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Solvean ♥ We could be forever happy

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Mon premier Spring Break en tant que professeur. C'est bizarre comme sensation de se retrouver ici, un peu dans un statut d'ancien malgré le fait que mon age ne soit pas tellement éloigné de la moyenne. Mais il fallait que je sois ici, il fallait que j'oublie les erreurs commises juste avant l'arrivée. J'avais vraiment envie de profiter un maximum de ce séjour, sauf que j'avais pas mal de choses sur la conscience, qui m'empêchait d'être totalement moi. De toute façon, depuis la dispute avec ma petite amie, je ne suis plus moi. Je suis devenu un sombre connard qui ne sait plus, qui ne sait pas. Un connard qui devient arrogant et méchant juste parce que son égo en a prit un coup. Mais aussi un con qui a fait n'importe quoi. Je me trouvais dans la chambre d'hôtel prise avec Solveig. La situation entre nous est tendue. Sauf qu'il était hors de question que je fasse chambre a part. Je m'en foutais que notre couple soit de plus en plus officiel auprès de tout le monde. Que mon poste soit en danger ou non. Pourtant, je ne sais pas si notre couple tiendra la route. Pourtant. Elle a été la pommade qui refermait ma blessure. C'est elle qui a été ma porte de secours. Je n'étais pas bien et elle m'a sortie du gouffre dans lequel j'étais tombé. Sauf que c'est elle qui m'a entrainé dans cette chute. Ma bouée s'est barrée.

Il faisait chaud. Ce qui n'est pas plus mal, vu que ces derniers temps je ne pouvais pas sortir sans pull. Mais là, j'étais torse nu, un simple short et bien sur un boxer en dessous. Des tongues aux pieds, j'étais debout sur le petit balcon de la chambre. Je regardais les gens en dessous, me demandant combien d'entre eux passerait un bon ou un mauvais séjour ici. Je devrais plutôt faire le pari sur ma propre personne. Mes pensées n'étaient plus tellement bonnes, mais je tentais de garder un sourire sur mes lèvres. Je suis en vacances non? La porte de la chambre fait un bruit, et je tourne automatiquement la tête. Solveig. En même temps, personne d'autre n'avait la carte pour rentrer donc bon. Et bien qu'il y ait tout ce chaos entre nous, elle reste à mes yeux; la seule femme capable de me faire sourire pour un rien. Elle est à trois pas de moi. Et je m'évade du balcon pour venir vers elle silencieux. J'avais juste envie de profiter un peu d'elle. De son retour. Aussi éphémère soit-il. Cependant, je ne donne aucun geste tendre. Je me contente de la fixer et de lui demander   " Tu étais où? "   Bah oui, c'est la fin de matinée, il doit même être midi la. Et je ne l'ai vu qu'au réveil. Dès que je suis sortie de la douche, elle n'était plus là. Alors je me montre un peu jaloux, et curieux, ce qui marque mon souci de confiance. Malgré que l'adultère, c'est chez moi qu'il a été réalisé. Mais Elle me manque. C'est pas un manques de gamin ou d'enfant abandonné. C'est vrai quoi, merde. Elle est là; mais elle me manque. J'aimerais qu'elle me prenne dans ses bras. Qu'elle me dise que ça va aller, que tout ira bien, que nous avancerons main dans la main, comme nous l'avons tant de fois fait. C'était drôle, c'était nous, c'était tout. Je veux juste qu'elle revienne. Et que nous allons écrire notre aventure aux allures obscures de nos corps qui se mélangent.
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— with dean carmichael.

Ah le Spring Break, dire que l'an dernier j'y étais avec l'homme qui me servait de mari et que c'était à cette triste époque que l'idée du divorce lui avait traversé l'esprit. Mais aujourd'hui, j'étais la avec Dean et j'ai l'impression que je n'aurais peut-être pas dû venir, c'est tendu,  je ne sais pas où tout cela va nous mener mais j'ai l'impression que plus le temps passe, plus on s'enfonce, plus on glisse doucement vers la fatalité qu'est la rupture. Mais je ne veux pas me séparer de lui, ce serait trop simple de se dire qu'au premier obstacle on arrête tout. On stoppe tout et on fait nos chemins séparément. Pourquoi est-ce que cela devrait être comme ça ? Après tout, la confiance s'acquiert et je suis confiante, je sais que Dean me refera confiance un jour, j'en suis persuadée. Quoi qu'il en soit, je suis bien ici, dans un endroit autre que son appartement, ma galerie, mon studio et j'ai l'impression qu'on pourra se créer des souvenirs plus beaux les uns que les autres si l'animosité qui nous anime ne s'envenime pas. Du plus profond de mon être j'espère que ce n'est pas ce qui va se passer, je ne supporterais pas d'être encore la personne qui a couru à notre perte.

