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We can let this drift away. ~ Amanda

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We can let this drift away.


L’heure du Spring Break était enfin arrivée. Depuis le mois de novembre, la vie du jeune professeur de Psychologie n’avait cessé de prendre des tournures inattendues, passant par des rencontres plus singulières les unes que les autres mais également des moments intenses et parfois compliqués à gérer, comme ce fameux jour de Janvier où Amanda avait tenté de mettre fin à ses jours. Un lien très fort s’était tissé entre eux et bien que leurs entrevues se soient rapidement transformées en simples séances d’accompagnement, un sentiment étrange habitait Carlisle à chaque fois que la demoiselle venait à son cabinet en consultation afin de prolonger son suivi. Mais entre le début de ses cours, ses consultations, recherches et nombreuses sollicitations de la part du corps universitaire, ce sentiment était quelque peu passé au second plan.

Lors d’une consultation qui avait eu lieu quelques semaines auparavant, Amanda avait évoqué avec enthousiasme un voyage au Chili, organisé par l’Université pour les étudiants ainsi que le personnel. Dans un premier temps, le professionnel avait pris le dessus, y voyant une formidable occasion pour la demoiselle de se changer les idées et d’aller de l'avant, sans vraiment envisager que lui aussi, pouvait prendre un peu de bon temps. Mais finalement, pourquoi ne pas en profiter comme tout le monde ?

Après tout, aussi loin qu’il s’en souvienne, le jeune homme n’avait jamais vraiment eu de vie sociale ni profité de ce que beaucoup qualifient comme étant « les plus belles années de la vie ». Ses années d’études avaient uniquement été consacrées à l’excellence dans tout ce qu’il entreprenait, sans s’accorder le moindre répit. Et à bien y réfléchir, mis à part quelques aventures sans lendemains ou passades « sentimentales », sa vie affective était également toujours passée au second plan. Pas très équilibré pour un Psychologue de renom, tout ça…

La semaine précédant le départ, Carlisle avait annoncé à Amanda qu’il partait également au Chili et qu’il espérait bien pouvoir l’y croiser et passer un peu de temps en sa compagnie, gardant à l’esprit leur voyage si particulier à New-York et la semaine qu’ils avaient passé ensemble. La naïveté avait été de mise pendant quelques jours tant il se persuadait qu’il s’y rendait simplement pour rattraper le temps perdu et s’éclater avec les étudiants dans un pays au climat torride. Cependant, au fond de lui, il lui semblait percevoir assez aisément que la véritable raison était simplement de pouvoir passer à nouveau du temps avec celle qui avait partagé sa vie durant une semaine. Se voiler la face était naturel et nécessaire à son équilibre mental tant les enjeux étaient conséquents.

Durant les jours qui suivirent, Carlisle n’avait cessé de se documenter sur leur destination et sur le mode de vie des étudiants Américains, établissant pratiquement un plan stratégique afin de se fondre dans le décor et revenir à nouveau dans la peau d’un étudiant. Faire la fête, boire, s’amuser, prendre du bon temps et surtout, ne pas se prendre la tête, ce dernier point était absolument crucial et non négociable, du moins à priori.

Le vol s’était passé sans le moindre problème et la première journée sur place allait purement et simplement être dédiée à la réflexion et à la détente. L’air frais et le soleil, le dépaysement complet, tout se prêtait à la fête et finalement, ces vacances étaient bien plus nécessaires que le jeune homme n’avait pu l’envisager, se rendant compte de la charge psychologique accumulée depuis des mois. Promenade, cocktails et détente rythmèrent les deux premières journées passées au Chili au milieu des étudiants.

Le troisième jour en début de matinée, une idée surprenante de simplicité vint s’imposer à l’esprit de Carlisle. Pourquoi ne pas inviter Amanda à venir le rejoindre pour discuter autour d’un feu sur la plage de Puerto Saavedra, en début de soirée ? Lui qui en général usait de tours et détours lorsqu’il désirait passer du temps avec une personne se surprit à vouloir faire les choses simplement et sans arrière pensée. A la trappe le roi des manipulateurs et le comportementaliste, au diable les simagrées, mort à l’anticipation. Autant vivre un peu le moment présent sans faire de projections inutiles ou farfelues ni s’encombrer l’esprit de détails sans intérêt. La simple envie de voir Amanda et de passer un peu de temps en sa compagnie se suffisait à elle-même.

Sans y réfléchir trop longtemps, le jeune homme prît son portable afin d’envoyer un SMS à la demoiselle, lui donnant rendez-vous à 21h sur la plage, non loin des rochers, avec une photo de l’endroit préalablement repéré la veille ainsi qu’un petit plan avec un repère. Clair, simple et précis, sans prise de tête, bien que quelques heures de route étaient nécessaires. Le reste de la journée se passa de la même manière, partagée entre course sur la plage, baignade et méditation. Une fatigue saine et douce envahissait à présent le corps engourdi de Carlisle qui ne s’était pourtant jamais senti si vivant de toute son existence.

