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Mira ► I don't need a Hero to save me!

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Les cheveux attachés, mon bikini bleu, je suis au bord de la piscine, ce n'est pas la première fois que je viens... J'y limite prit une sorte d'abonnement pour venir... Parce que depuis ma dernière rupture avec Nate, je passe mon temps à faire du sport, encore et encore, ou bien à bosser mes cours pour ne pas penser à lui, pour ne pas craquer encore, pour ne plus sombrer dans la coke et l'alcool encore. En quelque sorte, le sport c'est ma nouvelle drogue. Je force toujours plus, pour aller plus loin, ignorant la douleur que je peux ressentir, parce que ça me permet de l'oublier un peu, d'oublier qu'il est sûrement avec un mec quelque part... Je soupire alors, montant sur le plongeoir pour rapidement plongée et commencé à faire des longueurs, pour ne penser qu'aux gestes que je fais, me concentrer sur ma respiration pour la gérer, ne pas boire la tasse. Je nage, ignorant ce qu'il y a autour de moi, me contenant simplement de nager le plus possible... Pourtant, je ne devrais pas forcer comme ça, surtout dans l'eau... Parce que je ne suis pas proche du bord au final, parce que je n'ai pas pieds non plus et les risques ici sont bien plus gros, plus dangereux... Surtout quand une crampe survient à cet instant... Mon pied se bloque, un léger cri de surprise franchit alors mes lèvres alors que je suis incapable de continuer à nager. Bouger mon pieds est devenu compliqué, je me débats pour rester à la surface, le goût du chlore déjà bien en bouche, je tousse parce que je viens de boire la tasse. Dans un instant de survie, je frapper l'eau de mes bras pour tenter de rester à la surface, pour ne pas couler, mais je n'y arrive pas, c'est compliquer sans pouvoir bouger mon pieds... C'est douloureux. Je panique. Mes gestes sont chaotique, je fais clairement n'importe quoi, mais je suis incapable de raisonner, de bouger de façon plus synchronisé pour réussir à sortir à la surface. Je commence à me noyer... Parce qu'au final, la panique c'est la pire des choses dans ses cas là et je suis incapable de rester calme à cet instant.

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Sortir de Boston, d'Harvard, cela fait du bien. Plus de boulot, plus de cours, fini le petite appart' durant deux belles semaines, dans un hôtel de luxe et dans un décor magnifique. Le spring break est vraiment le voyage que je ne raterai pour rien au monde. Je n'ai jamais eu beaucoup l'occasion de voyager en dehors des États-Unis , avant d'arriver à Harvard, alors j'en profite le plus possible. Parfois j'aimerai avoir l'argent nécessaire pour pouvoir monter dans un avion, et partir dans des destinations incroyables, où j'oublierai tout, mais j'ai plus souvent seulement les moyens de me payer mon loyer. Alors je me contente de ses voyages pour découvrir des coins extraordinaires. Même si aujourd'hui, je suis resté à l'hôtel, profilant d'une journée libre pour aller sur la plage, profiter du soleil dorant ma peau, et de la chaleur du sable fin pour faire une petite sieste. Alors que je remonte à l'hôtel, dans le but de regagner ma chambre, je passe devant la piscine, la plupart du temps vide. Les clients de l'hôtel préférant certainement l'océan à l'eau de la piscine, traité par de nombreux produits . Mais aujourd'hui c'est différent, une tête blonde émerge de l'eau. Je ne vois pas très bien qui s'est, mais je la regarde juste nager, ça a un côté apaisant, l'impression de la voir filer sur l'eau, ne faire qu'un avec elle, comme si l'eau s'écartait pour la laisser passer . Mais cette poésie cesse brusquement, elle n'avance plus, et l'eau semble reprendre le contrôle sur elle. Je fronce les sourcils, ouvrant la porte vitrée qui sépare la piscine du couloir dans lequel je suis. Quelque chose cloche et mon instinct ne me laisse pas de temps à la réflexion . Je lâche mon sac, qui tombe au sol dans un bruit mat, tandis que je plonge dans l'eau,  sans même prendre le temps de retirer mon top et mon short pour sauter en maillot de bain . Je la rejoins rapidement, passant un bras autour de son buste et la tirant vers le bord, où il sera possible pour elle se tenir.Je nage dos à elle, et espère seulement qu'elle n'est pas fait un malaise, sinon … elle est dans la merde, j'sais pas faire de massage cardiaque !  