Depuis notre dispute, je me suis remise au sport et il n'y a pas à dire, ça fait du bien. Même si les courbatures sont présentes, je suis bien heureuse de me remettre à prendre un tant soi peu soin de moi, et de ne penser à rien d'autre dans ces moments la. Même si parfois, je repense à ses mots, à ses gestes, j'y pense beaucoup moins et c'est le principal. Aujourd'hui, j'avais prévu d'aller courir, sur la plage avant de me battre avec les machines de la salle de sport de l'hôtel. Lorsque je suis partie, Dean était dans la douche et c'était tant mieux, je ne veux pas avoir de comptes à lui rendre, même si je me doute bien que quand je rentrerais dans la chambre, il m'en demandera. Attrapant ma serviette de sport, j'essuie mon front trempé de sueur et je procède à mes étirements avant de me jeter sous la douche bouillante de la salle et je me remets à penser, encore et encore, encore et toujours. Il faut vraiment que j'arrête de le faire, cela devient clairement insupportable. Lorsque je sors de la douche, j'enfile la robe légère que j'avais prévu pour l'après-sport et je soupire un grand coup avant de franchir quatre à quatre les escaliers qui me mèneront à ma chambre. Une fois devant, j'hésite à faire demi-tour, à fuir, à le fuir et je sais que je ne dois pas, que de toutes façons fuir les problèmes ne les empêchent pas. J'entre alors dans la chambre tout en déposant mon sac de sport sur le sol et lorsqu'il se tourne, mon coeur loupe encore et toujours ce raté que j'ai depuis qu'il m'a avoué ses sentiments. Puis lorsqu'il s'approche, je ne sais malheureusement pas quoi faire. Est-ce que je dois le prendre dans mes bras ? L'embrasser ? Tellement de questions tournent dans ma tête. Ou étais-je. Voilà, inspecteur Carmichael à l'écoute. Je lève les yeux au ciel avant de répondre « J'étais à la salle de sport » Et je le regarde, je le détaille, le dévisage presque avant de m'approcher de lui, sans un bruit, sans un mot, j'entoure doucement son corps de mes bras fins. Déposant ma tête contre son torse, je m'autorise quelques instants de répits dans cette guerre sans merci. Mais je ne dis rien, je ne veux rien dire. On dit que parfois le silence à plus de forces que les mots.

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Malgré mes quelques pensées néfastes, mon esprit ne bouillonnait pas. Je me sentais calme, froid comme une truffe de chien bien portant ou comme la patte d'un serpent. Pourtant, quand Elle rentre dans la chambre, au plus profond de mon âme, cela a fait comme le chant d'un coq, au petit matin.

