Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEmilia Ω I wanna touch your boobs ! Euh... I'm joking !
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Emilia Ω I wanna touch your boobs ! Euh... I'm joking !

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Bien qu’ayant quitté Harvard, je continuais encore mes études de médecine surtout que je suis encore interne mais dans le même temps, je préparais activement les nouvelles municipales de Boston aux côtés d’un ami de mes parents. Cet homme d’un âge assez mûr me faisait confiance pour qu’un gosse de vingt quatre ans devienne son futur adjoint au maire. D’ailleurs, nous faisions également campagne pour Hilary Clinton aux futures présidentielles américaines. Cette année, la bataille allait être vraiment rude tout de même mais on espérait que ça passe pour l’ex-première Dame et secrétaire d’Etat. Bref aujourd’hui, j’étais de service et le médecin-chef venait de me demander de m’occuper de ses patients aujourd’hui. Je regardais aussitôt la liste des patients et je constatais avec un certain étonnement qu’Emilia De Bourbon faisait partie de celle-ci. C’était ma patiente mais puisque je n’étais pas censé reprendre avant une petite semaine, c’étaient les autres médecins qui devaient s’occuper d’elle. Heureusement que j’étais là parce que c’était une patiente que j’appréciais à sa juste valeur et par conséquent, faire ses examens mensuels ne me dérangeait nullement et cela me permettrait de parler un peu plus avec elle. D’abord, je me rendais jusqu’à la chambre de Mrs Humpfray qui me demandait pourquoi un beau jeune homme comme moi n’était pas encore marié. Ça m’amusait puisque je disais à chaque fois que je me marierais avec elle si je ne trouvais pas encore l’âme sœur d’ici là et tout en discutant, je l’examinais minutieusement avant de quitter la chambre pour celle d’une autre patiente. Au bout de deux heures, j’allais finalement rejoindre la chambre d’Emilia. « Bonjour Princesse, je suis heureux de vous revoir. » dis-je d’un ton courtois tout en refermant calmement la porte.

@Emilia S. De Bourbon
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If it's necessary for my exam, go ahead touch them
feat Chase & Emilia

Journée de merde. Je détestais ces journées que je passais à l'hôpital, tous les 3 mois, c'était la même rengaine, une journée coincée à l'hôpital allongé sur un lit a attendre et a bouffer de la gelée dégueulasse verte fluorescente. Goood, je me le dis à chaque fois : je ne mangerai jamais ça. Mais ces journées sont stressantes, elles m'angoissent toujours énormément. mais heureusement mon médecin c'est Chase. Chase est adorable et un bon médecin. J'aime passer du temps avec lui et le temps passe un peu plus vite quand c'est lui qui s'occupe de tout ça.. Je sais qu'il va tout faire pour me rassurer et sourire.

J'arrive à l'hôpital après peu de temps de sommeil et en plus les bouchons, non mais Boston, c'est chiant, le matin, l'horreur avec les bruits de klaxon à tu tête et les énerver du volant... Il est 7 heure et je passe par la case admission afin d'être admise et de pouvoir aller m'installer dans ma chambre pour la journée. Conchitas l'autre bouldog qui est dans le service oncologie m'indique ma chambre avec sa voix cassé à force de fumer du tabac à rouler. Je vais m'installée, saouler d'avance de la longue journée qui m'attend. Je me jette sur le lit, faites que tout aille bien, faite que je n'ai rien histoire que je puisse aller au SB bordel. Je veux pas le rater parce que ce connard de cancer a décidé de repointer le bout de son nez ... Non. J'ai assez manqué comme ça.. Le temps passe et j'attends le dinosaure qui s'occupe de moi aujourd'hui parce que en plus, c'est pas Chase. En gros, je suis là, je m'emmerde mais en plus j'aurais l'autre bonhomme de l'âge de pierre qui ne doit pas connaitre la définition du mot délicatesse. Si il a une femme, je le pleins, il doit la bourriner la pauvre et même si ça peut être agréable faut pas déconner. Ce gars là, c'est un rustre, un bucheron, à chaque fois j'en sors à avec des bleus gros comme un poing on dirait que je me suis fait battre alors que pour une fois ce n'est pas le cas. J'allume la télé, j'ai même pas eu le droit de manger avant de venir parce que je dois être a jeun, alors j'ai faim et en plus ça me gonfle. Moi une salle gosse ? Quand il s'agit de l'hopital, j'assume. Vous devriez vous le taper vous tout ça, les journées interminables avec les docteurs loin d'être délicat et le tas d'examen qu'on est obligé de passer avant d'avoir les résultats et de connaitre le verdict. Mon père m'appelle, il prend le temps même avec son emploi du temps royal, il veut savoir comment je vais. Je n'ai jamais eu quelqu'un qui s'occupe autant de moi enfaite, c'est agréable, un peu lourd, mais agréable. Je lui parle une demie heure en espagnole avant de raccrocher et de me re-concentrer sur les infos à la télé. La porte finit par s'ouvrir, je m'attends à voir l'autre grincheux avec son visage défigurer par les rides et son odeur de tabac et café nauséabonde mais finalement je vois un Chase souriant qui arrive. Un sourire resplendissant s'affiche sur mon visage je suis heureuse de le voir. « Chase ! Je suis ravie que ça soit vous, on m'avait dit que vous étiez en congé. » je m'abstiens de lui dire que je voulais pas de l'autre Tarzan mais ma joie de le voir veux tout dire. « Comment allez vous ? » j'aime discuter avec lui, il est sympathique et drôle, il a du charme, tout pour plaire. Je n'ai jamais compris qu'il n'ait pas de fiancé avec son sourire resplendissant et son air sympathique.

