourra le faire mieux que quiconque sur cette Terre si ce n'était pas moi. Je ne me rendais pas compte à quel point Romane m'appréciait, mais je risquais de le découvrir. J'allais pour me redresser afin de l'emmener dans un endroit plus...pratique pour s'occuper de lui, mais il s'arrêta. Je ne bougeais plus, le regardant fixement les yeux dans les yeux. Non je ne veux pas Teo'... J'veux appeler personne, je veux rester avec toi. Ma réponse à ta question de l'autre soir c'était non... Non je ne penserais pas à une autre avec toi, je ne verrais que toi car je suis bien avec toi... J'étais aveugle c'est tout. Je n'ai besoin rien d'autre quand tu es là. Je veux me marier avec toi Teodora... Je n'avais manqué aucun mot, toutes ses syllabes, tous ses mots m'étaient parvenus et m'avait touché. Je sentais que c'était la fête nationale dans mon coeur, que je pouvais enfin libérer tout ce que j'avais sur le coeur. Bien sur que ma réponse n'allait étonner personne. Moi aussi...je veux t'épouser... Romane... dis-je dans un dernier souffle alors qu'il vint m'embrasser.

Je pleurais. Son baiser, sa tendresse et ses mots me faisaient pleurer. Ce n'était pas de la tristesse, mais c'était des sentiments positifs qui ressortaient de moi, j'en débordais. C'était des larmes de joies. J'avais compris il y a quelques jours que je ne ressentais pas qu'une profonde amitié pour Romane, mais bien plus que ça. Notre bonheur était lié, et je ne m'en étais pas rendu compte. Le destin m'avait permi de l'épouser, d'avoir un enfant de lui, ce n'était pas seulement pour faire beau, c'était parce qu'il y avait quelque chose. Si on m'aurait prévenu il y a des mois de ça que j'allais tomber sous le charme d'un homme, que j'étais enceinte de lui, je n'y aurais jamais cru. Et personnellement, j'avais envie d'en profiter au maximum. J'entourais les épaules de Romane qui tentait de se redresser, de mon autre main je caressais ses cheveux d'une façon tendre, passionné, symbole de mes sentiments pour lui. C'était un long baiser pour une personne qui nous regarderait de loin, mais pour moi, chaque seconde était un pur bonheur dont je n'arrivais pas à me lasser, je planais comme ci les lèvres de Romane étaient une drogue dont je pouvais abuser. Mais la raison fut plus forte que mon envie de continuer à l'embrasser, il ne fallait pas oublier que Romane était mal en point et devait se reposer.

J'écartais mon visage du sien, j'étais triste de cet arrêt mais je devais m'occuper de lui. Je lui souris tendrement, lui rendant sa tendre caresse sur sa joue. On devrait y aller, Romy. Pour te soigner, et que tu te reposes. Je resterais à tes cotés. Je déposais un chaste baiser avant de me hisser sur mes deux pieds et passer mon bras autour de Romane pour l'aider à se relever. Je le tenais fermement et je l'emmenais dans la voiture, l'asseyant avec précaution. Je fis le tour de la voiture, allumant la voiture, je posais ma main sur celle de Romane pour la prendre et déposer un baiser sur le bout de ses doigts. Je la gardais avec moi, sur ma cuisse alors que je démarrais la voiture pour nous faire sortir de là. J'ouvris le capot de la voiture pour la mettre en mode "décapotable", histoire de faire prendre l'air à Romane. Cette fois-ci, je roulais plus doucement. D'une main je tenais le volant, de l'autre la main de Romane que je regardais de temps en temps, je ne pouvais pas m'en empêcher. J'avais le coeur léger, et soulagé. Il n'allait pas mourir, ça c'était certain. Tient le coup, on va bientôt rentrer. Reposes toi, tu en as assez fait pour aujourd'hui. Je me sentais vraiment niaise sur le coup, j'étais d'habitude plus énergique, pas très romantique et là... c'était différent, Romane me changeait en quelque sorte. Mais ce n'était pas pour autant que les deux petits morts sortirent de mes lèvres. J'avais peur de me prendre une claque, de m'être fait un film toute seule, qu'il ne voulait que l'amie et pas autrement. Je ne pouvais attendre, je n'étais pas pressée. Mais je ne devais pas me prendre la tête, c'était mal et je n'avais pas que ça à faire de me prendre la tête alors qu'il y avait mieux à coté de moi. J'appelais l'hotel pour réserver une grande chambre, puis je reportais mon attention sur mon mafieux blessé.

