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Fire N' Ice [Angel]

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La nostalgie, voilà ce qui m’amenait ici dans cet aréna. L’odeur de la glace réfrigérée, la froideur quasi-continuelle, le bruit des patins déchirant la surface gelé, tout cela me rappelait des souvenirs, des souvenirs provenant de ma plus tendre enfance, jusqu’à il n’y a pas si longtemps. J’avais arrêté de jouer pour de plus ou moins bonne raison, mon père, la pression, mais au final, il y avait toujours la passion de la glace. Je regardais les joueurs de l’équipe d’Harvard s’entrainer, un brin de tristesse voilant mon visage, je donnerais quasiment n’importe quoi pour retourner sur une glace, et à ce niveau en plus, c’était le rêve ultime. En fait, ça et être capable d’oublier cette belle blonde… En même temps, je ne pouvais que m’en prendre à moi-même, c’est quand même moi qui a tiré un trait sur notre relation, j’avais tellement peur d’être blessé à nouveau que finalement c’est moi qui aie blessé celle que j’aimais, celle que j’aime toujours. Le sifflet de l’entraineur me tira de mon songe, les joueurs faisaient maintenant des sacrifices, même ces pénibles aller-retour me manquent, ce n’est pas peu dire… Je sortis les mains de mes poches, je pris mon visage entre mes paumes et remonta afin de ramener mes cheveux vers l’arrière, en espérant ce faisant chasser la nostalgie m’habitant.

Je dois me ressaisir, entre Blake et moi c’est fini à présent, j’ai tout fait foirer, mais je dois passer à autre chose. En plus, les jolies filles sur le campus ce n’est pas ce qui manque, l’avantage c’est qu’ici, elles sont loin d’être idiotes. Je devais voir le bon coté des choses, et pour l’instant faire le vide, profiter du moment, regarder l’une des équipes prestigieuses de hockey s’entrainer, laisser mes problèmes de coté pour le moment. En voyant le numéro vingt-trois compter un but, je repensai à mon premier, ce que j’avais pu en être fier. J’avais à peine joué dix minutes dans le match, j’avais reçu une passe timide et nerveuse de Max, nous n’avions que six ans à l’époque, j’avais foncé sur le gardien, jonglé un peu avec la rondelle avant de lui glissé entre les jambes. L’alarme retenti et le lumière rouge s’afficha, soudain tout mes coéquipiers s’étaient jeté sur moi, je me rappelle du sourire sur le visage de mon père, un sourire absent de ses lèvres depuis longtemps. Ça y est, j’étais à nouveau reparti sur mon passé, comment allais-je enfin pouvoir avancer, tourner la page, ne plus tenir compte de ce qui m’était arrivé avant ? Au moins je me consolais en pensant à ce soir, avec Aaron, nous allons surement caller quelques bières et faire quelques stupidités, rien de bien méchant, simplement pour se vider le crâne. J’étais assis sur mon siège en souriant bêtement en y pensant, c’était du moi tout craché.

Le sourire niait que j’affichais précédemment disparu dès que j’aperçu la jolie rousse qui me reluquait, son visage m’était familier, pas trop mal, mais je n’arrivais pas à la replacer, peut-être l’avais-je connu l’espace d’une nuit, dans ce cas normal que je ne sache pas son nom, sinon j’étais dans le néant total… Je lui fis un signe de main, l’invitant à s’approcher, peut-être qu’en lui parlant je pourrai la replacer. Elle m’était apparue comme un signe divin, une réponse à mes songes, à mes interrogations. Je voulais oublier mon passé, oublier Blake, elle était le moyen parfait. J’allais faire honneur à ma maison, paradant avec elle à mon bras les gosses de riches, pédant et fendant de la Elliot seront vert de jalousie, tout comme les Mathers, quoi qu’eux seront peut-être occupé à essayer de trouver le chemin astral… Mon cellulaire vibra dans ma poche, je le sortis pour y voir la tache d’hier soir, elle m’envoyait un texto pour savoir si j’avais quelque chose de prévu ce soir, évidemment, ne pas la voir, mais je me contentai d’ignorer son message et de ranger mon téléphone, la belle rousse arrivait.

Qu’est-ce qu’une si jolie fille fait dans un endroit si froid, si miteux ? M’enquérais-je. Je suis d’avis que votre place très chère devrait être devant un objectif, vous m’avez tout l’air d’une actrice ou d’une superstar.

En y repensant bien, ce n’était peut-être pas l’approche du siècle, un peu cliché je trouve, mais bon l’avenir nous dira ce qu’il en est réellement…
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Je venais de terminer ma journée de cours, pour m'aérer un peu l'esprit j'avais bien l'envie d'aller prendre mes patins à glace à ma chambre pour ensuite me diriger à la patinoire du campus, le Bright Hockey Center. Après quelques instants de réflexions et surtout après avoir vérifié que je n'avais pas une montagne de révisions pour le lendemain je me décidais donc. Je rentrais rapidement à ma maison la Eliot House, me dirigeais vers ma chambre, jetais mon sac sur le lit pour ensuite me diriger dans une des armoires ou j'en sortis mes patins. Ça faisait bien quelques semaines que j'en ai pas fait, ça me ferait sans doute du bien. Avant de sortir de la chambre je pris soins de vérifier que tout était bien en ordre et de me recoiffer un peu puis j'en sortis donc d'un pas pressé en direction du complexe d'hockey.