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Putain de crampe à la con... Trop douloureuse... Putain de piscine aussi. Et d'eau chloré. Je me débats comme je peux sans parvenir à réellement garder la tête hors de l'eau. C'est un peu comme pour ma vie en fait, c'est une putain de métaphore devenue un peu trop réelle. Je me noie clairement, même si je me débats, je n'arrive pas à résister... Et pourtant, alors que je continue de boire la tasse et de me débattre, je sens quelque chose me saisir, je me débats alors contre ça avant de réaliser qu'il s'agit d'une personne là pour m'aider. Je la laisse faire, je la laisse m'aider parce que sinon, je m'enfoncerais juste dans l'eau parce qu'il n'y a pas de maître nageur. Je la laisse aussi m'aider à sortir de l'eau, ma jambe toujours bloquée par cette crampe, je m'assied, parce que marché comme ça serait juste de la folie. C'est atroce comme sensation... Je tousse d'ailleurs pour tenter de cracher l'eau que j'ai avalé par le mauvais trop comme on dit. Je suis d'ailleurs incapable de parler, de la remercier, parce que je continue de tousser, parce que c'est en réalité le seul truc que j'arrive à faire, même s'il y a que très peu d'eau qui franchit mes lèvres dans l'autre sens. Il me faut dés lors plusieurs minutes avant que cela ne se calme et donc de réussir à parler pour la remercier. Sauf que quand le "merci" franchit mes lèvres, ce n'est pas ma voix habituelle que j'entends, elle est plus grave, probablement meurtrie par ma quinte de tout précédente, ce que je peux comprendre parce que j'ai mal à la gorge maintenant... C'est vachement désagréable, surtout que j'ai eu les larmes aux yeux à tousser de la sorte.

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À quoi cela servirait-il que je la regarde derrière cette vitre, si ce n'est pas pour lui venir en aide lorsque le besoin s'en ressent ? Dans ces moments-là, la réflexion n'a pas vraiment de place dans notre cerveau, je saute dans l'eau, sans me poser plus de question, n'ayant qu'une seule idée en tête : la sortir de là. Je passe un bras au niveau de son thorax et la tire le plus délicatement que je peux tout en nageant de mon autre bras libre. Je n'ai jamais fait de stage de secourisme, mais je me puise mon inspiration dans les films que j'ai déjà vus, comprenant ce genre de scène, où le héros sauve une personne de la noyade. Non pas que je me sente comme une héroïne actuellement, non je dirai plutôt que je me sens stupide de pas avoir pris le temps de retirer mes vêtements, alors que j'ai un maillot de bain en dessous. Je prends trop souvent des décisions sans réfléchir, et encore une fois la situation le montre bien. Je la sors finalement de l'eau, la laissant retrouver son souffle à son rythme tandis que j'essore mes cheveux, puis retire mon débardeur pour le tordre entre mes mains . Je suis aussi trempé qu'elle maintenant. « Ce n'est rien... ça va ? » lui demandai-je, avant d'appuyer mes mains sur ma hanche, et de repenser à mon téléphone...dans ma poche. Ohoh je crois que j'ai fait une connerie. Je sors lentement mon portable de mon short, une grimace s'affichant sur mon visage, avant d'être rapidement remplacé par une moue de supplice tandis que j'essaie de le rallumer. « Merde ! » Ras-le-bol des Spring Break, toujours la même chose, n'importe quel pays où je vais il faut que je me rachète un téléphone en revenant aux USA ! Je ferme les yeux m'installe également à même le sol Je tourne finalement mon visage vers la jeune femme à mes côtés, sa tête m'étant vaguement familière. « qu'est-ce qui s'est passé? » Je sais pas elle nageait normalement et d'un coup plus rien « t'es pas à la Quincy? » j'ai l'impression de l'avoir déjà vu, déjà croisé quelques part, et la Quincy House et le premier lieu qui me vient à l'esprit. .
