PAMMER + Promenade à cheval et séisme = panique à bord !

Promenade à cheval et séisme = panique à bord !

Quelques jours avant la fin du voyage, une sortie à cheval était organisée par les organisateurs du Spring Break ou sans doute par l'hôtel je ne sais pas trop, enfin quoiqu'il en soit, j'avais proposé à Paris et Summer qu'on profite de ce moment pour se retrouver tous les trois. Après tout, je n'avais pas revu Summer depuis qu'elle était venue me voir à l'hôpital après mon accident et j'avais eu la chance de voir Paris quand ils étaient venus me chercher en Grèce avec Priape et Dean pour me convaincre de rentrer et grâce à leur force de persuasion impressionnante, j'étais revenue au pays, mon véritable pays car en y repensant, je suis née en Arizona et non en Grèce. Bref se promener à cheval avec mon meilleur ami et sa petite amie qui n'est autre qu'une amie pour moi aussi me ravissait de joie, d'autant plus que j'avais confié Millie à Lilia qui n'avait pas voulu bouger de la chambre, du moins c'est ce qu'elle m'avait dit. Nous nous étions donc rejoints au lieu du parc national à l'entrée plus exactement afin de commencer la promenade du point de départ. Nous sommes montés à cheval en faisant attention car Paris était encore plâtré d'un bras, cela me faisait mal de le voir encore blessé alors que mes hématomes se résorbaient peu à peu sur ma peau, même si dans ma tête, je continuais de penser à mon fils qui ne pourra jamais faire de cheval par exemple. Mais interdiction de faire ressentir un quelconque mal être à Paris ou Summer car c'était une journée qui se doit être souriante et géniale entre amis. J'avais décidé de mettre un pull chaud car dans cette région, il ne fait pas chaud et tout en me concentrant sur le cheval, je tentais par moment de prendre quelques photos et de féliciter mon meilleur ami pour réussir à guider son cheval avec un seul bras valide, de simples petites plaisanteries entre nous et je voulais savoir comment ils allaient.

Oh regardez des lamas, qui aurait cru qu'on en verrait dans un parc national hein ?, vins je leur dire en prenant en photo ces lamas et de reprendre. Mais tu sais que tu t'en sors bien avec ton cheval Parichou, même avec un bras. T'aurais pas été cavalier dans une autre vie toi ?, vins je plaisanter un peu tout en souriant et venant leur demander des nouvelles. Sinon comment vous allez vous deux ?, vins je leur demander toujours avec le sourire qui disparut très vite en venant sentir une secousse. Dites, vous avez pas senti une secousse ?

Je dois avouer que je n'étais pas très rassurée mais j'arrivais à rester sur mon cheval donc tout allait bien pour le moment mais pour combien de temps ? Et puis en Amérique latine, les séismes ne sont il pas si rares que ça non ? Je vins donc attendre leurs réponses, tout en leur souriant.

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Intrigue au Chili

Leanne & Pammer

La fin du voyage approchait et des grandes balades avaient été organisées dans le but d’offrir à ceux qui le souhaitaient des souvenirs impérissables. Après discussion, le couple Pammer avait opté pour la ballade en cheval et l’occasion de revoir Leanne s’était greffée dessus. Paris était vraiment content de la revoir car depuis Grèce, ils n’avaient pas eu une minute à eux pour se faire un petit moment entre meilleurs amis. Cela lui manquait, il n’allait pas s’en cacher mais une certaine culpabilité continuait de le ronger comme celle de Leanne. Il serait sûrement bon pour eux qu’ils crèvent l’abcès mais cette soirée n’en était pas la bonne occasion. Au contraire, ils étaient là pour s’amuser et non pour se lancer dans des souvenirs encore trop douloureux pour être concrètement exprimés.

