Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJ'aurai aimé te dire des mots que tu n'as jamais entendus car à mes yeux "Je t'aime" est devenu bien trop répandu ♥ PRIALYA
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J'aurai aimé te dire des mots que tu n'as jamais entendus car à mes yeux "Je t'aime" est devenu bien trop répandu ♥ PRIALYA

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J'aurai aimé te dire des mots que tu n'as jamais entendus car à mes yeux "Je t'aime" est devenu bien trop répandu
— Prialya ❤

En se levant ce matin, ni Priape ni moi n'avions prévu de changer notre programme. On s'était dit qu'on pouvait prendre un peu de temps pour nous, passer du temps séparer avec des amis comme on l'avait déjà fait pendant le spring break. Sauf qu'en voyant le temps couvert, la menace d'averses, on n'avait tous les deux opté pour une bien meilleure option : passer la journée au lit à se donner tendresse et amour, à ne faire plus qu'un lorsqu'on le souhaitait à alterner les moments doux avec ceux plus sauvages, à apprendre à connaitre les derniers endroits cachés du corps de chacun d'entre nous. Ce dernier point était compliqué puisqu'on se connaissait déjà presque à la perfection, on apprenait plutôt à se redécouvrir. Ces moments dans ses bras étaient plein d'émotions, c'était à des années lumières de notre précédent Spring Break et ça faisait un bien fou. Les choses simples sont parfois les meilleures mais c'est aussi bien de se faire un petit plaisir parfois. Je reprenais doucement ma respiration après un échange intense entre le jeune homme et moi même, une union parfaite, une symbiose idéale. J'embrassais une nouvelle fois ses lèvres alors que je finissais pas quitter le lit et filer à la sale de bain. Ma mission ? M'habiller rapidement pour aller chercher tout aussi rapidement des provisions. Et oui, le sport ça creuse. Mais alors que je suis dans la salle de bain, la porte claque violemment d'un coup en se fermant et je sens le sol trembler sous mes pieds. Je me demande un court instant si c'est moi qui suis en train de vaciller avant de me rendre compte que c'est plutôt la terre qui bouge. Est ce que notre chambre s'écroule ? Non pas encore, mais le sol tremble. La première secousse est forte mais elle ne fait pas franchement de dégâts, ouf. Sauf qu'une violente secousse bien plus forte et longue suit directement la première. Je m'accroche au meuble de la salle de bains mais il se détache du mur en même temps que les murs se fissurent Je finis par me mettre en boule dans un coin avec les mains sur la tête tout en hurlant : « Priape ! Priape ? Priape réponds moi ! Dis moi que tu vas bien ! » Dans la secousse mes paroles sont noyées, ce n'est que lorsque ça se calme et qu'un nuage de poussière énorme se dégage du sol, des débris des choses qui sont tombées, que c'est plus audible pour qu'il puisse m'écouter. Je vais bien, je n'ai rien que des petits égratignures sur les bras mais j'ai l'impression d'être enfermée dans la salle de bain. Je tente d'ouvrir la porte, impossible. J'essaye de donner un coup d'épaule pour la débloquer : rien, j'ai une force de mouche. Alors je me remets à crier : « Priape ! Priape dis moi que t'es là et que tu vas bien ! Priape s'il te plait ! » Je suis complètement paniquée, j'ai peur de perdre l'homme que j'aime, je me demande si la secousse a été ressentie dans tout le continue, si plus haut, chez nous ils l'ont eu, si les filles vont bien.

