Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCold Night • Sabian [HOT]
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Cold Night • Sabian [HOT]

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Malgré mes aires d’ange je m’étais transformé en une créature de la nuit. Je ne suis pas par contre la plus rusé comme ceux se tapissent dans le noir à la recherche d’une victime. Non en fait je suis cette victime qui se laisse guidé dans une danse vers les enfers. Comme d’habitude j’étais sortie pour m’engourdir les sens sous les gouttes d’alcool.  Comme à chaque fois il fallait bien que je me retrouve entre deux draps.  Je me sentais belle, je me sentais aimé, même si cella ne durait pas plus qu’une heure.  Je ressortais tranquillement de ce lit et je recueillais mes vêtements pour finalement fermer la porte derrière moi. Le récit devrait se continuer sur le fait que je devais retourner chez moi, mais j’en avais décidé autrement ce soir. J’avais laissé un message sur le portable de Sabian lui disant que je venais le rejoindre et donc de me déverrouiller la porte. À certain moment j’avais besoin de sa présence. Il me sermonnait peut-être un peu, mais je n’y peux rien, j’ai besoin de sentir ce vent dans mes ailes. Je rentrais donc dans son appartement silencieusement et je me dirigeais vers sa chambre. Je me glissais dans son lit en me collant contre lui à la recherche de réconfort. J’espérais maintenant qu’il ne me pose pas de question.  

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Ce soir Sabian n'avait pas le coeur de sortir. Incroyable mais vrai, il n'était pas sorti, faisant du tord à son petit rituel. Et non, il n'allait pas écumer les bars à la recherche d'une femme à aimer, une femme à baiser. Le jeune homme ne s'en sentait pas capable. Parfois il avait besoin de faire une pause, de réfléchir, se poser les bonnes questions. Sa vie n'était qu'une succession d'actes impulsifs, de ce besoin obsessionnel de liberté et d'en profiter. Pas ce soir. Non. Déjà en cours il n'était pas très bien, le moral ne semblait pas être au rendez-vous. Il n'avait pas le sourire, enfin encore moins que d'habitude. D'abord assez froid, aujourd'hui il paraissait encore plus froid. N'importe qui l'aurait croisé aurait compris que ce n'était pas le moment de le faire chier. Sabian et ses humeurs, une grande histoire d'amour. Pff, parlons-en de l'amour. Pour ne pas vouloir sortir au bar pour dragouiller un peu, c'est soit il est amoureux ou soit il ne va pas bien. Connaissant le pépère, nous allons opter pour la deuxième option. Il ne se sentait pas d'humeur et le faisait bien comprendre. Il avait éteins son portable et l'avait balancé sur son canapé, à peine rentré. Il ne voulait pas être emmerder. Sabian traîna sur son ordinateur un petit moment avant de finalement l'éteindre et aller se coucher. Il ne prit même pas la peine de s'assurer que sa porte était bien fermée. De toute façon, quelqu'un saint d'esprit n'irait pas lui voler la moindre chose. Sabian pouvait se montrer un peu psychopathe sur les bords, il ne fallait pas trop le chercher. Bref, il se leva de son canapé après avoir posé son ordinateur sur la table basse. Il alla jusqu'à sa chambre en traînant les pieds. Non vraiment il avait envie de rien ce soir, dormir serait à la limite la meilleure des solutions. Le beau brun enleva maladroitement son t-shirt et son jean, qu'il laissa par terre. Oh, il aura tout le loisir de faire le ménage demain hein. Il contourna son lit et vint s'allonger sous les couettes. Elles étaient gelées. Quel con de s'être mis en caleçon aussi rapidement. Sabian frissonna avant de râler contre lui-même. Il inspira profondément avant de poser sa tête sur l'oreiller. Il ne mit pas longtemps avant de fermer les yeux et de s'abandonner dans les bras de Morphée. Le jeune homme s'endormit rapidement,, il était crevé le pauvre. Après quelques minutes à peine, les traits de son visage se détendirent. Il semblait beaucoup moins énervé, beaucoup moins sur la défensive. Il se détendait calmement, il relâchait toute cette pression qu'il avait accumulé. La bouche ouverte, on pouvait même apercevoir un petit filet de bave sortir. Oh, c'est qu'il était bien le Lindley là. Peut-être même rêvait-il d'une fille. Alors qu'il était inconscient, Sabian entendit un léger bruit. D'un geste un peu brusque, il ouvrit les yeux. Il ne bougea pas, se contentant de rester immobile. Déjà parce qu'il était trop bien pour bouger mais aussi parce qu'il s'agissait d'un voleur, le jeune homme pourrait plus facilement intervenir s'il ne se fait pas entendre. Bref, il entendit des bruits de pas approcher de sa chambre, il serra la mâchoire. Finalement, il sentit quelqu'un se glisser dans les couettes. Ouais bah tu parles d'un voleur ! Sabian referma lentement les yeux avant de replacer correctement sa tête sur l'oreiller. Au vue de la délicatesse des gestes et à l'odeur du parfum, le beau brun reconnu immédiatement Veia. Tiens, ça faisait un moment qu'il ne l'avait pas vu. Un petit sourire s'afficha alors sur son visage endormi. La blondinette vint se coller à lui. « J'espère pour toi que t'as pas fait de connerie. » bredouilla-t-il, la bouche à moitié ouverte. Sabian tourna la tête sur le côté et se retourna pour lui faire face. Délicatement, il passa son bras autour de Veia pour l'enlacer. Le beau brun semblait avoir retrouvé le moral, bah tu parles. Il inspira profondément. La présence de Veia l’apaisait, il en savait pas trop pourquoi mais il se sentait bien dans ses bras. « T'es consciente que tu es dans mon lit là ? » demanda-t-il avant de rigoler légèrement. Oh non, elle n'allait pas s'en tirer aussi facilement. Veia, laisse lui le temps de se réveiller et de comprendre ce qui lui arrive. Une blondinette aussi sexy dans son lit, il n'allait pas certainement pas laisser passer cette occasion.