Elle… Un rêve de volupté durant une éclipse ! Beauté magnifique, au sourire à fendre l'âme d'une bûche en cœur de chêne, le regard profond et pénétrant jusqu'à la douleur. Ses yeux, dont la flamme traverse le crépuscule, attirent, subjuguent et dévorent le regard de l'imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiés, ses étoiles qui commandent la curiosité et l'admiration, on ne les apprivoise pas. Les miens ne lâchent pas pour autant, et le silence devient un peu trop lourd. Je me questionne sur son activité matinale, vu que depuis ma sortie de la douche, je ne l'ai pas vu. Forcément, je prouve ma méfiance et ma curiosité en lui demandant où elle était. Mais je reste immobile, comme ci je ne savais plus comment agir. Ses yeux survolent le plafond, et je reçois la réponse a ma question. Je fais un sourire léger, et je la regarde s'approcher de moi doucement. Quand ses bras entourent ma taille, je lève les miens pour en faire de même tendrement. Sa tête sur mon torse, je respire lentement pour ne pas trop lui bouger. Ma bouche se positionne sur le sommet de son crâne, dans ses cheveux qui sentent si bon. Je ne voulais pas trop faire le méchant, bien que des fois c'est incontrôlable. Mais mon visage se redresse un peu pour lui dire dans un presque murmure   " La prochaine fois que tu vas faire du sport. Préviens moi, je viendrais avec toi. "   Oui, je suis professeur de sports, donc c'est toujours un plaisir pour moi d'en faire. Et puis, a part celui de chambre, je n'en ai jamais fait avec ma petite amie. J'avoue que je revois un peu la tête de Noah a l'instant quand il me disait au repas de noël que ma rouquine était une adepte de la boxe. Je secoue un peu la tête comme pour sortir ça de mon cerveau. Ses mains dans mon dos nu me faisait du bien. Et je m'en voulais, je m'en voulais de ce que j'avais fait avant le départ pour ce spring break. Mais je ne pouvais pas lui dire, je ne pouvais pas risquer de lui gâcher ce séjour comme le mien avait été gâché au road trip. Mes doigts s'entrelacent, en la gardant dans le cercle que forme mes bras. Et je demande  " Tu as envie de faire quelque chose? Rester ici à deux, faire un tour, aller a la piscine,... Ce que tu veux. "  En espérant que sa réponse ne sera pas une demande d'explication et de sincérité. J'ai bien trop peur de la perdre, j'ai bien trop peur de lui briser le coeur une deuxième fois. Je ne supporterais pas, mais d'un coté je ne peux pas lui avoir reproché de mentir, si j'en fais de même. Sacré dilemme! Mes mains se détachent, et remonte pour lui attraper la tête. De chaque cotés de son visage, je colle un peu mon front au sien pour la fixer dans les yeux tendrement, lui offrant même un sourire. Je sais que je suis entrain de tenir ma vie   " Tu es magnifique. "   Pourquoi je dis ça? Aucune idée, je voulais simplement lui rappeler qu'elle est sublime, tellement belle. Et qu'elle mérite tellement mieux.
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— with dean carmichael.

Il y a des sourires qui ne trompent pas, et il devrait savoir que quand je suis avec lui, je ne souris pas pour montrer que tout va bien alors que je suis la plus triste des personnes mais parce que je suis bien avec lui. J'aime quand il me dit des choses tendres, quand ses mots caressent l'air afin de me donner une sensation de bien-être et de plénitude. Je suis amoureuse de lui, il faudrait qu'il le comprenne, qu'il se dise que ce n'est pas du vent, pas des mensonges. Je ne veux pas lui mentir, je ne veux pas tâcher sa confiance comme j'avais pu le faire auparavant. Tout ce que je souhaite, c'est que tout redevienne comme avant, que ses yeux brillent quand il me regarde et que son éternel sourire que j'aime tant, contamine ses yeux.

