Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUne bizutrice d'enfer feat Orphée J. De Luxembourg
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Une bizutrice d'enfer feat Orphée J. De Luxembourg

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Une bizutrice d'enfer
feat Orphée & Emilia

J'avais passé un an sans maison, sans trop m'intégrer mais en m'intégrant quand même. Enfaite, je n'avais pas trop su quelle maison rejoindre et avec mon boulot à coté et tout le reste j'en avais un peu délaisser ma vie étudiante. J'avais passé une année calme, histoire de me remettre après mon overdose et de me reposer comme il se devait, en plus je l'admets, mon père était complètement flippé à l'idée que je fasse partie d'une maison. Il était totalement contre, à cause de l'image que ça peut avoir. Lui à l'université de Madrid, il n'y avait pas autant de tension entre les différentes maisons. Mais cette année, je m'étais dis un peu nouvelle année nouveau départ, je voulais enfin profiter un peu de ma jeunesse et reprendre ma vie comme il se doit. Après en avoir longuement parlé avec des amis, j'en étais venue à la conclusion que plusieurs maisons pourraient me correspondre : les Eliot, ils ont de l'argent, moi aussi mais je ne me sentais pas de vivre au milieu de cette maison d'élitiste, moi je n'utilisais pas l'argent de ma famille, je travaillais, j'avais une vie simple, pas une vie de château, surement parce que j'avais toujours vécu simplement puisque j'ai été élevé par ma mère dans des HLM dans la banlieue d'une grande ville de Floride. J'avais pas les manières de riches et je ne les aurais jamais donc j'avais vite abandonné l'idée. Je suis une tête, surdouée et brillante, donc j'aurais tout autant pu demander la Dunster House, je m'y serais sentie bien je pense, mais j'avais finalement choisi la Cabot House, pour plein de raison : mes deux meilleures amies y sont et toutes les filles là bas on l'air adorable et gentille, donc pourquoi pas ? Aujourd'hui, j'avais rendez vous à la maison des roses pour visiter les lieux et rencontrer ma bizutrice, celle qui va jugé de mon implication dans la maison et décidé si oui ou non je mérite de porter les couleurs des roses, là dessus, je l'admets je suis confiante parce que je suis hypra motiver, dans 2 mois, je serais rose et je ferais partie intégrante de cette bande de fille, sans aucun problème. Le rendez vous était avant le SB, juste avant même, donc je la recroiserai sûrement au Chili. J'arrive devant la maison avec 5 petites minutes d'avance, un exploit quand on sait que je suis TOUT LE TEMPS en retard. J'avais rendez vous avec ma bizutrice que je connaissais pas encore sur le perron de la maison, donc j'attends patiemment en regardant ma boite mail via mon iPhone pour passer le temps.

 
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UNE BIZUTRICE D'ENFER.
— Emilia S. de Bourbon.

Tu te sentais un peu comme une genre de femme d’affaire hyper occupée en ce moment. Fallait dire que t’arrêtais pas entre tes cours, ton frère, tes amis, tes soirées et ton tout nouveau boulot de bizutrice. Malgré ça, t’avais pas vraiment hésité à accepter cette responsabilité en plus qui te prendrait un peu de temps encore sur ton emploi du temps. Ca te faisait plaisir de te sentir utile et d’aider une petite nouvelle à s’intégrer parmi les roses comme Maelys avait pu le faire pour toi. T’avais été si bien accueillie par une présidente adorable que t’espérais seulement être à la hauteur à ton tour. On t’avais donc communiqué le nom de ta victime, heum, bizut. Oui parce qu’il y avait aussi l’aspect assez drôle de lui lancer des défis à relever pour prouver sa loyauté envers sa toute nouvelle famille. Allez, t’étais pas bien méchante. Relisant le papier qui affichait le nom d’Emilia, tu te surpris à relire plusieurs fois son nom de famille. De Bourbon… C’était pas le nom de la famille royale d’Espagne ça ? T’étais presque certaine que si. Tu fis une petite moue en arrivant dans la salle commune des roses, t’approchant donc de la seule petite nouvelle qui regardait partout autour d’elle. « Emilia, j’en étais sûre ! » Tu t’exclames avec un petit sourire. « Une Bourbon à Harvard, quelle bonne nouvelle. Bienvenue. » Tu fais en hochant la tête, la regardant de haut en bas, elle que tu connais depuis bien longtemps. « Devine qui est ta bizutrice officielle ? » Tu croises tes bras sur ta poitrine.