 
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Le Spring Break approchait et depuis mon procès dans l’affaire du crash de mes parents, je n’étais plus tellement dans mon état normal alors on m’avait octroyé des vacances bien méritées qui seraient prolongées avec la pause de printemps… Sauf que tout le monde me connaissait bien et je n’allais pas rester chez moi sans rien faire alors que les autres étaient en train d’accomplir leurs devoirs de médecins et tout alors oui j’avais pris la décision d’écourter mes congés afin de pouvoir reprendre le taff. Ce n’était pas trop du goût du directeur de l’hôpital et encore moins du médecin-chef de mon service, sauf qu’ils savaient bien que j’étais du genre hyper têtu alors ils m’avaient laissé faire ce qui bon me semblait. C’était pour cela donc que je me retrouvais à m’occuper de tous les patients du médecin-chef qui devait partir en salle de travail pour une opération de grande envergure alors il me laissait le soin de m’occuper comme il se devait des patients. Parmi ceux-ci, un nom avait très vite retenu mon attention puisqu’il s’agissait de la jeune femme que je soignais et que j’avais sauvée du cancer quelques temps auparavant. Depuis on pouvait dire que nous entretenions une relation simple et courtoise. Il était rare que je m’attarde dans la chambre d’un patient et encore moins d’une patiente parce que je supportais assez mal les ragots… Et comment dire, il était sacrément difficile d’échapper aux ragots dans un hôpital aussi grand ! Tout se savait et même si on se battait presque pour montrer que c’était faux toutes ces spéculations, on venait à les extrapoler et tout. Bref, je me retrouvais dans la chambre de la Princesse d’Espagne et celle-ci semblait être heureuse de me voir, ce qui m’enchantait tout particulièrement je dois l’avouer. Cette jeune femme était fort appréciable et agréable à regarder. Le genre de femme que je pourrais épouser avec fierté et tout mais oublions ces pensées parce que je n’étais pas du genre à désirer une de mes patientes… Surtout pas sur mon lieu de travail ! « J’ai décidé que mes congés étaient bien trop longues et que le travail me manquait alors je suis de retour. » expliquai-je à la jeune femme avant de m’approcher de son lit pour récupérer son dossier médical et l’étudier minutieusement tandis que la princesse me demandait comment je me portais. « Je vais bien et vous ? Bon j’avoue que c’est peu protocolaire mais ça me gêne un peu le vouvoiement alors est-ce que ça vous dérange si on se tutoie ? Ce serait plus simple non ? ». Je la regardais dans les yeux en disant cela avant d’afficher un sourire calme et serein sur mon visage un peu fermé à cause de la fatigue.
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J'aime plus ou moins certains médecin en plus depuis qu'ils se sont rendu compte que mon premier nom de famille correspond à celui de la famille royale de Bourbon d'Espagne, certains sont tout gentils et mielleux et ça, je dois le dire, ça m'arrange pour une fois que mon titre m'arrange ... Mais alors certains, comme cet imbécile de rustre de chef de service imbue de sa personne et vraiment loin d'être délicat, je suis vraiment pas contente de l'avoir quand c'est le cas... Je préfère avoir Chase, un beau gosse, sympathique et drôle que j'ai depuis un moment maintenant et en qui j'ai absolument toute confiance. Je sais qu'il ne fera pas n'importe quoi, il n'en fait pas des caisses et je comprends ce qu'il me raconte quand il le fait ce qui est quand même bien plus pratique quand on doit savoir quel genre de maladie nous ronge et ce qu'on est censé faire pour aller bien ... Je suis donc absolument ravi de voir mon beau brun passer le pas de la porte avec son sourire de mannequin. Quel bonheur ! J'en suis super contente et ça se voit à ma tête ! Ca doit même le faire rire que je sois aussi contente. Mon regard poser sur lui, je lui demande si il n'était pas censé être en vacance, c'est ce qu'on m'avait dit, qu'il ne reviendrait pas cette semaine. En temps normal, j'aurais décaler en disant que je viendrais quand il serait là mais là, avec le SB qui arrive et tout ce qui va avec, impossible, je devais me contenter du ronchon grincheux, pas aimable, pet sec et en plus de ça qui pue le café et la clope, autant dire ... Vraiment pas un cadeau ... Et finalement non, c'était Chase ! Il m'annonce qu'il en avait marre des vacances et qu'il est revenu plus tôt avant d'attraper mon dossier médical « Et bien pour être honnête ça m'arrange ! » ouais je suis cache, il le sait le dinosaure que je l'aime pas. La dernière fois, j'en suis ressorti avec deux énormes hématomes sur les bras... Faut pas déconner oui. Il propose qu'on se tutoie personnellement je suis pour, ça sera quand même plus sympathique. On se connait depuis longtemps on peut changer et se dire tu, ça nous tuera pas et personnellement j'aurais pas grand mal à le tutoyer. « Avec grand plaisir, ça sera quand même plus simple ! Moi ca va, je suis là pour notre rendez vous des trois mois, dis moi que je vais pouvoir aller au Spring break ! » une fausse mine triste, oui je le supplie, je ne compte pas le manquer, ça non. Je reprends mon sourire avant de dire « Alors, t'as fais quoi de tes vacances ? » oui je suis partie sur le tu, maintenant on ne m'arrête plus. Il semblait fatigué, il a du faire la fête au lieu de se reposer, ou un truc comme ça.. En même temps moi personnellement on me dit vacance, je pense à soirée et pas a repos, même si je sais pertinemment que je devrais me concentrer un peu plus sur mon repos, il y a pas si longtemps, soit environs 3 ans, je survivais à un cancer des os ... Donc je devrais me ménager, c'est une chose de sur mais je ne peux pas, j'ai une vie trop rempli pour arrêter de vivre maintenant ... Je veux vivre à fond sans me poser de questions ...

