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Sachkana Every Breath you take

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Every breath you take
   

SACHKA & SANAA
Le temps passe inexorablement et nous entraine dans son tourbillon, on y peut rien. A chaque fois que le temps passe, un souvenir trépasse, quelque chose s'efface, on ne peut que suivre le torrent qui s'écoule. Le passé est obligatoirement lié au souvenir, souvenir tendre, délicieux ou parfois triste c'est ce qui régit la vie des hommes et des femmes partout dans le monde. Le passé ne fait pas que faire souffrir, c'est aussi ce qui fait notre identité, ce qui fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui. Sans passé vous n'êtes rien, rien de plus qu'un grain de sable dans cet océan démentiel. Alors que de mon balcon de l'hôtel, sur l'océan du Chili se posent mes prunelles, je soupire. C'est la pleine lune ce soir et je suis seule. Mais, je m'en fiche, je suis seule et ça me va! Je n'ai pas à me plaindre, je n'ai rien à envier non plus... Pourtant je ne suis pas réellement heureuse mais, je ne suis pas réellement triste non plus. Le temps passe et j'avance juste avec lui, gardant la tête hors de l'eau, essayant de prendre les bons moments comme ils viennent sans aucunes prétentions. Je me relève et je vais chercher mon portable laissé sur la table de chevet. Je me laisse tomber horizontalement sur mon lit douillet, ce lit qui ne cohabite plus très bien avec moi d'ailleurs. Je tombe sur un numéro, j'envoie un message bref. Rdv ce soir à minuit au phare. Je l'ai repéré quelques jours plus tôt au bord d'une falaise non loin de la plage. Sera-t-'il réceptif à l'appel de la sirène maitresse, qui dans l'œil du cyclone désire l'attirer? Cela faisait quelques bonnes semaines qu'à nos "jeux" nous ne nous étions pas adonné. Chacun fait sa vie, chacun avance. Pas de promesses, pas d'attachement. Ni l'un ni l'autre n'avions cherché à nous appeler. Fiévreuse, je ferme les yeux un moment. Est-ce le démon qui de mon corps et mon esprit est venu une fois de plus s'emparer, me menant une nouvelle fois à la dérive? Je décide de me lever, de prendre une douche et de me changer. Avant de laisser mes pas me mener devant ce phare où rendez-vous lui a été donné.
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« Uno…euh…una…merde comment on dit jus de tomate en espagnol ? » grognai-je moitié en hurlant dans l’oreille du type assis juste à côté de moi. Une journée de libre. En tant qu’êtres humains de sexe masculin, toute notre petite troupe de joyeux fouteurs de merde avaient décidé de visiter la petite ville chilienne où nous étions posés en commençant par ses bars. Sauf que vu ma maladie, je ne pouvais tout simplement pas commander une « cerveza » comme le reste de mes compagnons, ce qui m’agaçait au plus haut point. C’est vrai, pourquoi la bière était-elle plus simple à prononcer en espagnol qu’un jus de tomate non mais sans blague !! « Si con…euh…hey Nemo, on dit comment ça en espagnol ? » grognai-je à nouveau en montrant du doigt les churros qui sommeillaient derrière le comptoir du bar dans un coulis de chocolat noir. Soudain, mon portable vibre, manquant de me faire renverser mon verre d’eau – à défaut d’avoir pu dire ‘jus de tomate’, « agua » avait été la première chose qui m’était venu à l’esprit – sur ma chemise noire toute neuve. « C’est qui ? » Notre petite bande ne comptait que des curieux avides des derniers potins. Et pourtant, nous étions tous des hommes. Qui a dit que les femmes étaient les pires commères ? « T’occupes. Je rentrerai tard les gars alors m’attendez pas. » lâchai-je en guise de répondre avant de sortir du bar, sans un regard en arrière mais les yeux roulant dans leurs orbites en entendant les rires étouffés et les chuchotements emplis de sous-entendus de mes amis. J’avais à peine le temps de retourner à l’hôtel, de prendre une douche, de trouver une chemise propre et un pantalon assorti avant de sortir retrouver Sanaa. Dommage que nous n’étions pas dans le même établissement, tout aurait été si…jouissif, le jour comme la nuit.