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— Prialya ❤

 Aujourd’hui plusieurs sorties étaient organisées. Talya devait sortir de son côté avec ses amis, moi j’avais prévu de me rendre à la balade à cheval. Connaissant la passion de Caly pour les canassons, j’espérais bien voir mon ex et peut être que l’activité serait l’occasion de lui parler, de tâter à nouveau le terrain pour essayer de la faire revenir sur son refus de l’opération. Sauf que nos plans changèrent quand on se réveilla et qu’on constata la météo pourrie… « Oh comme c’est dommage, on va être obligé de rester ici… » Voilà le commentaire, pas du tout sincère et complètement ironique que j’avais sorti en regardant par la fenêtre. Et le large sourire sur mon visage trahissait bien mes vraies pensées… Je ne me laissais pas de nos siestes coquines, de nos ébats, profitant de chaque moment pour me rassasier de ma petite amie après de longues semaines à ne faire que de se croiser entre deux portes… Et puis on avait été séparés quand même durant le week end sur l’île de Pâques alors j’avais juste besoin de prendre ma dose de Talya, comme un toxico après une longue période de sevrage, sauf qu’avec la demoiselle je savais que je ne risquais aucune overdose. C’est donc devant cette mauvaise météo que nous avions décidé de nous réchauffer de la meilleure manière qui soit… Talya se faufila hors du lit après notre étreinte et je lui volai un baiser rapide avant qu’elle ne le fasse, la regardant s’éloigner avec un sourire ravi… Je saisis mon caleçon pour le renfiler avant de rester un instant lové dans le lit, à savourer le bien être du moment. Mais mon visage se crispa soudain alors que des secousses commencèrent à secouer le lit, une première secousse et rien ne sembla trop flancher. Je me redressai dans le lit : « Talya ça v… » Pas le temps de finir ma question. Une deuxième plus longue et plus marquée suivit. Les meubles de la pièce tremblèrent, l’étagère dans le fond tomba et je me cachai instinctivement le visage avec mon bras pour me protéger alors que des morceaux de plafonds ainsi que la fenêtre volaient en éclat. Une douleur me transperça aussitôt : des morceaux de vitre tranchants étaient enfoncés dans mon avant bras. Le calme semblait revenir mais la chambre était méconnaissable. Je m’extirpais rapidement du lit en grimaçant, oubliant néanmoins bien vite ma douleur, l’esprit obnubilé par une seule chose : Talya.  Comment allait-elle, était-elle blessée ? Elle pouvait très bien être tombée, s’être pris des objets ou des morceaux de plâtre du plafond sur la tête… Je bondis jusqu’à la porte de la salle de bain sur laquelle je tambourinai : « Talya ??? » Et je fus aussitôt soulagée d’entendre sa voix s’élever derrière. Je la rassurai tout de suite : « Ca va j’ai rien… » Enfin presque rien. Elle essayait d’ouvrir la porte mais l’étagère s’était affalée devant, la bloquant. « Ne panique pas… Je vais dégager le passage, mais comment tu vas ? t’as rien reçu sur la tête ? T’es pas blessée ? »
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— Prialya ❤

La terre tremble pendant un moment qui me semble une éternité. C'est normal, dans ce genre de moment les secondes deviennent des heures. Je me protège comme je peux, je m'éloigne des choses qui pourraient me tomber dessus tant bien que mal, le meuble où il y a les vasques, le miroir, tout ça finit briser sur le sol... Les murs sont fissurés, certaines parties du plafond ce sont écrasées sur le sol. J'ai quand même été touchée par certains éclats mais heureusement, rien de grave enfin je crois. Je suis affolée par ce qu'il vient de se passer, je suis inquiète de me retrouver dans cette salle de bains toute seule alors que je n'arrive pas à ouvrir la porte et que Priape soit justement derrière cette porte, et je suis aussi inquiète d'être ici au Chili alors que mes filles sont en Amérique. Et si ils ont eu le même tremblement ? Est ce qu'elles vont bien ? Je me concentre sur ma panique du moment actuel tentant de me dire qu'elles doivent bien aller, qu'Emrys a surement tout fait pour les protéger si il y a eu quelque chose, sans différence entre Mila et Charlie. La voix de Priape me rassure derrière la porte après deux appels. Je ferme les yeux un instant pour tenter de me calmer, de contenir mes larmes aussi, trop émotive que je suis. « Ca va, ça va... J'ai pas pris grand chose, je saigne à quelques endroits mais c'est superficiel. » Un bout de mur a du écorcher mon front et mes bras mais je m'en fous, ça ne me fait pas mal. « Et toi tu n'as rien ? » Je regarde la porte et je me demande comment on va réussir à l'ouvrir. « Même si tu dégages le passage je pense qu'on y arrivera pas Priape, le mur a fait bouger le cadre de la porte, avec la pression elle est coincée, puis de mon côté y'a le meuble des vasques qui est tombé à moitié devant... » Même en disant ces mots, je ne réalise pas du tout ce qu'il vient de se passer, ce qu'on vient de vivre. C'est fou, c'est exceptionnel mais j'aurais préféré ne pas le vivre. « Tu crois qu'il n'y a que le Chili qui a ressenti la secousse ? » Mon inquiétude de maman ne peut pas se contenir très longtemps, j'ai besoin de partager mon angoisse à propos des filles. Et si j'étais morte dans ce séisme aujourd'hui, si j'avais été au mauvais endroit au mauvais moment ? Charlie aurait été orpheline à même pas deux ans... Là, les larmes viennent encore plus à couler sur mes joues. « J'ai peur Priape sort moi de là s'il te plait... » Qu'on soit coincé dans notre chambre je m'en fiche un peu tant que je suis dans ses bras pour me rassurer, tant que je suis près de lui, avec lui, contre lui...