Lorsque j'y arrivais quelques minutes après je fus quelque peu déçue, l'équipe du campus masculine y était déjà, j'avais oublié que c'était jour d'entrainement, enfin surtout heure d'entrainement. Bah pas grave je patienterais jusqu'à ce que ce soit terminé! Je pris quand même soin de regarder le tableau, pas que les filles suivent après et rester sur place pour rien, une fois sûre de moi je m'installais alors dans un siège pour les regarder faire, c'est clair le hockey est pas mon sport favoris, mais bon pour passer le temps ça peut se regarder. Après quelques minutes je ressentis le besoin de me lever pour faire quelques pas et c'est là que je le vis.

Il était un peu plus haut dans les gradins lui aussi, il semblait complètement captivé par l'entrainement ou alors par autre chose, perdu dans ses pensées. Je pris mon temps pour l'observer alors, bah quoi, j'aime mater les beaux mecs j'ai le droit, ça n'a jamais tué personne que je sache! Il se mit alors à sourire de façon un peu niaise, vraiment absorbé par ses pensées qui devaient être fort intéressantes pour sourire ainsi, puis soudainement son sourire s'effaça et c'est là que je me rendis compte qu'il avait capté que je matais sans trop de gêne d'ailleurs... Oups!... ou pas! Maintenant que j'avais capté son regard je me dis que je l'avais déjà vu mais où? Pas lors d'une nuit parce que je me souviens de toutes les filles et mecs avec qui je couche, peut-être l'avais-je déjà maté lors d'une soirée ou croisé dans un couloir, le campus est grand, il y a beaucoup de monde. Bon en même temps je ne suis pas assez prêt pour le détailler. Je me décidais donc à monter le rejoindre, après tout nous sommes là les deux seuls à regarder l'entrainement dans nos coins, puis il est plutôt pas mal de loin et finalement il m'a grillée alors autant y aller, ce n'est plus dans mes habitudes d'hésiter depuis plusieurs années maintenant. Je le rejoignis donc et une fois près de lui, je lui adressais un sourire charmeur.

Qu’est-ce qu’une si jolie fille fait dans un endroit si froid, si miteux ? Je suis d’avis que votre place très chère devrait être devant un objectif, vous m’avez tout l’air d’une actrice ou d’une superstar.

Très cliché pour le coup, cette phrase et son physique, que je vois mieux maintenant, m'aident beaucoup à savoir de quel maison il peut venir ou pas. Mais en même temps sa petite phrase me fit rougir l'espace d'un instant, je contrôlais ceci en prenant mon sourire sexy et charmeur, même avec les années et la drague que je fais souvent, il m'arrive de rougir quand on me fait un compliment, même si celui-ci fait cliché.

« Merci pour ce compliment... Je pourrais en dire autant de toi. » dis-je d'une voix mielleuse « Il ce trouve que je vais parfois devant les objectifs des photographes bien que je ne sois pas superstar ni actrice » je m'arrêtais un instant, ça c'est sûr c'est pas mon rêve, mais il m'arrive parfois de faire des photos avec des vêtements pour des personnes sur le campus avec qui je m'entends bien, celles qui font des vêtements cherchent souvent des modèles et l'une d'entre elles m'a demandé à moi appréciant mon physique.

« Je viens pour patiner » repris-je tout en lui montrant les patins sur mes épaules « Et toi ? ».

Tout en parlant j'avais pris le temps de l'observer de près. C'était donc un séducteur, ses paroles le prouvaient, et maintenant que je pouvais bien le voir il était sacrément canon même, sûr de lui je dirais aussi... Je ne l'ai jamais vu à Eliot House donc on peut éliminer... Son physique est celui d'un athlète, un corps bien travaillé, bien musclé et viril comme je les aimes... Du coup je ne pense pas me tromper en affirmant qu'il doit être à Winthrop House. Je l'observais encore un instant avec une certaine envie que je ne cachais pas et lui demandais mi-amusée

« Laisse-moi devinez... tu es un Winthrop? »
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Les phrases clichées, à l’eau de rose c’est mon style, je l’avoue, ce n’est pas très originales, mais ça marche. En général, ça les fait rire, donc c’est bien pour briser la glace, mais cette dernière était énorme. Jamais je n’aurais pu anticiper la réponse de ma belle interlocutrice, à la limite je m’attendais à la faire rire, qu’elle croit que c’était une blague, mais sa réponse, malicieuse et coquine, me prouva que j’avais visé juste, le vermeille qui lui montait au joue confirma le tout. Plus j’y pense plus ce n’est pas le contenue de la phrase qui fait le travail, mais mon physique, en y réfléchissant je crois que mes phrases toute faite n’y sont pour pas grand-chose en bout de ligne, mais bon elles me font tout de même bien rire et pourquoi changer une formule gagnante. La jolie rousse me retourna le compliment aussitôt, en ajoutant qu’il lui arrivait parfois de poser, avec son physique elle ne m’étonna pas. Pour tout dire, elle était très jolie, elle avait de beaux cheveux roux, un minois pas laid à regarder et un corps d’enfer selon ce que je pouvais voir. Elle affichait un sourire sexy et charmeur, je sentais déjà le souvenir de Blake se dissiper dans mon esprit, en espérant qu’avec elle il ne se passe pas la même chose. Toujours en affichant ce si délicieux sourire elle me signala qu’elle venait ici patiner, tout en me pointant ses patins du doigt. En entendant cela j’haussai les sourcils, j’avais du mal à la croire sur une glace, elle ressemblait à ces filles de riche qui se prélasse toute la journée sur le bord de leur piscine en Californie. Elle me demanda aussi ce que moi je venais faire ici, c’était de bonne guerre.