Nous arrivâmes à l'hôtel. Un portier ouvrit la porte de Romane, et me regarda aussitôt. Je lâchais la main de Romane et lui lança un regard noir. Oui, il était mal en point, et alors ? J'allais m'occuper de lui. Je murmurais alors à celui-ci. Apportez moi la trousse de secours pour lui, de quoi soigner ses plaies. Mais restez discret s'il vous plait. Ce serait appréciable. Heureusement pour nous, il n'y avait personne, il était trop tard, on attirait pas l'attention ainsi. Je descendis de ma voiture, prenant Romane contre moi. On m'amena la clef et je ne mis pas longtemps à l'emmener dans la chambre avec l'aide du portier qui m'aidait à le tenir et à l'allonger sur le lit (double!). Je pris les pansements et autres affaires qui pourraient m'aider à le soigner dans les mains du portier puis enfin, je le congédiais avec un gros pourboire. Je soupirai et vint m'asseoir à coté de l'homme que j'aimais, glissant ma main dans ses cheveux et le regardant tendrement. ça va aller? je vais désinfecter tes plaies et on va mettre un peu de glace sur tes bleus. J'avais envie de l'embrasser mais je me retenais. Mes regards sur ses lèvres pourraient me trahir mais je devais me calmer et me concentrer plutôt sur la blessure qu'il avait au torse. Ce n'était pas facile du tout, j'avais le coeur qui battait tellement fort. J'avais envie de lui dire que j'allais le haïr de me troubler de cette façon...
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Moi aussi... je veux t'épouser... Romane..., ces paroles me firent un bien fou, limite à m'en faire presque oublier la douleur n'espace d'un instant. Elle le voulait... Moi qui pensait prendre un nouveau stop, elle n'en fit rien et répondait même à mon baiser avec passion les larmes aux yeux. Cela dura un temps mais il fallait que l'on bouge, On devrait y aller, Romy. Pour te soigner, et que tu te reposes. Je resterais à tes cotés., je souris à ses mots avant de suivre le mouvement en grimaçant, je me redressais avec son aide pour me mettre debout afin de marcher tant bien que mal vers sa voiture dans laquelle elle me posa en douceur avant de venir s'installer au volant entre deux baiser sur ma main qui venait caresser sa cuisse. C'était étrange comme sensation... Sentir qu'il y avait moyen de partager un bonheur sans barrages, sans craintes, sans secrets, de savoir qu'avec elle j'allais pouvoir avancer sans le moindre nuage à l'horizon tout en répondant à l'attente de ma famille. C'est fou ce qu'on devait parfois vivre pour comprendre ce qu'on doit faire et dans quelle direction il faut aller. Je pouvais enfin souffler....

Elle démarrait pour nous emmener à l'hôtel. La voiture décapoté, la brise d'air faisait du bien, les yeux fermés, la tête penché vers l'extérieur, mes doigts glissaient doucement sur sa cuisse, j'avais mal mais j'étais bien là, avec elle. Tiens le coup, on va bientôt rentrer. Reposes toi, tu en as assez fait pour aujourd'hui., même si j'étais encore un peu à l'ouest, je l'entendais et souriais à ses mots répondant d'une pression de ma main sur sa jambe pour la rassurer que oui, j'allais tenir le coup. Elle appelait l'hôtel pour réserver une chambre avant qu'on arrive enfin pour se garer. Un mec vint m'ouvrir la portière et comme il fallait s'en douté, il tira une drôle de tronche en voyant mon état "Quoi..? Qu'est ce que t'as tu veux ma photo...?", ouais j'étais pas d'humeur et il y avait de quoi! Mais Teo' le mit très vite au parfum avant de venir m'aider à me lever pour m'emmener vers la chambre avant que le "gugusse" ne revienne pour l’assister. "Tout doux Billy boy...", ouais je ne pouvais pas m'empêcher de faire un commentaire. Que Teo me tienne m'allait très bien mais je n'aimais pas que quelqu'un d'autre me touche, surtout pas dans cet état. On arrivait enfin, Teodora me posa sur le lit avant de virer le petit trou du cul et de me rejoindre me regardant dans les yeux, sa main glissant dans mes cheveux tandis que je caressais son bras des miennes. Ça va aller? je vais désinfecter tes plaies et on va mettre un peu de glace sur tes bleus., je lui souris doucement, passant ma main sur sa joue "Oui ça va aller... Maintenant que tu es là.", une légère grimace en me redressant un peu "Vas-y, même si ça va piquer, j'suis plus à ça prêt.", allons-y soignons tout ça. J'enlevais comme je pouvais ma chemise en douceur afin qu'elle puisse s'occuper de moi facilement. J'étais déjà plus docile de savoir que c'était elle qui allait s'occuper de moi. Je n'avais qu'une envie, la prendre dans mes bras et l'embrasser.