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Boire la tasse, c'est une chose que je déteste et qui m'arrive bien trop souvent, sauf que cette fois-ci, j'ai réellement merdée toute seule. J'ai trop forcée, encore une fois, au point d'avoir une crampe et d'être incapable de réussir à garder la tête hors de l'eau en plein milieu de cette piscine emplie de touriste comme moi. Je me débats donc pour garder la tête hors de l'eau. On me vient d'ailleurs rapidement en aide. Je me cramponne à la personne, toussant une fois sur le bord pour recracher l'eau que j'ai déjà avalé et tenter de faire disparaître cette impression de noyage iminente. Il me faut un moment pour recouvrer mes esprits et réellement être sûre de ne plus risquer de couler à nouveau, la douleur à ma jambe se faisant toujours un peu sentir. J'ai réellement merdé sur le coup. Allongée sur le dos, au bord de cette piscine maintenant, je regarde la jeune femme à mes côtés, elle ne m'est malheureusement pas inconnue, elle vient d'Harvard aussi et pire encore… Quand elle me pose diverses questions d'affilées… Je reste silencieuse à son ça va et même encore à sa demande pour avoir des explications…Comment pourrais-je avouer à quelqu'un que je me défonce de la sorte pour ne pas ressombrer dans la drogue ? Que je cherche à me faire mal physiquement pour l'oublier ? Elle ne pourrait pas comprendre. Alors je reste silencieuse, continuant de faire mine de devoir reprendre de l'air pour retrouver un souffle plus ou moins normal et moins saccadé. Sauf que sa dernière question, et pas la moindre, me fait me figer. La Quincy… Je serre un peu les dents. J'aimerais réellement qu'on arrête de me rappeler cette période où j'étais encore la petite fille sage qui obéissait à son papa, qu'on arrête de me dire encore et encore que j'étais une Quincy ou même simplement que je n'ai pas ou plus ma place à la Mather… Je me redresse alors un peu pour m'asseoir et je la regarde. "Est-ce réellement de l'importance ?" La questionnais-je alors sur ça. Voulait-elle réellement savoir si j'étais une membre de la Quincy House comme il y a un an ou bien voulait-elle simplement savoir autre chose ? Parce que je n'avais pas envie de parler de ces deux années où j'avais simplement obéi aveuglement à mon père, allant dans la confrérie qu'il avait choisie pour moi et en faisant les cursus, qu'il m'avait imposé. Je soupire alors. "Oui. J'en étais." Finis-je quand même par lui avouer, lui faisant comprendre qu'on se connait au moins de vu par la faute de cette confrérie que j'ai fuis et que je fuis encore.

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L'adrénaline qui a pulsé dans mes veines, commence doucement à se disperser, me faisant me rendre compte du geste que je viens d'accomplir. Je n'ai pas réfléchi, pas une seule seconde. Ce qui m'apporte d'ailleurs le fait que je sois à présent trempé de la tête aux pieds ; alors qu'il y avait certainement d'autre solution que celle de me jeter tête la première dans la piscine . J'aurai sans doute pu trouver une perche, une connerie du genre à lui tendre, mais mon instinct, l'envie de la sauver de la noyade, m'ont coupé l'herbe sous le pied. Enfin à part quelques vêtements mouillés, rien de grave n'était arrivé. Elle semblait en bonne santé, à première vue, de même pour moi. Mais on ne peut pas en dire autant de mon téléphone portable, ayant rendu l'âme, bien trop tôt à mon goût. Je laisse mon regard se poser sur son écran noir, qui n'affichera plus mon fond d'écran à présent. Je ne vais pas dire que je suis sentimentale, triste de l'avoir perdue, mais j'ai perdu mon seul moyen de communication avec mon petit ami,dans ce pays. Et le fait de devoir dépenser une centaine d'euros pour en avoir un nouveau, m'emmerde tout de même. J'en oublie pendant quelques instants la jeune femme à côté de moi, qui répond à ma question avec, peut-être une pointe de colère dans la voix, j'osais pas trop. Je tourne mon regard vers en haussant les épaules. «  Non pas vraiment, c'était juste pour savoir où je t'avais déjà croisé. » dis-je en levant légèrement les yeux au ciel, avant de soupirer. Pas vraiment l'amabilité qui la caractérise le mieux à mon avis. Je finis par ranger mon téléphone dans la poche arrière de mon short détrempé, et de me redresser. Je pousse de nouveau un soupir, ayant repris ma respiration. «  a t'entendre on dirait que c'était l'enfer. » ne puis-je m'empêcher de dire en la regardant, tout en haussant un sourcil. Ce n'est peut-être qu'une idée, mais je n'en suis pas sûr, mais la Quincy reste tout de même ma confrérie, celle qui m'a accueilli à bras ouverts lorsque je suis arrivé à Harvard, que je ne connaissais personne, ses membres qui sont devenus mes premiers amis, qui sont généreux et ne laisse jamais personne de côté. Et je ne comprend pas vraiment pourquoi elle ne la porte pas dans son cœur, ce qui s'est passé pour qu'elle ne veuillent pas s'en souvenir.
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