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soren castel
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daddario
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Fiche d'identité
Nom CastelPrénom(s) Soren, RiverÂge 24 ansDate de naissance 28 mars 1991Lieu de naissance Londres, Royaume-UniStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HomosexuelClasse sociale AiséeÉtudes majeures DentisterieÉtudes mineures SportJob AucunChoix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2 StudentsELIOT HOUSE
Pouvoir, apparence, prestige, richesse, classe, des mots qui parfument déjà le doux son de ma voix tant ils me collent à la peau. Un voile de tissus, une image inscrite à la main sur un papier froissé qui dans ses recoins cache des assemblements de lettres plus sombres, plus malsains. Il n'est qu'évidence que ma place se trouve parmi ces ombres des plus grands murs du monde aux poches noyées par le goût méphitique de l'argent. Mon avenir est déjà tracé, une ligne ambitieuse, voluptueuse qui tranche avec assurance les croyances de la destinée. Mes poumons ne se contentent plus de l'oxygène au creux de mes narines, il demande un peu plus encore, la sensation de réussite perpétuelle.
STUDENTS
S'associer avec n'importe qui ne permet que de devenir n'importe quoi, ce qui n'est pas sur la lignée de mes désirs les plus profonds et sincères. Je ne peux avancer sur la route de la réussite si un être lambda peut puiser avec gourmandise dans mes précieuses réserves. Il m'est donc inconcevable d'adhérer à une confrérie si elle ne partage pas avec précision mes idéaux.
Pouvoir, apparence, prestige, richesse, classe, des mots qui parfument déjà le doux son de ma voix tant ils me collent à la peau. Un voile de tissus, une image inscrite à la main sur un papier froissé qui dans ses recoins cache des assemblements de lettres plus sombres, plus malsains. Il n'est qu'évidence que ma place se trouve parmi ces ombres des plus grands murs du monde aux poches noyées par le goût méphitique de l'argent. Mon avenir est déjà tracé, une ligne ambitieuse, voluptueuse qui tranche avec assurance les croyances de la destinée. Mes poumons ne se contentent plus de l'oxygène au creux de mes narines, il demande un peu plus encore, la sensation de réussite perpétuelle.
STUDENTS
S'associer avec n'importe qui ne permet que de devenir n'importe quoi, ce qui n'est pas sur la lignée de mes désirs les plus profonds et sincères. Je ne peux avancer sur la route de la réussite si un être lambda peut puiser avec gourmandise dans mes précieuses réserves. Il m'est donc inconcevable d'adhérer à une confrérie si elle ne partage pas avec précision mes idéaux.
APRÈS LA BOMBE.
Il y a eu la détonation, cet acouphène, ces cris, l'agitation. Un bain de sang chaud et épais au parking dans le quel mon corps meurtri baignait inconscient, vide. Le grand trou noir, le début de l'enfer, un long voyage de douleur et de haine. Abîmé, déchiré, une peau en carton et la tête en coton. Des bribes de souvenirs me reviennent la nuit et me sortent de mon sommeil en sueur, me rappellent que la mort se cache parfois de l'autre côté de la porte, que je suis éphémère.
Il y a eu la détonation, cet acouphène, ces cris, l'agitation. Un bain de sang chaud et épais au parking dans le quel mon corps meurtri baignait inconscient, vide. Le grand trou noir, le début de l'enfer, un long voyage de douleur et de haine. Abîmé, déchiré, une peau en carton et la tête en coton. Des bribes de souvenirs me reviennent la nuit et me sortent de mon sommeil en sueur, me rappellent que la mort se cache parfois de l'autre côté de la porte, que je suis éphémère.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Absent des bancs, âme éloignée des temps modernes, le recul était l'idée du moment. Ainsi j'ai rejoins ma famille à Londres, laissant mon conscient survoler les problèmes comme un oiseau qui flirt avec le vent. Cette période sombre n'est qu'une histoire, un mythe que les braves me racontent avec l'effroi dans les yeux, plus visible même que l'iris. Je marche sans état d'âme sur ces sols qui soulevaient bien avant la fin du sablier ces otages, ces armes, ces souffrances morales et physiques.