 
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J’avais peut-être pris la bonne décision de revenir cette semaine parce que j’allais pouvoir m’occuper d’Emilia. D’ailleurs, je n’avais même pas besoin qu’elle me confirme mais je savais que cette situation l’arrangeait tout autant que moi parce qu’elle n’aurait pas à subir mon médecin-chef qui était un être peu appréciable tout compte fait. Travailler avec un type aussi irascible c’était assez compliqué mais comme on ne pouvait pas aimer tout le monde dans un milieu aussi vaste que le milieu hospitalier, il fallait tout simplement apprendre à prendre sur soi même si certaines choses ne nous plaisaient pas. C’était comme ça que je parvenais à travailler avec tout le monde parce que je n’avais qu’un but : sauver la vie de mes patients. Avec cet objectif bien en tête, je faisais table rase de tout ce qui était superflu à côté comme ça je pouvais travailler comme il se devait. Lorsqu’elle me dit que ça l’arrangeait que je sois de retour, cela me fit sourire parce que je m’en doutais tellement. « Je suis content de savoir que ça t’arrange alors parce que c’est le cas pour moi aussi d’ailleurs. ». J’appréciais beaucoup la compagnie de la jeune femme même si notre relation était celle d’un médecin avec sa patiente. Tant qu’il n’y avait rien d’ambiguë tout m’allait parfaitement ! Qu’importe pour que ça fasse moins protocolaire, je lui proposais d’employer le tutoiement parce que j’avais clairement l’impression d’avoir pris un coup de vieux en l’entendant me vouvoyer ! Avec ses dires, je ne pus m’empêcher d’afficher un grand sourire radieux en l’entendant accepter ma demande. Elle m’expliquait alors les raisons de sa visite tout en me demandant bien si elle pouvait se rendre au Spring Break cette année. « Je vais t’examiner minutieusement et je te donnerais mon avis. Mais tu peux déjà te réjouir parce que je ne dirais pas non. ». En effet, rien qu’en la regardant, je constatais que son état s’améliorait de plus en plus donc je ne voyais aucune contraire pour qu’elle se rende au Chili avec tous les Spring Breakers d’Harvard. Pendant que je l’examinais, elle me demandait ce que j’avais pu faire pendant mes vacances. Je m’arrêtais légèrement dans ma tâche actuelle afin de pouvoir prendre une profonde inspiration puis je reportais mon attention sur elle. « Ce n’étaient pas vraiment des vacances si tu veux tout savoir. Je préparais le procès qui devait faire la lumière sur la mort de mes parents. Ils ont péri dans un crash aérien et pour la justice, j’avais le profil parfait pour être le principal suspect… ». Il se tut pour continuer ses examens.
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La compagnie de Chase est fort agréable, je dois bien l'avouer. Ca change de l'autre dinosaure mal baiser. Mon dieu, celui là, il est aigri, il pue le café et le tabac, il est médecin en oncologie, il a pourtant dû en voir des cancers des poumons, mais non, il fume comme un pompier, c'est abérant, ça m'énerve et à chaque fois, je ne manque pas de lui dire, parce que je trouve ça abusé, mais tellement. Et lui, il ne manque pas de bien me faire attendre, histoire que ça me gonfle bien, que je sois énervée d'être là, bref, c'est