Pour l’heure, Paris tentait tant bien que mal de se détendre mais il avait un foutu mal de cul à cause de la selle. « Je savais que l’idée du cheval était trop belle pour être honnête. Si ça continue, je propose à ma monture de la porter » râla-t-il comme à son habitude. Leanne en profita pour le féliciter de réussir à mener la bride malgré son bras cassé, chose à laquelle, il lui souriait en retour. « C’est à force de chevaucher Summer, j’ai pris l’habitude » lâcha-t-il avec un air innocent avant d’éclater de rire. Il sentait que sa petite-amie allait le tuer sur place mais tant pis, il avait envie de déconner. « Ben ça va… enfin demande plutôt ça à Summer, c’est elle qui me supporte au quotidien… je lui ai demandé d’emménager à la maison » avoua-t-il en lançant un regard amoureux à sa compagne avant de manquer de tomber de son cheval.

C’était quoi ce délire ? Depuis quand la terre tremblait sous leurs pieds ? Ou plutôt les sabots de leurs chevaux. D’ailleurs, ces derniers s’agitaient de plus en plus. « Les filles, descendez de cheval ! » leur ordonna-t-il avant de mettre pieds à terre et d’aider sa petite-amie à en faire de même. « Ouais je la sens aussi la secousse et vu l’agitation des chevaux… C’est pas bon signe »

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– Intrigue Chili – Ballade à Cheval

Leanne, Paris & Summer.

Histoire de profiter au mieux des vacances au Chili, il était évident que Paris et moi aurions dans l’idée de participer aux activités proposé par l’organisation du Spring Break. Parmi celles-ci : la ballade à cheval. Il était loin le temps où j’avais joué les cavalières équestre, mais je trouvais l’idée agréable, surtout que c’était un bon moyen pour Paris de se retrouver un peu avec sa meilleure amie, Leanne. Cette dernière faisant également partie de mes amis proches, il était évident que j’avais plus qu’envie de profiter de la journée en leur compagnie à tous les deux

Tout en se baladant dans le parc et le parcours équestre qui le contournait, je prenais des photos pour pouvoir augmenter ma collections de clichés que j’allais sans doute m’empresser de faire développer. J’avais emmené avec un modèle d’appareil non numérique assez simple mais au focus excellent, pour une bonne prise de vue et prenait quelques clichés d’une main parce que je n’osais pas lâche par la bride du cheval. Leanne complimentait Paris sur ses compétence de cavalier et le félicitait, et moi je souriais parce que je savais que le Dunster allait se plaindre. Il n’y avait qu’à voir sa tête crispée pour comprendre qu’il commençait à souffrir un peu. Il ne posait même plus les fesses sur la selle. Après son commentaire sur l’habitude qu’il avait pris à me chevaucher, j’ouvrais grand la bouche offusquée, prête à me défendre qu’il racontait n’importe quoi…mais comment dire, mes paroles dépassèrent ma pensée et les mots ne sortirent finalement pas comme je le voulais : « Tu souffres hein ? T’as mal aux fesses ? Eh bah comme ça tu comprendras ce que MOI je ressens quand je TE chevauche » …euh….mouais. Franchement, je faisais pas la fière là à grimacer comme une idiote : Je voulais me défendre à la base, pas m’enfoncer davantage en vendant ainsi nos ébats. ** Quelle blonde, ma parole…** Rho ça va, hein !

Heureusement pour moi, Paris & Leanne changèrent de sujet quelques minutes plus tard, et j’allais pouvoir m’enterrer dans ma honte toute seule dans mon coin. Leanne nous demandait comme se passait le quotidien entre le Dunster et moi, et c’est avec surprise que Paris annonçait de but en blanc qu’il m’avait demandé d’emménager. Je souriais amoureusement en le regardant, puis avouait à l’attention de Leanne, en plaisantant : « Oui en fait, il mangeait mieux depuis que je lui servais d’aide à domicile, alors tu comprends il a pas voulu me laisser partir » j’enchainais mes paroles d’un clin d’œil, quand tout d’un coup, une secousse se fit sentir. Les chevaux s’étaient d’abord arrêter puis, s’agitaient au point que mon cheval se levait sur ses deux pattes arrière ! Je tenais bon sur la selle, heureusement, mais à peine le cheval retombait à terre que Paris vint vers moi, forçait le cheval à rester tranquille puis m’aidait à descendre de selle. J’avais le cœur qui battait pas mal à cause de l’angoisse qui était monté en voyant le cheval s’agiter, mais une fois à terre, je me sentais bizarrement plus en sécurité. Je regardais autour de nous, pour voir si des gens avaient ressentis la même chose et au loin on pouvait voir d’autre personne s’agiter un peu « Qu’est-ce qu’on fait ? » demandais-je un peu stressée « On devrait peut-être essayer de regagner l’étable et le point de départ ? »