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— Prialya ❤

  « Tu saignes ? T’as mal ? » m’inquiétai-je aussitôt alors que la jeune femme bloquée derrière la porte essayait de minimiser ses blessures, oubliant dans mon empressement à la questionner de répondre moi même à sa question. L’adrénaline me faisait presque oublier mes blessures de toute façon. La seule chose que je voulais, c’était dégager les meubles de devant la porte pour pouvoir retrouver Talya, la serrer dans mes bras…  J’étais d’ailleurs déjà en train de m’emparer de l’étagère au sol, rassemblant mes forces pour tenter de la virer de là sauf que la voix de Talya s’éleva à nouveau, me sommant d’arrêter, m’informant que de son côté le cadre de la porte avait bougé, que le meuble vasque était également devant l’accès. « Je vais appeler de l’aide, on va te sortir de là… » Sauf que mon regard parcourut la pièce pour chercher où avait pu glisser mon portable dans la bataille. Je trouvais finalement l’appareil sauf qu’il avait pris cher, chutant de la table de chevet. L’écran était noir et fissuré par endroit, et surtout, il refusait obstinément de s’allumer. Ok, pas de panique. Talya me demandait si c’était le Chili qui avait été touché uniquement.  Elle n’avait pas besoin d’en dire plus, je devinais déjà ce à quoi elle pensait, celles à qui elle pensait. « Je suis sûr qu’à 8000 kilomètres ils n’ont rien eu. » Autrement dit à New York. Ma façon de lui dire que j’avais compris à qui elle pensait, et qu’elle n’avait pas à s’en faire. « On a surement du trop abusé, à force de secouer le lit c’est le chili tout entier qui s’est mis à s’agiter… » plaisantai-je en espérant la détendre, parce que même si la porte nous séparait, je la connaissais bien et je sentais à sa voix qu’elle commençait à paniquer. « Respire, détends toi… Mon portable est mort… » fis-je en essayant de rallumer une dernière fois mon téléphone. « T’as le tien avec toi ? » Je saisis le meuble devant la porte pour le pousser déjà, appuyant ensuite sur la poignée pour me rendre compte qu’en effet, comme l’avait prédit la jeune femme, la porte était bel et bien coincée… Mais je n’avais pas dit mon dernier mot.
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« J'ai pas mal... Je veux juste sortir de là... » De toute manière avec l'adrénaline, avec tout ça, si j'avais mal je le découvrirai surement plus tard. En attendant, je saignais oui mais je ne voulais pas qu'il panique, le flux n'avait pas l'air très abondant, j'étais tout de même en médecine je savais un minimum jauger de mon état et il n'avait pas l'air d'être grave. « Je m'inquiète pour les filles, je te jure que tu vas me détester, mais je ne vais plus jamais réussir à partir sans elles ! » Plus de voyage en amoureux non parce que je déteste être loin de ma chair quand il se passe une catastrophe de ce genre. Puis j'ai déjà eu une mauvaise expérience quand j'ai laissé Charlie à noël l'année dernière, il sait qu'elle a fini à l'hôpital, bref il se passe toujours un truc quand je les laisse, ça m'angoisse. « C'est pas drôle Priape ! » Il se met à ironiser sur la situation en disant qu'on est responsables du séisme à cause de nos activités sexuelles assez récurrentes et passionnées. Même si je le reprenais légèrement il parvint à me tirer un sourire. Ce mec n'est pas possible. Il a toujours le mot pour sourire un peu dans toutes les situations. « Je te jure que même si c'est ça, je ne compte pas arrêter en rentrant à Cambridge ! » Il sait que même si je râle, sa petite phrase me détend quand même. Mais clairement je ne compte pas le laisser s'éloigner physiquement de moi à Cambridge, ça suffit les semaines à se croiser ! « Je te jure que mon père ne va plus influencer le planning pour qu'on ne fasse que se croiser ! » J'en avais parlé avec Andrea et je comptais bien le secouer pour qu'il foute sa vie au clair avant de mettre le bordel dans la mienne. Stop le pouvoir de Monsieur Blackburn sur ma manière de vivre, je fais ce que je veux et si je veux être avec un homme droit et fiable que j'aime et qui m'aime, je le fais, les coucheries c'est pour lui, pas pour moi. « Mon téléphone était sur ma table de nuit je ne l'ai pas pris avec moi parce que j'avais plus de batterie. » On est coincé là tous les deux. Génial. Si il n'y avait pas cette porte entre nous, je le vivrais surement mieux. Je me mis tout près de la porte et je lui demandai : « Comment tu vas faire ? Ne te casse pas l'épaule en voulant défoncer la porte s'il te plait... » Oui ne sois pas bête Priape ! « Tu crois que c'est le moment de parler de choses sérieuses ? » Je suis affolée par le fait que ma fille aurait pu être orpheline alors j'ai une question qui me trotte dans la tête et que je veux lui poser mais je ne suis pas sûre que ce soit le bon moment.