Sauf que je sais que rien ne sera comme avant, je le vois bien, je le sens bien. J'ai l'impression que notre relation est telle un vase que l'on a recollé et sur lequel on voit encore les fêlures qui ne disparaîtront jamais. Il sait qu'il m'a brisé le coeur, il le sait, j'ai encore cette sensation douloureuse qui me transperce de part en part quand le matin, il n'est pas là alors que je me réveille. Comme s'il était parti et qu'il ne reviendrait jamais. Je ne veux pas penser à cette triste et douloureuse éventualité mais peut-être que c'était ce qui allait se passer un jour. Sauf qu'évidemment, je ferais tout pour que cela n'arrive pas. C'est d'ailleurs pour cette raison que lorsqu'il me demande d'où je reviens, je ne lui mens pas, je n'opte pas pour le fait d'être sur la défensive pour le blesser comme il me l'a fait. Dans cette guerre à l'amour, je ne veux pas être celle qui blesse. Alors je lui dis simplement la vérité, même si toute vérité n'est pas bonne à entendre, celle ci n'est pas mauvaise. Lorsque nos corps se retrouvent, se redécouvrent d'une certaine façon j'ai mon palpitant qui s'affole. Comme si il se remettait à battre pour vaincre le manque qui me rongeait de l'intérieur. Je me demande bien quelle va être sa réaction et lorsque je sens ses bras qui m'entourent, je suis soulagée, encore plus quand je sens ses lèvres sur le sommet de mon crâne. Peut-être que finalement nous sommes sur la voie de la rédemption. « Ce sera avec plaisir... En plus, j'aurais bien besoin d'un coach. » Et je dirigeais mon regard vers son visage avec un sourire on ne peut plus franc. Et je sais qu'il arrivera à me motiver, à me donner des conseils pour atteindre mes objectifs. Je me souviens que ma mère m'avait dit un jour qu'elle était sûre que j'étais faite pour devenir journaliste et bien quand je le regarde lui, je me dis que s'il n'avait pas été professeur de sports ça aurait été du gâchis. Professionnellement parlant, évidemment. Parce que deux âmes qui sont faites pour s'aimer sont sûres et certaines de se retrouver, alors je ne doute pas du fait que je l'aurais croisé dans d'autres circonstances pour que nos vies prennent le même chemin si jamais il n'avait pas été dans ce bar, lors de cette soirée et que même s'il n'y avait pas eu cette explication au Summer Camp on aurait vécu cette relation quand même. Peut-être avec moins de soucis. Restant blottie contre lui, j'entend sa question et je réfléchis un instant. Je ne sais pas ce que je veux faire, en vérité, cela m'effraie un peu de rester ici avec lui. Parce que j'ai peur que notre conversation dérive sur des sujets épineux. Et que l'on se dispute encore. Je ne voulais plus me disputer avec lui. « J'ai juste envie de rester avec toi, n'importe où, dans cette chambre. A l'abri de tout le monde.. » Et j'avalais difficilement ma salive de peur de faire une bêtise. Lorsque ses yeux se plongent dans les miens et que son sourire s'étire, j'ai l'impression que mon cœur va exploser. Que je ne sais plus comment respirer. Satanés sentiments. Puis vient le moment des compliments et du cœur qui explose de bonheur. Je ne pensais pas réentendre ses mots un jour et pourtant oui. Prise d'un élan de tendresse, je l'attire doucement contre le lit, marchant en arrière et une fois que je bute contre le matelas, je m'allonge en riant avant de l'attirer tout contre moi. « Je crois que j'ai envie de passer une bonne partie de l'après-midi ici. Et de rester la, tout contre toi. » Et en un sourire, je dépose tendrement mes lèvres contre les siennes, prenant une fois de plus les devants, avant de lui offrir le plus chaste des baisers.  