©Pando

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Promenade à cheval et séisme = panique à bord !

Le Spring Break allait toucher à sa fin et comme pour finir en beauté ou plutôt par manque de temps aussi avant ce jour, on avait décidés avec Paris et Summer de se faire une journée à cheval, ce qui allait être plutôt marrant avec un Paris encore plâtré d'un bras. Au moins ce sera l'occasion de passer un moment à rire tous les trois et il allait encore surement me surprendre car je ne doute pas qu'il sache gérer un cheval même avec un seul bras valide. Je sais qu'il s'en veut pour l'accident, de ma fuite en Grèce mais il n'a pas à s'en vouloir, si j'ai fui en Grèce pendant 4 jours c'était avant tout pour faire le point sur moi même et le fait qu'il soit venu me chercher avec Priape compte à mes yeux. Mais pour l'heure, je venais avant tout de le féliciter d'arriver à chevaucher un cheval même avec une seule main mais mauvaise idée de venir parler de ça car voilà que les deux commencent à me raconter un peu leur vie sexuelle. Autant dire le genre de sujet que j'aimerais éviter de savoir, il s'agit de mon meilleur ami mais tout de même, je ne lui parle pas de ma vie sexuelle alors qu'il en fasse de même. Malgré tout, leur petite dispute au sujet de celui qui chevauche le mieux l'autre me fit rire et oublier les quelques soucis que je peux avoir, bien que depuis le début de ce Spring Break, tout roulait à merveille pour moi. J'ai pu passer du temps avec mes cousines, ma demie soeur, ma meilleure amie, ma nièce. En fait le seul regret que je peux avoir est de ne pas avoir passer de temps avec Jarod mon jumeau, il me manque mais peut être qu'on allait passer un moment dans ces derniers jours qui sait, ne jamais perdre espoir Leanne, jamais, me mis je à penser. Paris vint aussi me faire savoir qu'il avait demandé à Summer d'emménager chez lui, je vins leur répondre en faisant une mini moue car je n'allais plus pouvoir venir à l'improviste quand il était désemparée avec les petits.

S'il vous plait, j'aimerais éviter de connaitre toute votre vie sexuelle hein. Tu sais que je t'adore mon Parichou mais garde donc tes ébats sexuels pour toi et Summer d'accord mais ravie de savoir que tout va bien entre vous, vins je adresser un clin d'oeil en direction de mon meilleur ami avant de répondre à Summer. Ouais je vois ça mais si vous avez un doute médical pour les petits, vous pouvez toujours m'appeler à la rescousse comme avant, pas vrai Paris ?

Puis je vins ressentir une secousse, tout comme Paris qui vint nous hurler et aider à descendre de notre cheval, ce qu'il a réussi à faire ainsi que Summer sauf que pour moi lorsque j'ai voulu descendre, une seconde secousse s'est faite ressentir et là, Leanne réussit tant bien que mal à descendre de son cheval sans trop de bobos avant de venir faire savoir et répondre à ses amis.

Leanne va elle arriver à ?:

Ouais on devrait tenter de retrouver la sortie car si y'a eu deux secousses, ça sent vraiment pas bon pour nos fesses. Mais on est venu par où ?