Je suis venu voir l’équipe s’entrainer, et réfléchir du même coup, avant je jouais, ça me manque un peu. Je venais souvent réfléchir dans cet aréna, son odeur et l’air artificiel représentaient les seules choses ayant réellement été constante dans ma vie. Avec mon père et ma mère qui se battaient pour m’avoir, je venais souvent prendre un peu de recule à la patinoire du coin. Tu patine vraiment ? Renchéris-je. Pas que je t’en crois incapable, mais à première vue tu m’as l’air de préférer le shopping et la piscine aux vrais sports. Ajoutais-je sur un ton de défi.

Cette fois j’aurais mieux fait de me taire, vraiment. Restait à espéré qu’elle avait un plutôt bon sens de l’humour sinon j’étais bon pour une baffe… Tout en lui parlant, je remarquai du coin de l’œil les joueurs quitter la glace, l’entrainement était déjà fini, ça faisait déjà une heure que j’étais là à réfléchir, une chance que cette jolie blonde me ramena à la civilisation. Alors que je m’attendais à une gifle de sa part, je remarquai qu’elle semblait me dévorer des yeux, encore une fois je pouvais remercier mes parents et leurs bagages génétiques pour m’avoir sauvés la mise. Une fois l’examen de ma physionomie terminé elle affirma savoir que j’étais de la Winthrop House, étions-nous si facilement reconnaissable ? Oui! Enfin pour la plus part d’entre nous. J’étais l’exemple parfait d’un mec de ma confrérie, j’étais grand, musclé et beau comme un dieu, les filles craquaient plus souvent qu’autrement sous mon charme et j’adorais ça.

Qu’est-ce qui m’a vendu ? Dis-je en riant. Mes biceps ou ma belle gueule ? Je parlais d’une voix assuré, bien qu’au fond j’étais plein de doute. J’adoptais cette attitude provocatrice et tête brulé simplement pour tenir les gens loin de mon passé, loin de mes souvenirs.

Et toi tu me semble être de la Cabot House si je ne me trompe ? Ai-je raison ? Après tout elle avait tout pour être de cette fraternité, elle était sublime, féminine comme pas deux, et elle semblait être une vrai garce lorsqu’il le fallait. Après je pouvais me tromper, les apparences sont souvent trompeuse, mais j’étais assez doué pour deviner les gens. J’espérais toutefois, si j’avais raison, ne pas me la mettre à dos, car elle semblait sacrément déterminer et ce genre de femme n’est jamais le genre que l’on veut avoir comme ennemi.

Un frisson me parcourra l’échine, le siège de bois sur lequel j’étais assis commençait à être réellement froid et l’engourdissement commençait à gagner mes jambes, je me levai donc debout, tendant ma main à la jolie rousse. Après un moment avec sa main dans la mienne, je me présentai.

Moi c’est Jacob, enchanté, mais tu peux m’appeler Jake. Finis-je par dire faute de mieux, j’avais le sourire aux lèvres et la douceur de ses mains à l’esprit.
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Lorsque je lui avais dis que je venais faire du patin à glace, il haussa les sourcils comme si c'était une chose surprenante, qu'est-ce qui pouvait être difficile à passer dans mes propos? N'importe qui peut faire du patin à glace non? Il me dit alors qu'il est venu pour voir l'équipe s'entrainer, qu'il en avait été un lui-même avant et que cela lui manquait. Ainsi ça expliquait son physique avantageux, il était un sportif, pourquoi avoir arrêté si ça lui manquait? Je l'écoutais parler quelque peu intriguée. Après un instant de silence il fini par me demander si je patine vraiment, ce à quoi je réponds à mon tour par la même mimique qu'il avait eu quelques instants avant, je levais les sourcils surprise, il reprit aussitôt la parole comme si il avait besoin de s'expliquer, en même temps c'était le cas, parce que j'avoue que je me demande sérieusement ce qui lui fait penser ça. Il reprit donc la parole, me disant que j'ai plus l'air d'une fille qui préfère faire du shopping et de la piscine plutôt qu'un vrai sport... Okay ça c'est terriblement... macho et sexiste! Son ton semblait des plus sérieux et avec une certaine pointe de défi, ça veut dire quoi ça qu'il souhaite que je patine devant lui?