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J'étais un peu folle à l'intérieur de moi. Romane me voulait en épouse, il disait qu'il ne penserait pas à une autre. Il me l'avait dit, je ne pouvais que le croire. Mais le fait qu'il était tabassé par ma famille, qu'il soit mal en point, calmait directement ma joie qu'il soit vers moi. Je m'étais rendue compte que ce mariage arrangé nous avait rapproché, je n'avais jamais pensé que ce soit le cas de son coté. Mais mes pensées devaient se fixer sur ses blessures, je devais m'occuper de lui. Et à peine nous étions seuls, j'avais une envie monstre de me blottir dans ses bras et de gouter à ses lèvres pendant des heures. Mais je ne pouvais pas, ça me frustrait mais je devais contenir ma joie d'être à ses cotés. D'ailleurs, il savait comment me faire tourner la tête. Oui ça va aller... Maintenant que tu es là. Mon coeur manqua un battement. Il savait que j'étais devenue plus sensible aux compliments venant de lui ? Pas sur. Je répondis timidement, mais mes joues se rosirent sous l'effet. Et ce qu'il me disait ne m'aidait pas du tout. Mais je tenais bon, je lui volerais sûrement quelques baisers dans son sommeil, ni vu, ni connu. Vas-y, même si ça va piquer, j'suis plus à ça prêt. m'annonça t-il alors que je commençais à nettoyer son torse du sang qui avait séché depuis le temps. D'accord. 'tention... Je souris alors que je venais de finir de nettoyer et que je commençais à mettre du désinfectant sur sa plaie. Je prenais toutes les précautions possibles pour ne pas lui faire mal.

Pendant plusieurs minutes très silencieuse, je m'appliquais à lui faire un bandage sur le torse puis je soignais les blessures sur son visage. Il était vraiment amoché, et je m'en voulais que ce soit surtout MA famille qui lui ai fait du mal. Je m'excuserais un peu plus tard, je voulais qu'il se sente mieux pour le reste de la nuit avec moi. Je venais de finir de soigner son visage que je vérifiais s'il 'navait rien autre part. Attends, j'vais t'enlever ça. Je vois rien sinon. Je rougis alors que je le relevais un peu pour retirer son haut, je regardais son dos ses bras. J'avais très chaud soudainement, il était vraiment très beau, voir même ses blessures le rendaient encore plus sexy. Je me pinçais la lèvre inférieure, le regard très intéressée par son corps, je continuais de l'observer ("accessoirement", l'admirer.). J'avais envie de gouter à sa peau, à la caresser, ça me tentait à chaque seconde, mais je me retenais. Puis lentement, je défaisais les boutons de son pantalon, le faisant glisser le long de ses jambes pour le poser à coté de nous, au sol. Vue agréable sur son boxer, ses jambes, mon dieu que c'était... bon... j'essayais de me reprendre avant de m'effondrer sous la chaleur que je ressentais à la vue de son corps. A première vue, il n'avait que des bleus, mais ça, ça passerait. ça passera pour les autres. On te passera de la crème plus tard, ils en ont pas dedans. Tu vas te reposer un peu maintenant, ça nous fera du bien de dormir un peu. Je souris tendrement avant de me pencher vers Romane pour l'embrasser tendremen, avant de mettre les couvertures au dessus de lui. Je me relevai après quelques secondes.