A ce moment là, j'espérais de tout coeur que tous mes proches ne se trouvaient pas au parc national ni ailleurs où le tremblement de terre a pu faire des ravages. Qu'allons nous trouver au bout ? Allons nous en sortir vivant ? Allais je revoir Millie et le reste de mes deux familles ? Pour l'heure, je tentais de rassurer au mieux mon meilleur ami et sa petite amie en venant prendre le cheval de ce dernier, il était déjà blessé après tout, autant l'aider.

Spoiler:

(Invité)

29/12/2011

Le membre 'Leanne Cohen' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Intrigue SB/Facile' :
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(La Doyenne)

Intrigue au Chili

Leanne & Pammer

Le cheval lui avait paru être le meilleur compromis pour profiter une dernière fois du Chili malgré son plâtre car qu’on le veuille ou non, Paris était encore limité dans ses mouvements. Aussi, se laisser porter par l’animal avait quelque chose de reposant mais après quelques heures de promenade, son fessier n’était pas du même avis si bien que comme à son habitude, il se mit à geindre et à râler. Chez Maconahey, c’était un signe de bonne santé après tout. « Ouais mais toi, tu en as l’habitude bébé… moi c’est nouveau, je manque d’entrainement » déclara-t-il fier de sa connerie avant que Leanne ne se mette à leur râler dessus comme quoi, leur vie sexuelle ne la regardait pas. « Désolé ma belle, c’est de la faute de la dame là ! Dès qu’elle est dans les parages, j’ai du mal à penser avec mon premier cerveau » continua-t-il dans ses conneries, un sourire amusé figé sur ses lèvres. Oui, Paris avait envie de déconner car il était heureux d’être en présence de Summer et Leanne. Cela faisait un moment qu’il n’avait pas passé un moment aussi détendu depuis l’accident et franchement, ça faisait un bien fou. « En même temps, pour me plaindre, depuis qu’elle joue les infirmières à domicile, j’ai pris cinq kilos au minimum » continua-t-il de taquiner sa petite-amie mais on pouvait sentir au travers de son regard combien il était fier et heureux de l’évolution de leur relation et surtout de l’emménagement de Summer à l’appartement. « Au fait, tu as repris du service à l’hôpital ? » demanda-t-il à Leanne suite à sa réflexion concernant le bien être des petits. N’était-il pas encore trop tôt pour elle songea-t-il avec inquiétude.

Son inquiétude changea rapidement de direction lorsque les premières secousses se firent ressentir. Paris descendit aussitôt de son cheval pour aider sa petite-amie à en faire autant. « De ce que je vois, la tendance serait de rejoindre le village oui » acquiesça-t-il avant de se tourner vers Leanne qui venait de s’écorcher la jambe en descendant de son cheval. « Cela va aller ? » demanda-t-il. Au même moment, une nouvelle secousse fit trembler la terre et des chutes de pierre dévalèrent pour bloquer la route principale, provoquant un nuage de poussière. Aussitôt, Paris avait attrapé Summer pour la coller contre son torse afin de la protéger. « Putain ! On peut plus avancer… il faut rebrousser chemin ! Laissons les chevaux ici, ils sauront se débrouiller bien mieux que nous…Il me semble avoir vu un chemin à quelques centaines de mètres… Avec un peu de chance, il sera toujours praticable »

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– Intrigue Chili – Ballade à Cheval

Leanne, Paris & Summer.

Je savais bien que cette conversation somme toute innocente déborderait sur quelques chose de plus connotés, et Leanne fit très vite savoir qu’elle ne voulait pas en savoir plus sur nos ébats personnels à Paris et moi. Je rougissais comme une pivoine, si ce n’est pire lorsque Paris insistait sur le fait que c’était de ma faute s’il pensait avec autre chose que son cerveau en ce moment. Je le fustigeais du regard mais en même je ne devais pas être très crédible, tellement j’avais aussi envie de rire parce que je savais qu’il faisait exprès de me taquiner, et son sourire amusé en disait long sur sa connerie du moment ! Heureusement pour moi, il évoquait très vite mon emménagement et mon envie de fusiller avait disparu…pour mieux revenir à l’instant même où il parlait de sa prise de poids « Oh j’t’en prie….Vu ta masse, t’es plus à 5 kilos près de tout manière ! Et c’est du BON 5 kilos ! » Répondais-je pour défense avant de m’adresser à Leanne « Non mais t’es au courant de ce qu’il peut ingurgiter lors d’un repas en plus ?! Il se plaint mais, faut voir les portions qu’il prend ! ». Sous-entendu, les 5 kilos de Paris, il se les est pris tout seul !! Et alors que Leanne répondais à Paris sur sa reprise ou non de service à l’hôpital, des secousses se fit ressentir