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Une bizutrice d'enfer
feat Orphée & Emilia

La cabot house, ça avait un peu été une évidence pour moi. Même si j'avais longtemps hésité. J'aime l'art, j'adore la danse, donc la Lowell ça aurait pu le faire, mais le seul bémole c'est que je me voyais pas dans une maison d'artiste, parce que j'en suis pas une vraie, à côté de ces danseuses qui mettent carrément leurs vies entre parenthèse pour leur passions, moi je suis pas vraiment comme ça. J'aurais pu choisir les Eliots, mais je n'avais pas envie de me retrouver au milieu de gamin qui prônent l'élitisme, j'ai jamais vraiment grandit au palais puisque ma mère m'a emmené avec elle loin de ma famille et je n'ai pas du tout le caractère d'une éliote, il faut bien l'admettre, je suis pas comme ça. Ni vantarde, ni imbus de ma personne et j'ai pas la grosse tête, je n'y aurais donc à coup sûr pas trouvé ma place. La Mather House avait l'air cool, mais bon, je me drogue plus, j'ai arrêté et je me sens enfin bien sans ces merdes, je n'allais pas prendre le risque de replonger. J'ai ensuite beau être gentille et sociable, je ne me voyais pas non plus aux côtés des Quincy, je ne sais pas vraiment pourquoi. Ils ont l'air adorables, mais voila.. Les Winthrop et bien c'est réservé aux hommes et il est claire que je suis une fille. Le choix le plus difficile pour moi avait été de trancher entre les Dunster et les Cabots. Je suis intelligente et studieuse, j'aurais eu ma place là bas. Je pense que je m'y serais senti bien, mais mon choix final avait été la Cabot House. Pour plusieurs raisons : je suis féministe, surement à cause de ce que mon beau père m'a fait subir. En plus de ça, je suis du genre indépendante et motivé. Je ne soulève même pas le point que j'ai le physique pour entrer dans la Cabot House, parce que franchement niveau beauté, qu'importe la maison, toutes les filles sont pour la plupart jolie. Mais ce qui m'avait réellement motivé, c'est que mes deux meilleures amies, Madisson et Athéna sont elles même à la Cabot House. Madisson depuis un moment, Athéna depuis 1 mois et demie si je ne m'abuse. C'était l'occasion de reformer notre trio et de faire des rencontres. J'avais donc fait ma demande pour la Cabot. Je me retrouvais donc aujourd'hui, dans l'entrée, à regarder un peu partout, je n'étais jamais entrée. Passé devant, à coup sûr mais je n'avais jamais passé le seuil de la porte, alors je détaille chaque élément de la pièce avec minutie en attendant ma bizutrice. Je n'avais absolument aucune idée de qui c'était, mais j'espérais vraiment qu'elle serait cool et que j'aurais le droit à des défis marrants, histoire de bien délirer ensemble. Je suis tirée de mes pensées par une voix et une grande blonde qui apparait devant moi. Elle me reconnait directe et moi aussi. Orphée De Luxembourg. Faites qu'elle passe juste par là ... Pitié ...! « Orphée ! Salut, je te remercie ! » j'ai un sourire ... Comment dire ... Crispé ... Et ce que je craignais se confirme par sa phrase ... « Toi, je suppose ? » oh elle a de quoi être ravi, je souris mais intérieur, je suis légèrement ... dégouté ... J'ai pas de chance bon sang. Faites qu'elle soit plus cool qu'avant ...

 
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UNE BIZUTRICE D'ENFER.
— Emilia S. de Bourbon.