Une heure plus tard, j’étais fin prêt ….et il ne me restait que vingt minutes pour arriver au lieu du rendez-vous. Tant pis, pas le temps de réfléchir à mieux, je m’équipe d’une bonne paire de baskets pour la marche à pieds que je m’apprête à faire, et c’est vêtu d’une chemise vert forêt, d’un battle marron et d’une veste en cuir de la même couleur que je quitte précipitamment ma chambre d’hôtel. Je n’ai oublié ni ma montre, que je consulte toutes les cinq minutes, ni ce parfum enivrant et boisé qui la faisait chavirer à chacune de nos rencontres. Finalement, je la vois au loin qui s’avance vers le phare dont les lumières guident les bateaux qui s’échappent du port, cent mètres plus bas. « Bonsoir mademoiselle. » murmurai-je sitôt près d’elle, tandis que mes bras enlacent déjà ses hanches, calant son dos, attentionné, contre mon torse à moitié découvert, laissant entrevoir mes nombreux tatouages et cicatrices sur le devant.


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SACHKA & SANAA
Mes pas étaient lents, presque lasses sur ce chemin menant au bord de l'océan surplombé par ce majestueux phare censé ramener les marins à bon port. La petite brise fraîche du soir venant fouetter mon visage, rafraichissant mon corps bouillonnant, un pur délice ramenant vos deux pieds sur terre bien ancrés. Je n'étais pas pressée, il n'avait pas répondu mais, était-ce nécessaire. J'étais presque certaine que tel Ulysse vers son Itaque, il répondrait à mon appel. Oh non, ne vous imaginez pas que le séduisant brun ne peut résister à ma beauté ou qu'encore, il est épris d'un amour infini. Il n'est pas non plus le plus fidèle des amants. Mais, d'instinct je savais qu'il ne me ferais pas faux bond. Je n'avais pas encore atteint ma destination quand des bras vinrent m'entourer virilement. Un corps se calant tout contre le mien, venant presque me bercer. Je fermais les yeux, c'était rassurant bien que différent. Je pouvais dénoter la différence, son parfum venant confirmer et surtout infirmer mes premières pensées tournées ailleurs. Une main leste se posa sur son bras, le caressant délicatement. L'effleurant du bout des doigts.

J'ouvre les yeux au son de sa voix. Deux petits mots rien que ça. Je laisse poindre un sourire, me déjoue de ses bras faisant demi-tour pour poser mes prunelles glacier droit dans son regard ambré. Mes bras viennent s'accrocher autour de son cou, ma tête se penche de coté. Alors qui as-tu planté en plein milieu de soirée pour venir me retrouver? Une petite touriste ingénue de passage, une autre de tes proies moins alléchantes? Oui et alors j'ai bien le droit d'espérer qu'il ai délaissé une autre de ses dulcinées pour venir me retrouver. Mes doigts s'entremêlent dans sa chevelure. Doucement mes lèvres viennent frôler les siennes en guise de tardif bonsoir. Pourquoi me priver de ma spontanéité à laquelle sans complexes avec lui, je peux m'adonner. De lui je me détache un peu, laissant courir mes doigts dans l'échancrure de sa chemise dévoilant son torse que je connais sous toutes ses coutures. Mes yeux vont se perdre vers le phare. On va jusque-là j'ai vraiment très envie... D'aller voir de plus près. lui annonçais-je sans grands détours.
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C’était étrange. J’avais eu et je possédais encore aujourd’hui, de nombreux amants. Hommes et femmes, je ne faisais pas dans la distinction, du moment qu’il y avait envie et plaisir partagées. Cependant, chacun d’entre eux était différent. Dans la manière d’apprivoiser le loup qui sommeillait en moi depuis toujours. Certains étaient sauvages et excitaient ma curiosité. D’autres farouches, ce qui m’attiraient davantage. Sanaa, elle, était une douceur qui me domestiquait sans mal. Un peu comme la vague qui vient se briser sur les rochers et qui ne peut que repartir que lorsqu’il a fini de la caresser de toute son écume, Sanaa parvenait à calmer mes ardeurs par sa patience, son calme, sa fraîcheur. Humant son parfum en glissant mon menton contre sa joue, j’attends. J’attends qu’elle me dise quoi faire, j’attends de lui plaire. Et lorsque finalement, elle se retourne et écarte les lèvres, je ne peux répliquer que par un sourire énigmatique et un regard malicieux à son questionnement. « Pourquoi serait-elle forcément moins alléchante ? » La vérité ? Non, trop banale. Elle en rirait. Plutôt mentir, pour mieux la captiver. « Et puis, j’avais peut-être envie de respirer une autre…belle plante ce soir… » résumai-je pour la taquiner. Les femmes et mes cheveux. Ma crinière rousse, devrais-je, semblait être une véritable fascination pour leurs mains égarées. A chaque rencontre, à chaque baiser, leurs doigts se retrouvent irrémédiablement mêlés à mes mèches rebelles. Je n’ai jamais compris. Au départ, je ne me suis pas laissé faire. Un reste de petit garçon qui craignait de ne pas grandir face à la femme qui le traitait comme tel en lui caressant sa tignasse indomptable. Finalement, je m’y suis habitué. Sa bouche effleure la mienne, et comme un papillon attiré par la lumière, je me penche avec possessivité dans l’espoir de la capturer. Je n’ai pas à lui répondre que déjà ma main attrape la sienne et nous montons ensemble vers le phare…

