Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[HOT] “I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” pv SLOAN (a)
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


[HOT] “I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” pv SLOAN (a)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

“I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” ★★★
Les choses s’enchaînaient très vite ce soir. J'avais décidé de laisser de côté tout mon bordel et quoi de mieux que de participer à une soirée en plein milieu de la forêt chilienne. Il n'y avait pas à dire, tout était parfait ici. J'étais assise sur un tronc qui faisait office de banc. Accompagnée de plusieurs de mes amis, j’enchaînais les boissons alcoolisées. Une, puis deux, puis trois, puis quatre. J'avais perdu le file. Impossible pour moi de savoir exactement le nombre de verre que j'avais pris. Beaucoup trop. La musique enivrait les lieux, des sourires se lissaient sur la plupart des étudiants. Nous étions là pour nous amuser. Mon regard scruta les alentours, des visages familiers me vinrent en tête pour m'arrêter sur le même visage. Sloan. Toujours Sloan. Nous ne nous étions pas reparlé depuis l'autre jours. Tapis dans un silence parfois déstabilisant. Notre relation m'héritait quelque éclaircissement mais ce soir mon regard dévia rapidement. Je ne voulais pas y penser. Je ne voulais pas imaginer. Je voulais juste m'amuser et m'évader le temps d'une soirée. Je décidais de me lever de mon banc. Trop rapide Granger, déstabiliser par l'alcool qui sommeillait en moi. Je pris appuyé sur les épaules d'un étudiant. Un inconnu. J'affichais un fin sourire de remerciement avant de m'avancer vers les étudiants qui dansaient. Je titubais presque mais les notes de musique arrivèrent jusqu'à mes oreilles et c'est à cet instant que je me mis à danser. J'avançais tout en dansant vers des lieux plus tranquilles. Une fois, la foule passé, je déposais ma bouteille d'alcool par terre et j'avançais vers ce qui semblait être un ponton. Le chili offrait de magnifiques lacs dont l'hôtel était entouré. Je me stoppais quelques instants. Tout était sublime même la nuit. Une fois sur le ponton, j'enlevais mon haut, mon short et mon soutien-gorge tel un défilé de mode. Quel calvaire, j'étais. Je me mis à rire avant de finalement m'arrêter au bout du ponton. Tous mes sens s'éveillèrent et m'indiquèrent, qu'il ne fallait pas que je saute seulement aujourd'hui j'avais décidé de ne pas réfléchir. Je fermais les yeux doucement avant de sauter. L'eau était tiède presque froide pour un esprit aussi embrumé que le mien. J'étais sous l'eau et mon esprit semblait toujours aussi endormi. Il était d'ailleurs grand temps pour moi de regagner la surface.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Look at me , thinking of nothing else, I 'm here for you
Sloan commençait à regretter d'être venu au Chili, d'avoir voulu participer à se Spring Break. Autant les années précédentes, il avait prit son pied mais là, c'était plutôt mal parti. Nous étions au douzième jours et Sloan n'avait toujours pas le moral. Il s'était fait remballé par Charline et par Sage, le pauvre. Lui qui aurait bien profité d'être dans un autre pays pour faire des folies de son corps. Eh bah non, remballe tes capotes Sloan. Vexé, blasé, il était présent physiquement à cette soirée mais pas mentalement. Il s'était assis sur un bac et regardait les gens profiter autour de lui. Un verre à la main, il buvait sans vraiment avoir soif, il fumait sans vraiment en ressentir le besoin. Une épave voilà toute l'allure qu'il pouvait rendre. Le jeune homme semblait avoir quitté le Chili pour rentrer mentalement à Cambridge. Il en avait marre et avait hâte de reprendre sa petite vie, finalement son quotidien lui manquait, qui l'aurait cru ? Certainement pas lui. Il était là depuis environ une heure, il avait parfaitement remarqué Charline qui semblait passer une excellente soirée. Sloan soupira bruyamment avant de finir le contenu de son gobelet. En voyant qu'il était vide, le beau brun le jeta dans le feu situé juste devant lui. Ca fond du plastique ? Peu importe, il se foutait bien de la chimie, il se foutait de tout. Il avait perdu beaucoup pendant ce Spring Break. Il ne pouvait pas s'empêcher de regarder dans sa direction, c'était plus fort que lui. D'autant plus que Charline ne semblait pas l'avoir vue, ou alors elle était maligne et profitait de la situation. Un mec juste à côté de l'Eliot lui parla, Sloan ne répondit pas. Qu'on le laisse tranquille, il n'était pas d'humeur à parler ou à s'amuser. Depuis quelques jours, il s'était refermé sur lui même, perdant jusqu'à son beau sourire. Il redoutait une seconde confrontation avec Charline, il n'en revenait toujours pas de la tournure des événements. Des années à la draguer pour finir ainsi. Ce n'était pas juste. Il s'était attaché à une autre Charline, une fille plus libérée et plus saine. Pas une espèce de dingue torturée par les hommes. Ca vraiment le jeune homme ne l'avait pas vu venir. Il s'attendait à tout sauf à ça. Pauvre fou. Il s'était jeté dans la gueule du loup à corps perdu. Charline se leva de son banc et avança dans la foule pour danser. Sloan se passa la mains dans les cheveux. C'est bon, il en avait vu assez, elle semblait plus épanouie ainsi. Elle était loin de la Charline agressive de l'ascenseur. Basta. Le