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The lie is a mortal sin and life's a lie
C'est dans le malheur, que l'on rencontre les plus beaux moments de bonheur.
J'écrit le menu du jour de la cafétéria, et il est très tôt, je crois qu'il est sept heures du matin. Au menu, blanquette de veaux avec des épinards, des beignets aux chocolats et en entrée un mélange de carottes râpées/céleris. Installé confortablement dans mon bureau au sous-sol, lunettes sur le nez, stylo bleu à ma main droite, je l'écris à la main pour le monté en cuisine à l'aide du monte-charge. Je n'aime vraiment pas les montes-charges car ces putains de trucs ont la fâcheuse manie de tombé en panne pour un oui où pour un non mais des fois pour allé plus vite et pour monté les cartons où autre objets lourds c'est très pratique !
Je prends donc le fameux monte-charge en question et je vais l'épinglé à la cuisine, a noté que le même est affiché à la cafétéria a l'entrée de celle-ci.
Je redescends ensuite pour aidé l'employée chargé de la réception des colis à mettre ceux-ci dans la réserve où les chambres froides. Elle me monte les carottes râpées que je réceptionne et passe à l'eau glacée. Je ne ressent plus le froid depuis belle lurette, mes mains s'y sont habituées. Je fais ça pendant un bon petit quart d'heure puis finalement j'interpelle mes collègues en voyant l'heure : huit heure du matin.
-Hé on va déjeuner ? C'est l'heure les poulets !
Je les aide à préparé le plateau de notre petit déjeuner, à savoir : du pain, du beurre et quelques tartes aux pommes de hier avec du café. On s'installe tranquillement à une table de la cafétéria avec notre attirail déjeuner. Je mange les tartines que je me suis faite tandis que mes collègues discutent où lisent le journal. Il faut bien déjeuner si on veux tenir le coup, on mange après avoir servi tout les élèves et à Harvard, y'en a bien un bon paquet des gosses !
Je vois Jay arrivé, je hausse un sourcil car d'habitude le gamin ne vient pas si tôt ! Il débarque souvent vers onze heures c'est assez rare de le voir à cette heure si matinale ! Je me lève avec ma tartine.
-Hey salut le môme !
Mes collègues le salue à leur tours et Mathias, le cuisinier préposé aux entrées froides, lui demande.
-Tu veux déjeuner avec nous ? Va-y sert toi mange, prends tout ce que tu veux p'tit gars !
Je prends donc le fameux monte-charge en question et je vais l'épinglé à la cuisine, a noté que le même est affiché à la cafétéria a l'entrée de celle-ci.
Je redescends ensuite pour aidé l'employée chargé de la réception des colis à mettre ceux-ci dans la réserve où les chambres froides. Elle me monte les carottes râpées que je réceptionne et passe à l'eau glacée. Je ne ressent plus le froid depuis belle lurette, mes mains s'y sont habituées. Je fais ça pendant un bon petit quart d'heure puis finalement j'interpelle mes collègues en voyant l'heure : huit heure du matin.
-Hé on va déjeuner ? C'est l'heure les poulets !
Je les aide à préparé le plateau de notre petit déjeuner, à savoir : du pain, du beurre et quelques tartes aux pommes de hier avec du café. On s'installe tranquillement à une table de la cafétéria avec notre attirail déjeuner. Je mange les tartines que je me suis faite tandis que mes collègues discutent où lisent le journal. Il faut bien déjeuner si on veux tenir le coup, on mange après avoir servi tout les élèves et à Harvard, y'en a bien un bon paquet des gosses !
Je vois Jay arrivé, je hausse un sourcil car d'habitude le gamin ne vient pas si tôt ! Il débarque souvent vers onze heures c'est assez rare de le voir à cette heure si matinale ! Je me lève avec ma tartine.
-Hey salut le môme !
Mes collègues le salue à leur tours et Mathias, le cuisinier préposé aux entrées froides, lui demande.
-Tu veux déjeuner avec nous ? Va-y sert toi mange, prends tout ce que tu veux p'tit gars !
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