are you angry with me? [+ Keeran] (HOT)

La soirée bat son plein, ce soir,  j’ai laissé un peu le bar a mes collègues pour faire un peu le tour de la boite, afin de vérifier qu’il n’y ai des soucis nulle part. C’est mon role un peu de gérant que je mets souvent de cotés pour profiter des clients. C’est donc ainsi que je fais chaque recoin de la boite, discutant au passage avec les clients, je suis un gérant plein de vit, souriant, qui aime partager sa passion de la nuit, faire communiqué ma folie légendaire, que tout le monde connait en faisant ma connaissance, je suis imprévisible, totalement déganté et fier de l’être.
Après mon petit tour, je reviens  au bar et j’entends un bruit de verre cassé, vu que bruit c’est une bouteille, vu la résonnante, c’est une bouteille de tequila. Moi gueuler pour une bouteille de téquila ? Non, je suis le premier a être maladroit…parfois, en faite non jamais, j’ai jamais cassé quelque chose. J’entends Arthur mer dire désolé. Mais j’ai pas le temps d’en dire plus qu’il s’approche, je sens la chaleur de son corps près du mien, et son souffle sur mon oreille. Je ne peux me retenir de rire a ses propos.

« Tu mérites une bonne fessée vilain garçon »
Non sérieusement je me mets a rire au bout de quelques secondes, quoi que je suis a semi sérieux, je me recule de lui et j’attrape trois bouteille avec lesquelles je jongle comme un pro sans rien cassé. Je les pose de nouveau sur le comptoir en souriant avec malice. Et je me rapproche pour lui glisser chaudement au creux de l’oreille.

« Tout est dans le poignet mon cher Arthur, dans le poignet »

Avec Arthur, depuis que je l’ai engagé, on se cherche, on se titille, on se trouve, on s’arrête jamais, j’avoue que ce jeu entre nous me plait beaucoup et il le sait puisque le bougre en joue souvent, mais j’avoue, je profite beaucoup du jeu. Je lui adresse un sourire malicieux quand il me demande confirmation de sa punition tout en me touchant le bras. Quand je vous dis qu’il me cherche le petit monstre. Je ris et je lui montre un peu comment faut faire, même aveugle je suis capable de le faire.
Il me traite de prétentieux, je lui adresse mon sourire le plus sexy, le plus adorable, le plus craquant, le plus fondant. Ouais j’aime jouer, surtout avec Arthur, entre nous s’il y a pas un sous entendu c’est qu’il y a un gros problème. Il se rapproche pour me dire qu’il aura besoin de cours. Je ne peux me retenir de grogner.
Il se recule pour servir un client et l’enflure il se frotte limite a moi. J’attends patiemment que le client soit servit pour faire genre de récupérer les bouteilles d’alcools, sauf qu’entre moi et le bar il y a Arthur en sandwich, je fais comme si tout était normal, mon souffle chatouillant innocemment sa nuque, je suis plus grand que lui, d’une dizaine de centimètre a cause de mes chaussures bien compensé, normalement j’ai que 5cm de plus que lui. Mais j’en joue beaucoup, ne me retenant guerre de coller de plus en plus Arthur au bar, en toute innocence.
Autant dire que sur la dernière bouteille je me lâche car ma main fait un léger mouvement dessus de ma main, ma bouche se trouve juste au niveau de son oreille, je souris malicieux.

« Je t’apprendrais les bons mouvements, ca demande beaucoup de travail mais…tu es un studieux élève, j’en suis sur. »
La bouteille est limite contre le ventre d’Arthur et lentement ma main descend autour de la bouteille. Moi pervers ? Carrément, et j’assume, mais je sais que je le rend fou, sa respiration est traitre de son état.

Je suis un pervers, je sais je l’assume, autant avouer que je prends mon pied a le torturer en collant mon corps au sien, les client, voient juste que le patron est derrière son employer, avec moi c’est une position normale car je suis très câlin avec mes collègue, souvent c’est mes amis, ma famille qui sont engagé ici, Arthur était le premier inconnu que j’ai intégré à l’équipe. En autres barman j’ai les jumelles qui sont mes sœurs, y a aussi Mia mais elle fait que le bar brasserie en journée. Donc je suis une machine a câlin.
Sauf qu’avec Arthur, c’est différent car c’est au premier qui craque, et entre nous, cela est toujours resté qu’un jour, jamais nous avons déraper, bien que ca a failli plusieurs fois. Il me dit qu’il est studieux, pour preuve, il pose sa main sur la mienne et entre dans mon jeu avec la bouteille, le voir faire ne me laisse pas insensible, surtout que je suis déjà chaud patate ce soir. Le voir faire, le sentir bouger sa main et surtout l’entendre parler, je ne peux que me mordre la lèvre, je suis dans la merde car a la moindre réaction il doit sentir dans son dos que ca se réveille et pas qu’un peu. Mais bat les steak, je ne me recule pas.