beau brun se leva à son tour et avança de quelques pas, il baissait les bras, il abandonnait. Et alors qu'il passa non loin de Charline, il la vit partir en direction de la forêt, seule. Sloan fut d'abord intrigué, qu'est ce qu'elle allait faire ? Allait-elle rejoindre un mec ? Il n'allait certainement pas la laisser s'engouffrer dans la forêt toute seule. Sloan commença à la suivre, doucement, sans faire de bruit. Le jeune homme mit ses mains dans ses poches de jean. Il ne la lâchait pas du regard mais restait à distance raisonnable pour pas se faire repérer. En temps, vu l'état de la brunette, il aurait pu hurler dessus, elle n'aurait peut-être pas capté. Un petit sourire s'afficha sur le visage de Sloan. Il trouvait cette nana impressionnante, elle était toujours pleine de surprise. Il ne faisait pas froid, il faisait même plutôt bon. La pleine lune était présente et cela donnait un petit côté apaisant à la forêt. Après quelques minutes de marche dans la forêt, les arbres commençaient à s'estomper. Et ce qu'il découvrit le laissa sans voix. C'était magnifique. Un lac en plein milieu d'une forêt. La lune se reflétait sur le lac, donnant un aspect romantique insoupçonné à cet endroit. Charline avançait d'une démarche féline, se plaçant dans la lumière. Elle marcha sur le ponton avant de s'arrêter. Sloan n'en ratait pas une miette, il s'était adossé contre un arbre pour savourer le moment. Il n'y avait pas un bruit, seule la fille de ses rêves se trouvait là. On irait dit une déesse venue sur terre pour le charmer et lui faire tourner la tête. Ce climat apaisait Sloan qui en oubliait presque leur petite querelle de l'ascenseur. Elle était debout, elle lui tournait le dos. Il la regardait de loin, un petit pincement au coeur. Elle était si belle. La brunette enleva son t-shirt et le laissa tomber juste à côté d'elle. Charline n'allait quand même pas se baigner là seule ? Intrigué, intéressé, le jeune homme quitta son arbre pour avancer dans sa direction. Il marchait tout doucement pour ne pas lui faire peur. Charline enleva ensuite son short. Sloan déglutit en la voyant faire. Même bourrée elle était sensuelle et lui faisait de l'effet. Il afficha un petit sourire pervers, elle le rendait dingue clairement. Un pas après l'autre il se rapprocha. L'Eliot aurait voulu arriver derrière elle, passer ses mains sur son corps, l'aider à enlever ses derniers habits. Mais la situation était beaucoup trop tendue entre eux. Il continua d'avancer, c'était plus fort que lui. Délicatement, Charline passa ses mains dans son dos et enleva son soutien-gorge. Le beau brun haussa un sourcil. Avait-elle devinée qu'il était là. Aucune idée. Sloan posa son pied sur le ponton pour la rejoindre. Tel un prédateur, il ne faisait aucun bruit, il ne voulait pas qu'elle prenne peur ou qu'elle le voit. La silhouette de Charline se reflétait dans l'eau. Le temps s'était arrêté, il était comme dans un rêve. Il allait pouvoir la toucher et profiter d'un moment de douceur. Sloan se croyait vraiment dans un rêve, il ne semblait plus conscient de la réalité. Le beau brun se plaça à quelques mètres d'elle. Il ne voulait surtout pas perturber ce moment de solitude. Il resta là, sans bouger. Après quelques secondes, Charline avança d'un pas et plongea dans l'eau. Le jeune homme afficha un sourire plus large et avança également d'un pas pour se mettre au bord. Il baissa la tête pour attendre la remontée de sa sirène. Le sourire qu'il avait sur son visage se dissipa assez vite. Charline ne remontait pas. C'était bizarre, il se passait quelque chose d'anormal sous l'eau. Sans trop réfléchir, le beau brun se mit à genou, se pencha vers l'avant pour essayer d'attraper Charline d'une main. Il chercha quelques secondes, il ne réussit pas à la trouver. Tant pis, il prit une grande inspiration et se jeta tout habillé à l'eau. Il trouva rapidement Charline qui n'essayait pas de se débattre. Il lui attrapa de le bras et la remonta à la surface. Moment de pur adrénaline. Sloan revint à la surface et respira comme il le pouvait. Charline manqua se s’étouffer en reprenant ses esprits. « Putain mais t'es complément folle ! » grogna-t-il. Sloan n'était pas content du temps, il venait d'avoir tellement peur. Il tenait Charline par le bras, il n'allait pas la lâcher. Sloan avait trop peur qu'elle fasse un malaise et qu'elle ne veuille mettre fin à ses jours une deuxième fois. Hors de question qu'il ne la perde de cette façon, il préférait encore s'éloigner d'elle à jamais plutôt que de la voir mourir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

“I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” ★★★