Aux environs de 20h, il se rendit sur place avec une voiture de location et y alluma un petit feu avant de lire un livre paisiblement à la lueur des flammes dont le doux crépitement familier avait un effet apaisant et libérateur. Ne sachant pas si il allait passer la soirée seul ou non, le jeune homme avait préféré garder couvertures et nourriture dans son sac, les boissons étant entreposées dans une petite glacière contre laquelle il s’était adossé. L’idée de voir Amanda et de parler avec elle le réjouissait, son sourire et ses éclats de rire à nul autre pareil illumineraient encore un peu plus ce séjour qui s’annonçait d’ores et déjà mémorable.

Au final, il n’avait préparé aucune tenue qui soit adéquate et propice à la détente. C’est donc vêtu d’un simple pantalon noir ainsi que d’une chemise blanche dont les manches avaient été retroussées, pieds nus dans le sable, que le jeune homme se préparait à passer la soirée. Totalement inadapté, complètement décalé, typiquement British, impossible de renier ses origines. Quelques minutes avant 21h, il détacha sa montre et la déposa dans la poche avant de son sac, décidant de ne pas se soucier de l’heure qu’il était. Fermant les yeux, le jeune homme s’allongea dans le sable avec une mine paisible, vivant tout simplement l’instant présent sans la moindre pensée parasite à l’esprit. Des bruits de pas approchant le sortirent de sa torpeur et c’est sans ouvrir les yeux ni changer de position qu’il parla à voix haute.

« Bien le bonsoir, Mademoiselle Connor. Si vous voulez bien vous donner la peine… »

Ce n’était peut-être pas Amanda mais une personne passant simplement par là, peut-être son esprit lui avait-il joué un tour. Au final, la réponse ne tarderait pas à venir et c’est le sourire aux lèvres, allongé dans le sable tout en inspirant profondément l’air frais du soir, que le jeune homme laissa le destin se charger de lui répondre.


Carlisle & Amanda
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We can let this drift away
Carlisle & Amanda


Le vendredi quatre mars sonnait pour moi la fin de deux mois de galère et le début d’une potentielle nouvelle vie. C’était la scission même entre le passé et l’avenir, c’était la raison pour laquelle j’étais on ne peut plus excitée à l’idée de prendre l’avion et de m’éloigner de tout ce qui me rappelait les derniers événements tragiques qui m’étaient tombés dessus. C’était l’heure du spring break et c’était bien la première fois que j’allais participer au voyage organisé par Harvard. Effectivement, les années précédentes, je passais toujours ces deux semaines de vacance en Norvège, auprès de mes parents. Désormais, la question ne se posait plus et même s’il avait été difficile pour moi d’accepter ce fait douloureux, une partie de mon esprit savait que ce changement d’environnement ne pouvait être que bénéfique, tant pour mon moral que pour ma santé.

C’est tout simplement que je finissais, le matin même du départ, d’organiser et de remplir ma valise de vêtements en tout genre. J’avais prévu tout ce qu’il fallait pour le climat chaud et humide du Chili. Etant quelqu’un de très prévoyant, je m’attendais à tous les cas de figures possibles et inimaginables, alors, je partais les bagages lourds mais surtout, les bagages bien rodés. Cette expérience allait sembler être l’une des plus formidable de ma vie et j’avais hâte que cette aventure commence. Deux seuls mots animaient ma bouche  durant les derniers jours qui avaient précédé le départ: Spring Break. Je bassinais mon entourage avec ceux-ci et imaginais sans cesse de nouvelles choses à faire pendant les deux semaines qui allaient arriver.

Le départ avait eu lieu et toujours avec la même hâte, j’étais complètement excitée, toujours et autant, certainement même de plus en plus, au fur et à mesure que les heures avançaient. Nous étions à peine arrivés à l’aéroport de Santiago de Chile qu’il fallait déjà repartir avec un second vol pour atterrir à Temuco, notre destination finale. Nous avions rejoint l’hôtel directement au vue de l’heure tardive et j’avais été complètement ébahie devant tant de dépaysement. Nous avions beau être sur le même continent, j’avais l’impression d’être arrivée sur une toute autre planète ! La verdure était prédominante et je n’avais jamais observé d’aussi beaux paysages qu’à cet instant, j’étais au summum de l’extase, moi qui aimais les découvertes et les randonnées en tout genre. J’avais une chambre seule étant donné que mes deux meilleurs amis avaient optés pour une chambre en amoureux chacun. Cela ne me dérangeait pas plus que cela, j’avais ma tranquillité, toute la place dont j’avais besoin et le calme absolu. Puis, si j’avais envie d’aller les retrouver, il ne tenait qu’à moi de les rejoindre dans leur chambre étant donné la proximité de ces dernières.