Pendant quelques instants je restais là à l'observer en silence, avec l'envie de relever ce petit défi et dans un autre sens j'avais un peu l'envie de lui faire ravaler sa langue d'une bonne baffe, ça c'est bien un Winthrop pour penser ainsi j'en suis persuadée! Mais en même temps quand je le regardais je ne pouvais m'empêcher de le trouver trop sexy pour abîmer sa belle gueule, moi faible face à un canon? Moui certainement, bah j'étais plus d'humeur taquine que méchante aujourd'hui. Finalement je choisi de lui demander si il était dans la maison Winthrop, ce à quoi il me répondit d'une certaine façon positivement me demandant ce qui l'avait vendu tout en riant avant d'ajouter d'une voix assurée si c'était ses biceps ou sa belle gueule. Je trainais assez avec des Winthrop, que ce soit des simples connaissances comme Orion ou Ezra, des coups d'un soirs ou des sexe friends comme Loukas pour connaître ses hommes par coeur. J'eus un petit rire ajouté à un sourire taquin avant de lui répondre malicieusement

« Hum... Un peu des deux à dire vrai. Mais aussi ta petite phrase d'introduction... »

Il me demanda alors de quel maison je venais, où plus précisément si je venais de Cabot House, il semblait assez sûr de lui d'ailleurs, ce à quoi je fis un petit sourire malicieux accompagné d'un levé de sourcils inquisiteurs. Cabot House? Non définitivement pas mon genre de maison, j'étais personnellement fière d'appartenir à la Eliot House, même si cela signifie que je suis bourrée aux as, ce qui est malheureusement le cas, mais dans notre famille on a pas ce besoin vital de s'en venter, oh je sais j'aurais pu choisir une autre maison alors mais bon je trouvais qu'Eliot House collait quand même bien pour moi, et mes parents auraient été déçu je pense si je n'y allais pas. En tout les cas c'était un début de conversation étrange, j'avais tout juste sur lui et lui tout faux... J'hochais alors la tête négativement en lui répondant toujours avec mon petit sourire en coin

« Non je ne suis pas une Cabot... Qu'est-ce qui te fait penser ça? » dis-je mystérieusement sans lui révéler ma maison « Tu as le droit à un autre essais... ». A ce moment-là il se leva de son siège et me tendit une main amicale, j'acceptais avec plaisir sa main, comparé à la mienne elle était chaude et puissante, un truc que j'aime bien chez les hommes, pas quand ils sont des chochottes maigrichons, qu'ils vous prennent dans les bras ou même vous serre une main sans aucune force, bref c'était pas du tout son cas. Après cet instant il fini par se présenter avec le sourire aux lèvres, Jacob mais il préférait être appelé Jake.

« Enchanté Jake... Moi c'est Candice » dis-je en faisant une pause « Mais tu peux m'appeler Candy si tu veux » conclus-je en lui faisant un clin d'oeil malicieux avant de reprendre plus sérieusement « Il me semble Jake que tu te fasses une fausse image de moi hum? » dis-je en levant un sourcil « Puisque tu faisais du hockey avant un peu de patin avec moi ça te tenterait histoire que je te prouve que je sais bien tenir sur la glace et pas qu'au bord d'une piscine même si je dois reconnaître avoir ce pêché et celui du shopping » finis-je amusée.
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Alors la jolie rousse m’avait démasqué grâce à mon physique, mais aussi en raison de mes petites phrases toutes faites, ce à quoi je répondis par un air faussement coupable. Relevant les sourcils, haussant les épaules et souriant timidement, vraiment j’étais beau à voir : je ne l’avais pas du tout, mais pas du tout. Mon air de chien battu n’était pas tellement réussi. Je me sentais comme un chien qui essayait de jouer du Piano, il croit qu’il y arrive, mais visiblement non. Le jeu de la séduction était désormais bel et bien lancé, chacun notre tour nous alternions entre défi, charme et flatterie, chacun dévoilant son jeu petit à petit. Elle semblait être plus doué que moi à ce jeu, elle n’était pas comme ces nunuches qui d’un regard de ma part fondait et se jetais à mes pieds. Non elle semblait plus distante, elle semblait apprécier cette danse, presque autant que moi si ce n’est plus. Plus je l’admire, plus je la dévore des yeux, oui parce qu’avouons nous le, je la dévore des yeux, cette jolie rousse aux courbes généreuses et au comportement aguichant a vraiment tout pour rendre un homme gaga. Partant de ses lèvres coquines, rose et qui semble douce comme tout, jusqu’à ces jolies cuisses, musclé, mais concise, sans oublier ces petites tâches de rousseur couvrant d’une manière quasi angélique son doux visage. Si j’étais une fille, je dirais que je suis peut-être en train de tomber amoureux, mais étant un mec, et Winthrop de surcroit, mes sentiments je m’en tiens loin, parce qu’après tout un homme dit un jour : «Amour. A proscrire complètement. Il ne va jamais sans émotions. Les émotions nuisent à la régularité.». Sans régularité nous ne valons pas mieux que des singes savants.

Avec mon défi à la con, j’avais peur de me prendre une baffe, après tout j’avais fait le commentaire le plus macho et sexiste qu’il m’eut été possible de faire et le moment de silence où elle m’observa longuement n’arrangeais pas les choses… J’avais cette impression agaçante d’avoir une épée de Damoclès au dessus de la tête, son air s’adoucissant rompit la tension. Heureusement.