Tout était très flou, un noir brumeux envahissait mon esprit et tout se bousculait. Le manque d'oxygène m'amena à penser. Ma vie était un bordel sans nom. Je le savais, je l'avais toujours su et pourtant à cet instant précis j'avais l'impression d'échapper à ma sentence. Ma gorge se noua et mes yeux se fermèrent. L'eau commençait à encombrer mes poumons. Remonter à la surface me semblait insurmontable. Plus aucun de mes muscles ne répondaient, tout était en éveil à part bien sûr mon cerveau. Des erreurs me revenaient en tête et mes rares moments de bonheur venaient les contrer. J'avais besoin d'air... une sensation d'étouffement se fit sentir. Les battements de mon coeur s'accéléraient, conscient du danger dont j'étais victime. À la limite de la convulsion. J'entendis par la suite, un lourd bourdonnement dans mes oreilles. Quelqu'un ou quelque chose venait de plonger non loin de moi. Une main saisie mon bras. Ma main presque inerte attrapa le bras de l'inconnu. S'était ma porte de sortie et je ne devais pas la laisser tomber. L'inconnu me remonta à la surface. J'ouvris la bouche presser de recevoir l'oxygène dont j'avais manqué. Il m'en fallait maintenant, tout de suite. Je me mis à tousser bruyamment recrachant l'eau qui s'était engouffrée dans mes poumon. « Putain mais t'es complètement folle ! » ma respiration était courte et saccadée tandis que mon regard se releva vers celui qui venait de me sauver la vie. Sloan, bien sûr. Pour tout vous dires, je n'avais rien compris à la situation et je ne la comprenais toujours pas. L'alcool avait fait de moi son esclave voilà l'erreur que j'avais commisse. Mon regard scrutait celui de Sloan. Il semblait affolé presque paniqué. Tout s'était passé aussi rapidement. « Je... je... j'arrivais pas à remonter. » mes sourcils se froncèrent tandis que ma respiration semblait toujours aussi incontrôlable. Quelque centimètre, nous séparait l'un de l'autre et machinalement ma deuxième main vint se placer dans la nuque de Sloan pour l'amener à moi. J'avais besoin de sa présence, de calmer cette peur qui était née en moi. Mes bras s'enroulèrent autour de son cou et mon corps pratiquement nu se colla au sien. « je ne sais pas ce qui m'a pris !» avais-je envie d'en finir ? Non certainement pas. Jouer la suicidaire ne m'avait jamais effleuré l'esprit. Ma tête se plaqua contre la sienne. L'eau semblait plus chaude et les vêtements de Sloan semblaient plus lourds. Ma tête se recula légèrement pour pouvoir le regarder. Un fin sourire s'était dissipé sur mes lèvres. Une de mes mains se plaça sur sa joue et ma tête se pencha. « Merci Bushnell. » Tout redevenait normal, ma respiration reprenait son rythme. La lune reflétait sur le lac, la lumière était douce et subtile. Parfaite pour des retrouvailles. « alors, tu passais une agréable soirée ? » un fin sourire se dessina.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Look at me , thinking of nothing else, I 'm here for you
Mais bordel, Charline était complètement folle. Sloan avait du mal à s'en remettre. Sa respiration était bruyante, il était essoufflé, il ne la lâchait pas des yeux. Il n'en revenait pas. Charline avait-elle sauté de son plein gré ou bien serait-elle sous l'effet de l'alcool. Sloan avait du mal à s'y retrouver. Il avait fini dans le lac et venait de sauver la vie à miss Granger. Cette dernière s'était accrochée au beau brun, ils étaient encore sous le choc. Elle lui avoua ne pas avoir réussi à remonter à la surface. Sloan fronça les sourcils, il ne la lâchait pas. Hors de question de la voir couler une deuxième fois. La brunette passa sa main sur la nuque du jeune homme et effectua un petite pression pour s'avancer vers lui. L'Eliot la laissa s'approcher et se coller à lui. Charline était presque nue, ou du moins, elle n'avait plus de haut. Malgré l'eau et ses propres vêtements, Sloan senti la jeune femme s'appuyer contre lui, d'abord ses seins puis son ventre. Aie, aie. Il passa sa main dans son dos en prenant soin de la soutenir pour pas qu'elle ne s'effondre dans l'eau. Il bougea son autre bras libre dans l'eau pour éviter de couler. Ils n'avaient pas pieds là et il valait mieux être vigilant, surtout avec une Charline à moitié saoule. La brunette colla son visage contre le sien avant de le remercier. Sloan fini par afficher un petit sourire. Il commençait tout doucement à reprendre ses esprits. « Ne me refait plus jamais une peur pareille. » dit-il un ton assez autoritaire. Sloan avait ressenti une telle dose d'adrénaline, cela en était enivrant. Ca lui plaisait, il se sentait vivant. Le beau brun afficha un sourire plus large, il se calmait enfin. Sa main se trouvait sur le dos nu de Charline, ça lui faisait de l'effet. Sloan resserra un peu plus son étreinte. Le calme semblait être revenu sur le lac et dans son esprit. Le jeune homme revenait à la réalité, outre le fait que Charline avait failli se noyer, elle était presque nue dans ses bras. Le cadre était parfait, il n'en revenait pas. Les deux semblaient destinés pour être dans les bras l'un de l'autre. La brunette lui demanda s'il passait une bonne soirée, avant ça. Sloan leva les yeux au ciel. « Épouvantable, j'étais loin de m'imaginer que je finirai dans un lac pour un bain de minuit avec ma princesse. » dit-il subtilement avant d'hausser un sourcil. Ah mais c'est qu'il semblait aller mieux le pépère. Sloan afficha un large sourire avant de baisser les yeux pour admirer ses lèvres. Oh bordel, elles lui avaient manqués. Il remonta son regard rapidement. « Oh pardon, tu n'es pas une princesse, c'est vrai. » dit-il en rigolant. Sloan appréciait se moment de complicité. Ils étaient proches, ça lui avait manqué aussi. Pas un bruit, seul la lune les éclairait, c'était d'un romantique ! Le jeune homme semblait retrouver toute la motivation de leur petit jeu d'antan. Il se sentait limite pousser des ailes et sentait bien que Charline était réceptive à lui. Sloan rigola légèrement. « C'est moi où tu es presque nue dans mes bras ? » lança-t-il en affichant un regard provocateur. Oh il l'avait bien vu tout à l'heure, ce n'était que pure taquinerie.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