« Non c’est parfait, laisse bien tes doigts épouser la forme »
Mon fort accent espagnol résonne dans le creux de son oreille, je viens d’andalousie et ca s’entend bien. Je fait échapper de sa main la bouteille mine de rien et je vais la ranger vers les autres, me décollant alors de lui, souriant malicieux car j’ai coupé tout contact avec lui, il me faut de l’air pour redescendre la tention. Heureusement qu’il fait sombre sinon je serai griller de suite, déjà que j’ai un pantalon hyper moulant.

Le torturer autant qu’il me torture, c’est mon péché mignon je l’avoue, je suis coupable de ce crime, mais il faut avouer qu’Arthur ne fait absolument rien pour me faire cesser ce jeu entre nous, pire, il en remet toujours une couche de plus en plus tentante. J’ai toujours su résisté a Arthur, mais ce soir, aucune envie de résisté je crois que lui aussi.
C’est ainsi que je prends un malin plaisir a ranger les bouteilles en me décollant de lui, il est 4h passé, le bar ferme dans approximativement une heure. Donc je range après avoir bien chauffer le petit Arthur. Mais alors que je place les bouteille a leur emplacement, je sens le petit monstre se coller a moi, en me disant que j’allais pas le laisser dans cet état. Je me retrouve plaqué au bar, bordel qu’il m’excite ce soir, et je n’arrive pas a lui résister. Il prend ma main et la pose sur sa bosse, je ne peux me retenir un grognement, l’une de mes sœurs nous regarde en mode désespéré mais elle est amusée, elle a bien comprit qu’on va les laisser faire la fermeture exceptionnellement, habituellement je la fais seul mais quand j’ai une proie urgente, je les laisse fermer. Je me retourne et je lui glisse chaudement à l’oreille .

« Monte au Loft…Je te rejoins dans quelques minutes, pas de bêtises sans moi petit chenapan »
Je lui adresse un sourire malicieux avant de m’éloigner de lui pour le laisser partir et je vais voir les jumelles en les prévenant que je monte a l’appartement, que donc ce soir c’est elles qui gèrent la fermeture, je leur fait une bise câline a chacune et en prenant mon temps, je remonte de la boite. Arthur est déjà monté, je prends mon temps, comme pour le faire languir.

Entre nous, il y a eu tellement de soir de tentation non assouvit, souvent après jer finissait sois avec un mec pour calmer l’appareil, soit hop un petit coup de main, un peu de purée et c’était reparti comme si de rien était, mais ce soir, c’était différent, j’avais brisé cette barrière patron employé, je voulait plus me retenir, j’en pouvait plus de cette frustration que nos jeu me provoquait. Je lui dis de monter, en quelqu_es seconde je me retrouve tout seul.
C’est ainsi que je prends mon temps pour monter, voulant le torturer, ce qui marche a merveille car a peine j’ai passé le pas du loft qu’il me saute dessus en râlant que j’ai mis un temps fou. Je rigole alors que je sens son corps quasi nu contre le mien, le malin s’éatait mis en boxer le temps de mon arrivé. La chaleur de son corps en ébullision me donne de folle envies. Je sens sa main se glisser contre ma bosse.Je grogne et en une fraction de secoue, je le soulève, le tenant par les cuisses, une ce chaquecoté de mes hanches et je le porte jusqu’au canapé ou je le largue en l’accompagnant, finissant limit a genoux sur le sofa, plaquant Arthur contre le dossier.

« L’impatience est un vilain défaut… »
Je venait de glisser ca a son oreille avant de mettre un léger coup de dent au niveau du lobe avant de laisser ma langue descendre le long de sa machoir pour venir embrasser son cou chaudement, j’en peut plus, mon pantalon va exploser si je ,ne fait pas quelque chose,, sans hésiter, j’attrape sa main pour la poser sur la bosse de mon pantalon qui supplie libération aussi.