Finalement ce n’était pas que mon corps qui trahis ma provenance, mais aussi ma façon de parler, le pire c’est que je faisais exprès de parler ainsi, je ne le faisais pas par nécessité, mais parce que ça m’amusait, j’aurais aussi bien pu être un Eliot ou un Mather, quoi qu’eux fête assez durement, je ne crois pas que mon corps aurait pu tenir la cadence bien longtemps. Quoiqu’il en soit, elle avait vu juste en moi et je m’étais trompé sur toute la ligne en ce qui la concernait, moi, prodige de la psychologie, fer de lance en devenir, pionnier de l’histoire en cours, je m’étais trompé. Visiblement j’étais perdu, tout chez elle indiquait une fille de bonne famille, qui collectionnait les garçons à ne plus savoir qu’en faire, avec peut-être une petite touche d’hypocrisie, mais je ne pouvais quand même pas lui avouer que c’est ce qui avait conduit mon choix quant à ma prévision, après tout je n’étais pas un complet connard. En fait je me suis basé sur ton physique, tu es très jolie, très féminine et tu as des petits airs coquins, et tu m’as l’air d’aimer les garçons, non ? Enfin plutôt les hommes si je ne me trompe pas. Finis-je par rajouter en riant. Vraiment ça me chicotait, je n’avais pas l’habitude d’avoir tord et surtout pas devant des jolies dames, mais bon si elle ne venait pas de Cabot elle était forcément une Eliot, je ne voyais aucun tatoue ni piercing apparent donc elle ne pouvait provenir de Mather et elle était beaucoup trop belle pour venir de Dunster ou de Quincy. Ah bon, j’ai droit à un second essai, dans ce cas, j’irais avec Eliot House, tu es beaucoup trop jeune pour être prof et avec les autres ça ne collait pas, tu n’es pas du genre à être Quincy ou Dunster. Enfin, j’espérais qu’elle ne soit pas une Dunster, une Quincy c’était tel que tel, mais avec les Dunsters je n’avais pas un très bon palmarès, Blake et Ombeline, pour ne nommer que celles-là, m’avaient causé beaucoup de problème. En fait je n’étais toujours pas tout à fait remis de ma dernière histoire, c’est pourquoi à présent c’était que pour le plaisir, l’amour très peu pour moi, après tout je suis au dessus de tout ça.

À son tour, la jolie rousse se présenta à moi, elle se prénommait Candice, mais Candy lui allait amplement. Décidemment je l’appréciais de plus en plus cette fille, surtout que souvent les prénoms allait de pair avec le caractère des gens, avec une Candice ça augure bien pour la suite des choses. Candy me convient très bien. Dis-je avec un sourire plein de sous-entendu, celle-ci j’étais prêt à l’appeler de toute sorte de nom si elle m’y autorisait, son petit sourire charmeur n’aidait pas non plus à sa cause. Comme si elle lisait dans mes pensées elle me fit part de ses doutes, elle croyait que je me faisais une fausse image d’elle, on dit souvent que l’habit ne fait pas le moine, mais néanmoins dans son cas, il restait tout de même très bien vêtu. Elle demanda alors, sur un ton joueur si je voulais descendre sur la glace avec elle, afin qu’elle me prouve l’étendu de ses capacités, amusé, je n’en demandais pas moins. C’est avec plaisir que j’accepte ta proposition, je ne suis pas encore convaincu de ton talent sur une glace, bien que je n’ai pas de mal à croire que tu excelle dans bien d’autre sphère physique, de mon coté je vais te montrer l’étendu du talent Canadien, ce que nous savons faire avec notre corps. Remplis de sous entendu ma dernière phrase se voulait être à la fois une proposition et un défi, ce à quoi j’espérais qu’elle réponde favorablement. Elle me fit finalement par de son penchant pour le shopping et la piscine, ce qui me tira un sourire. Finalement je ne m’étais pas trompé totalement sur ton compte. Dis-je souriant jusqu’aux oreilles. Chaque visite dans cet aréna était plus plaisante que la dernière, j’avais déjà hâte que l’équipe s’en aille pour pouvoir m’élancer sur la glace avec Candice. Seulement un petit détail minait mon moment, je n’avais pas mes patins, je devais très vite en trouver une paires, sinon j’aurai l’air d’un bel idiot sur la glace en espadrille.

Je pris donc la belle rousse à nouveau par la main, l’entrainant vers le bas des gradins, vers la patinoire. Ma seul et unique chance était que James, un Winthrop avec qui je m’entendais bien, accepte de me prêter ses patins. Ce n’était pas la solution qui me plaisait le plus, mais c’était l’unique qui me venait en tête. Je repérai le numéro vingt-deux puis l’interpella, après une courte discussion, il convenu à me remettre ses patins lorsqu’il sortirait du vestiaire. Je regardai alors la jolie rousse en souriant, qu’avais-je d’autre à faire.

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J'étais amusée par la situation actuelle, il faut dire que j'aime particulièrement à m'amuser à découvrir de quelle maison peut venir une personne qui me plait, généralement pour les mecs c'était les Winthrop, physiquement et même au lit y avait pas mieux qu'eux, le genre vrais mecs bien foutus de partout... enfin parfois presque partout mais passons. Les gars d'Eliot pour certains étaient aussi de purs canons mais c'était différents, ils étaient moins virils, moins hommes, plus disons dans la classe chic quoi, plus regards ténébreux comme par exemple Jesse. Les Mather eux c'était pas trop mon genre de mecs, il n'y avait que William... mon... huh cousin, qui en vaille la peine. Disons que les Mather c'est plutôt leurs nanas qui sont bien foutues! Les Dunster et Quincy j'en parle même pas, soit ils sont trop gentils et poli littéralement, trop soft aussi peut-être, soit ils sont mais vraiment pas le genre à m'attirer physiquement, comme je l'ai dis j'ai besoin d'un homme entre mes draps pas d'un maigrelet qui ressemble à un adolescent pré pubère. Enfin chez les Cabot il y avait bien là quelques superbes bombes, mais là on parle plus de mecs donc je ne m'éterniserais pas sur ce sujet. J'étais amusée qu'il se soit trompé à mon propos, je pouvais être dure à cerner, j'avais des vices dignes d'une Eliot, dans le sens que j'aime quand même le luxe par exemple pour les vêtements, surtout pour ma voiture que je vais acquérir que j'ai fait faire sur mesure, j'aimais aussi faire shopping et natation, mais j'avais d'autres aspects qu'une pure Eliot n'a pas, j'arrive à me fondre dans la masse sans me faire voir avec un air supérieur comme beaucoup d'entre nous a. Je pouvais partir faire des voyages dans des pays pauvres, visiter des villages loin de tout le luxe que je connais, je m'y en accommodais sans soucis et surtout j'aimais bien faire des choses variées dont un peu de sports de temps en temps. En l'occurrence pour le patin à glace avec ma soeur on en faisaient pas mal, surtout en hiver.