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 Il faisait beaucoup trop froid cette nuit, j’avais encore l’impression de sentir quelques frissons sur ma peau frêle. La chaleur du lit me réchauffait peu à peu et encore plus le corps dénudé de Sabian. Je ne calculais pas mes gestes, mais la noirceur ce soir me pesait lourd sur mes épaules. Face à moi maintenant ses traits étaient à peine perceptibles, seules des prunelles lumineuses brillaient doucement dans l’obscurité. De mon cotée mon visage restait aussi silencieux qu'à l'habitude. J’étais si fragile et si stupide.  J’avais besoin de cet élan d’amour, de ce souffle pour me faire vivre juste un instant.  Plusieurs fois on avait refusé de me toucher de peur de me briser, certains n’osaient même pas m’effleurer.  Au-delà de mes airs angéliques se cachait une force que même ma propre conscience ne connaissait pas son existence. J’avais envie d’être faible ce soir. Était-ce l’alcool qui me poussait à agir ainsi ? Je n’en savais rien.  Un léger sourire se dessinait sur mes lèvres lorsque je sentais qu’il se joignait à mon étreinte. Il aurait pu réagir de différente manière déjà que je l’avais tiré de son précieux sommeil et je le savais qu’il pouvait être impulsif par moment. Des conneries ? Mes agissements n’étaient rien de tel, c’était seulement une réaction à ce puissant besoin de vivre, il ne m’avait pas lâché depuis mon adolescence. Je voulais me débarrasser de cette enfance entre quatre murs blancs et déployer mes ailes et voler jusqu’aux confins des cieux. La situation était sans doute absurde, car j’étais en ce moment dans le lit d’une personne qui a l’habitude me protégeait de ceux qui voulait tenter la même chose. Il me ramenait sur terre une fraction de seconde en me demandant si j’étais bien consciente de l’endroit où que je me retrouvais.  Un petit rire de ma part se déploya dans la pièce silencieuse avant de loger mon visage au creux de son cou. «J’avais besoin de toi.» Relâchais-je dans un souffle plein de douceur accentué d’un accent d’une langue étrangère.  Ma longue chevelure blonde chatouillait doucement son torse. Mes lèvres effleuraient légèrement la chaire ou mon visage s’était enfui, mais je ne posais pas de baisers pour autant. Il faudrait être aveugle pour ne pas reconnaître qu’il est séduisant. Je n’avais pas envie que des questions soient posées ce soir,  j’avais juste envie que tu me prennes dans tes bras rien qu’une fois.  Je t’en prie Sabian fait moi cette faveur. Il n’est question que de toi et moi à travers cette nuit sans chaleur et les quelques étoiles qui l’agrémentent. Ce n’était surement pas prévu, mais j’ignorais de toute façon jusqu'à où il comptait se rendre. En attendant, sa présence m’apaisait et j’avais le réconfort qui chassait mes bêtises.  Non, en fait, je n’avais pas bu assez pour en prendre complètement l’esprit, en fait l’alcool n’était presque plus présent dans mon sang. «Est-ce que tu me trouves belle Sabian ?» Je relevais ma tête de ma cachette et la déposais plutôt sur l’oreiller en attendant son propre élan.  C’était peut-être ça la réponse à ma question, peut-être avais-je envie d’être belle et désiré par une personne.  Je trouvais que j’avais déjà prononcé trop de paroles. Malgré ma tête qui s’était échappée, mes mains étaient restées logées dans son dos. Son épiderme semblait déjà crépiter sous mes doigts. Je ne voyais pas le protecteur ce soir , cette image était effacée pour le moment. Moi aussi je pouvais être impulsive d'une certaine façon ou perdu dans mes pensées tortueuses. Caresse ma peau tout doucement , c'est tout ce que je te demande.