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A ses lèvres, je suis suspendue, prunelles dans les prunelles. De sa réponse, je me moque. Il pouvait bien être accroché aux flancs de n'importe quelle autre diablesse du campus. Le fait qu'à mon appel informel, il se précipite, abandonne, s'arrête, est la seule chose à mes yeux qui importe. Bien qu'il soit décidé à me laisser un peu mariner, ou alors tente t'-il de me piquer quelque peu, pour faire déferler une vague de jalousie sur ces aveux. Ma réponse est alors toute trouvée. Si tu ressens le besoin d'en humer une autre c'est que la précédente n'exaltait pas un parfum assez fort pour te contenter. Ou alors est-il accro tout simplement. Peu m'importe, à partir du moment où il répond à mon besoin impérieux. Parfois, j'aime cette façon qu'il a de se laisser faire, de se laisser guider comme un marin en pleine mer. Bien que du loup dans le bergerie, je ne cherche pas à faire de lui une douce brebis.

Mes doigts quittent la peau tendre du jeune homme alors que dans le plus parfait silence sa main se glisse dans la mienne. Le jeu de la docilité semble s'inverser mais, les apparences sont faites pour vous tromper. Inexorablement nos pas finissent par nous mener devant le grand phare qui tient son rôle de guet. Je me stoppe, le dévisage, ce soir je suis venue prendre ce qui me revient de droit. Même s'il ne l'avouera pas. Lâchant ses doigts emmêlés aux miens, mon index vient le pousser légèrement. Ma paume s'appose. Contre la porte du phare son dos se pose. De l'autre main, je force sa tête à s'épancher vers mon cou. A son oreille je murmure ceci. Je te connais bien plus fou et endiablé. Où a-t'-il donc laissé sa fougue s'envoler? Ma main empresse sa tête de manière plus prononcée, fiévreuse de connaitre jusqu'où cette nuit Sachka sera capable d'aller. Peut-être que je me conduis mal mais, de cette dérive endiablée j'ai n'ai pu me dérober, me destituer. Telle une poupée désincarnée. Je suis le pantin des fils invisibles qui me lient encore à mon passé.
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Je souris, d’un sourire à la fois amusé et malicieux. Elle ne semble ni jalouse ni prétentieuse concernant mes amours, anciennes ou non, et cela m’allait très bien. De loup, je deviens presque agneau auprès de la jeune femme. La guidant moi-même jusqu’au phare qui l’intrigue et l’attire, je l’observe pendant qu’elle le dévore des yeux, goûtant moi-même visuellement à son corps que je ne réclamais pas encore. L’air est doux, malgré la falaise qui nous sépare de la chute des vagues venant s’écraser contre les parois rocheuses, donnant l’impression d’un temps brumeux d’hiver humide. C’en était presque poétique de se retrouver ici. Elle, moi, près d’un phare. Une lumière censée éclairer et guider jusqu’au port, les marins qui se sont évanouis dans l’obscurité d’un océan à jamais indomptable. Repoussé fermement quoique sans mal vers la porte du bâtiment, mon dos se colle contre sa paroi boisé et je guette du coin de l’œil chacun de ses gestes. Silencieux, je me perds dans ses iris glacés, attendant son autorisation muette. Finalement, c’est à faible mot que je l’obtiens, et que mes sourcils se froncent sous ce reproche gentiment énoncé. « Tu ne me connais pas. » ne fis-je qui murmurer près de sa nuque avant d’y apposer mes dents, grignotant tendrement la chair fraîche de ma victime adorée, avant de lécher les parcelles que j’avais fait rougir au passage. Mes bras accueillaient brutalement ses hanches, au moment où je la basculais à mon tour à l’endroit où avant cela je résidais : contre cette porte en bois verrouillée. Le loup a mangé l’agneau. Ses crocs luisent dans la nuit. Mes mains emprisonnent ses poignets dans son dos, mon corps ne fait plus qu’un avec le sien, et mes lèvres se montrent tour à tour possessives et d’un cruel appétit.