un peu la guerre avec ce gars. Mon père serait ravi qu'il soit mon médecin, parce qu'il est réputé, mais moi, je préfère Chase et quand je prends rendez vous, je demande en général sans problème "Le docteur Walton est là quand ?" histoire d'avoir ses disponibilités et d'être sûr et certaine de l'avoir et de ne pas avoir de mauvaises surprises comme la gueule de l'autre imbécile qui apparait et m'appelle quand j'attends dans ma chambre. Non mais il y a pas photo, quand on voit Chase c'est quand même carrément mieux. Agréable pour les yeux et le moral, que demande le peuple en plus de ça ? Je ne manque pas de le dire à Chase, que je suis ravie de le voir, je ne m'en cache pas, je suis plutôt du genre directe, il a dû le comprendre depuis le temps qu'on se voit. Un sourire sur ses lèvres se dessine et je lui rends automatiquement un sourire resplendissant. « Ah je te change des patients chiants, avoue ! » un petit rire après une petite boutade avant de le supplier de me laisser au spring break. Je veux y aller, faite que j'ai le droit ! .. Sa réponse me fait plaisir « Ah mon corps est tout à toi alors ! » *Ok Emilia sortie de son contexte, cette phrase est bizarre ...* oui elle l'est, c'est vrai ... Mais bon, là elle est dans son contexte, donc il va comprendre non ? De toute façon ... Un médecin ne peut pas avoir d'histoire avec son patient il me semble, c'est écrit dans le code des médecins ou un truc du genre. Je m'y connais pas en code des médecins personnellement, je suis spécialisée dans le droit de la famille, donc je vais pas y mettre ma main a couper mais ça me parraitrait logique, il faut le dire, c'est un peu comme normalement un patron n'a pas le droit de sortir avec un de ses subalterne, histoire d'éviter les histoires ... Bref, ma phrase reste comme ça même si sur le coup, je me suis retrouvée un peu gêner, mais après tout, je suis comme ça, naturel ... je demande ensuite, sans perdre le sourire « Tu y viens toi au spring break ? » Ca serait cool de l'y voir. Ca nous permettrait de nous voir hors de cet endroit déprimant qu'est l'hôpital. Bon, j'ai appris à apprécier cet endroit après des mois passé ici, mais il y a quand même plus glam comme endroit pour rencontrer du monde ... Je lui demande comment se sont passé ses vacances et là, c'est un peu l'écatombe, woaw, il a pas vécu des choses simples « Oh ... Je suis désolée pour toi ... Et tu as trouvé ce que tu cherchais j'espère ? ... » je lui souhaite en tout cas, ce gars est formidable, il ne mérite pas un tel traitement. Il donne sa vie pour aider les autres, pour les soigner et les gens lui font un coup pareil ? Non, il ne mérite pas, surtout si il a du en plus de ça gérer la mort de ses parents ... Le sort s'était un peu acharné sur lui, il faut le dire ... Alors j'espérais sincèrement pour lui, parce que je le trouve super, que les choses sont rentrés dans l'ordre et qu'il a trouvé ce qu'il voulait savoir pendant ses vacances. En tout cas, suite à ces paroles, il avait l'air un peu plus renfermé sur lui même ... Il continue son oscultation et je compte bien lui rendre le sourire, je cherche juste comment, une idée ... vite une idée ...

 
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