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Sabian ignorait s'il était en train de rêver ou si Veia était vraiment venue se faufiler dans son lit. Il était dans un état second, vous savez ce genre d'état situé à la frontière du conscient et de l'inconscient. Il était clairement incapable de différencier le fictif du réel. Le beau brun mit donc un certain temps avant de capter qu'une blondinette venait de débarquer son lit. Le pire dans tout ça c'est que le jeune homme a le réveil très mauvais. Heureusement qu'il ne dormait pas à poings fermés sinon Veia l'aurait senti passer. Sabien n'est pas du matin, c'est un secret pour personne, il déteste qu'on le réveille. Il râle jusqu'à ce qu'il boive un café et qu'enfin il se détende un peu. Mais avant son fameux café et/ou sa clope, il est presque impossible pour lui d'avoir des pensées positives et d'être agréable. Quel ronchon celui-là. Quoiqu'il en soit, il était dans son lit et il était bien. L'arrivée surprise de la belle Veia ne semblait pas le déranger plus que ça. Calmement, Sabian s'était retourné pour lui faire face et la prendre dans ses bras. Elle avait froid, un frisson lui parcouru le corps lorsqu'il la senti se coller à lui. Sans trop chercher à comprendre pourquoi, le beau brun avait passé ses bras autour de Veia et l'avait enlacé. Le contact était doux et naturel pour lui. Sabian lui demanda alors si elle n'avait pas fait trop de connerie ce soir et si elle était pleinement consciente de l'endroit où elle se trouvait. La blondinette rigola légèrement avant de se blottir contre lui. Il sentait son souffle chaud dans son cou, sa main encore froide dans passa dans son dos. Veia lui avoua avoir besoin de lui. Sabian ouvrit les yeux, il ne s'attendait tellement pas à ce genre de remarque. Lui qui ne parle quasiment jamais de ses sentiments ou de ses attaches, le voilà devant une fille qui se livrait. Sans un mot, l'étudiant resserra un peu son étreinte pour la rapprocher de lui. Il ne savait pas quoi répondre, il n'a jamais été très doué pour ce genre de chose. Il se contenta donc d'être là pour elle, exactement comme elle venait de lui demander. Sabian passa sa main dans son dos puis sur ses hanches. Il a toujours eu les mains baladeuses, il en profite le coco. Il aimait particulièrement la présence d'une femme contre lui. Comme un besoin incontrôlable de profiter de la situation, il passa sa main sous le pull de Veia pour découvrir sa peau nue et froide. La blondinette semblait gelée. Heureusement pour elle, Sabian avait réchauffé le lit avant qu'elle n'arrive. Elle releva la tête et lui demanda s'il la trouvait belle. Le jeune homme ouvrit de nouveau les yeux pour plonger son regard dans le sien. En fait, il n'avait jamais vu Veia autrement qu'en sa petite protégée. Il resta silencieux pour la regarder intensément. Elle semblait complétement perdue, elle cherchait en Sabian du soutien et du réconfort. Sentant la détresse dans le regard de la blondinette, il enleva sa main de son dos et vint caresser délicatement sa joue. C'était un moment hors du temps, il n'y avait qu'eux et ce lit bien trop grand à son goût. Les pommettes de Veia étaient froides. A cet instant précis, elle semblait si fragile, si vulnérable à ses yeux. Sabian avait envie de la protéger. Il fut un peu prit au dépourvu par sa question. Lui qui n'a jamais été doué pour les compliments, elle attendait une réponse de sa part. Il prit son temps avant de parler, choisissant soigneusement chacun de ses mots. Veia semblait à fleur de peau, il ne voulait pas la brusquer. Son regard s'attarda un instant sur ses lèvres avant de se reconcentrer sur ses yeux. « Bien sûr que je te trouve belle. » murmura-t-il. Sabian ne voulait pas gâcher ce moment si surprenant. « Ne laisse jamais personne te dire le contraire. » continua-t-il sur une voix rassurante. Le jeune homme ne savait pas trop ce qui pouvait bien se passer dans la tête de Veia. Quelqu'un l'avait-elle traité ? Il ne voyait pas pourquoi elle se dévalorisait ainsi et pourquoi elle avait besoin de lui. La blondinette semblait désemparée, démunie. Dans tous les cas, si quelqu'un était derrière ce mal-être, il allait prendre cher. Sabian ne pouvait détacher son regard de Veia qui ne semblait pas vraiment convaincue par ce qu'il venait de dire. « J'ai l'impression que tu ne me crois pas. Je vais te dire pourquoi je te trouve belle. » dit-il sur un ton un peu charmeur. Veia avait besoin de compliment, de se sentir valorisée et ça, Sabian l'avait bien compris. Il afficha un petit sourire, tout ceci était autant surprenant qu'excitant. Si dans l'après-midi on lui avait dit qu'il allait passer la nuit avec miss Alvisio, il aurait rigolé. « Parce que tu ressembles à une petite poupée qu'on a envie de protéger. Parce que tu as un beau regard et que tu souris tout le temps. Tu es rayonnante. » dit-il avant de marquer un court arrêt. Inconsciemment, il regarda de nouveau sa bouche, ses lèvres. « Parce que, mine de rien, tu prends de la place. On est pareil toi et moi. » continua-t-il sur le même ton doux et charmeur. Le beau brun enleva finalement sa main de la joue de Veia. Il se décolla légèrement d'elle pour venir se poser sur elle. Les couettes recouvraient les deux étudiants et Sabian commençait à avoir chaud, bien chaud. Il prit appui sur ses avants bras pour éviter de l'écraser, la pauvre, elle n'avait pas besoin de ça. Le jeune homme afficha un petit sourire sur son visage. Oh lui, il avait quelque chose derrière la tête. Il replaça délicatement une mèche de cheveux qui avait atterrie devant son visage en se retournant. « Et surtout parce que là, j'vois pas trop ce qui me retient de t'embrasser. » conclu-t-il. Non, il avait  beau réfléchir, il ne voyait pas de raison à ne pas l'embrasser. Après tout, il était sobre et pleinement conscient de ses faits et gestes. Comme il le dit si bien, on a qu'une seule vie alors autant en profiter.