Je descendais du cheval, aidée par Paris mais ne semblait pas vraiment rassurée. Mon premier instinct était de tout de suite pensé à rejoindre le village par la route viable, mais…quand on se retournait pour vérifier si Leanne allait bien, une nouvelle secousse bien plus forte se faisait sentir, faisant paniquer les chevaux. Je n’avais pas encore lâché la bride du mien et quand le cheval se cambra sur ses deux pattes arrière, je laissais échapper un hoquet de surprise, sentant mon bras partir avec le cheval. Paris m’attrapait le bras pour me forcer à lâcher et heureusement pour moi d’ailleurs sinon j’allais sans doute stresser encore plus le cheval et risquer de me blesser. Le truc c’est que j’ai à peine eu le temps de réagir à ce qu’il se passait, qu’un bruit sourd se faisait entendre : la deuxième secousse avait provoqué un éboulement ! Alors que j’avais collé mes mains sur les oreilles, sans trop savoir pourquoi – la panique sans doute – Je sentais deux bras puissant m’attraper et me coller vivement contre le torse de Paris. Il avait toujours cet instinct de me protéger de tout et de rien, et bien que je passais bien souvent mon temps à lui dire qu’il s’en faisait parfois pour pas grand-chose, là je voulais bien admettre que j’étais reconnaissante de son geste. L’éboulement empêchait toute possibilité d’avancer, et Paris nous proposait de laisser les chevaux pour trouver un autre chemin. J’hésitais un instant : on peut les laisser ? Vraiment ? Je suis du genre à ne pas vouloir laisser traîner un chat dehors alors…laisser des chevaux pendant un tremblement de terre ?! « Noooonn, on peut pas les laisser…. » avais-je rétorquer, mais finalement, les canassons décidèrent pour nous : après quelques hennissements de leur part, ils partirent au galop vers une route poussiéreuse et un nuage de poussière les fit disparaître de notre champs de vision. Prise d’une légère angoisse (grosse avouons-le) , je m’accrochais alors au t-shirt de Paris, et ne le quittais pas d’une semelle, me disant qu’il était préférable que je fasse ce qu’il dit, quoiqu’il arrive ! « Non mais sérieusement, c’est quoi ces vacances ?! » osais-je enfin gueuler, parce que je ne trouvais pas de mots pour extérioriser ma peur en cet instant. je regardais Leanne avec un air apeurée, et je décidais de lui tendre la main pour qu'elle reste proche de nous. Il fallait qu'on reste grouper et qu'on ne se lâche pas.

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Promenade à cheval et séisme = panique à bord !