“I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” ★★★
« Ne me refait plus jamais une peur pareille. » la lune reflétait doucement sur son visage. Il était autoritaire presque trop sérieux. Il avait eu peur ? L'alcool rendait mon analyse plus longue et plus trouble que d'habitude. Mes sourcils se froncèrent lorsque mes yeux se posèrent sur les siens. Il avait véritablement eu peur. Je fis une petite grimace avant de faire tournoyer ma main sur le côté. Mes réflexes semblaient reprendre doucement le deçu. L'Eliot lui ne relâchait pas son emprise. Effrayer par l'arrivée brutale d'un nouvel accident. Un sourire s'élargit doucement sur les lèvres de Sloan. Son visage se détendait tandis que la main libre de Sloan se posa dans le creux de mon dos. L'alcool ne me faisait pas réagir mais mon subconscient lui était en ébullition. Attrayer par cette main vagabonde, j'en oubliais de lui répondre. Il enchaina. « Épouvantable, j'étais loin de m'imaginer que je finirai dans un lac pour un bain de minuit avec ma princesse. » l'alcool avait beau être présente dans mon corps. Ce surnom avait un goût d'amertume même si sa prononciation était très différente de l'autre fois. Il était plus mélodieux et plus doux. Je me mordis la lèvre intérieure remontant légèrement ma main dans les cheveux mouiller de l'Éliot tandis que l'autre continuait à nager. Tout était très silencieux. « Oh pardon, tu n'es pas une princesse, c'est vrai. » j'affichais un mince sourire avant de me mettre à grimace. Je baissais doucement ma tête dans l'eau, submergeant le bas de mon visage. Il ne restait plus que mon nez et mes yeux en dehors de l'eau. J'attendis un peu avant de lui dire. « Ta tonalité est différente... je préfère celle-ci à celle de l'autre jour. Et tu as raison, je ne suis pas une princesse. » un sourire s'afficha sur mes lèvres avant de replonger le bas de mon visage dans l'eau pour qu'il ne le voie pas. Cette relation n'avait rien de normal, je le savais depuis ce premier baisé échangé devant l'appartement de Meleya. Et le pire dans tout ça, c'est que je ne savais absolument pas comment me comporter et l'alcool n'arrangeait rien du tout. Doucement. L'Eliot fit : « C'est moi ou tu es presque nue dans mes bras ? » je ne pu m'empêcher de rire avant de finalement baisser le regard pour voir si l'on voyait quelque chose sous l'eau. Tout était très trouble, la lumière de la lune assombrissait l'eau, impossible pour Sloan de voir quoi ce soit. J'avalais ma salive avant de me reculer légèrement l'obligeant à lâcher prise. « plutôt marrante comme situation hein... » mes yeux se plissèrent doucement. Ce soir plus rien ne semblait vraiment me retenir. Je ne ressentais aucune pression. Je reculais doucement tandis que Sloan avançait. Un jeu auquel nous aimions jouer. Il m'avait manqué... beaucoup plus que je ne l'avais pensé. Subitement, mon corps s'arrêta tandis que celui de Sloan s'avançait vers moi. Je me mordis la lèvre et mes mains attrapèrent le col de son tee shirt pour le rapprocher un peu plus de moi. Mon front se colla contre le sien tandis que mon souffle s'accéléra. Dans un murmure, je lui fis : « et je peux savoir comment tu sais que je suis presque nue ? On ne voit rien ici ».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Look at me , thinking of nothing else, I 'm here for you
Sloan venait de la taquiner, il adorait ça. Le jeune homme avait cultivé, tout seul, une certaine admiration pour cette fille. Il était vraiment content de la retrouver, Charline et pas une espèce de folle tordue comme ce fut le cas dans l'ascenseur quelques jours auparavant. La belle brune baissa automatiquement ses yeux pour essayer de voir si sa poitrine était visible d'ici. Sloan rigola légèrement en la voyant faire. Alors comme ça, miss Granger était pudique, c'était trop mignon. La brunette releva la tête et le regarda en plissant les yeux. Il haussa un sourcil en l'entendant parler. En effet, cette situation était plutôt marrante. Outre bien sûr, le fait qu'elle avait failli mourir il y a cinq minutes. Sloan ne répondit pas, il se contenta de sourire bêtement en la regardant droit dans les yeux. La brunette se recula d'un coup, obligeant Sloan à la lâcher. Il plissa les yeux à son tour. Charline se reculait légèrement. Oh non, elle n'allait pas lui échapper, pas cette fois, pas encore. Ce jeu était dangereux mais tellement excitant. Le jeune homme s'avançait doucement, tel un prédateur ne lâchant pas sa proie des yeux. La panique avait laissé place à l'excitation, au désir. L'endroit s'y prêtait aussi beaucoup. Un immense lac où Charline était presque nue, illuminée par le reflet de la lune sur l'eau. Sloan gouttait aux joies du romantisme malgré lui. Le beau brun n'a jamais été doué pour la drague et toutes ces années de galère avec Charline peuvent en témoigner. Néanmoins, un climat assez romantique s'était installé entre eux. Et alors que Sloan s'avançait dangereusement de Charline, cette dernière lui attrapa son t-shirt pour l'attirer un peu plus vite près d'elle. Leurs fronts se collèrent, il ne pouvait retenir son sourire coquin. Tout ceci attisait chez Sloan des pulsions pas très catholiques. Il ne s'en cachait pas, il en avait envie. Charline lui demanda comment il avait fait pour deviner qu'elle n'avait plus de haut. Le sourire du beau brun