Je décidais donc de lui laisser une seconde chance au petit jeu de deviner d'où on pouvait venir, toujours avec mon petit sourire malicieux en coin. J'en profitais aussi pendant qu'il réfléchissait pour le détailler. Il était plutôt grand, un sourire charmeur, quoi d'étonnant, un regard vraiment pénétrant tout à fait le genre que j'adore, j'observais plus en détail la musculature qu'il pouvait avoir bien qu'avec tous ces vêtements c'était pas évident. Cependant ça ce voit clairement qu'il est barraque, même beaucoup! Je suis sûre que c'est tout à fait le genre de mec à pouvoir porter une femme sans aucun soucis durant certains moments intimes! Je me mordillais la lèvre inférieur durant un instant. N'allez pas comprendre ce genre de mecs aussi fort me faisait un effet certains, qualités que beaucoup de Winthrop avaient au moins! Je sortis de ma rêverie quand le canon reprit la parole pour son nouvel essais

« En fait je me suis basé sur ton physique, tu es très jolie, très féminine et tu as des petits airs coquins, et tu m’as l’air d’aimer les garçons, non ? Enfin plutôt les hommes si je ne me trompe pas. »

Mon sourire malicieux s'agrandit et je levais un sourcil appréciateur, là cette fois c'était juste, bien je pouvais comprendre qu'il ait confondu avec Cabot sur ces points-là. Il semblait vraiment bon quand même pour comprendre les gens, parce qu'en effet c'était du tout juste, je n'aime pas les garçons mais les hommes, les vrais. Ca peut faire un peu comme dire... macho mais j'aime avoir un homme fort et viril qu'une petite lopette, ils sont bien meilleurs, bien plus excitants aussi, enfin bref je m'étale. Enfin il y avait cependant une petite partie qu'il ne savait pas concernant les filles! Les premiers mots qu'il m'avait dit en reprenant la parole m'avaient fait légèrement rougir mais je ne me laissais pas démonter par ceux-ci, depuis le temps j'aurais dû m'y faire et ne plus du tout rougir mais que voulez-vous il restera toujours quelque chose de la jeune Candice. Concernant les petits airs coquin, là encore il n'avait pas tord, j'avais bien envie de jouer avec lui s'il en a l'envie lui aussi, ce qui semblait bien parti pour...

« Ah bon, j’ai droit à un second essai, dans ce cas, j’irais avec Eliot House, tu es beaucoup trop jeune pour être prof et avec les autres ça ne collait pas, tu n’es pas du genre à être Quincy ou Dunster. »

J'eus un petit rire sous sa réponse, bingo il touchait juste sur ce coup-là. Huh oui en effet beaucoup trop jeune pour être une professeur! J'étais intriguée par comment il savait que je ne pouvais être Quincy ou Dunster... Oh quoique, j'ai pas ce côté de petite fille sage qui ne fait rien, ouais c'est cliché mais certains et certaines d'entre eux je les vois ainsi... Attention j'dis pas qu'ils sont méchants hein! Je me mordillais la lèvre de nouveau en me mouvant de droite à gauche le haut du corps tout en gardant les pieds bien fixés au sol, tenant mes patins d'une main sur mon épaule, comme une petite fille coupable le ferait, mais avec un sourire malicieux toujours aux lèvres et un regard plutôt coquin, je fini par levé l'épaule d'un signe faussement coupable avant de lui répondre joyeusement « Tu vises juste cette fois! ». Je retirais alors mon faux petit aire pour redevenir plus sérieuse « Tu vois finalement tu as presque totalement juste! Je préfère en effet un vrai homme qu'un garçon comme tu dis » puis franchement pour avoir essayer, un mec sans attrait de sportif, c'est un peu comme ce faire une fille mais sans les formes hein, donc même la fille vaut mieux parce qu'elle aura des formes généreuses! « Il manque juste un petit quelque chose sur ta description et je serais complète... » dis-je mystérieusement en le regardant dans les yeux, il semblait perdu « Le côté qui aime aussi les filles » conclus-je d'un clin d'oeil. Je préférais toujours le préciser de un parce que je m'assume, de deux parce qu'il y a sur ce campus un ou deux homophobes de premières dont j'ai envie de mettre des baffes, pour ne pas dire autre chose, bien placées! Genre... McDougall par exemple! Comme je suis pas du genre à vouloir avoir une mauvaise surprise je le dis de suite! « J'espère qu'une Eliot est acceptable pour toi » dis-je à moitié amusée.