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Je n'arrive plus à expulser tous ces maux qui me rongent. Ils se bataillent dans ma tête mais ne veulent pas sortir de mon être. Que vais-je faire ? Que vais-je devenir ? Petite âme endormie cherche à se réveiller sur une réalité utopiste où elle fera tout brûler pour le plaisir de sa pyromanie. Tous mes démons reviennent, tous ces désirs interdits et la fourberie de ma bouche. Je fais danser mon ombre, il n'y a plus qu'elle qui reste debout. Enfin, il y a Solveig aussi qui se tient debout, mais je sais que je pourrais la mettre a terre en bafouant une vérité, en lui révélant une chose horrible que j'ai commise récemment. Sauf que je ne veux pas, je ne veux pas la décevoir et voir a quel point je ne suis qu'un sombre connard. Son regard me ferait trop de mal.
Alors j'opte pour le petit sourire et la question sur son activité qui a fait que je n'ai pas passé la matinée en sa compagnie. Je reçois la réponse, et malgré le manque de confiance dont je fais preuve, je ne doute pas de sa sincérité sur le coup. De toute façon, je n'avais pas encore eu le plaisir de savoir, ou de voir, la présence au spring break ; de l'enfoiré qui a fait de mes nuits un cauchemar. Mes bras, dans l'automatisme, l'entourent tendrement avant de poser mes lèvres sur le sommet de son crâne et de demander a me prévenir la prochaine fois. Pour l'accompagner si l'envie lui dit. Et je suis content d'entendre que c'est le cas.  " Je suis un vrai tyran comme coach. Je préfère te prévenir avant de ne pas pouvoir faire marche arrière. "  Je souris amusé, et son visage se recule un peu pour pouvoir planter nos regards l'un dans l'autre. J'étais amoureux de cette fille, je le suis a un point inimaginable. Mais c'est tellement dur de la regarder avec la sensation au fond de moi de l'avoir trahi. Je commençais à douter de tout mon être, mon sourire le plus éclatant devenait des plus forcés. Mes jolis traits s'effritaient petit à petit, jusqu'à ce qu'arrive la troublante nécessité de porter un masque, qui se voulait aussi beau que mon visage. Et je continue de déguiser un peu le malaise en lui proposant de choisir le programme. Tentant le diable, ne me mettant pas a l'abri d'une discussion qui entrainerait une dispute. Son choix en tout cas sonne dans mes oreilles comme une réclamation de ma présence. Mon torse nu garde le sien dessus, tendrement, et je murmure    " Restons ici. Et nous descendrons manger un morceau quand nous aurons faim... "   Espérant que la faim ne se fasse pas couper a un moment. J'avais besoin de n'avoir que son visage dans mon champ de vision. Il fallait que je calme mes peurs, il fallait que je retrouve une once du Dean que j'étais. Et c'est comme ça que je la complimente, d'une franchise directe. Comprenant que dans mes mains, c'était une chose a laquelle je tenais réellement. Je ne reçois pas de parole, mais des gestes en échange. Son corps recule en attirant le mien, et quand elle s'affale sur le lit, je souris en coin en ricanant doucement. Je viens au dessus d'elle, toujours a la demande de ses mains qui me tiennent. Mon corps lourd sur le sien, une main me maintient tout de même, et l'autre vient sur sa joue, tenant une partie de son visage dedans alors que mes yeux se perdent dans les siens.   " Parfait. "  Simple, mais je poursuis pour en revenir a ma phrase de toute a l'heure   " Il y a le room service pour nos besoins... Mais j'ai envie de rester la aussi, avec toi. Je n'ai envie que de toi. "  Oh doucement. Mais je ne contrôle pas ça non plus. Je crois que l'adultère qui a eu lieu, a former en moi une très grande hausse de ma libido... Ce qui est triste, car c'est le bestial qui ressort et je ne veux pas. J'implose, j'expose, j'explose. Je ne veux pas tout foutre en l'air, je ne veux pas lui infliger les gestes d'un diable qui trône au fond de moi depuis quelques temps. Un diable qui se bat avec l'amour que je ressens pour elle. Mais ses lèvres se posent sur les miennes, et je prolonge de la même manière tendre, essayant de me tenir. Essayant... Mon esprit est tellement troublé de pensées inavouables. Ce doute t-elle de quelque chose? Veut-elle me faire périr doucement, calmement, si intensément au point que ce soit moi qui prenne le couteau pour m'infliger avec plaisir cette blessure si grande? Que cherche t-elle à me faire faire? Je l'ignore, mais ma langue vient contre la sienne, alors que mon bassin se colle au sien.

Je veux savoir de quoi je vais mourir, ma main posée sur la sienne.
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— with dean carmichael.