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 C’était bien de pouvoir rêver un peu, moi qui était tant accroché à mon univers. Son demi-sommeil et ma mélancolie nocturne nous emmenaient dans un chemin encore jamais emprunté.  Sous les étoiles on aurait presque pu dire que c’était comme si on dormait et cela ne s’était pas produit. Sauf que tout était bien réel, c’était si enivrant et si excitant. Mon cœur en avait accéléré ses battements  et mes frissonnements laissaient place à une chaleur de plus en plus enivrante.  Je le remerciais intérieurement de laisser libre cours à ses mains pour quelques caresses.  Un regard nouveau sur le lien qui nous unissait. Sans doute si je ne mettais pas coller ainsi il n’aurait jamais oser me toucher de cette façon. Ce réconfort j’en avais besoin il était presque aussi perturbant que l’alcool ou une drogue que l’on pouvait boire. Ce besoin constant d’amour il me guidait loin, mais Sabian et il ne me jugerait pas. J’avais même osé lui demander s’il me trouvait belle. J’étais peu consciente du charme que je pouvais avoir, peu consciente du pouvoir  que mes prunelles qui ensorcelaient à certain moment. Rien de tout ça n’était important puisque la nuit avait enveloppé sur nous sa longue robe.  Ses paroles retentissaient doucement à mes tympans .Je n’avais pas envie d’être cette poupée si fragile qu’on caresse du bout des doigts, non je voulais plus que ça. J’avais envie de le rendre fous ne serait-ce que quelques minutes , qu’il me prenne dans ses bras comme ses autres femmes. On me manipulait avec douceur comme on le fait avec de la porcelaine, mais je ne menaçais pas de me fendre sur le carrelage. Certes la douceur faisait frissonner mon épiderme,  mais un peu de violence n’avait jamais fait grand mal. Et par là je voulais dire me serrer peut-être un peu trop fort et m’embrasser en perdre son souffle.  J’avais envie que se soit lui qu’il le fasse, qu’il parcourt chaque partie de ma chaire. Ces pensées me rendaient presque honteuses que la couleur rosée avait presque envahie mes joues. J’avais cette lueur d’espoir qu’il pense la même chose. Je n’étais que la petite créature esseulée. Mes paupières avaient voilés mes yeux au contact de ses doigts sur ma joue. J’en lâchais même un soupir de satisfaction.  Nos corps se rapprochaient et la mince distante m’impatientait. La perturbation était présente, comme la tristesse. Chacun de leur cotée elles s’étaient accrochés à ma chaire. Je n’arrivais pas les déchiffrer et encore moins à les exprimer alors elle restaient tapisser au fond de mes yeux, car il avait ce petit sourire qui ne quittait pas mes lèvres. Malheureusement je ne pouvais rien lui cacher et mes paroles avaient trahie mon état d’âme, elle avait seulement besoin d’être recoller tout doucement et c’est dans ses bras que j’en avais fait le choix ce soir.  La chaleur prie un autre cran lorsqu’il ne me dit qu’il ne savait pas ce qui le retenait d’unir ses lèvres aux miennes.  Mon sourire s’intensifia et j’eu même un frisson le long de ma colonne vertébrale.  Mes doigts parcoururent doucement son dos au même endroit que son léger spasme m’avait envahie. Non ce soir je n’étais plus la petite protégée, ce soir j’étais cette femme que tu découvrirais sous un autre angle, mais que j'espérais que tu sois plus tendre que celle que tu ramène à la maison. Je ne serais pas ce petit oiseau encore une fois. Avait-il vraiment une raison de reculer ? J’avançais doucement mes lèvres vers les siennes, mais je ne les unissais pas, elles s’effleuraient sensuellement. Cette mince distante était sur le point de me rendre folle comme elle était parfaite et si excitante.  Il devait être remplir de désir que le simple effleurement soit insupportable. La poupée était maintenant disparue. «Ne te retient pas…» J’avais dévié de sa bouche vers sa joue. «Parce que moi je ne sais pas comment je vais faire pour tenir. »  Une certaine timidité accompagnait mes paroles, mais la vérité était présente. Fait moi ce plaisir et achève ses dernières poussières entre nous. Ne me fait pas languir à nouveau. J’étais toujours la Veïa douce et rayonnante, mais elle avait une envie de plus en plus présente. Caresse moi et embrasse moi que je chaque parcelle ne te soit plus inconnu. Il fallait maintenant que mon plan soit réciproque.

