Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBAMBI&LEWIS - parfois il y a des amitiés qui naissent comme des chocapics, ET PAF!
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BAMBI&LEWIS - parfois il y a des amitiés qui naissent comme des chocapics, ET PAF!

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Cela faisait quelques jours que vous étiez arrivés au Chili, tu profitais bien de ton Spring Break. En fait, tu t'éclatais. Tu ne pensais pas aux cours, tu rencontrais de jolies nanas, tu couchais avec quelques unes d'entre elles. Tu buvais, tu fumais, tu profitais de la plage. Tu soufflais, un bon coup, loin de tout et libre. T'étais libre. Seulement, toute cette vie te coûtait cher, alors tu te devais de vendre quelques produits durant le Spring Break pour te payer tes consommations et également faire des cadeaux à tes amis. Tu te baladais dans la rue, il commençait à faire nuit. Tu croissais des groupes de jeunes, t'allais les accoster, sans gêne. Tu discutais un peu, tu demandais s'ils étaient intéressés par un peu de coke. Vous voyez, vous allez vous amuser, rien de mal, faut juste pas en abuser. Vous tiendrez toute la soirée, c'est génial, vous inquiétez. Écoutez, vous êtes cool, allez... J'vous fais un prix d'ami. Et le schéma c'était répété trois fois en deux heures trente. T'avais la notion du commerce, la gueule d'ange et sympathique. On te faisait confiance, on voulait te croire. T'avais une gueule d'espoir alors que dans le fond, toi-même t'en avais aucun. Puis là, tu venais de quitter un groupe d'étudiants avec de nouveaux numéros dans ton téléphone et un mec venait t'arrêter. "Salut mon gars, j'ai vu c'que tu faisais aux petits là-bas, dis, t'en as pas encore un peu à me vendre ?" Merde, tu regardais autour de toi. Putain, t'avais pas été assez discret. T'étais un peu énervé, bon c'était pas grave, tout se passerait bien. Oui. Tout allait bien. Tu hochais la tête pour dire au mec que t'en avais encore, mais tu ne pouvais pas faire ça en plein milieu de la rue. "Viens on va sur la plage là-bas" vous marchiez cinq minutes, vous parliez business. Finalement, tu posais ton cul sur la sable, comme si vous étiez deux vieux amis. "Deux meuj ? Okay, ouais j'vais te faire un petit prix. 60 le gramme, ça fait 120 du coup. J'peux pas descendre encore plus, désolé mec" Il te prenait le tout. Cool. Tu donnais sa came dans un petit ballotin, il te donnait l'argent. Dans le fond, t'espérais que personne ne vous avez vu. Tu te levais, t'observais autour de toi. Personne, enfin ça, c'était ce que tu croyais. Tu tapais sur l'épaule du mec "A la prochaine mec, passe une bonne soirée" et tu lui faisais un clin d'oeil en partant dans la direction opposée de la sienne.
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Manger, manger, encore manger. Toujours manger. Voilà à quoi se résumait le début de ton spring break, entre quelques excursions idylliques avec tes amis. Ce soir-là, c’est le ventre vide que tu te rends sur la plage, seule. Pas question d’avaler quoi que ce soit ce soir, sans dec’, t’as déjà l’impression d’avoir pris une tonne. Oui, une tonne ! Fini le corps de rêve, bonjour les bourrelets, les p’tits poignées d’amours comme tout le monde aime les appeler. Alors ce soir, c’est diet’ et balade au vent chilien. Sandales à la main, tes pieds glissent dans le sable et tes yeux s’habituent doucement à la pénombre de la nuit. Devant toi, deux silhouettes. Un échange. Des morceaux de papier contre un petit ballottin de quelque chose. Des billets, de la drogue ? Fort probable. Les deux silhouettes se séparent et le gars fournisseur de petits ballottins douteux se dirige vers toi. Tu regardes un peu partout, comme si tu n’avais rien vu de la scène à laquelle tu venais d’assister. Tu sens son regard sur toi lorsque vous vous croisez, mais tu n’dis rien, tu continues ton chemin. Finalement, tu te retournes et le rattrape en petite foulée, posant ta main sur son épaule priant de tout cœur qu’il ait pas un genre de réflexe d’auto défense à la noix. Eh ! C’est nul c’que tu fais. Ok, le gars à tout c’qu’il lui fait pour t’en décoller une. Tu le prends pas surprise et tu lui dis un truc nul. Rattrape toi Bambi, histoire de sauver un peu ta peau. J’veux dire.. c’est nul c’que tu fais, d’vendre des trucs comme ça. Ouais, bon, pas vraiment mieux. Hm, tu plisses le nez te demandant pourquoi, diable, lui avais-tu adressé la parole.
(Invité)