Je lui faisais dos pour enlever ma robe qui au sol avec le reste des vêtements. Je retirais mon soutien-gorge, je n'osais pas vraiment lui faire voir alors qu'il m'avait déjà vu nue, et même fait l'amour. D'ailleurs à cette pensée, je posais ma main sur mon ventre, regardant ce ventre plat qui allait bientôt devenir "boule" lorsqu'il aura prit de l'âge. Je me sentais heureuse à présent. Je me pinçai la lèvre, un petit bout de paradis qui me transportait déjà. Je me retournais doucement, le fixant quelques secondes, grand sourire aux lèvres. Je contournais le lit, puis je m'allongeais dans les draps, mon coté "fofolle" reprenait le dessus. J'étais toute excitée. Je me rapprochais de Romane, je n'osais pas me mettre dans ses bras, par peur de le blesser, mais aussi par peur de faire trop, je n'étais pas habituée à ce genre de contact avec lui. Je le regardais tendrement, un peu excitée par la situation. Je peux dormir dans tes bras, Romane ? Je voudrais pas te faire mal... juste que j'en ai envie. Je sais que tu es pas en sucre, mais... je demande... j'ose pas... J'enfouissais mon visage dans l'oreiller, je me sentais tellement timide soudainement, et pour vaincre cette fameuse timidité, je relevais la tête et attrapais ses lèvres que j'embrassais tendrement. Je me tenais d'un bras puis de ma main libre, je caressais sa joue. Je ne savais pas du tout par où commencer pour discuter... ou même me montrer tendre. On ne pouvait pas dire qu'auparavant on m'avait lancé tranquille avec un garçon pour vivre bien avec...

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Je n'aurais jamais pensé cela il y a encore quelque temps, qu'être avec elle me faisait tant de bien, en fait, je ne m'en rendais même pas compte et pourtant à mieux y penser ça avait toujours été ainsi quand elle était là. À croire que notre obsession pour l'annulation de se mariage me voilait la face au point de me rendre aveugle à mon ressenti vis à vis d'elle. Me laissant faire, je la laissait commencer ses soins en serrant les dents, en silence. Elle se donnait un mal fou pour rester douce, soigneuse et c'était mignon à voir, j'en laissais même échapper un sourire en coin à la regarder faire même si ça piquait.

Cela dura un petit temps, elle s'occupait de moi, était même douée et moi je la regardais faire, la dévisageant en silence. À vrai dire, j'en oubliais même la douleur à faire ça. Après quelques bandages, un passage soin sur ma gueule abimée avant de m'ôter ma chemise pour s'occuper du reste. La voir me déshabiller comme ça m'en rappelait bien des souvenirs! Repenser à notre nuit au club fut inévitable et d'ailleurs un petit quelque chose me disait qu'elle avait elle aussi un tas d'idées qui passaient en tête à cet instant ce qui me fit sourire discrètement à nouveau. Je n'allais pas le cacher, j'adorais qu'elle s'occupe de moi comme ça, qu'elle me touche de ses doigts délicats, c'était un délice reposant et ce même sur mes blessures qui semblaient apprécier sa tendresse. Je la laissais donc continuer, m'enlevant mon pantalon pour voir l'état de mes jambes. Ça passera pour les autres. On te passera de la crème plus tard, ils en ont pas dedans. Tu vas te reposer un peu maintenant, ça nous fera du bien de dormir un peu., sur le coup, j'eus envie de lui répondre "oui maman" pour la taquiner mais je n'en fis rien "D'accord mademoiselle l'infirmière. Merci pour cette tendresse.", un sourire puis elle vint m'embrasser plaçant les couvertures sur moi. Ses lèvres m'avaient manqués...

Je la regardais se lever afin de se mettre dos à moi pour se déshabiller à son tour et il fallait dire qu'il fut plus fort que moi de ne pas en rater une miette. En même temps, la vue était trop belle! Et dire qu'elle allait être ma femme... En fait, je n'y croyais toujours pas, j'avais encore du mal à me faire à l'idée que c'était clair, net, fixé. Qu'elle et moi allions vraiment nous marier. Et à vrai dire... Le réaliser me faisait du bien au fond, j'en étais à présent heureux (oui oui, heureux pour de vrai) et apaisé. "J'vais être franc avec toi... Je pourrais admirer ça pendant des heures..." (oui plus fort que moi). Je ne démordais pas de son corps tandis qu'elle vint me rejoindre tout sourire, se calant près de moi dans les draps. Elle se rapprochait de moi Je peux dormir dans tes bras, Romane ? Je voudrais pas te faire mal... juste que j'en ai envie. Je sais que tu es pas en sucre, mais... je demande... j'ose pas..., sa question me fit immédiatement sourire alors qu'elle se cachait dans son oreiller soudainement timide. C'était vraiment trop mignon, elle me faisait craquer là! Elle vint vaincre sa timidité en déposant un doux baiser sur mes lèvres en caressant ma joue.