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Veia était venue de son plein gré dans son lit. Sabian ne l'avait pas forcé et l'avait, encore moins, droguée pour qu'elle débarque ici. Non, non. Sortie de nulle part, la petite blondinette était venue dans son appartement en mode voleuse, avait enlevé délicatement ses chaussures pour ne pas le réveiller et s'était glissée à côté de lui. Un acte délibéré et conscient. Veia savait à quoi elle s'exposait en venant dans son lit. Sabian ne l'a jamais caché, il aime la compagnie des femmes et qu'elle ne soit pas étonnée de ne pas être à la première à effleurer ses draps. D'ailleurs, en parlant de la petite Alvisio, elle semblait tellement différente de d'habitude. La poupée de porcelaine semblait bien moins fragile qu'en temps normal. Une aubaine pour le beau brun qui se délectait d'un peu de contact féminin. Ce n'est pas vraiment un secret, Sabian a souffert du manque d'attention étant plus jeune. Baladé de foyer en foyer, il a su trouver de stabilité qu'à l'age de sept/huit ans, là où toute son éducation venait d'être gâché. Il avait perdu sa mère adoptive beaucoup trop tôt. Ce manque d'attention le suivait partout où il allait et en général, les réactions impulsives de l'étudiant étaient dû à ça. Une fois n'est pas coutume, la mauvaise conduite n'était pas la sienne ce soir. Non, c'est bel et bien Veia qui le provoquait. Elle lui avait demandé s'il là trouvait jolie. Sabian voyait dans cette phrase un besoin de réconfort mais aussi un peu de provocation. Il était venu se poser sur elle, simple réflexe. Ses mains encadraient le visage de la blondinette qui ne semblait pas vouloir bouger d'ici. Elle était froide, Sabian allait bien s'occuper d'elle. Cet instant semblait être hors du temps. Ils étaient deux, à découvrir une nouvelle personnalité de l'autre, une nouvelle facette, un nouveau visage. Ce n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Le jeune homme se montrait anormalement doux et rassurant envers la petite poupée. Ils se rapprochaient dangereusement. La limite de l'amitié semblait être franchie depuis la seconde même où Veia était entrée dans ce plumard. Sabian ne donnait pas long feu à cette situation. Il était proche d'elle et se saluait de ne pas avoir encore goûté à ses lèvres. Il l'avait provoqué, avait murmuré ces quelques mots. Il plongea son regard dans le sien et afficha un petit sourire sous ses paroles. Elle semblait plutôt partante la petite Alvisio. « Tu sais à quel point j'ai horreur qu'on me dicte ce que je dois faire. » murmura-t-il, le sourire aux lèvres. Sabian baissa les yeux pour admirer ses lèvres, il s'approcha délicatement de la blondinette et vint poser ses lèvres dans son cou. Il vint se blottir dans son cou pour l'embrasser langoureusement, laissant le désir planer entre eux. Le beau brun laissa ses lèvres parcourir la peau nue et encore froide de Veia. Sans bruit, il remonta jusqu'à sa nuque puis jusqu'à son oreille. Sabian laissa ses mains se balader sur elle. Il passa en dessous de son t-shirt pour y découvrir sa peau nue. C'était très sensuel. Il se recula et la regarda de nouveau. « Mais je veux bien faire un petit effort ce soir. » dit-il avant de finalement capturer ses lèvres pour l'embrasser tendrement, mettant fin à ce supplice peu conventionnel.