T’avais de suite reconnue cette frimousse là. T’avais en effet devant toi la princesse héritière d’Espagne, une Bourbon en chaire et en os et ce n’était pas la première fois que tu la croisais. Vous vous connaissiez depuis la plus tendre enfance en vérité, tes parents ayant toujours pris soin de présenter leur petite démone de fille à tous leurs alliés politiques. Espagne, France, Autriche, Allemagne, Italie et Portugal… T’en oubliais tant, t’avais rencontré politiques et politiques ainsi que tous leurs enfants, auxquels tes parents auraient été ravis d’unir ton titre. Quelle fierté cela aurait été pour eux de te voir épouser un prince, non seulement il t’aurait quelque peu dressé mais leur aurait aussi permis de gagner en influence avec une nouvelle alliance. Oui, certaines fois les histoires de familles royales ressemblaient réellement à des chamailleries moyenâgeuses. Ta reltion avec Emilia avait d’ailleurs toujours été quelque peu conflictuelle, mais vous aviez aujourd’hui largement grandies, et t’étais passé outre. Elle te reconnu te suite cependant son visage prit une expression crispée, toi tu conservas ton sourire. « Absolument ! Tu as de la chance, tu es tombée sur la meilleure. » Tu fis avec un sourire entendu, attrapant une sucette au fond de ta poche en la portant à tes lèvres. « ça va tout se passe bien ? On s’est occupé de tes valises ? » Tu désignas les escaliers. « T’as eu le temps de voir ta chambre ? »

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Une bizutrice d'enfer
Oh oui, je la connais cette fille... Quand j'ai entendu cette voix derrière moi, je l'ai immédiatement compris. J'ai tout de suite deviné que ça n'allait pas me plaire. J'ai en face de moi la princesse du Luxembourg. Cette jolie jeune femme, grande, blonde et souriante, c'est elle, la fille du roi et de la reine de ce petit pays -petit, sans prétention, en superficie, il est bien plus petit que l'Espagne par exemple, le pays que mon père dirige-. Je l'ai connu dans ma plus tendre enfance et c'était une vraie peste. Je ne l'aimais pas du tout. Moi qui aimait m'amusé et chahuté et être calme aussi des fois, je me retrouvais avec ce vrai petit diable blond en face de moi. Elle faisait des conneries et disait que c'était moi et autres. Ca m'énervait quand mon père me disait qu'on allait avoir la visite de sa famille : il avait pas compris qu'elle me gonflait oui ? Avec le temps, on avait perdu contacte et je la retrouvais ici. J'en avais rencontré des familles royales. Je pense que c'est le lot de tous les princes et princesses d'un pays : on veut les caser avec d'autres. Les parents espèrent agrandir leur territoire et leur puissance en unissant leur force. Pour moi, ça avait jamais été très concluant ses rencontres entre personnes de la royauté. Peut être que pour Orphée, ça avait marché, même si ça me semble peut probable, on en aurait entendu parler sinon, c'est certains... En tout cas, me voila face à elle et pendant un instant mon sourire se montre crisper, merde, j'espère qu'elle va pas me pourrir non plus ... Mais elle semble avoir un sourire sympathique, alors je me détends peu à peu, tout vas bien se passer. « Je l'espère en tout cas » après tout, le bizutage, je le vois plus comme un rite de passage et quand il est finit, on a sa place bien au chaud dans la maison, donc c'est un mal pour un bien finalement non ? « Tu es dans cette maison depuis longtemps ? » je n'avais pas eu de ses nouvelles, donc j'en prenais quand même avant de lui répondre en souriant « Mes valises ont dû être monté ce matin, mais non, je n'ai pas eu le temps de faire un tour encore, je suis venue pile pour l'heure de notre rendez vous. » j'aurais pu visiter avant puisque des amies sont dans cette jolie maison remplit de filles mais je n'avais pas eu l'occasion de le faire encore malheureusement.

 
CODE BY RESSAPANDA.
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