(ff) walter ✽ i don't mind.

i don't mind.Oui, je suis indécise et ça me va. Je le suis principalement lorsqu’il est trois heures du matin et concernant Walter parce que je ne sais plus où le positionner dans ma vie. En dehors de ça, je ne dirais pas que je suis le genre de meuf très indécise. Il doit en connaître des plus indécises, je suis certaine que certaines filles qu’il ramène sont plus indécises que moi.  Alors, non, je ne permettais pas à Walter de dire qu’il ne connaissait pas plus indécise que moi. Bon, je ne lui ai rien dit, mais il va m’entendre râler tout à l’heure ou dans deux jours. Je ne sais pas, mais il va y passer c’est certain. À la place, je me laisse basculer pour laisser Walter prendre les devants et frissonnai lorsqu’il déposa ses lèvres dans mon cou, le faisant à mon tour avant de renverser la tête, des sons s’échappant de ma bouche. On peut dire ce qu’on veut de Walter, mais il sait exceller au pieu. « Merci. » Dis-je tout simplement lorsqu’il se laissa tomber près de moi et en tournant la tête dans sa direction. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu l’impression qu’il fallait que je le remercie. Peut-être pour essayer de fuir l’inconfort de l’après-moment parce que je suis inconfortable là et guys, je ne déconne pas. M’asseyant sur le bord du lit, j’enfilai le premier chandail qui me tombe dans les mains sans même lui demander la permission et je le regardai. « Je vais… » Quoi ? « Je vais te laisser dormir et retourner à ma chambre. » Ou dans le salon. En fait, je crois que j’ai besoin d’être ailleurs qu’ici. Réfléchir parce que je me dis que ce n’était pas forcément une bonne idée de venir jusqu’à Walt pour ne plus penser à rien. Bref, je me relève lentement et j’me prends les pieds dans je-ne-sais-trop-quoi et je me tombe à genoux. « Ça t’arrive de te ramasser, parfois ? » Parce que j’ai mal là.