Il fut temps de se présenter l'un à l'autre, Jacob dit Jake, c'était bien comme prénom, je lui dis alors qu'il pouvait m'appeler Candy. J'adorais mon prénom et le petit nom que mes amies et amants me donnaient parce qu'il me collait particulièrement je trouve... J'aimais être appelée « bonbon » surtout dans certains moments à dire vrai. Vous trouverez peut-être ça con mais bon! « Candy me convient très bien. » me dit-il d'un sourire pleins de sous-entendu, ainsi donc il semble qu'un petit jeu s'instaure entre nous deux, petit jeu de séduction, j'aimais bien y jouer, parfois j'étais directe, parfois j'étais plus subtil, peut-être que je me trompais mais Jacob semblait le genre à aimer la subtilités que d'aller directement foncer dans le tas... Finalement je lui proposais de lui prouver que je savais un peu patiner, et puis il pourrait me montrer ce qu'il sait faire sur la glace aussi, c'était un bon moyen d'approcher un homme, la glace, chez une fille, ça a quelque chose de gracieux et attirant, enfin j'ai toujours trouvé pour ma part!

« C’est avec plaisir que j’accepte ta proposition, je ne suis pas encore convaincu de ton talent sur une glace, bien que je n’ai pas de mal à croire que tu excelle dans bien d’autre sphère physique, de mon coté je vais te montrer l’étendu du talent Canadien, ce que nous savons faire avec notre corps »

C'est qu'il me provoque le « petit » Jacob là? Je souriais en retour à ses propos en levant un sourcil comme pour lui faire comprendre un « Tu verras bien », autant pour le talent sur la glace que pour les autres talents d'ailleurs, mais de toute façon il n'avait pas tord sur la seconde partie de mes excellences physiques! J'apprenais ainsi donc qu'il était Canadien, intéressant je n'avais encore jamais parlé avec l'un d'entre eux, ni même jouer ce genre de petit jeu, et j'avais en effet très envie qu'il me montre ce que leur corps, ou plutôt le sien pouvait faire. « Hum tu n'as pas idée Jacob de mes étendues physique » dis-je mystérieusement en ayant une voix plus chaude soudainement, mais toujours en restant correcte, en jouant. « J'ai hâte de voir ça en effet... le genre Canadien est nouveau pour moi » conclus-je réellement amusée en le regardant droit dans les yeux, mon propre regard remplis de sous-entendus, acceptant son petit défi à peine caché dans ses propos.

Jacob me prit alors par la main et nous descendîmes ensemble jusqu'au bas des gradins, j'en profitais pour savourer un peu ce simple contact, il avait de la force de la main, juste ce qu'il faut quoi, la peau chaude aussi malgré le froid de l'endroit, certainement qu'il y était habitué, personnellement j'avais quand même un peu froid, enfin ça changerait lorsque je serais en mouvement d'ici quelques minutes. Il appela alors un des joueurs qui quittait la piste, il avait pas de patin c'est vrai j'y avais pas vraiment pensé. Je décidais alors de me changer pendant qu'il attendait les siens, je posais mon sac sur le premier banc et mis mes patins, j'avais pas besoin d'aller aux vestiaires pour faire ça après tout, c'est pas comme si je devais changer de tenue hein. Puis je m'approchais de Jacob en lui disant d'un ton un peu aguicheur, mais juste ce qu'il faut, pas de la plus grande des salopes non plus

« Je t'attends sur la glace... » puis je pénétrais sur la glace, normalement je risquais pas grand chose, bon comme n'importe qui il peut m'arriver de chuter mais c'était assez rare. Je décidais de rester cependant près de la barrière en attendant qu'il ait ses patins lui aussi, lui rendant son sourire.
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Vivement la glace, être là à discuter commençait à m’ennuyer, même si je trouvais cette petite danse assez amusante. Il est évident que nous étions encore loin la fin, quoi qu’il semblerait que niveau de jeu était sur le point de monter d’un cran. J’avais enfin vu juste, mon dieu que c’était bon, avoir raison était pour moi la meilleur des victoires, peut-être meilleur que le sexe, mais je m’égare un peu. Quoiqu’il en soit, j’avais vu juste et c’était tout ce qui comptait, enfin pour l’instant. Soudain elle m’avoua un petit quelque chose qui rajouta une petite touche de lumière dans la noirceur et l’obscurité de mon questionnement, elle parvint à percer le nuage du questionnement qui m’englobait, tout ça avec une toute petite phrase de rien du tout, tout ça parce qu’elle m’avoua qu’elle était bi. Je ne parvins pas à retenir mes lèvres, malgré moi un grand sourire s’afficha sur mon visage, faisant jusqu’à plisser le coté de mes yeux, et me retrousser le front. Son clin d’œil accompagnant sa déclaration vint m’achever. Si ce n’était que de moi, je serais déjà en train de la prendre, là sur l’estrade, celle d’une patinoire publique, là où à tout instant quelqu’un pouvait arriver. Cette courte, mais puissante déclaration eut en mois l’effet d’une bombe atomique, faisant s’agiter même le plus simple de mes atomes. En plus ce ne serait pas la première fois dans un aréna, ce que le hockey pouvait me manquer parfois… Je parcourrai à nouveau son corps, si beau, si femme, ainsi que son visage, elle était tout simplement magnifique. Quelles étaient les chances que nous deux, parmi tout le monde sur terre, quelles étaient-elle ? Quasiment nul, je ne croyais pas au destin, mais là presque. Avant même que j’aie pu placer un mot, car j’en étais bouche bée, j’en restais sans voix, comme un enfant devant son plus gros cadeau de noël, elle me demanda si c’était acceptable pour moi d’être avec une Eliot, mais franchement je ne savais pas quoi lui répondre. J’hésitais entre : je n’ai aucun problème avec le fait que tu sois une bleu et moi rouge, après tout ça donne bien du mauve, ou : Non t’en fait pas, j’enfile presqu’uniquement du bleu. Finalement je ne choisis aucun des deux.