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Il y a avait ces jeux interdits qu'on ne tâte que chastement des doigts. On avance nos pions de mains tremblantes et on ferme les yeux quand on lance le dé. On a peur de la suite, alors on refuse de s'adonner plus longtemps. J'avais ouvert la boite au risque de m'y perdre, au risque de chuter aussi rapidement que j'avais commencé. Les frissons me faisaient vivre dans un instant lointain. Un autre endroit que cette terre, un univers dont seul j'avais la clé et j'avais laissé Sabian y rentrer. Je pouvais déjà sentir les pauvres blessures sur ma peau et celle de mon âme. Je pouvais déjà sentir grandir la mélancolie s'agrandir d'avantage lorsque le rêve prendrait son dernier souffle. Il était sans doute question d'une seule nuit et j'allais m'effriter pour de simples caresses, pour un simple réconfort comme je l'avais toujours fait. Je n'étais pas assez belle pour toute ses femmes qui avaient longés ses draps, mais j'espérais l'être assez ne serait-ce qu'une seconde. J'espérais avoir assez d'audace pour l'emmener loin dans ce jeu. Loin dans nos étreintes et nos caresses qui ne demandaient qu'à s'enflammer. Je ne me rappelais pas si j'avais marqué un seul de ses corps que je rencontrais dans mes nuits tourmentées. Je me plongeais la tête première dans un océan et ce sans retenue au risque de me noyer. Pour certain c'était l'alcool qui vous engourdissait les sens, moi c'était l'union de deux corps qui me rendait folle. Je voulais seulement trouver au beau milieu de cette luxure un peu d’amour, un peu d'affection. Ma douceur tombait et laissait place à une fille tout à fait différente qui s'apprêtait en tomber dans une danse. Par chance que la lumière n'était pas présente m'empêchant ainsi de me couvrir d'un rouge de la tête aux pieds. Ce n’était pas particulier, tout simplement pas prévu. Ses lèvres qui venaient de s'apposer sur mon me fit soupirer tendrement de plaisir. Il refusait de vouloir unir nos bouches alors qu'elles avaient été si près pendant quelques secondes. Un simple refus de faire ce que je lui demandais. On ne pouvait pas dompter ce genre d'esprit libre. Le désir montait de plus en pus haut au fil des baisers qui découvraient lentement des endroits jamais encore rencontrés. Puis le moment que je croyais ne jamais se présenter arriva. Il m'embrassa et mon supplice prie fin. Je répondis avec envie à son baiser en espérant au fond de moi que ce moment ne s'arrête jamais. Nos baisers s'enflammèrent de plus en plus en devenant toujours plus langoureux. Nos langues se touchaient délicatement encore avec certaine chasteté qui allait bientôt s'envoler. Mes mains qui d'ici là n’avaient presque pas bronché prirent d'assaut sa peau brulante. Je glissais mes doigts sur son torse déjà découvert, puis se fut mes lèvres qui prirent le chemin de son cou pour arriver au début de son poitrail que je n'effleura seulement de quoi allumer encore plus les flammes de son désir. Mes vêtements étaient de trop maintenant sur ma peau. Je voulais que nos peaux se rencontre. Je le pressais de plus en plus contre moi, car les seuls centimètres qui nous séparaient étaient presque une souffrance. Je me retrouvais à renverser la situation par la suite en me retrouvant sur lui. Nos regards se croisèrent et ma longue chevelure blonde encadrait son visage. Mes doigts dessinèrent doucement ses lèvres Une petite pause avant la suite. Quelques poussières dans cette nuit glaciale qu'on avait réchauffées.

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Sabian avait franchi la limite qu'il s'était imposé avec Veia. Il aimait comme ça, il mettait des distances de sécurité qu'il adaptait selon la personne qu'il avait en face. Et ce soir, ces barrières semblaient avoir disparu. Il ne voyait en Veia, jusqu'à présent, que sa petite protégée. La fille délicate et fragile qu'il devait protéger. Et pourtant là, cette fille là semblait avoir disparue. La belle blonde semblait plus sure d'elle, plus confiante. C'était plaisant à voir. Sabian était plus enclin à tout rapprochement. Disons qu'il se sentait beaucoup moins coupable et osait plus. En temps normal, il aurait eu peur de la casser, cette petite chose fragile. Mais là non, il avait grimpé sur elle sans le moindre scrupule. Son corps si mince juste en dessous du sien. Elle ne semblait plus avoir froid, Sabian lui avait transmis sa propre chaleur. Car oui clairement, il bouillait à l’intérieur. Des réveils comme ça, il en voudrait plus souvent. Délicatement, il s'était approché de Veia pour venir lui capturer ses lèvres. Le contact fut surprenant pour Sabian qui ne pensait pas un jour poser ses lèvres contre les siennes. Le baiser fut timide dans un premier temps. Ils se cherchaient, se découvraient au fur et à mesure. Le jeune homme prolongea le baiser qui devint plus langoureux et excitant. Leurs langues se touchaient, s’enlaçaient, leurs souffles se mélangeaient. Son rythme cardiaque augmentait inconsciemment. Sabian passa sa main sous son pull pour y découvrir sa peau nue. Les yeux fermés, un tas d'image lui venait en tête, toutes concernant une seule et unique personne, Veia. A cet instant précis, elle obnubilait toutes ses pensées, il n'avait d'yeux que pour elle. De son autre main libre, il vint la poser dans son cou pour donner plus d'intensité au baiser. Contre toute attente, la blondinette remua sous lui et le fit basculer sur le côté pour venir enfin se placer sur lui. Non pas que Veia ait beaucoup de force, disons simplement que Sabian ne voulait surtout pas lui faire mal. Et oui, malgré tout ce qu'on pouvait dire sur lui, ce soir il se montrait délicat et soucieux. C'était bien la première fois qu'il se montrait ainsi avec une fille. En règle générale, ses rapports étaient plus sauvages que ça. Un peu de douceur ne pouvait pas lui faire de mal, bien au contraire. Elle se recula et mit fin au baiser. Veia touchait les lèvres du beau brun, du bout de ses doigts. Elle savait y faire la petite. Sabian la regardait intensivement, guettant la moindre réaction de sa part. Il posa ses mains sur ses cuisses ou du moins son pantalon. C'était de la triche, elle était vêtue et lui non. Dans cette position, Veia pouvait parfaitement sentir le désir monter en lui. Sans un bruit, il remonta ses mains sur ses hanches et attrapa son pull pour finalement lui enlever. Il la regarda et afficha un petit sourire. D'un geste délicat, il vint replacer ses cheveux derrière son oreille avant de lui caresser la joue. Comme un besoin vital de la retrouver, Sabian s'avança vers elle pour l'embrasser de nouveau, laissant tomber son pull sur le côté sur lit. Effectivement, la poupée de porcelaine semblait se briser ce soir, pour le plus grand plaisir d'un Sabian attentif envers sa belle.
