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(stuart) you, little piece of shit

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jour cinq. Cinq jours que nous sommes la et j'ai l'impression que ça fait une éternité. Contrairement à ce que je pensais je suis bien ici. Je pense un peu moins au fait que Leeds n'est plus là, et que j'ai tué mon enfant, même si les cauchemars sont toujours la. Quand je m'y attend le moins ils viennent, ils me prennent à la gorge et me donne envie de pleurer. A chaque moment de la nuit. J'aimerais qu'il sache que je m'en veux d'avoir donné ce coup de volant, mais je n'aurais jamais la force d'aller sur sa tombe. Je n'ai même pas assisté à l'enterrement, trop occupée à me drogue, à prendre mes anti-dépresseurs et à enchaîner les rendez-vous avec les divers médecins qui peuplent l'hôpital. Mais pour le moment, je suis là, heureuse d'être ici. Je viens de sortir de mon dortoir, mes lunettes de soleil sur le nez, mon haut manquant et mon short en guise de pantalon. Il faisait vraiment une chaleur insoutenable et moins je portais d'affaires, mieux je me portais. M'avançant, mon livre dans la main, mon téléphone dans la poche arrière, je me trouvais un petit coin sur la plage où il n'y avait pas trop de monde, avalant mon anti-dépresseur avec une bouteille d'eau pour éviter de passer pour la dépressive devant mes colocataires de chambre et je m'installais sur ma serviette après m'être mis de la crème solaire. Le statut d'écrevisse, très peu pour moi. Je détestais les coups de soleils et le fait de devoir me tartiner de biafine parce que j'avais été trop imprudente. Et l'imprudence ça ne me connaît que trop.
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Cinquième jour du Spring Break et tu étais vraiment content ! Tu semblais vraiment revivre depuis le début de ces vacances tant méritées. Tu oubliais un peu les responsabilités qui t’étaient dues à ta fonction de pompier surtout que tu étais rapidement monté en grade aujourd’hui. En effet ton Lieutenant avait décidé de te désigner comme sous-officier et tu étais fier d’être sergent. Sauf que tu allais diriger des équipes alors que normalement ce que tu aimais c’était de te battre contre ces putains de flammes ! Il fallait que tu penses à autre chose ! Aujourd’hui tu te promenais sur la plage avec ton fils qui courait devant tranquillement avec sa marraine tandis que toi, tu lambinais un peu en arrière parce que tu étais bien occupé à téléphoner. C’était ton paternel qui te demandait quand est-ce que tu déciderais de revenir chez tes parents alors tu promettais d’être présent pour le weekend de Pâques, et ainsi ton fils pourrait profiter de tous ses cousins et cousines pour célébrer Pâques et faire la chasse aux œufs ! C’est au moment où tu remettais tes lunettes de soleil en place que tu remarquais la présence d’une personne que tu étais presque sûr de connaître. Alors inspirant légèrement, tu te rapprochais délicatement avant de te figer parce que tu reconnaissais finalement la fille que tu avais sauvé quatre années plus tôt… Sauf que la jeune femme te haïssait sous prétexte que c’était de ta faute si son fiancé et son bébé étaient morts aujourd’hui. « Bonjour Darcy » dis-tu avec prudence parce que tu sentais qu’elle pourrait péter une durite comme d’habitude.
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Je n'ai as tellement envie de rentrer à Cambridge même si l'intimité me manque. Je partage mon bungalow avec un petit nombre de personnes et j'en ai un peu assez de me faire réveiller en pleine nuit par un couple qui copule ou par des gens trop bourrés qui n'arrive pas à ouvrir la porte et qui tape comme des malades dessus. Mais je me dis que c'est une expérience à vivre et que Leeds serait heureux d'être ici avec moi s'il en avait eu l'occasion. Quand est-ce que la souffrance laisse place à la rédemption? Est-ce que jamais, un jour, je finirais par me réveiller et me dire que Leeds est parti, mais qu'il sera toujours dans un coin de ma tête, que je n'ai plus besoin de mes cachets pour survivre. Mais mon psychologue m'a dit que ça passerait avec le temps et que je fais des grands progrès puisqu'il a baissé mon traitement il y a environ un mois. Puis, il m'a conseillé de venir ici, que ça me ferait le plus grand bien et il est vrai que je n'y pense pas trop. J'y pense moins en tout cas. J'y pense encore moins quand je suis sur cette plage, dans un coin qui se veut tranquille. Enfin que je pensais tranquille jusqu'à ce que sa voix parvienne à mes oreilles. Je me redresse alors et le fixe, relevant mes lunettes de soleil contre mes cheveux. Et je le fixe, la mâchoire serrée « Qu'est ce que tu fous la ? La plage est pas assez grande ? Tu t'es dit : "Tiens si j'allais voir la meuf que j'ai sauvé à la place de son mec et de son gosse ?" &raquo Et je me levais pour lui faire face, rangeant mon livre dans mon sac « T'as pas compris quoi dans tu es un con et dégage de ma vie ? »
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Cette promenade sur la plage avec ton fils et tes amis aurait pu être parfaite si tu ne t’étais pas retrouvé à proximité de Darcy, cette jeune femme que tu avais sauvée d’un accident de voiture… Mais qui refusait tant bien que mal de te remercier pour ça parce qu’à ses yeux c’était de ta faute si elle avait tout perdu… Tu avais pourtant essayé de lui faire entendre raison mais elle était aussi dure et fermée qu’une porte blindée. Pourtant tu tentais de ton mieux pour lui parler calmement, lui montrer qu’elle pouvait avoir son appui si elle le souhaitait mais la jeune femme était trop fière, en plus c’était une Mather alors voilà ! Pourquoi t’acharnais-tu à lui faire changer d’avis sur toi ? Eh bien parce que tu ressentais de l’attirance à l’égard de la jeune femme, mais aussi parce que tu voulais être son amie. Mais pour l’heure c’était impossible surtout qu’elle était en train de te repousser là ! Pourtant tu n’avais fait que dire bonjour et elle, ce sont des mots acerbes et virulents qui sortaient de sa bouche… Tu les accueillais sans broncher tout en sachant que si tu répondais mal, ça allait s’envenimer mais tu étais habitué maintenant. Ce n’était pas la première fois que vous aviez ce genre de disputes et ça ne serait pas non plus la dernière. « Je suis simplement venu dire bonjour… Excuses-moi de te déranger hein ! » dis-tu calmement sans la quitter des yeux. « Combien de fois dois-je te dire que je ne pouvais rien faire pour ta famille… ?! Ton fiancé était déjà mort avant qu’on n’arrive. Tu crois vraiment que tu es la seule personne à avoir tout perdu dans une catastrophe ?! Je sais ce que c’est de perdre des êtres chers… J’essaie de t’aider à aller mieux. Je ne cherche pas à te faire du mal Darcy mais tu continues à croire que non ! »
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