Au jour numéro deux, nous avions visité la réserve de Huilo Huilo et encore une nouvelle fois, j’avais été marquée par toute cette splendeur, toute cette magnificence, tout ce qu’au final, la nature nous apportait et tout ce que nous avions oublié d’apprécier en tant que citadins. Cette première journée marquait le début de deux semaines hors du commun et mon cœur ne cessait de réclamer davantage de surprise, voulant accroître les images souvenirs qui s’encraient une à une dans mon esprit. Le soir, j’avais assisté à la soirée de bienvenue et je n’avais aperçus ni Bonaventure, ni Summer et ni Carlisle. Me doutant qu’ils devaient être occupés à autre chose, j’avais laissé mon téléphone de côté et avais profité de la soirée comme il se devait.

Au jour trois, il n’y avait rien de prévu, nous étions libre de faire tout ce que nous voulions et c’est alors que j’avais décidé de me reposer enfin. Les deux derniers jours n’avaient pas été de tout repos et j’avais passé de petites nuits, alors, ce jour était idéal pour que je me remette d’aplomb pour pouvoir continuer à profiter pleinement de ce spring break. C’est ainsi que la grâce matinée rythma le début de ma journée. J’avais flemmardé dans mon lit tandis qu’il y avait plein de belles choses à découvrir encore. Néanmoins, j’évitais de me culpabiliser, le sommeil étant pour moi quelque chose d’important, je ne voulais pas que ma fatigue aie une répercussion sur les jours où nous avions quelconques visites prévues. La journée se passa tranquillement, sans que je ne me soucis de rien, j’avais été visité les alentours de l’hôtel en solitaire et avec un appareil photo et c’est ainsi que les heures défilèrent sans même que je ne m’aperçoive de l’heure à laquelle je rentrais. Dans l’après-midi, je reçus un SMS, étrange vu les conditions dans lesquelles nous étions tous, mais je ne me posai aucune autre question et le lis tout en arborant un sourire sur les lèvres. Carlisle m’invitait au bord de la plage le soir même. J’étais absolument conquise par cette nouvelle, je ne pouvais espérer mieux alors que je commençais à m’ennuyer. Je me mis à rebrousser chemin pour pouvoir aller me préparer et lorsque je fus rentrée à l’hôtel, je me mis à sillonner les couloirs à toute vitesse. Je ne savais pas réellement pourquoi mais une sorte de feu bouillonnant avait pris mon corps d’assaut et il me tardait de rejoindre le jeune homme.

A bien y réfléchir, cela faisait un petit moment que nous ne nous étions pas vu. Entre le voyage et tous les préparatifs, cela devait faire plus d’une semaine et demie que je n’avais pas été allongée sur son canapé, à compter mes rêves. Le sourire ne me quittait plus, je pris une rapide douche sous laquelle j’inspectais absolument tous les recoins de mon corps, ne laissant dépasser aucune imperfections. Lorsque j’en sortis, deux serviettes vinrent entourer ma poitrine et mes cheveux. Je me mis à me maquiller en essayant de respecter des règles fondamentales pour que je puisse plaire au professeur. Loin de moi  l’idée de le draguer ou encore de le chauffer… Mais en conséquence des événements qui s’étaient passés entre nous, je supposais qu’une étape supérieure s’offrait à nous, ce soir-là, je n’allais être ni sa patiente, ni son étudiante. Nous serions deux être à part entière qui pouvaient exercer sur l’autre tout ce qu’il voulait et tout ce dont nous étions enviables de faire. Ce rendez-vous sonnait bien plus comme un rendez-vous galant plutôt qu’une séance de psy ou un cours supplémentaire, ce n’était rien de commun à tout ce que nous avions fait ensemble auparavant. C’était la raison pour laquelle je voulais m’apprêter comme il se devait, pour être absolument bien dans ma peau et que je puisse offrir à Carlisle une nouvelle vision de moi, celle qu’il n’avait pas encore eu l’occasion de découvrir. L’Amanda qu’il avait connu était bien loin de celle que j’étais parvenu à redécouvrir et j’étais absolument fière de tout cela, de tout le parcours que j’avais eu.

