Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLIZIE&LEWIS - j'aime bien ta crinière de feu, tu peux me brûler autant que tu veux
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


LIZIE&LEWIS - j'aime bien ta crinière de feu, tu peux me brûler autant que tu veux

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu venais d'arriver, enfin, la veille. T'avais passé ta journée à te balader avec ta jumelle au bord de la plage, vous soufflez un peu, vous visitiez. A vrai dire, tu n'avais jamais vu autre chose que Toronto avant d'arriver à Harvard... Alors le Chili, c'était un rêve pour toi, t'étais comme un enfant. Tu pouvais voyager grâce à tes études, et rien ne te faisait le plus plaisir à cet instant. Et là tout de suite, t'étais bourré, tu rentrais de la soirée de bienvenue. Tu vagabondais seul dans l'hôtel, tu voyais tout ce luxe, toutes ces parades. C'était clair que c'était un milieu différent du tien, c'était à l'opposé de tes origines. Et là, devant toi, une piscine d'un bleu d'espoir. Tu avais tes yeux émerveillés, on dirait un enfant. Dans la vie, tu ne t'extasiais que de très peu de chose, mais là, t'étais soûl, t'avais fumé.. Alors ouais, tu trouvais ça cool. Tu t'asseyais sur un siège, tu venais t'allumer une clope. T'étais à peu près sûr que c'était interdit, mais toi et les règles, ça faisait longtemps que vous ne vous côtoyez plus. Puis non loin, tu voyais une rousse. Une jolie et féline rousse. Une peau laiteuse, une bouche aguicheuse. De loin, elle était belle, désirable. Tu souriais en expulsant la fumée de tes poumons. C'était un autre plaisir du Spring Break, les jolies filles, à perte de vue. "Salut" que tu disais un peu fort pour qu'elle puisse t'entendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'aime bien ta crinière de feu, tu peux me brûler autant que tu veux
— Lewis

Lizie est toute étourdie. L’alcool qui coule dans ses veines lui fait perdre toutes raisons. Et lui fait perdre surtout son sens de l’orientation. Elle arrive encore à marcher rassurez-vous. Elle est juste pompette, plus joyeuse que la normale. Ces derniers temps c’était rare de la voir sourire, de la voir rire, de la voir heureuse, tout simplement. Le Spring Break semblait avoir un effet positif sur la jolie rousse. Cela va un peu mieux dans son couple. Un peu. Elle était capable de pardonner avec le temps, mais pas d’oublier. Alors elle s’était dit qu’elle profiterait de ce break au lieu de se morfondre. Elle voulait sentir le soleil caresser sa peau et non la pénombre de sa chambre où elle avait passé beaucoup trop de temps à pleurer. Pleurer pour un homme qui était visiblement néfaste pour elle. Mais l’idiote est trop amoureuse de ce parfait égoïste pour voir la réalité en face. La rouquine avait décidé de prendre l’air après cette soirée de bienvenue. Elle se balade dans les jardins de l’hôtel où une agréable odeur fleurie vient enivrer ses narines. Elle finit par s’approcher d’une piscine qu’elle n’avait pas encore vue. Lizie s’approche de cette dernière, comme envoûter par le mouvement régulier de l’eau bercé par la légère brise. Elle admire ce reflet dans ce miroir transparent quand soudainement une voix masculine arrive à ses oreilles. Les pupilles bleutées se relèvent vers cette voix inconnue. Elle sourit en découvrant un jeune homme de l’autre côté de l’eau. Hey. Répond-elle avant de s’approcher de lui et s’asseoir. Tu m’en passes une ? Demande-t-elle un sourire aux lèvres, prise par une envie soudaine de fumer.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle était belle, elle avait cette démarche vagabonde et le regard aventureux. Ses cheveux étaient d'une couleur qui te faisait perdre la tête, d'une fureur sans limite et toi, toi ça te plaisait. Tu l'avais appelé, elle t'avait répondu. Tu souriais en coin, elle venait à tes côtés. Elle avait cet air si innocent, et pourtant, assise à ta droite, elle te demandait une cigarette. "Je pensais pas que t'étais ce genre de fille, tu sais, celles qui entretiennent leur cancer". Tu rigolais un peu, c'était des aprioris, des clichés, mais ça te faisait marrer, là, tout de suite. Tu prenais ton paquet de Camel, tu lui en tendais une. Tu sortais ton briquet, tu venais lui allumer sa cigarette, ce bâton que tu aimais tant. Tu tirais sur ta cigarette. "Lewis, moi c'est Lewis. Et toi ?" Tu soufflais la fumée, tu souriais, de coin. Tu tirais à nouveau, tu la regardais, de coin. "Et qu'est-ce que tu fais ici toute seule ? Tu t'es perdue ?" cette inconnue, qui ne l'était plus totalement, venait t'apporter un peu de joie. Tu savais pas trop pourquoi, mais elle était là, élancée, souriante et belle sous les étoiles. Et ça, rien que ce moment à cet instant, ça te donnait envie d'être heureux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'aime bien ta crinière de feu, tu peux me brûler autant que tu veux
— Lewis

Les paroles masculines font rire la rouquine. C’est vrai qu’aux premiers regards, Elizabeth a le profil de la parfaite femme. Élégante, teint de porcelaine immaculé, crinière de feu qu’on n’ose toucher de peur de s’y bruler. Et ce regard d’un bleu azur qu’on pourrait s’y noyer. Je peux paraitre surprenante parfois. Dit-elle avec un petit sourire innocent. Jamais on ne pourrait croire, en regardant la Leroy pour la première fois, que fut un temps, elle n’était pas si sage que cela. Lorsque la jeune femme est célibataire, c’est une vraie séductrice. Attention messieurs. Elizabeth peut être un dangereux poison. Le jeune homme lui tend une cigarette et lui allume Merci. Dit-elle avant d’approcher la cigarette de ses lèvres. Son regard se tourne lorsque le blond se présente, son sourire s’agrandit et elle répond tout naturellement Enchantée Lewis. Moi c’est Elizabeth. Et bim, tes origines sont tout de suite cramées. Il n’y a pas plus française que ce prénom. Mais je préfère Lizie. Finit-elle par dire. Lewis lui demande alors pour elle est toute seule à cette heure-ci J’avais besoin de prendre l’air. De me changer les idées. Mais en réalité, j’suis incapable de retrouver où est ma chambre. Ajoute-t-elle en pouffant de rire. Non, non, Lizie n’avait pas trop bu. Juste un peu. Un tout petit peu. C’était la première soirée au Chili, la rouquine avait encore du mal à trouver ses repères et à accessoirement se souvenir d’où se trouver le bungalow qu’elle partageait avec Antwan.



(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)