s'agrandissait en l'entendant. « Qu'est-ce-que tu veux que je te dise princesse ? » dit-il faiblement. Pas la peine de crier, elle allait très bien l'entendre là où elle était. « Que je t'ai admiré pendant que tu te déshabillais ? » continua-t-il. Ah bah, il n'allait pas lui mentir hein. De sa main libre, Sloan vint la poser sur la hanche de Charline. Délicatement, il remonta sur le côté, faisant glissé sa main mouillée sur son corps nu. Le beau brun passa finalement sa main dans son dos pour attirer Charline encore un peu plus prés de lui. « Entre nous, faut pas être un devin pour s’apercevoir que tu n'as plus de haut. » murmura-t-il. Le jeune homme s'approcha un peu plus prés, laissant leurs lèvres se frôler. Tout était à l'identique de la dernière fois, hormis le fait que Charline n'avait plus de haut. Sloan baissa les yeux et rigola légèrement. Il se recula, laissant l'eau froide combler le vide du corps de Charline sur le sien. L'Eliot enleva son t-shirt qui devenait beaucoup trop lourd. Il le balança un peu plus loin sur le bord du lac. « Comme ça on est quitte. » dit-il en haussant les sourcils mais en gardant ses distances. En fait, l'eau était moins trouble que tout à l'heure. Il afficha un regard provocateur. « Au fait, la chambre te plait ? » dit-il en s'humidifiant les lèvres. Et ouais, c'était subtile de sa part.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

“I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” ★★★
Porter par l'adrénaline, par l'air tiède du paysage. Mon regard s'attarda sur celui de Sloan. Les minutes ne défilaient plus, le temps s'était suspendu pour les prochains instants. La réalité était loin, ici, le rêve était facilement palpable. Difficiles d'ailleurs de comprendre notre réalité, tellement différente de la situation actuelle dans laquelle nous étions depuis le début du spring break. C'était étrange mais j'étais contente de pouvoir le sentir de nouveau près de moi. Toute cette tension n'était pas morte bien au contraire elle avait explosé rendant la situation hors de contrôle. « Qu'est-ce que tu veux que je te dise Princesse ? » un rictus s'afficha doucement continuant sur le coin de mes lèvres. Je ne savais pas vraiment ce que j'avais envie d'entendre, en tout cas, j'avais juste besoin de savoir que rien n'avait changé entre nous. Que ces derniers jours n'avait pas cassé quelque chose qui finalement m'était cher. « Que je t'ai admiré pendant que tu te déshabillais ? » mes yeux se plissèrent. Il regardait... il m'avait suivi. Je n'avais donc pas été la seule à lui accorder de l'attention ce soir. Je relevais un peu plus ma tête de l'eau mettant mon cou à nu. « Eh bien il faut croire que ton côté pervers m'a sauvé la vie ! » après tous ces fantasmes m'avaient évité un destin bien tragique. Je ne pouvais donc pas lui en vouloir. La main masculine de l'étudiant se posa doucement sur ma hanche. La respiration s'accéléra légèrement. Putain d'alcool, tous mes sens venaient de se réveiller animer par le seul contact de sa main. Il la glissa doucement sur le côté, ma gorge se noua et ma main se posta sur son épaule. Résiste Charline, résiste. Voilà ce qui passait en boucle dans ma tête. Mes yeux luttaient pour ne pas vacillé. Il arrêta son chemin dans mon dos et m'attira un peu plus près de lui. « Entre nous, faut pas être un devin pour s'apercevoir que tu n'as plus de haut. » je me mis à rire avant me pincer les lèvres avant qu'il n'approche son visage du mien. Ma bouche s'ouvra délicatement tandis que les lèvres de Sloan effleuraient les miennes. Mon souffle se mélangea au sien et ma main remonta doucement dans son cou « je n'avais pas envie de m'embêter avec des vêtements futiles. Tu vois le genre. » Il se recula doucement laissant une nouvelle fois, une distance s'installer. Mon regard ne le lâchait pas des yeux. Il retira sensuellement son tee shirt. Je déglutissais essayant de ne pas regarder. Difficile quand tout mon corps me disait de me jeter dans ces bras. « Comme ça on est quitte. » amusé, je lui fis : « tellement généreux de ta part. Il me semble néanmoins que tu es encore un vêtement en trop avant d'être équitable » on pouvait parler de générosité. Il recula doucement se rapprochant du bord. L'eau était beaucoup plus claire, il n'y avait là aucun mal à distinguer nos deux corps pratiquement nus. « Au fait, la chambre te plaît ? » la chambre était géniale et en réalité, j'étais d'avoir gardé les clés. Trop fière pour l'avouer, je lui dis : « hum... les lits de camp n'étaient pas si mal que ça. » Menteuse. Je me mis à rire avant de finalement mettre ma tête sous l'eau pour le rejoindre. J’immergeais juste en face de lui laissant apparaître un peu plus le haut de mon buste. « j'arrive pas à réfléchir avec toi... » je hochais la tête. Oh non, la réflexion n'était vraiment pas à l'ordre du jour. Je m'étais arrêtée juste devant lui prenant bien soin de ne pas le touche. Mes dents martelaient une nouvelle fois ma lèvre et je lui fis « tu m'as un peu manqué... » mes main sortirent de l'eau et lui montraient la petite part de manque qu'il avait pu représenter. « je suis bourrée... alors c'est le moment de soutirer toutes les informations que tu veux Bushnell. » ma tête se baissa mettant la moitié de mon visage dans l'eau. Mes yeux se baladèrent sur le haut de son corps. Bordel qu'il était bien foutu. Un vrai supplice ce mec.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Look at me , thinking of nothing else, I 'm here for you