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Tu ne me connais pas... C'est l'affront qu'il est venue me souffler dans la nuque. Je le laisse me procurer un frisson. Je le laisse marquer ma chère tendre. Je lâche un gémissement, serais-je perturbée au point d'aimer sa férocité. C'est ce que tu crois Sachka. C'est ce que tu crois. Ou c'est comme tu veux, je te le laisse croire. Il m'attire par les hanches, se décide à laisser tomber les masques, à montrer sa virulence. Monsieur se fait désireux de montrer qui mène la danse ce soir. Calée contre la porte où je m'étais moi-même amusée à le coincer, il cherche alors à m'emprisonner. Ses doigts se referment sur mes poignets. Les bras ramenés dans le dos, je ne peux bouger, je ne peux l'esquiver, à moins que je ne le désire pas. Peut-être suis-je bien comme ça. Son corps cherche a fusionner avec le mien, ses baisers se veulent dévorant et fiévreux. Mais, après tout ne l'avais-je pas provoqué. Entre deux, je reprends mon souffle. Et que ne sais-je pas encore sur toi? Oui que me cache-t'-il derrière ses yeux-là? Pourquoi tant de mystère dans le ton de sa voix. La brise de la nuit étai bien trop faible pour éteindre nos sens. Inutile de palabrer pour tromper l'ennemi. Il sait pourquoi il est ici. Il sait parfaitement qu'il est venu pour me baiser. Amis de baise attitrés c'est ce qui a été décidé. Je n'aime pas ce qu'il a soufflé, je n'aime pas être dépréciée. L'idée me vient de le repousser mais, il ne faut pas que je me leurre, je sais que je ne le ferais pas. Il  cette facilité à savoir comment m'aguicher, comment m'y pousser.

De ses mains, j'essaie de me libérer n'aimant pas réellement me retrouver entravée. Bien que je sais qu'il aime me dominer. Mais, n'aime-t'-il pas aussi quand je résiste?  C'est à cela que tu veux jouer? vins-je alors lui insuffler à l'oreille. Question qui peut bien rester sans réponse, car je suis presque certaine qu'il préfère encore me montrer plutôt qu'en parler. Mon regard vient la narguer pour lui distiller mes sombres desseins, nos relations injectée d'autant de venin. Ma bouche se rapproche, mes dents viennent capturer sa lèvre, il se croit le seul à pouvoir mordre? Mais, dans le fond qui domine, on s'en fou non? Tant que l'ivresse des sens est en marche, tant que la folie de nos désirs nous prend en otage. Oui monsieur Gretchko, faite moi tanguer et tanguer sur les vagues d'une mer déchainée.  
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Je ne réponds pas. Etonné par sa question, presque autant songeur. Qu’est-ce qui lui prend de vouloir me connaître tout à coup ? Nos rapports ont toujours été basés sur le sexe, rien d’autre. Et même si ça n’avait pas été le cas, nul n’était au courant, même pas certains ne mes meilleurs amis. Ma vie d’autrefois m’appartient, aucun secret ne devrait jamais être ébruité. J’aurais eu trop peur que leurs regards sur moi se mettent à changer lorsqu’il apprendrait la vérité. Ou comment un petit garçon avait vécu l’enfer auprès de sa folle dingue de mère. Personne n’avait besoin de savoir, ça ne les regardait pas et de toutes façons tout le monde s’en fichait au fond. « Que j’adore t’embrasser là… » mentis-je alors en déposant une traînée de baisers torrides le long de sa nuque, jusqu’à ses hanches, en passant par sa gorge. « …et là…et là… » Jouer ? Oui, un jeu c’est bien vrai. Celle de la proie et du chasseur. Sauf que la proie est actuellement immobilisée ? Serait-ce que le jeu a déjà pris fin ? Armé d’un sourire coquin, je la libère de mon emprise et me recule de quelques centimètres. Vas-y, cours, essaie de m’échapper…jouons comme nous l’aimons. Sa bouche mord aussitôt dans la mienne, inférieure, alors que je grogne de plaisir en fermant les paupières. Sans prévenir, sans gêne aucune, mes doigts se déplacent, allant trouver le jardin que ses jupons cachent ensuite, s’incurvant naturellement en la caressant lentement. « Hum…je ne sais pas si tu l’as vraiment mérité… » ronronnai-je contre sa bouche avant de m’écarter pour de bon. Très lentement, les boutons de ma chemise sautent l’un après l’autre, et je me retrouve bientôt torse nu devant elle. Mon pantalon par contre semble se résigner à garder mes jambes. Je me déplace…à reculons, gardant le contact visuel avec ma maîtresse. « Tu veux jouer, petite fille ? » murmurai-je d’une voix rauque en m’éloignant jusqu’au bord de la falaise.

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