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Je voulais juste un peu de sous. (Ft Sachka)

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Bah quoi ? j'ai plus d'argent de poche, j'achète trop de produits bostoniens en fait pensait-il aussitôt lorsqu'il farfouillât les poches de son vieux jean s'équilibrant comme il le peut, toujours ses béquilles clouées aux coudes, l'atèle qui ne passait jamais inaperçu aux yeux de tous et au bout de cette merveilleuse rue, une machine qu'il reconnut rapidement. Un tire fric comme il prénommait cette grande surface qui attirait les regards d'autrui, homme ou femme d'ailleurs, même pour les adolescents aussi. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui. Ce soir, le jeune Bellamy avait besoin de quelques billets afin de déjeuner, se restaurer quoi tout simplement et ce détail ne pose problème à personnes, se rassurait-il parcourant difficilement le chemin alors qu'il s'y présentât a quelques élan béquilles maintenant. Une, deux, trois secondes firent passer quand il sent une sorte de violence vers ses machines ferrailleuse au bout caoutchouteux comme il les nommait. Ses béquilles firent balancer violemment au sol dans le but que le beau Bellamy s'affale à terre, c'est réussi d'ailleurs. Un coup de machin en bois se fit apparu près des côtes de Nathan, encore heureux que ce ne soit pas sa jambe, et merde. Pensé trop tôt, un coup de batte fit également sentir sur la jambe malade du grand victime. Un mec, c'était un mec des rues qui le tabassait, Nathan. Innocent, en larmes. La douleur, sa jambe, ses côtes, qu'avait-il fait pour mériter ce désastre ? Il voulait simplement tirer un peu de sous..., Aucuns son provenant du jeune a terre dans le but d'appeler de l'aide, rien. Il galère, c'est que le début
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Quelle heure était-il ? Trop tard pour les lèves tôt, c’était certain. La nuit était mon royaume. J’aimais sa tranquillité, le calme des rues, le fait que l’on se sente et soit seul au monde à contempler la rondeur lunaire et la voûte céleste. Quand ce n’était pas le port… La rue, j’y avais vécu une grande partie de ma vie. En tant que mendiant, presque prostitué, voleur, marchandiseur, bref la rue, je la connaissais et elle m’adorait. C’était peut-être pour ça que je m’y sentais si bien et que je ne m’y perdais jamais. J’avais beau n’être dans ce beau pays qu’était les Etats-Unis depuis moins d’un an, je m’y sentais chez moi. Enfin, jusqu’à ce que des abrutis viennent troubler ma paix si chèrement acquise. A l’angle d’une ruelle sombre, loin des regards indiscrets, un parfum de frayeur, de violence et de cris étouffaient flottait dans l’air. Je distingue à peine la forme étendue à leurs pieds, gémissante, se retenant de pleurer. Au dessus d’elle, un imbécile, heureux si j’en crois le sourire sadique qui étire ses joues. C’est tellement facile de s’en prendre à plus faible que soi. Est-ce pour autant si risible ? « Et si t’essayais avec quelqu’un de ta taille pour voir ? » grognai-je après avoir accéléré le pas jusqu’à l’affligeant spectacle qui se déroulait sous mes yeux. D’ordinaire, je ne battais pas. A cause de ma maladie d’une part, et par crainte d’être attrapé par la police et de voir mon visa détruit d’autre part. Cependant, j’avais en horreur qu’on s’en prenne à plus faible que soi. Pauvre crétin décérébré. Je n’étais peut-être pas Rambo, mais j’étais solide, j’avais du sang froid, et je cognais fort même si mes mouvements étaient désordonnés. Je n’attendis même pas qu’il me remarque, qu’il me réponde, qu’il tente un mouvement que déjà un crochet du droit venait s’affaler contre son menton pour le désarticuler. Un coup de genou plus placé se répercuta ensuite contre sa cuisse. Je crus même entendre le bruit fracassant d’un os brisé. Un deuxième coup de poing, dans les côtes cette fois, finit par mettre l’agresseur à genoux devant moi. « C’est moins facile face à un adversaire sans béquilles hein ? » grondai-je en lui attrapant les cheveux pour l’obliger à me regarder droit dans les yeux. « J’te préviens, si j’te retrouve à traîner autour des infirmes, des gosses, des femmes ou des grand-mères, t’auras pas la chance que t’as eu ce soir. Maintenant dégage !! » hurlai-je à son oreille en le poussant d’un revers de pied loin de sa victime encore recroquevillée à terre.  