J'aimais ce gout, un VRAI baiser entre elle et moi. Je passais alors ma main dans sa nuque, afin de l'embrasser plus pasionnément encore. Malgré mon état j'étais bien, vraiment bien. J'avais encore envie de lui dévorer la bouche mais je m'écartais doucement pour lui répondre "Bien sûr que tu peux dormir contre moi, ne te gêne surtout pas. Ça ne me fera pas mal, au contraire...", mon regard vint de nouveau se perdre dans le sien et cet instant fut comme une sorte de révélation pour moi, je comprenais là, je voyais clair et je le sentais dans les battements de mon cœur qui se faisaient plus fort. J'avais envie de lui dire les deux mots qui venaient alors frapper mon front mais je n'osais pas... Je ne voulais pas qu'elle se sauve, pas maintenant que je la savais près de moi. Alors je me perdais encore un instant sur son visage avant de passer mon pouce sur sa joue et d'un tendre sourire venir l'embrasser de nouveau alors que mon autre bras passait dans son dos, un baiser bien plus chaud, les sentiments étaient là.
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D'accord mademoiselle l'infirmière. Merci pour cette tendresse m'avait-il dit alors que je m'étais occupé de lui comme je le pouvais. Je connaissais ce genre de blessure, avec l'entrainement d'arts martiaux, mes frères qui revenaient de bagarres, l'habitude et c'était simple pour moi, bien qu'avec Romane, je prenais mille précautions pour que ça lui fasse le moins mal possible, mes frères le jalouseraient. Mais je m'en moquais d'eux, en ce moment, je les haissais. Ils avaient touchés à Romane, et je ne supportais pas ça. Ce mec me faisait tourner la tête comme pas possible, il ne s'en rendait pas compte. Je ne pouvais décrire la façon dont mon coeur avait battu lorsqu'il s'amusait à dire : J'vais être franc avec toi... Je pourrais admirer ça pendant des heures... . Quel sadique. Mon coeur le faisait rêver, lui c'était tout son être. Il avait une personnalité que j'aimais, une charisme qui me plaisait. Je ne répondais pas, seulement le rejoindre dans le lit qui me plaisait. Et mon coeur ne répondait plus une fois que je fus contre lui, lèvres contre lèvres. Cette chaleur augmentait, mon corps était transit de désir pour Romane, j'avais envie de gouter à son corps entier.

Il continuait notre baiser, ça ne me plaisait qu'encore plus. Ma main sur son cou, je tenais son visage près du mien, j'étais même triste de sentir ses lèvres s'écarter des miennes. " Reviens, Romane, reviens..." j'étais là, j'attendais que mon désir soit comblé. Il répondait à ma question, Bien sûr que tu peux dormir contre moi, ne te gêne surtout pas. Ça ne me fera pas mal, au contraire... je répondis par un sourire. Il me tentait, j'avais envie de ses bras, de son corps, encore plus de son amour. Il m'embrassait d'une façon si tendre, si douce, ça me rendait complètement "gaga". Et lorsqu'il passa son bras dans mon dos, je me serrais un peu plus contre en faisant attention à ne pas poser ma main sur ses blessures. Je l'embrassais d'une fougue énorme, je me montrais très passionnée dans la démonstration de ce baiser. Une idée me traversait l'esprit : lui faire l'amour, retrouver son corps, y gouter, sentir la chaleur de sa peau contre la mienne. ça me rendait, d'ailleurs, plus énergique, et entreprenante. Je me retrouvais à genoux au dessus de lui.