Absent des bancs, âme éloignée des temps modernes, le recul était l'idée du moment. Ainsi j'ai rejoins ma famille à Londres, laissant mon conscient survoler les problèmes comme un oiseau qui flirt avec le vent. Cette période sombre n'est qu'une histoire, un mythe que les braves me racontent avec l'effroi dans les yeux, plus visible même que l'iris. Je marche sans état d'âme sur ces sols qui soulevaient bien avant la fin du sablier ces otages, ces armes, ces souffrances morales et physiques.
neurosis
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle neurosis et j'ai 18 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Le forum est beau ainsi que vraiment très actif alors j'ai décidé de me réinscrire sur le forum. J'utilise Matthew Daddario comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par CTYH. Je fais environ 200 à 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Des bisous.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
être parrainé
Mot de la fin ? ▲ Des bisous.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
être parrainé
Once upon a time
LONDRES, quelques jours avant le départ pour Harvard
Le corps à l'abandon, épave sur le rebord de la fenêtre, je laisse mes yeux voyager à l'horizon. Le ciel est bleu, hypnotisant, saveur d'un été paradisiaque, il est une page de mon épopée future que j'espère aussi brillante que le soleil. De mes poumons s'évacue un souffle chaud, l'angoisse se voue à une étreinte lasse en compagnie de ma chair vibrante, anxieuse. Un écho rassurant parvient à mes tympans, mon père comme à son habitude trouve les bons mots. Son estime à mon égard est sans doute plus grande que n'importe quelle tour à la surface du globe, elle effleure les étoiles sans le moindre doute. Bien que sa déception soit en réalité de taille face à toutes épreuves, il se veut être le voile sur mon bateau et non la vague vorace qui d'un jour à l'autre me laisse sombrer en pleine mer. Je laisse paraître dans mon reflet de verre un sourire qu'il ne manque pas de remarquer et de me rendre, amplifié. Je quitte mon coin et rejoins la table, où toute la famille est réunie, abordant l'image des mailles d'une chaîne aux reflets incandescents. Le dernier repas de famille avant bien des chapitres, habillé d'une hypocrisie commune que chacun s'efforce à masquer. « Allons, buvons en l'honneur de Soren. » Lâche ma tante avec une sagesse qui masque bien plus de matière que sa propre robe. Le dégoût enfoui au plus profond de mon être, je laisse le bruit du silence régner avant de tremper mes lèvres dans le liquide aux éclats dorés. « Alors, futur dentiste ? » Je me contente de hocher la tête dans un mouvement verticale, évitant ainsi de lui vomir à même le nez mes plus profondes pensées. Le regard de ma mère vient rencontrer le mien avec un engouement soudain, il est le marchand de rêve que j'ai cessé d'attendre depuis de longues années. Les battements de mon cœur s'unissent aux siens, un orchestre grandiose, une symbiose parfaite. « Ton père et moi avons tout prévu, tu n'aura qu'à installer tes affaires mon grand. Surtout n'oublie pas, le plus important, c'est que tu sois heureux, peu importe tes choix je t'aimerai toujours. » Mon regard devient compassion, submergé, je laisse une larme s'écouler le long de ma joue rubescente. « Moi aussi maman, je t'aimerai toujours. »
BOSTON, l'arrivée et le début des cours
Le corps étalé comme mort à même le bord de mon canapé blanc neige, je guide les étoiles de mon doigt fluet depuis l'autre rive du mur de verre. Le ciel est sombre, obscure, profond, envoûtant. Il est ce ciel bleu qui après tout ce temps décide de se dévoiler, de montrer sa véritable nature, sa beauté. J'attrape mon téléphone d'un mouvement grotesque et démesuré, tant la fatigue a remplacé mon sang dans la moindre veine et tape avec hâte le numéro de mes parents. Il sonne, résonne, s'abandonne à une mélodie sans fin. J'attends une réponse au bout du fil en vain. Embarrassé, laissé sans nouvelles, peut-être déjà oublié par ceux que j'ai toujours aimé, je décide de laisser l'appareil à portée de main. Les minutes défilent plus vite que les mannequins des plus grandes agences, pourtant rien. Je somnole, laissant un voile noir couvrir mes yeux, toujours sur mes gardes. Rien, toujours rien. Mon réveil me sort de mes plus belles illusions dans un bruit aigu et malfaisant, celui de la réalité. J'enfile une tenue, emporte comme un sauvage de quoi subvenir à ma faim et fonce vers la porte à toutes allures quand la sonnerie plus qu'attendue retentit à quelques mètres. Mon cœur bat à la chamade, mon souffle se coupe, ma solitude se disperse au loin.