«Ah c’est cool, j’avais justement besoin de fric, pour réparer ma voiture et renouveler ma garde-robe, en fait c’est plutôt cool que tu sois Eliot.» Dis-je des plus amusé.

Suite au défi que je lui avais lancé je n’attendais pas moins de mon interlocutrice, j’avais réussi à la cerner assez bien. Elle m’avait répondu avec tout au temps de sous-entendu et de coquinerie qu’il lui était possible en si peu de mot.

«J’espère dans ce cas que je ne serai pas dessus.» Ajoutais-je sur le même ton.

J’aimais bien être le genre exotique, surtout qu’aux USA nous, les canadiens, avions une assez bonne réputation, faut dire qu’aussi leur mec ne sont pas top ici, du moins pour la grande majorité. Elle avait hâte de percevoir l’étendu du talent rouge et blanc, notre mascotte était peut-être le castor, mais nous étions fort et vaillant comme des ours et j’étais bien décider à faire honneur à la mère patrie.

Alors que j’attendais mes patins elle me dit qu’elle m’attendrait sur la glace, je la regardai donc partir, ou plutôt je regardai ses fesses monter et descendre suite à ses petits pas vers la glace. Je n’eue pas à attendre longtemps pour pouvoir m’élancer à mon tour, mon co-chambreur arriva seulement quelques instant plus tard, j’enfilai ses patins au plus vite. Je courus vers la glace, les lames faisaient un bruit si doux, si savoureux en déchirant la glace, scarifiant sa surface blanche immaculé. Je fis un tour rapide de la zone avant de revenir près de Candice. Je laissai trainer l’un de mes patins alors que l’autre me poussait vers l’avant, ainsi j’arrivai doucement au coté de la jolie rousse. Je lui souris et la pris par les mains, puis je m’élançai de dos, la trainant un peu malgré elle. Je lâchai une de ses mains afin de pouvoir tourner autour d’elle, c’était tellement bon de se retrouver à nouveau sur une glace, et en bonne compagnie en plus.
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J'avais attendus avec appréhention la réponse de Jacob, je lui avais demandé si cela le dérangeait que je sois une Eliot, certaines personnes étaient très à cheval sur la guguerre entre maisons, personnellement je m'en fichais un peu, puis les Winthrop sont un peu mes chouchous. Mais lui pouvait ne pas nous apprécier, nous les Eliot, je fus vraiment soulagée lorsqu'il me dit avait humour que c'était cool, qu'il avait justement besoin de fric pour faire réparer sa voiture et renouveler sa garde robe, j'eus un petit rire sous sa blague que je prenais bien, au moins il avait le sens de l'humour c'était clair. On continuait notre petite discussion et nos petites provocations, je lui dis que le genre canadien était nouveau pour moi, mais aussi qu'il n'avait pas idée de mes étendues physiques, les sous entendus étaient vraiment clairs pour le coup. Il me dit qu'il espérait ne pas être déçu, je lui fis un sourire malicieux

« Hum généralement personne ne l'est » continuais-je sur ma lancée.

Puis nous descendîmes donc vers le bord de la glace, en attendant que son ami lui apporter les patins je choisi de mettre les miens et d'aller sur la glace, je lui dis que je l'attendais alors sur la glace. Je décidais de rester tout près de la barrière pour ne pas qu'il soit seule mais je me permettais de simples petits aller et retour, tout en attendant. Rapidement Jacob me rejoignis sur la glace, il fit d'abord un tour de piste, il semblait heureux d'être sur la glace et je pouvais observer à mon aise son talent sur des patins, il semblait vraiment doué, et puis l'observer lui, ses muscles en mouvements, vraiment un canon. Puis il arriva doucement à ma hauteur en me souriant alors qu'il me prenait les mains et commença à patiner de dos, sacrément doué, je me laissais guider quelques instants par lui, à l'aise sur mes patins moi aussi. Après un instant il lâcha une des mes mains pour tourner autour de moi, mon sourire s'agrandit alors qu'un petit rire s'échappait d'entre mes lèvres. C'était différent de la drague habituelle y avait pas à dire, mais c'était aussi vachement agréable, quelque chose de nouveau, puis il était sympathique aussi. Je le laissais faire quelques instants, tournant autour de moi avant que je lui lâche la main pour faire quelques mouvements un peu plus loin, j'en profitais alors pour tourbillonner sur moi-même avec grâce avant de revenir vers lui presque en volant, je fis deux ou trois fois le tour de sa personne avant de venir m'accrocher à sa taille en rigolant. « Alors tu vois? Je sais réellement tenir sur des patins! » dis-je d'une voix toujours joueuse
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