Mes lèvres déroutèrent sur sa machoire, que j'embrassais tendrement, puis je descendais dans son cou pour m'amuser à suçoter sa peau. Je commençai déjà à avoir chaud, mon coeur battait si fort, mon sang circulait à plein régime. Je le désirais, c'était plus que normal. Mes mains descendaient le long de ses bras alors que je descendais sur son torse pour embrasser les parties de sa peau qui étaient intactes. Et puis mes mains se retrouvèrent sur les hanches du Winthrop, et mes lèvres sur son ventre, ainsi que pour finir, son bas ventre, juste au dessus de son caleçon. Je me surprenais à à embrasser sa peau, il fallait que je me reprennes. Je ne pouvais pas lui sauter dessus alors qu'il était mal en point, et qu'il devait se reposer. Excuse moi... avais-je murmurer en remontant lentement jusqu'à son visage pour l'embrasser rapidement. Je caressais sa joue. J'ai tellement envie de toi, Romane... Excuse moi. Je voulais pas...juste que... tu es tellement...beau... même après...ça... Je devais être la seule cruche qui s'excusait de vouloir faire l'amour à l'homme qu'elle aimait, mais il y avait la raison qui me disait de me calmer, de ne pas le violer tout de suite. J'étais à un vêtement près d'être nue, lui aussi. Je pouvais dominer s'il le le fallait. Des raisons que je me donnais pour continuer, mais non... Je luttais comme je pouvais en le regardant. Toujours hésistante pour lui dire ces deux petits mots, c'était trop tôt, on se retrouvait à peine. Mais ça ne pouvait pas m'empêcher de la chaleur de ses bras. Dormir dans ses bras. Je préférais voir sa réaction avant de m'allonger à ses cotés, bien que la position au dessus de lui prêtait à tout autre chose. Mon bassin si proche du sien, ma poitrine que je lui laissais voir en pleine vue... Et aussi ce coeur que je maudissais de battre si fort, de rendre ma respiration si saccadée, de me faire trembler sous cette passion amoureuse.
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J'aimais la passion dans la réponse de son baiser, la fougue qu'elle avait à s'en placer au dessus de moi. Je dois dire que même dans cet état elle me rendait dingue là. Je la laissais donc faire, aller embrasser ma mâchoire, puis mon cou et les parties intactes de mon torse ainsi descendant doucement jusqu'à mon bas ventre. Ouais, je me laissais volontiers aller à son jeu commençant à avoir fâcheusement envie de me jeter sur elle et son corps qui me faisait toujours autant d'effet. Savourant ses baisers, ses caresses, je fermais les yeux soufflant le plaisir que j'en avais mais c'est là qu'elle se stoppa Excuse moi... avant de remonter m'embrasser en caressant ma joue J'ai tellement envie de toi, Romane... Excuse moi. Je voulais pas...juste que... tu es tellement...beau... même après...ça... . Oh alors là... S'en était trop! Sans attendre plus longtemps, j'attrapais de nouveau son visage pour l'embrasser fougueusement avant de plaquer de mon autre bras son corps contre le miens pour le redresser en la faisant basculer pour passer au dessus d'elle. Même si bouger me faisait mal, cette douleur là je l'emmerdais! Je pouvais clairement l'encaisser si c'était pour faire lui faire l'amour. Je ne pouvais plus résister là c'était déjà trop tard.

"T'excuse pas, surtout pas... Parce que j'ai très envie de toi moi aussi et c'est pas mon état qui m'empêchera de savourer ça.", un regard intense dans le sien et je revenais l'embrasser à pleine bouche, encore et encore, mes mains allant danser sur son corps parfait avant que mes lèvres ne viennent à leur tour se promener dans son cou, pour continuer sur son épaule, sa poitrine puis son ventre qui portait déjà à l'heure actuelle notre enfant. Sa peau était si tendre, si douce, c'était totalement enivrant. Un nouveau regard puis mes mains vinrent glisser jusqu'à ses hanches pour que mes doigts s'accrochent délicatement à la pauvre petite culotte qui osait encore me faire obstacle. Doucement, je la faisais glisser le long de ses jambes tout en continuant d'embrasser le bas de son ventre entre deux coups de langue. Cette fille me rendait dingue c'était devenu trop clair pour le nier maintenant. Le maigre sous vêtement viré, je pouvais descendre embrasser encore plus bas jusqu'à son entre jambes où mon souffle venait glisser avant que je n'y passe ma langue. J'avais envie de la dévorer!
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