Sloan se trouvait là, torse nu, devant une Charline vulnérable. Elle était presque nue et semblait bien imbibée par l'alcool. Cela ne l'aurait pas dérangé s'il avait, lui aussi, pas mal d'alcool dans le sang. Au lieu de ça, le jeune homme semblait plutôt sobre. Pas de drogue et presque pas d'alcool. Ahh. Il n'allait quand même pas gâcher ce moment magique, sous prétexte qu'il était trop clean. Certainement pas. Sloan savait qu'une telle occasion ne pourrait pas se représenter, il voulait savourer chaque instant, graver tous les détails dans sa tête. Après tout, l'endroit était propice au rapprochement. Imaginez un peu, un lac désert entouré par des centaines d'arbres, la lune leur offrant une ambiance romantique et deux étudiants dévêtus. Sloan s'était éloigné de Charline pour enlever son t-shirt, les voilà au même niveau, enfin presque. En s'approchant du bord, le beau brun pouvait apercevoir davantage la silhouette de Charline. Il pouvait deviner les courbes et toute la sensualité qu'elle pouvait dégager. Ça lui mettait littéralement l'eau à la bouche. La petite Granger était magnifique ce soir, elle avait ce petit regard coquin qu'elle avait les deux dernières fois qu'ils se sont vus. Un véritable délice pour les yeux. Le jeune homme venait de lui demander comment elle trouvait la chambre. Simple provocation. Il voulait la titiller, tester sa réaction et sa volonté. Il savait pertinemment que Charline dormait là, il l'avait aperçue dans les couloirs il y a quelques jours. Il leva les yeux au ciel lorsque la brunette lui répondit que les lits de camps étaient douloureux. Houu la menteuse, pas bien de raconter n'importe quoi Charline. « Mouais. » dit-il en rigolant. Même la brunette n'était pas convaincue par ce qu'elle venait de dire. Elle s'abaissa légèrement dans l'eau avant de lui avouer qu'elle n'arrvait pas à réfléchir en sa présence. Sloan haussa rapidement un sourcil mais resta silencieux. Il se contentait de la regarder droit dans les yeux, créant une certaine tension, une certaine envie. Alors que le jeune homme allait parler, elle le devança. Charline lui avoua qu'il lui avait manqué. Un petit sourire satisfait apparu sur le visage du beau brun qui gravait ces paroles dans sa tête. Elle leva les mains pour lui montrer à quel point il lui avait manqué. Sloan attrapa délicatement ses mains et l'attira vers lui. Il posa les mains de Charline dans son cou. Voilà qui était mieux. Il pouvait sentir le corps nu de sa princesse le coller. Sentir sa poitrine contre lui réveillait des pulsions qu'il avait refoulé dans la boîte de nuit l'autre soir. La même attirance, la même envie pimenté par la trouble vue de son corps dénudé. Charline ne se fit pas prier pour se rapprocher, elle lui lançait même des pics en lui disant qu'elle était complètement saoul donc si Sloan voulait des informations, il n'avait qu'à demander. Le jeune homme afficha un sourire beaucoup plus large. « Tu vas regretter de m'avoir dit ça princesse. » dit-il en baissant les yeux. Ils étaient collés, Sloan passa ses mains dans le dos de Charline. Il descendit légèrement, caressant délicatement le creux de ses reins. Le jeune homme passa ses mains sur les fesses de Charline. Il leva les yeux vers la brunette lorsqu'il sentit qu'elle n'avait pas une vieille culotte de grand-mère mais plutôt un bas sexy, de la dentelle peut-être. Le fait de ne pas voir attisait sa curiosité. Il voulait en découvrir plus. Ses mains ne mirent pas longtemps avant de recouvrir ses fesses. « Si tu savais depuis combien de temps j'ai envie de faire ça. » dit-il. Sloan secoua légèrement la tête comme pour essayer de garder le contrôle de la situation. Pourtant là clairement, il ne contrôlait plus rien. Le beau brun s'approcha d'elle et descendit encore un peu plus ses mains obligeant Charline à l'enlacer de ses jambes. Une lueur de perversion apparu dans le regard de Sloan qui vint se coller un peu plus à elle. Sensuellement, il passa ses mains sur ses cuisses. Des cuisses qu'il avait pu effleurer la dernière fois. Leurs lèvres se frôlaient, leurs souffles se mélangeaient. Il voulait l'embrasser mais ne le fit pas. Sloan laissa ses lèvres effleurer celles de Charline. Le désir était à son comble, ça se sentait chez l'Eliot qui ne pouvait plus le cacher. « J'ai bien une question pour toi, princesse. » murmura-t-il à quelques centimètres à peine de sa bouche tant convoitée. Ce moment semblait être hors du temps, chacun semblait concentré sur l'autre, guettant le moindre geste, se délectant de la suite des événements. Sloan essayait de lutter contre ses pulsions, se rappelant sans cesse la discussion qu'il avait eu avec Charline dans l'ascenseur. Le jeune homme sortit une main de l'eau et vint la poser dans la nuque de la brunette. « Est-ce que tout serait différent si ... » commença-t-il avant de s'arrêter net de parler. Il leva les yeux pour les planter dans le regard sensuel de Charline. « Tu sais quoi, on s'en fou. J'ai envie de toi là maintenant. » dit-il avant de venir capturer ses lèvres et de l'embrasser langoureusement. Sloan lui prouvait par ce baiser à quel point il la désirait, à quel point Charline pouvait lui faire de l'effet. A ce moment précis, il se foutait complètement des conséquences de ses actes, il avait le droit d'en profiter un peu merde. Ce baiser était fougueux et extrêmement excitant. Son rythme cardiaque s'était accéléré, il n'était clairement plus maître de lui même. « Tu m'rends fou. » murmura-t-il entre deux baisers. Il ne pensait à rien d'autre qu'à Charline, elle l’obnubilait littéralement. Sloan succombait à sa beauté fatale et au plaisir charnel qu'elle pouvait dégager.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