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 « En même temps heureusement qu’elles ne sont pas parties avec nous en fait… » Elles auraient été là, aujourd’hui, risquant de se prendre meuble ou placo sur la tête sous l’effet des secousses, je crois qu’on s’en serait terriblement voulu. Il fallait se rassurer et relativiser en se disant qu’elle était en sécurité avec tonton Emrys. Je tentais ensuite en vain de détendre l’atmosphère avec une explication peu plausible de l’origine du tremblement de terre et malgré les remontrances de la jeune femme, je le sentais à sa voix qu’elle avait une ébauche de sourire aux lèvres derrière cette porte. Ma plaisanterie était quand même l’occasion de se promettre que le retour à Cambridge ne rimera pas pour autant avec un retour aux plannings surchargés et à une relation de couple sur post it. Ce n’était pas ce que je voulais non plus et j’étais content d’entendre que Talya avait l’intention de parler à son père pour qu’au moins côté hôpital, nos emplois du temps concordent un minimum. Ca n’empêcherait pas qu’on aurait quand même nos cours à gérer, l’année prochaine je serais résident donc les profs nous mettaient d’autant plus la pression, il y avait aussi les filles, leurs rendez vous médicaux, la crèches, nos amis, sans compter sur les responsabilités de la jeune femme à la tête de la DH. Mais voilà, si au moins son père pouvait ne pas nous mettre des bâtons dans les roues, tant mieux. « Je lui parlerais aussi si tu veux… » Son père me détestait déjà alors une discussion houleuse de plus par là dessus ne devrait pas vraiment influencer son jugement déjà néfaste sur ma petite personne. Mon téléphone était HS, celui de Talya n’avait plus de batterie et avait surement du voler dans la bataille, bref on ne pouvait compter que sur nous. Même une fois l’étagère dégagée, la porte ne bougeait pas et Talya me conseilla de ne pas tenter de forcer, je risquais de me blesser. « Dans les films il y arrive toujours… » ronchonnai-je alors avec l’envie d’essayer quand même, avant de finalement écouter la voix de la sagesse et me laissant tomber contre la porte alors que ma petite amie suggérait que c’était peut être le moment de parler de choses sérieuses. « Choses sérieuses ? Comment ça ? Tu veux qu’on choisisse le prénom de notre troisième enfant maintenant ? » proposai-je avant d’ajouter avec un petit sourire amusé : «Ritano c’est pas mal non ? » Non, je ne pouvais pas être sérieux… Pas en plein milieu d’une catastrophe naturel alors que j’étais séparé d’elle et que je n’étais pas complètement sûr qu’elle allait bien. L’humour, c’était ma technique pour gérer mon stress.
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« Ouai t'as raison... Puis je préfère que ça nous arrive à nous plutôt qu'à Em et les filles ! » En effet, la situation serait bien pire si le séisme s'était produit à New York alors qu'on était là en vacances. Ca serait horrible et notre culpabilité serait énorme mais heureusement c'était nous les victimes et on s'en sortait plutôt bien puisque nous n'avions rien à première vue. « Toi tu vas parler à mon père ? Envoie plutôt Matthéo lui lécher le derrière pour toi oui ! » Le prénom du jeune homme n'était peut être pas à prononcer dans une telle situation mais je voulais bien montrer à Priape que j'étais consciente de la situation, que je savais que mon père lui menait la vie dure alors qu'il avait à la bonne le mather. Pourquoi être contre Priape à ce point ? Parce qu'il n'est pas comme ma mère ? Parce qu'il ne dit pas amen quand je le trompe ? Si c'est pour ça qu'il le déteste et bien je suis contente qu'il le fasse mais je compte bien me débarrasser des bâtons qu'il nous met dans les roues parce que j'en peux plus qu'il dirige ma vie. « Dans les filmes... T'as beau être mon super héro je suis pas sûre que tu y parviennes mais essaye si tu veux, te luxe juste pas l'épaule ! » Il va s'écraser contre la porte et ça va être une catastrophe je le sens. « Y'a pas un truc dans la chambre pour que tu fasses un trou dans la porte ? » C'était surement la meilleure solution pour me faire sortir de là, mais il allait lui falloir de la force. « Ou un truc pour faire levier ? » Je suis pas mécanicienne ou je ne sais quoi mais je veux retrouver les bras de mon homme. « En fait va falloir trouver un deuxième prénom parce que je suis enceinte de jumeaux ! Puis faudra penser au fait que ce soit peut être des filles hein... » Derrière la porte, je rigole doucement en rentrant dans sa petite blague, parce que ça fait du bien de détendre l'atmosphère alors qu'on est coincé là pour je ne sais combien de temps. « Non sans rire je veux que tu adoptes Charlie. » Op le pavé dans la mare est lancé, enfin c'est quand même une belle preuve d'amour, de confiance que de lui demander d'adopter ma fille issue de ma précédente union même si celle ci le considère comme son papa de coeur !

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