Un trait d’eyeliner sur chaque œil, une bouche rouge et les pommettes rosées, tout cela concluait enfin ce maquillage élaboré. Je retirai la serviette qui entourait mes cheveux et me mis à les sécher très grossièrement, voulant surtout qu’ils restent naturels et ondulés. Le corps parfaitement sec, je retirai le deuxième tissu qui tenait le tour de ma poitrine et pris mon soutien-gorge blanc fétiche pour le positionner correctement. Je l’adorais, il était parfaitement ajusté à la petite taille de mes seins mais parvenait à illusionner une grosseur plus définie. Par la suite, je passai ma culotte assortie et me mis à me regarder dans le miroir, feintant être une top model. Bien que mes côtes creusées chamboulaient quelque peu le tableau, je me plaisais ainsi et j’arrivais à voir un quelconque potentiel en moi. Après avoir passé un short en jean et un haut en mousseline rose pâle, j’accrochai à mes oreilles deux perles de cultures qui illuminaient quelque peu l’entourage de mon visage blême. En me regardant une dernière fois dans la glace, j’inspirai un grand coup avant de me lancer à moi-même : « Aller, courage. » J’avais perdu l’habitude des rendez-vous galants et tout ce qui tournait autour de la drague en général mais dans tous les cas, j’essayais de relativiser en me disant que Carlisle était un homme très gentil et que quoi qu’il allait arriver, rien ne se passerait contre mon désir.

C’est ainsi qu’après une bonne heure de préparation, j’appelai un taxi pour qu’il puisse m’emmener à ma destination de prédilection. Je ne savais pas du tout où cela se situait et j’étais bien heureuse qu’une voiture puisse m’y conduire. J’espérai le chemin assez court étant donné l’heure tardive à laquelle j’étais partie et arriver en retard me rendait parfaitement stressée. J’avais pris une veste en jean car j’avais remarqué que les soirs se faisaient froids et dans mon sac était déposé un maillot de bain car je m’étais dit : « Au cas où. » C’était certainement idiot car Carlisle n’allait jamais accepter de se mouiller à cette heure mais il me semblait que j’avais encore beaucoup à apprendre de lui et que parmi toutes les facettes que j’avais découvertes, celle de la folie restait certainement celle que j’attendais le plus.

Il me fallut presque une heure trente pour arriver à destination, le taxi allait me revenir à beaucoup d’argent mais je m’en contrefichais au finale. J’offris au conducteur un billet de cent dollars et il me rendit un peu de monnaie que je rangeais immédiatement dans mon portefeuille. J’avais trente minutes de retard et je priais pour que le professeur ne m’en tienne pas rigueur, au pire, j’avais quelques bons arguments à lui fournir. Je sortis de la voiture et me hâtais vers la plage où j’observais de loin quelques flammes dansant au gré du vent. Je vis également une silhouette ombragée allongée dans le sable, pensant immédiatement que cela devait être mon compagnon. Je me mis à courir puis à ralentir la cadence au fur et à mesure que je m’en approchais jusqu’à m’arrêter devant lui. Rien n’avait changé, il portait toujours cette même chemise –Ça devait certainement en être une autre, mais en tout cas, elle ressemblait fort aux précédentes- et toujours ce même pantalon mais c’était tout à mon honneur puisque je le trouvais terriblement séduisant dans cette tenue qui le rendait à la fois strict et classe. Ses yeux étaient fermés et il se mit à articuler quelques mots, me saluant et me sommant par la suite de prendre place… Cela me fit légèrement ricaner, il était mignon, il était sûr que c’était moi et pourtant, j’avais très envie de plaisanter avec lui. Je pris une voix un peu plus rauque et me mit à dire : « Es una playa privada señor ! » Je ris de bon cœur avant de me mettre à genoux juste en face de son crâne. « Bonsoir Monsieur Bellamy. » Je m’approchai de son visage doucement, délicatement et déposai sur sa joue droite un léger baiser, les lèvres frôlant presque uniquement sa peau douce et bien rasée. « Désolée pour le retard… » Ajoutai-je tout en joignant entre mes cuisses mes deux mains. J’observais les alentours et me rendit compte que le soleil était déjà couché et qu’uniquement le feu nous éclairait. L’ambiance était romantique et paisible. Dans mon esprit tout était en train de se calculer, le rapprochement, les discussions et le baiser, peut-être voire plus… J’espérais au fond de moi que les choses allaient s’accélérer entre nous et que nous pourrions enfin profiter de ces moments que nous attendions tant. En tout cas, que moi j’attendais. « J’espère que tu n’attends pas depuis trop longtemps. » Continuai-je tout en roulant légèrement les yeux sur le côté. « Bon, pour me faire pardonner je t’offrirais une surprise quand on rentrera. » Dis-je sans vraiment penser aux conséquences de ces mots, étant bien consciente que je n’avais aucune idée de ce que j’allais bien pouvoir lui offrir…

 



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