“I’m a lover of my own liberty, and so I would do nothing to restrict yours.” ★★★
Mes pensées se bousculaient dans tous les sens, complètement obnubilés par les avances de Sloan. Je ne cherchais plus à résister. Mon regard était concentré sur mes doigts qui cherchaient encore la largeur parfaite du manque qu'il avait représenté pour moi. Furtivement, les mains de Sloan prirent les miennes et il m'attira à lui tandis que mes yeux le fixaient du regard. L'eau ruisselait doucement entre nos deux corps avant de finalement disparaître. Mes mains se postèrent dans la nuque de l'Éliot et mon corps se colla contre sa peau. Il était chaud, brulant même. Mes doigts frôlèrent doucement le cou de l'Eliot pour descendre jusqu'à sa trachée. Ma main se plaqua contre le haut de son torse. Mon regard s'attarda sur les lèvres du jeune Éliot. Bordel où j'en avais envie. « Tu vas regretter de m'avoir dit sa princesse. » peut-être ou peut-être pas. En réalité, je ne me posais aucune question. L'instant présent était devenue pour moi l'essentielle. Ce lâcher prise représentait une vraie liberté. Mes dents martelaient une nouvelle fois mes lèvres. Résister devenait presque insupportable. Les mains masculines de l'étudiant trouvèrent leur chemin caressant chaque parcelle avec une infime délicatesse. Il descendit un peu plus en s'attardant sur mes fesses. Mon visage se rapprocha sur sien et mon front se colla au sien. Mes yeux se mirent doucement à vaciller et mon souffle s'accéléra. Un sourire charmant s'étira doucement sur mes lèvres. Ce silence n'avait rien de comparable à celui de l'ascenseur. Tellement différent et tellement enivrant. « Si tu savais depuis combien de temps j'ai envie de faire ça. » Mes yeux se plantèrent dans les siens. Un fin sourire s'afficha sur mes lèvres. En réalité, il n'était pas le seul à assouvir un désir refoulé. Ce désir, j'y avais fait face. Le repoussant a chaque instant pour éviter de tourmenter mon esprit. Aujourd'hui, j'emmerdais tout ça. Il secoua légèrement sa tête et je lui fis en susurrant. « et si tu savais depuis combien de temps je me retiens de faire sa » plus aucun filtre, de simples aveux. Un sourire amusé s'afficha sur mes lèvres. Quoi de plus franche qu'une personne bourrée, l'alcool avait au moins le mérite de délier les langues. Une de mes jambes s'enroula autour de la sienne. La main du beau brin se posa contre ma nuque « Est-ce que tout serait différent si ... » mes yeux le détaillaient doucement. Il beau, vraiment très beau. Il s'arrêta, mes sourcils se froncèrent « Tu sais quoi, on s'en fou. J'ai envie de toi là maintenant. » nos lèvres se rencontrèrent rapidement dans un mouvement saccadé et langoureux. Mes bras enlacèrent l'Éliot et mon corps se serra encore un peu plus à lui. Ma langue rentra en action dans un agréable mouvement de rotation. Plus rien ne répondait, ma respiration s'était accéléré. Les battements de mon cœur raisonnaient dans mes oreilles. Entre deux baissés langoureux, je lui fis : « Arrête de réfléchir Bushnell » le comble quand on savait que s'était moi qui réfléchissais trop. Mes mains descendirent doucement s'arrêtant à la lissière de sa ceinture. Je déboutonnais les boutons de son pantalon tandis que mes lèvres se mélangeaient une nouvelle fois au sienne. « Tu m'rends fou. » voilà que nous étions deux. Deux fous à assouvir le désir qui les maltraite. Mes lèvres se glissèrent sur le côté de sa joue pour redescendre dans son cou. « j'ai envie de toi. » ce n'était que la pure et simple vérité. « j'ai envie de toi depuis le vol chez meleya » un sourire amusé sur mes lèvres se dessinait alors que je continuais à l'embrasser dans le cou. Mes bisous remontèrent doucement pour capturer une nouvelle fois ces lèvres. « je ne savais pas que tu étais un romantique. » parlant bien entendu du cadre dans lequel nous nous trouvions. Je ne pouvais retenir mon rire avant de prolonger une nouvelle fois se baiser langoureux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Look at me , thinking of nothing else, I 'm here for you
Le corps de Charline enlacé contre le sien, ses jambes croisées autour de lui, Sloan se délectait d'une telle position. Sentant le désir monter en lui, il se laissait complètement guider par ses pulsions, toutes plus érotiques les unes que les autres. Ses pensées allaient dans tous les sens mais restaient focalisées sur une unique chose : Charline. Cette femme fatale au sourire envoûtant et au corps si parfaite. La brunette avait des courbes féminines et félines qui faisaient fantasmer Sloan. Il avait déjà rêvé d'elle et de ce moment mais il était loin de s'imaginer être capable de désirer une femme aussi fort. Maîtriser ses émotions n'a jamais été son fort et pourtant, pendant des années il avait su garder son sang-froid. Comme le dit le proverbe, tout vient à point à qui sait attendre. Sloan s'était montré patient, il n'avait ce qu'il méritait, une Charline prête à se livrer à lui. Le