Cette promenade avec mon meilleur ami et sa petite amie -qui est également une amie- se passait à merveille à un détail près. Ils parlent trop de leur vie sexuelle et parfois je me demande ce que je fais dans les parages. Enfin quoiqu'il en soit, c'est assez marrant de voir Paris râler que pour lui cette nouvelle vie sexuelle -aussi épanouissant soit elle- est nouveau pour lui, j'ai un peu de mal à le croire quand on connait son tableau de chasse. Mais je décide de ne pas relever à ce sujet de peur de mettre mal à l'aise la pauvre Summer qui manque parfois de confiance en elle. Elle pourrait penser que je pense que mon meilleur ami est un bourreau des coeurs pas fidèle pour un sou alors que la vérité est tout autre, monsieur a été un bourreau des coeurs ne voulant pas se caser mais depuis qu'il la connait, c'est comme s'il était devenu un autre homme. D'ailleurs, il vint m'avouer que lorsque Summer est dans les parages, il a du mal à réfléchir avec son premier cerveau. Sous entendu : Paris réfléchit mieux avec ce qu'il a entre les jambes en la présence de Summer. Note à moi même que, pour la prochaine fois que je le verrais, ne pas inviter Summer si je veux parler de confidences ou si je veux des conseils au risque de les entendre se chamailler à celui qui fait le mieux l'amour. Paris vint entre deux chamailleries avec sa chérie me demander si j'avais repris du service à l'hôpital avant que Summer ne vienne me faire savoir que Paris prenait toujours des portions énormes et qu'il avait le culot de se plaindre. C'était donc bien mon meilleur ami que j'avais face à moi, il semblait totalement remis de l'accident hormis ce plâtre au bras mais qui ne l'empêche pas de jouer les cavaliers héroïques. Alors je vins répondre.

Ouais je vois ça Parichou, va falloir te mettre au régime en rentrant et on ira courir ensemble si tu veux, vins je lui faire savoir en plaisantant avant de reprendre. Ouais j'ai repris peu de temps après mon retour de Grèce et je compte revenir en force après le Chili pour rattraper mon retard accumulé à cause de la grossesse et tout, vins je lui répondre, tout en reprenant et en riant suite aux remarques de mon amie. Ah ça c'est certain, fais lui des légumes verts comme pour les enfants et cache les gâteau aussi, là t'es sure qu'il mangera moins.

Puis une secousse vint arriver, Paris vint nous faire savoir de descendre de notre cheval tout en quittant le sien et aidant sa chère et tendre à descendre du sien. Quant à moi, je mis un peu de temps à descendre du mien car au moment où je m'apprêtais à y descendre, une seconde secousse vint faire son apparition mais j'y arrive au final. Puis je propose qu'on tente de rejoindre la sortie et Paris de laisser les chevaux. Summer vint répliquer qu'on ne pouvait laisser les chevaux ici en bonne mère nature, sauf qu'ils avaient décidés de se faire la malle sans nous et tout seuls de toute manière. Je venais de m'écorcher la jambe après être descendue de mon cheval et Paris me demande si ça va aller pour marcher. Evidemment que ça irait, ce n'est qu'une écorchure de rien du tout, une petite blessure de guerre. On commence à faire quelques pas mais des pierres vinrent sur nous et là on dut rebrousser chemin, Paris semblait avoir repérer un chemin. Je vins donc leur faire savoir.

Ouais t'en fais pas, je peux marcher, c'est qu'un bobo. Vous allez bien vous ?, vins je lui faire savoir en venant lui demander où était son chemin et de reprendre. Ouais bonne idée Paris, tu sais il était par où ton chemin ?

Je vins donc leur sourire, attendant une réponse et tentant de repérer ledit chemin afin qu'on parte vers ce dernier au plus vite. Je ne voulais pas mourir sous un amas de pierre non plus ni que mes amis y restent aussi.

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Intrigue au Chili

Leanne & Pammer

« Quoi ?! Mon corps est en pleine croissance ! Faut bien que je mange et puis, je suis pas une crevette… » protesta-t-il pour justifier de ses portions mais en réalité, son ange était la seule fautive. Si elle ne cuisinait pas aussi bien, il ne se jetterait pas sur ses plats comme la pauvreté sur le monde. Il aimait son nouveau petit confort mais surtout de vivre en compagnie de Summer. Oh oui, il adorait se réveiller auprès d’elle et se coucher toujours auprès d’elle. « De tout de manière, une fois qu’on m’aura débarrassé de mon plâtre, je compte bien me remettre sérieusement au sport avec Zoïa. On a pris du retard sur nos entrainements et notre saison de danse » râla-t-il car il avait vraiment l’impression d’être à côté de la plaque ces derniers temps. Il voulait retrouver un certain contrôle sur sa vie et surtout une liberté de mouvement. « Mais ouais, je veux qu’on reprenne nos footings Leannette… bébé, tu pourrais nous accompagner, comme ça, vous iriez à l’hôpital ensemble non ? » proposa-t-il toujours partant à passer du temps à la fois avec ses amis mais également avec sa petite-amie -alors si en prime, il pouvait faire les deux en même temps, c’était juste le pied. « Et Leanne, au passage, je suis pas un gosse ! Je mange sûrement bien plus de légume que toi » râla-t-il en mode légèrement vexé mais ça lui passerait. Tsss l’orgueil masculin, il n’y avait rien de plus facile à froisser.

