the hatred gives a reason for living. (maxwell)

the hatred gives a reason for living.Une semaine. Une semaine que je n'ai plus reparlée à mon meilleur ami. Celui que je considérais comme un deuxième frère. Celui avec qui je passe le maximum de temps. Celui avec qui je parlais de femme. Il m'a fait une révélation que je ne suis pas prêt à accepter. Je suis au Chili pour deux semaines. Je veux profiter de mon spring break correctement. C'est pour cela, que je picole tous les soirs, que j'essaye de draguer à droite à gauche sans avoir de succès jusqu'à présent. Je ne perds pas espoir, loin de là. Je sais que tôt ou tard, j'arriverais à draguer une femme. Que je passerais à l'étape supérieure avec elle. Ce n'est qu'une question de jour. Ce soir, après une bonne douche je me dirige vers le bar de l'hôtel. On me l'a recommandé. J'ai envie de le tester ce soir. Je m'approche du comptoir pour réclamer mon verre de vodka. Je n'ai pas envie de perdre mon temps. J'en ai déjà assez perdu entre Alaska et Maxwell. Je ne veux pas recommencer une troisième erreur. Je récupère mon dû en l'avalant d'une seule traite avant de me diriger vers la piste de danse. Je me colle un peu plus contre une jeune femme. Elle ne semblait pas vouloir, elle ne cesse de me repousser. Mais, ne voulant pas je continue à me coller contre elle ... Chose que je n'aurais pas dû faire, puisque le mec de la soi-disant femme vient à mon encontre pour me bousculer. J'étais à deux doigts de me jeter sur cet individu.

the hatred gives a reason for living.Déjà une semaine se sont écoulées depuis ma dispute entre moi et Sam. Le temps passe si vite, et moi qui croyait que ce jour n'arrivait peut-être jamais, que notre amitié était si forte et que personne ne pouvait nous séparer tous les deux. Bah je me suis encore trompé comme une pauvre merde, encore une fois mon petit Maxwell. Pourquoi me faire une crise de jalousie alors qu'Alaska et lui n'était plus ensemble depuis un bon petit moment. Hein ? Je ne comprenais pas du tout la réaction qu'il a eu sur le moment. Bon ok il a eu des sentiments forts pour elle, mais ce n'est pas pour autant qu'il doit me dégager de chez lui seulement pour une fille avec qui il a coupé les pomps. Fin', j'sais pas moi c'est quand même mon meilleur ami, et je ne me vois pas du tout vivre sans lui. C'est mon frère, c'est mon tout, celui avec qui je discute de femme régulièrement. Puis j'avoue que cette histoire m'agaçait plus que tout, j'en avais marre de me prendre toujours les problèmes dans la face. Moi, Maxwell Steadworth, le renoi qui porte tout le temps malheur à ses proches involontairement. Bref, en ce moment je me trouvais au Chili, donc je ne me casse pas le cul pour des conneries et je fais tranquillement la fête en oubliant tous mes problèmes. Je récupère les deux verres qui m'a été servit par le barman, je le remercie en faisant signe et je me dirige vers une fille avec qui je faisais connaissance depuis tout à l'heure. Et là, j'aperçois quelqu'un qui m'était drôlement familier. Une rage s'empara de moi en remarquant la personne qui était le seul et l'unique Florès entrain de fricotter avec la jeune fille. Je m'approche de lui petit à petit en le bousculant afin de servir le verre à la jeune femme qui était devant moi. Dégage, il y a pleins de meufs ici. Lançais-je d'un ton froid et désagréable à son égard. Il n'a pas intérêt à me casser les burnes, sinon la guerre mondiale va officiellement commencer.