acidbrain
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Encore sous le choc, au sol. Le jeune Bellamy perdait tout espoir quelles que soient les raisons, après tout il se faisait littéralement marché dessus, tabasser et humilier devant cet abruti, que pouvait-il faire? Se relever? Le baffer? Se défendre? et puis quoi encore, depuis quand ce beau brun oserait-il prendre une légitime défense, et bien jamais parce qu'il n'est pas comme ça, il est le genre de mec qui pense que la violence ne résout rien du tout mais bordel des fois qu'il devrait arrêter de se laisser faire et arrêter de se morfondre et croquer la vie a pleine dents et profiter de chaque instant au lieu de se cacher de tout. Tout simplement parce qu'il ne sait pas se battre, et c'est vrai. Admettons qu'il prit son courage à deux mains pour lui coller une baffe, et après? il se serait passé quoi, tout aurait continué et rien n'aurait pris fin. Tous ses pensées traversaient son crâne lorsqu'il fit entendre une voix grave, pas si grave que ça en fait, une voix d'homme prés de son agresseur, qui aurait eu le culot de venir se mesurer à une personne comme ça? une personne tabassant d'autrui, il ne savait pas à qui il aurait à faire mais bon Dieu qu'il avait eu un grand courage dans le but de venir dans la ruelle paumée, Nathan a eu de la chance et maintenant qu'est-ce qu'il se passe? Le jeune Bellamy pouvait apercevoir deux hommes, l'agresseur puis son "sauveur" en train de le lui faire la morale, il ne comprenait rien à ce qu'il disait. Il ne sait comment, le garçon aux cheveux frisé fit réussir à l'éloigner de la scène et là, Nathan relâchait toute la tension et s'effondre en pleurs comme un gamin affalé sur le sol, se tenant la jambe d'une main, il peinait déjà à se déplacer alors rien n'arranger, le voilà complètement immobile attendant toute douleur qui pourrait s'apaiser mais rien ne se vint, la peur n'était plus vraiment présente lorsque son sauveur était apparu mais Bordel qu'il avait mal à présent à ne plus bouger, aucun geste ne fit paraître juste un regard en direction de son interlocuteur. Tordu en deux, certes. Il ne connaissait pas cet inconnu mais il le voulait proche de lui... Merci, chuchotait-il doucement a bout de souffle, le regard vide.
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Evidemment, l’abruti de service avait détalé. Avec mon fort accent russe, mon allure de bad boy, et les coups que je n’avais pas retenu, sans doute qu’il avait pensé que j’étais de ces tarés à poignarder un type en se fichant royalement d’aller en taule. Il n’avait pas complètement tort.

Etendue par terre, la victime, un jeune garçon d’à peu près mon âge n’avait toujours pas bougé. Espérant qu’il n’avait pas rien de casser, je m’apprêtais à aller lui demander où est-ce qu’il avait mal, s’il pouvait se relever, lorsque des sanglots déchirèrent la nuit. Paralysé, parce que les émotions et moi, ça faisait deux, je ne fis que rester là à le regarder pendant des longues minutes sans savoir quoi faire ni comment m’y prendre. Finalement, ce fut un son étouffé, une parole qui me fit redescendre sur Terre. « Ouais ouais. » J’aurais pu dire « je t’en prie » ou « de rien, c’est normal » mais je n’en étais plus là. Les compliments, je les acceptais mal, depuis toujours. Je ne croyais plus en l’homme, et ce n’était pas en flattant mon ego ou en me remerciant de quelque manière que ce soit que je changerai d’opinion. Enfin, au moins il avait retrouvé sa langue, c’était déjà ça. « Je sais que ça doit pas aller fort mais on peut pas rester là. Si l’autre crétin revient avec des potes, on pourra rien faire, ni toi ni moi. » Se battre contre un type pourquoi pas, mais une horde, impossible même pour moi. « Tu peux marcher ? » Sans attendre de réponse de sa part, mes mains se penchent déjà pour attraper son bras d’un côté, sa taille de l’autre afin qu’il s’appuie sur mes épaules pour rester debout. Je manquais sûrement de tact en y repensant. L’obliger à me suivre alors qu’on s’connaissait pas, faire fi de sa douleur physique et psychologique…mais ce n’était pas comme si nous avions le choix. Dans ce genre de situations, je savais qu’il fallait d’abord trouver un abri et ensuite panser ses blessures, pas le contraire. « T’habites où ? » lui demandai-je encore d’une voix grave qui ne souffrait d’aucun compromis. Je le ramènerai chez lui, point barre, pas de discussion possible.

acidbrain
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