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Because tonight will be the night , That I will fall for you over again ,Don't make me change my mind


Tout ça était différent de ce que j’avais l’habitude. Ce n’était pas la même expérience avec les autres corps que j’avais pu frôler. Le contact me semblait plus intime et surtout plus timide. Il changeait vite d’apparence pour des élans plus assurant laissant nos envies encore jamais découvertes laisser faire le cours des choses. J’espérais au fond de moi pouvoir marquer son imaginaire, être différente de celle qui avait déjà marqué ses draps. Les conséquences ne me venaient pas à l’esprit pour le moment tellement que cela semblait irréel.  Je voguais sur un nuage, je flottais dans l’inconscience ultime. C’était doux et à la fois si envoutant. Il n’avait pas de point de retour et pour rien au monde je ne voulais vouloir m’échapper. J’avais envie que le sablier s’arrête ne serait-ce quelques secondes de plus pour que les étoiles restent plus longtemps dans le ciel. Les rêves ne se faisaient difficilement sous les rayons du soleil. Avais-je vraiment besoin d’une raison. Une simple réponse à mes actions impulsives. Je me livrais à lui, j’étais mise à nu et si vulnérable. Il n’aurait pas eu de meilleur moment pour me fracasser. J'avais si peur en même temps que tout ça s'arrête d'un moment à l’autre, que son esprit s'éveille et qu'il mette fin à nos étreintes. J'avais prise le contrôle de la situation et plongé mes yeux dans les siens comme à la recherche d'une parcelle de son âme au rythme de nos souffles qui se mêlaient tendrement. Un peu de tendresse dans un monde remplie de violence et deux corps qui avait l'habitude aussi. C'était presque irréel. Mon pull me fit faux bond préférant la place du sol. Ma peau maintenant devenu bouillante je ne sentie même plus l'aire fraiche qui s'apposait sur mon échine. Le désir de plus en plus grand j'en avais même des frissons d'impatience de pensée à faire suivre mes autres vêtements. Une caresse rapide sur ma joue et nous voilà de retour à nos baisers encore plus langoureux. Mes mains s'aventuraient toujours de plus en plus bas et je rencontrais son seul but de tissus qui le couvrait. Je jouais un peu avec l'élastique de celui-ci sans lui enlever. Non pas encore, un peu de patience. Mes doigts avaient même frôlé son entre jambe et elle avait remonté aussitôt. Il était dangereux de s'aventurer aussi loin et de déguerpir aussi rapidement. J'allais subir les conséquences. Je mordillais avec tendresses ses lèvres. La situation aurait pu être effrayante  vu la facette que je lui dévoilais de moi. «Sabian...» Laisse-je tombé à son oreille presque dans un gémissement montrant que je tenais plus en place et que je dédirais notre union de plus en plus fort.  Je le ramenais à moi, nous retrouvant assis, j'avais maintenant accès pleinement à son dos et je le serrais fort contre moi . Mes jambes aussi à la rencontre de sa taille. Il y avait encore tant de chemin à parcourir, c'était interminable.

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Love me like you do, touch me like you do.