« MAMAN ?!
- Non c'est t... ton père...
- Papa, quelque chose ne va pas ? Le ton de ta voix m'inquiète tu sais...
- Je... le bruit d'un sanglot retentit. Je ne sais pas si te dire tout cela maintenant est une bonne chose, mais tu dois savoir... »
Aucun bruit ne semble vouloir s'échapper de ma bouche à cet instant, je reste planté comme un arbre, tremblant telle une feuille battue par le vent.
« T... ta mère, elle... elle a eu un accident ce matin.
- Comment ça ?!
- Elle est tombée dans les escaliers avec son fauteuil roulant, je...
- Dis moi qu'elle va bien, s'il te plait !
- J'aimerai mais... c'est fini. »
Le téléphone me glisse des mains, mes joues deviennent rivière. Engourdi, désemparé, je m'écroule subitement sans la moindre retenue. Un sentiment de vide s'empare de mes entrailles, les déchires sans pitié comme de vulgaires morceaux de papier. Mes poings rencontrent le marbre froid, glacé. Trahison, abandon, tant de sentiments qui se confrontent que je ne souhaite que cesser de respirer, ne serait-ce qu'un instant, oublier tout ce qui m'entoure. J'avais tellement de choses à lui raconter, tellement de choses à lui montrer. J'avais besoin de lui parler de mes études, de mon intégration à Harvard, université que j'avais longtemps rêvé de rejoindre. J'avais besoin de lui dire que tout est parfait, que j'ai des nouveaux amis, que j'ai retrouvé des personnes du passé, que mes cours se passent bien, que j'ai trouvé ma voie. Ma voie qui a longtemps été remise en question, un dentiste parmi les banquiers. J'avais besoin d'elle et elle, elle avait besoin de moi.
Le corps à l'abandon, épave sur le rebord de la fenêtre, je laisse mes yeux voyager à l'horizon. Le ciel est bleu, hypnotisant, saveur d'un été paradisiaque, il est une page de mon épopée future que j'espère aussi brillante que le soleil. De mes poumons s'évacue un souffle chaud, l'angoisse se voue à une étreinte lasse en compagnie de ma chair vibrante, anxieuse. Un écho rassurant parvient à mes tympans, mon père comme à son habitude trouve les bons mots. Son estime à mon égard est sans doute plus grande que n'importe quelle tour à la surface du globe, elle effleure les étoiles sans le moindre doute. Bien que sa déception soit en réalité de taille face à toutes épreuves, il se veut être le voile sur mon bateau et non la vague vorace qui d'un jour à l'autre me laisse sombrer en pleine mer. Je laisse paraître dans mon reflet de verre un sourire qu'il ne manque pas de remarquer et de me rendre, amplifié. Je quitte mon coin et rejoins la table, où toute la famille est réunie, abordant l'image des mailles d'une chaîne aux reflets incandescents. Le dernier repas de famille avant bien des chapitres, habillé d'une hypocrisie commune que chacun s'efforce à masquer. « Allons, buvons en l'honneur de Soren. » Lâche ma tante avec une sagesse qui masque bien plus de matière que sa propre robe. Le dégoût enfoui au plus profond de mon être, je laisse le bruit du silence régner avant de tremper mes lèvres dans le liquide aux éclats dorés. « Alors, futur dentiste ? » Je me contente de hocher la tête dans un mouvement verticale, évitant ainsi de lui vomir à même le nez mes plus profondes pensées. Le regard de ma mère vient rencontrer le mien avec un engouement soudain, il est le marchand de rêve que j'ai cessé d'attendre depuis de longues années. Les battements de mon cœur s'unissent aux siens, un orchestre grandiose, une symbiose parfaite. « Ton père et moi avons tout prévu, tu n'aura qu'à installer tes affaires mon grand. Surtout n'oublie pas, le plus important, c'est que tu sois heureux, peu importe tes choix je t'aimerai toujours. » Mon regard devient compassion, submergé, je laisse une larme s'écouler le long de ma joue rubescente. « Moi aussi maman, je t'aimerai toujours. »