jeune homme ne regrettait pas d'avoir ramé pour en arriver là. Bien au contraire. Avec le temps, il avait appris à la connaître, à la découvrir et ce soir c'était l'apothéose. Il touchait enfin au son but ultime. Cette flamme qu'il avait nourri pendant des années, un fantasme inavoué et ô combien excitant. Charline avait mis sa patience à rude épreuve, il lui avait prouvé qu'il s'avait faire la part des choses et que lorsqu'il avait une idée en tête, il ne l'avait pas ailleurs. Sloan s'était découvert une nouvelle qualité, la persévérance. Alors qu'il n'y croyait plus, Charline avait accepté de passer une soirée avec lui. Alors qu'il pensait marquer quelques points avec la pétillante Charline, elle l'avait embrassé. Tout n'était que surprise avec elle. Et ce soir plus que jamais, elle le surprenait. Le jeune homme l'embrassait langoureusement, attisant encore un peu plus le désir, laissant monter une folie passionnelle et charnelle. Les yeux fermés, il ne voyait que son visage, ses formes et son sourire. Oh mon Dieu oui son sourire, elle le rendait fou. Sloan n'était plus maître de lui et tant mieux, il n'avait jamais ressenti des émotions aussi fortes. Le beau brun a eu quelques copines dans le passé mais ce n'était comparable en rien avec la passion et l'envie qu'il dévouait à Charline. C'était, en quelque sorte, nouveau pour lui. La princesse lui avoua avoir envie de lui. Il afficha un sourire coquin sur ses lèvres, il ne répondit pas. Que pouvait-il bien répondre à ça ? Moi aussi. Non, inutile, je pense qu'elle l'avait bien compris. Charline mit fin au baiser, Sloan ouvrit les yeux. Elle vint délicatement l'embrasser dans le cou. Il souriait bêtement et se laissa faire. Après tout, Charline savait ce qu'elle faisait. Ce n'était plus un jeu entre eux, cela avait dépassé ce stade. Elle avait envie de ce moment depuis le baiser chez Meleya. Mele qui ? Sloan oubliait tout, il ne voulait penser à rien d'autre qu'à ce moment privilégié. « Hum, je m'en doutais » dit-il avant de rigoler légèrement. Le beau brun profitait de chaque instant, il ne voulait avoir aucun regret. C'était le moment où jamais de se lâcher. « Sais-tu seulement que je pense à toi depuis le premier jour où je t'ai vu. Ton sourire, ton regard, j'vais devenir fou. » dit-il juste avant que Charline ne se redresse. Ils s'embrassèrent de nouveau, comme un besoin vital, ils cherchaient le contact de l'autre. Sloan laissa sa main baladeuse parcourir le dos de la brunette. Il n'osait pas ? Bien sûr que si, il prenait simplement son temps. L'Eliot ignorait si un tel moment allait se reproduire, il se délectait de chaque instant. Charline s'interrogea sur ses capacités à être romantique. « Je ne savais pas non plus. » dit-il le plus sérieusement du monde. De base, Sloan est un boulet en drague et en amour mais là, il avait fait fort. Enfin, il n'y était pas pour grand chose mais bon. Le beau brun enleva sa main du dos de Charline et mit fin au baiser. « Bouges pas. » murmura-t-il. Délicatement, Sloan avança dans l'eau à l'aide de ses deux bras. Charline restait accrochée à lui. A la bonheur. Sloan avança légèrement pour venir la plaquer contre le poteau du ponton. Au moins là il aura un peu d'appui mais surtout il aura pied.  « Voilà qui est mieux. » dit-il. La limite de l'eau sur leurs corps avait baissée, on pouvait apercevoir la poitrine de Charline. Sloan agrippa les cuisses de Charline et la releva un peu. Sans un bruit, il se colla à elle et vint l'embrasser fougueusement, langoureusement. Le jeune homme avait plus d'équilibre, il allait pouvoir profiter du corps de sa princesse sans manquer de couler à tout instant. Comme un besoin vital de la toucher, de la découvrir, Sloan posa ses mains sur ses hanches nues. Il pouvait sentir sa peau froide contre la sienne. Il ne voyait pas son bas en dentelle et pourtant, de sentir le bout de tissu sur sa peau douce le rendait fou. Il laissa une main posé sur sa cuisse, effectuant une légère pression pour lui faire comprendre qu'il était comme un dingue, chaud bouillant. Son coeur battait à tout rompre, il était dicté par ses pulsions, par l'envie de la faire sienne. Sloan posa son autre main dans le cou de Charline avant de la descendre délicatement. Il effleurait à peine sa peau nue et mouillée. D'un geste tout en maîtrise, il vint lui caresser le côté du sein, ne voulant surtout pas se reculer de son corps. Il tenait à cette proximité, il en avait besoin. Délicatement il continua de descendre, se mettant quand même ne travers de leurs deux corps en ébullition. Sloan s'arrêta quelques secondes en sentant un morceau de tissu lui barrer le chemin. Ça y est, il y était, les portes du paradis étaient juste devant lui. Le connaissant, ce boulet aurait été capable de tout arrêter pour savoir si Charline était prête à franchir cette étape. Mais pas ce soir. Non ce soir il ne se contrôlait plus, au diable les bonnes manières. Voyant que l'intensité de leurs baisers accélérait, Sloan ne mit pas longtemps avant de continuer. Il passa sa main sous le bout de tissu pour venir effleurer, titiller sa féminité. Tout ceci l'excitait énormément. Quelqu'un aurait pu les observer, le beau brun ne captait plus rien. Il n'aurait pas pu rêver mieux pour un tel rapprochement, tout était parfait. Charline était parfaite, désirable à souhait.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)