L'envie semblait être partagée. Sabian ne s'attendait tellement pas à voir débarquer Veia dans son lit. Il ne s'attendait pas non plus à ce qu'elle soit aussi entreprenante envers lui. La blondinette ne mettait aucune réserve entre eux et lui laissait le champ libre. Le jeune homme pouvait clairement faire ce qu'il voulait. Décider de continuer ou s'arrêter net, il pouvait décider. Peser le pour ou le contre dans cette situation serait futile. Sabian sentait l'envie monter en lui, il ne pouvait plus renier les pulsions qui lui venaient à l'esprit. Il devait bien admettre qu'il était tenté par la perspective de s'envoyer en l'air avec la petite Veia. Elle avait su attiser sa curiosité. Placée sur lui, elle lui envoyait du lourd. Ses mains posées sur ses cuisses douces et maigres, Sabian ne pouvait plus cacher son attirance. Elle était belle et il ne demandait qu'une seule chose, ôter son soutien-gorge pour dévoiler le reste de sa féminité. Il semblait tiraillé entre l'envie de la faire sienne et les raisons de sa présence ici. Même si l'étudiant se demandait ce qu'elle attendait de lui, il ne voulait pas réfléchir. Veia s'offrait littéralement à lui et se montrait sous un autre jour, autant en profiter un maximum. Sabian vint capturer une nouvelle fois ses lèvres pour l'embrasser fougueusement. C'est bon, elle l'avait déchaîné, elle allait en subir les conséquences. Plus moyen de faire demi-tour maintenant. Autant elle le surprenait, autant il devait également la surprendre. Pour une fois, Sabian ne se comportait pas comme le dernier des enfoirés au lit, il faisait attention à elle et c'était bien la première fois que ça se produisait. Il voulait en apprendre davantage sur elle, sans qu'il n'ait besoin d'être méprisant ou dédaigneux. Le beau brun a vraiment un caractère de merde mais là, il semblait mettre sa fierté de côté et y prenait goût. Veia s'approcha de son oreille pour lui murmurer son prénom. Sabian afficha un petit sourire malicieux sur ses lèvres avant de se redresser. L'étreinte était chaude et particulièrement sensuelle. La couette glissa sur le corps de Veia, laissant apparaître les deux étudiants dans une position alléchante. Elle ne pouvait plus se cacher. Sabian vint l'embrasser langoureusement dans le cou. Il restait silencieux, tout ce qu'il faisait se passait de commentaire. Il restait maître de ses faits et gestes mais ne semblait plus mesurer l'impact de ses baisers sur sa peau douce. Sa langue parcouru délicatement sa nuque. Ses mains remontèrent sur ses cuisses pour venir agripper ses fesses. Veia l’encourageait à se lâcher, elle semblait très réactive sous ses mains. Il lui mordillait affectueusement l’oreille, elle se colla encore un peu plus à lui. Son odeur était enivrante, son corps n'était que pulsion et désir. Le visage enfoui dans son cou, il n'arrivait pas à se détacher d'elle. Sabian recula légèrement et baissa la tête pour admirer sur corps collé au sien. Il détacha une main de ses fesses qu'il vint poser dans son dos pour lui enlever son soutien-gorge. Il s'humidifia légèrement les lèvres. L'heure était au préliminaire, à l'exploration de leurs corps. C'est non pas sans une certaine excitation qu'il enleva son soutien-gorge. Sa poitrine fine et délicate se délivra à lui. Attiré vers l'interdit, Sabian posa sa main sur son sein et releva la tête. Il aimait cette sensation. Veia semblait si intouchable, si frêle, il semblait vouloir jouer avec le feu, au risque de s'y brûler. Les doigts du jeune homme se firent plus instant au niveau de sa poitrine. Ses instincts de mâle prenaient le dessus. Il posa finalement ses deux mains sur son dos et la fit basculer de nouveau sur le côté. Sabian aimait dominer, il aimait mener la danse. Il resserra davantage son emprise sur elle, l'embrassant langoureusement, encore un peu plus. C'était étrange comme sensation, cela allait au delà qu'une simple partie de jambe en l'air. Sabian en était conscient et pourtant, rien ne semblait pouvoir l'arrêter. Il mit fin au baiser et se redressa. L'image était magnifique. Veia presque nue en dessous de lui. Un autre sourire s'afficha sur ses lèvres. Mécaniquement, il posa ses mains sur les genoux de la blondinette avant de les laisser glisser sur ses cuisses puis ses hanches. Il se pencha délicatement vers l'avant pour saisir l'ouverture de son jean et de le déboutonner. La lumière de dehors comme seule visibilité, c'était largement suffisant pour pouvoir admirer son visage malicieux. Il faisait sombre mais les yeux de Sabian s'étaient habitués à l'obscurité. Au final, ils se voyaient plutôt nettement. D'un geste expert, il déboutonna son jean et le fit glisser le long de ses cuisses pour lui enlever. Il découvrait le bas de Veia, c'était délectable. Elle se mettait à nue pour lui. Sabian balança le jean sur le côté et s'approcha une nouvelle fois d'elle pour la couvrir de baisers et de caresses enfiévrées. Il croisa son regard. Veia éveillait ses pulsions les plus obscènes et les plus puissantes que Sabian gardaient soigneusement pour lui. « J'aurais jamais cru dire ça un jour Veia... mais j'ai envie de toi. » avoua-t-il, le souffle coupé. Leurs baisers avaient atteints une telle intensité qu'il n'arrivait plus à réfléchir. Après tout, il était pleinement dans ses droits en disant ça. Sabian a toujours vu Veia comme sa petit protégée, il l'a toujours défendu et n'a jamais cherché à aller plus loin avec elle.
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