Enfin, il en oublia très vite cette taquinerie lorsque la terre se mit à trembler. Il avait bien mieux à faire comme plaquer sa petite-amie contre lui pour lui offrir le refuge de ses bras. C’était avant tout pour la rassurer mais qui trompait-il ? Il n’en menait pas large malgré les apparences et avoir Summer dans ses bras l’apaisait. « Si on peut les laisser » décréta-t-il et les chevaux lui donnèrent raison quelques secondes plus tard. Ces derniers allaient trouver un abri plus vite qu’eux surtout que la route fut rapidement bloquée par un éboulement de rochers. « Plus de peur que de mal » répondit-il à sa meilleure amie avant d’embrasser sa petite-amie sur son front. « Calme toi, t’énerver ne changera rien… J’ai vu un chemin un peu plus haut mais j’espère que vous n’avez pas le vertige, il faut traverser un pont de singe » leur apprit-il avant de les forcer à se mettre en marche. Il ne valait mieux pas rester à flanc de falaise sous peine de se faire aplatir par un rocher au prochain éboulement.

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– Intrigue Chili – Ballade à Cheval

Leanne, Paris & Summer.

Ces vacances au Chili qui devait normalement être des vacances paradisiaques se transformaient finalement en véritable enfer sur terre. Et rien de tout cela ne me donnait vraiment envie d’être calme…ou plutôt si : la présence de Paris pouvait me rassurer un peu plus que prévu, mais au-delà ça, j’avais limite envie de crier, de courir, d’appeler à l’aide je ne sais qui, je ne sais quoi ! Bref, la dernière fois que ce sentiment de peur et d’impuissance m’avait pris au corps, c’était lors de la l’attentat à la bombe dans le campus…

Les chevaux se faisaient la malle et ce simple fait me rassurait et en même temps m’effrayait : au moins les chevaux n’allaient pas crever ici…mais ça voulait aussi dire qu’on terminait à pied, et donc moins rapides que lorsqu’on était à monture. Voilà pourquoi je commençais à laisser poindre ma nervosité oralement, en haussant le ton par angoisse. Je sentais les lèvres de Paris sur mon front, et ce simple contact me donnait envie de crier 'Je veux renntreeerrr à la mmaaaiiisssonnnn' , comme une gamine en pleurs. Mais pas le temps de geindre, ni de pleurer, ni de se laisser aller comme une enfant. Le mieux étant de rester concentrer sur les points important de la situation : Paris avait repéré un chemin un peu plus haut ?! Bon point ! Il faut traverser un pont ? Suspendu dans le vide ?! Mauvais point ! Non pas que j’ai le vertige hein….enfin je crois. Je n’en sais rien à vrai dire, je n’ai jamais cherché à me tester sur le sujet ! C’est dans ces moments-là d’ailleurs que je regrette de n’avoir jamais essayé les attractions de fêtes foraines ou tu te jettes dans le vide, ou te retrouve à 30 mètres du sol en chute libre sur une nacelle ! Ça aurait pu m’aider en fait !! « Y’a pas un chemin moins risqué » osais-je demander, bien que dans le fond, je savais pertinemment qu’étant donné les circonstances, il ne fallait pas faire la fine bouche.

Finalement, il fallait se mettre en route pour éviter de se prendre d'autre éboulement, alors advienne que pourra pour le fameux pont...

©Pando

(Invité)

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