BOSTON, l'arrivée et le début des cours
Le corps étalé comme mort à même le bord de mon canapé blanc neige, je guide les étoiles de mon doigt fluet depuis l'autre rive du mur de verre. Le ciel est sombre, obscure, profond, envoûtant. Il est ce ciel bleu qui après tout ce temps décide de se dévoiler, de montrer sa véritable nature, sa beauté. J'attrape mon téléphone d'un mouvement grotesque et démesuré, tant la fatigue a remplacé mon sang dans la moindre veine et tape avec hâte le numéro de mes parents. Il sonne, résonne, s'abandonne à une mélodie sans fin. J'attends une réponse au bout du fil en vain. Embarrassé, laissé sans nouvelles, peut-être déjà oublié par ceux que j'ai toujours aimé, je décide de laisser l'appareil à portée de main. Les minutes défilent plus vite que les mannequins des plus grandes agences, pourtant rien. Je somnole, laissant un voile noir couvrir mes yeux, toujours sur mes gardes. Rien, toujours rien. Mon réveil me sort de mes plus belles illusions dans un bruit aigu et malfaisant, celui de la réalité. J'enfile une tenue, emporte comme un sauvage de quoi subvenir à ma faim et fonce vers la porte à toutes allures quand la sonnerie plus qu'attendue retentit à quelques mètres. Mon cœur bat à la chamade, mon souffle se coupe, ma solitude se disperse au loin.
« MAMAN ?!
- Non c'est t... ton père...
- Papa, quelque chose ne va pas ? Le ton de ta voix m'inquiète tu sais...
- Je... le bruit d'un sanglot retentit. Je ne sais pas si te dire tout cela maintenant est une bonne chose, mais tu dois savoir... »
Aucun bruit ne semble vouloir s'échapper de ma bouche à cet instant, je reste planté comme un arbre, tremblant telle une feuille battue par le vent.
« T... ta mère, elle... elle a eu un accident ce matin.
- Comment ça ?!
- Elle est tombée dans les escaliers avec son fauteuil roulant, je...
- Dis moi qu'elle va bien, s'il te plait !
- J'aimerai mais... c'est fini. »
Le téléphone me glisse des mains, mes joues deviennent rivière. Engourdi, désemparé, je m'écroule subitement sans la moindre retenue. Un sentiment de vide s'empare de mes entrailles, les déchires sans pitié comme de vulgaires morceaux de papier. Mes poings rencontrent le marbre froid, glacé. Trahison, abandon, tant de sentiments qui se confrontent que je ne souhaite que cesser de respirer, ne serait-ce qu'un instant, oublier tout ce qui m'entoure. J'avais tellement de choses à lui raconter, tellement de choses à lui montrer. J'avais besoin de lui parler de mes études, de mon intégration à Harvard, université que j'avais longtemps rêvé de rejoindre. J'avais besoin de lui dire que tout est parfait, que j'ai des nouveaux amis, que j'ai retrouvé des personnes du passé, que mes cours se passent bien, que j'ai trouvé ma voie. Ma voie qui a longtemps été remise en question, un dentiste parmi les banquiers. J'avais besoin d'elle et elle, elle avait besoin de moi.
(Invité)
Rebienvenue bebeeeee 
Merci ! 