Quand j'étais loin de lui, c'était le manque qui prenait part dans mon être, comme si chaque parcelle de mon corps criait au manque, comme si j'avais besoin de lui pour survivre, pour garder la tête hors de l'eau. Il était un peu comme ma dose d'héroïne journalière. Comme si j'avais besoin de lui pour me dire que ma vie était belle. Et il fallait dire que quand j'étais près de lui, j'avais l'impression que ma vie était belle et que je me sentais à ma place, au bon endroit. Dans ses bras, je me sentais bien, contre lui, je me sentais bien. Il m'était quasiment impossible de me dire que demain, il pourrait partir. Faire ses valises, prendre son sac, récupérer son double de clé et j'ai peur qu'un jour il me dise que plus rien ne sera jamais comme avant. Parce que je le sentais du plus profond de mon être que quelque chose c'était brisé le jour où nous nous sommes affrontés à coup de cris et de pleurs quand Noah avait balancé la bombe en annonçant devant Dean et ma meilleure amie que nous avions couchés ensemble. J'avais l'impression que le fil qui nous liait s'effrité au fur et à mesure, se tendait jusqu'au moment où tout exploserait, où il n'y aurait plus rien. Et ce jour-là, je pense clairement que j'aurais signé mon arrêt de mort. Je ne voulais pas vivre sans lui, dans mon esprit, cela semblait impensable et je ne pouvais pas me dire qu'un jour cela se terminerait. Il me donnait tant de bonheur, tant de choses inoubliables dont je ne pouvais me passer. Il y a son sourire qui s'élève parfois dans les airs et c'est comme cette lueur d'espoir que j'attendais après mon divorce. Même si il est méfiant, même s'il me pose des questions qui trahissent son manque de confiance, je n'arrive pas à lui en vouloir. Je suis peut-être bête, mais c'est comme ça. « Mais j'ai besoin d'un coach tyran dans ma vie... » J'étais en partie en train de lui avouer que j'avais besoin de lui dans ma vie, coach ou pas coach. J'espérais qu'il le comprendrait. Qu'il comprendrait ses mots que je veux lui dire sans vraiment parvenir à les prononcer. Il me rendait complètement folle à lier. Je m'en voulais de lui avoir infligé cela, je savais à quel point cela pouvait faire mal de se sentir trahie comme j'avais pu l'être après avoir vu Chuck au bras d'une autre femme quelques jours à peine après notre divorce, je savais tristement la sensation qu'il éprouvait à ce moment précis et j'aimerais panser ses blessures intérieures comme il l'a fait avec les miennes le jour où les mots tendres ont remplacés les cris, le jour où les gestes presque haineux et sans importances sont devenus tendres. Lorsque je lui propose de rester ici, il ne semble pas s'y opposer ce qui soulage ne serait-ce que quelques instants, la boule qui se forme et qui grossit pendant que les secondes s'étirent inlassablement. La confirmation me parvient aux oreilles, et je souris. Je ne sais pas s'il peut le voir mais je suis heureuse, à ce moment précis. « J'ai envie de profiter d'être ici avec toi... On aura tout le temps de manger... »

Et je prend les devants, pour une fois, je ne veux pas qu'il me laisse, je ne veux pas qu'il m'abandonne et je lui donne des gestes quasiment désespérés. Presque robotiques, tant j'ai peur de mal faire. Ce qui ne m'ait jamais arrivé auparavant, mais désormais, tout me fait peur. Peut-être qu'à la moindre erreur, à la moindre incartade, il en profitera pour partir. J'ai cette alarme dans la tête qui me rappelle à chaque foutue minute que je risque de le perdre. Lorsqu'il tombe sur moi, je ris doucement avant de fermer les yeux au contact de sa main contre ma peau, la proximité de nos deux corps me rassure, et je me mords la lèvre pour éviter de dire des bêtises. Sauf qu'il prend la parole, et sa dernière phrase me fait plisser le front et froncer les sourcils. Je ne comprends pas vraiment, enfin, je ne veux pas comprendre même si des images toutes plus désagréables les unes que les autres se dressent devant mes yeux et je les chasse d'un coup de tête léger. Nos lèvres scellées, je l'embrasse de la manière la plus tendre possible, je lui fais passer tout ces mots qui ne parviennent pas à trouver un sens dans mon esprit, tentant maladroitement de lui faire comprendre certaines choses. Comme le fait, qu'il n'y a jamais eu et qu'il n'y aura jamais de trahisons de ma part. Instinctivement, lorsque nos corps se redécouvrent pour la première fois depuis notre dispute, je noue doucement mes jambes autour de sa taille tandis que nos lèvres s'expriment à leurs façons. Façon inédite, façon toujours différente des fois précédentes. Mais je n'ai pas envie de ça, je me dis que l'on a pas besoin de se retrouver dans les mêmes draps pour se dire que l'on s'aime, que l'amour n'est pas que physique. Et il le sait très bien. Je ne veux pas qu'à chaque fois que nous sommes en désaccords, qu'à chaque fois que nos routes tendent à diverger nous prenions le chemin des draps pour soulager nos esprits envenimés. Je le repousse alors doucement pour qu'il s'allonge à mes côtés et tendrement je dépose ma tête contre son torse en le caressant doucement du bout des doigts « Je suis amoureuse de toi Dean et... je suis désolée de tout ce que j'ai pu faire qui a pu te blesser. »   L'avortement, la découverte, tout. Je mets ma fierté de côté pour lui et il sait que je ne m'excusais quasiment jamais.

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