Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUne coloc de choc - feat Jaysaël D Scott-Castellan & Stuart X. Newton
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Une coloc de choc - feat Jaysaël D Scott-Castellan & Stuart X. Newton

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Une coloc de choc

OMG, le vol a été un enfer, long et chiant en plus de ça. Dante l'avait passé non loin de sa pote Théna qui est paniqué à l'idée de prendre l'avion alors ils ont passé le voyage a parler pour essayer de déstresser la jeune femme qui était agripper au bras de Dante comme une moule à son rocher... Elle avait peur, il le savait pourtant, mais il était toujours impressionné par sa peur panique. Elle ne la contrôle pas. Chaque secousse, elle pense vraiment que l'avion va se cracher et il faut le dire, c'est assez stressant de l'avoir avec soit la petite Théna en avion. Mais bon, le vol n'avait pas eu d'accro, aucun problème, tout s'était bien passé et ils étaient enfin de nouveau sur la terre ferme.

Voila l'hôtel, il a l'air pas mal, Basini avait pris une chambre avec trois autres personnes : son meilleur ami, Stuart, accompagné de Russell, son super filleule et aussi avec Jay, son bizuteur de la WH qui a en plus de ça une patte folle. La coloc risquait d'être épic et drôle. Surtout avec Russell dans le coin, le petit est calme mais Dante en bon parrain/tonton, s'entend à merveille avec le petit et adore jouer avec lui, bien qu'il ne soit pas vraiment fan des enfants et qu'il n'en veut pas avec Russell c'est différent, Russel c'est Russell quoi, c'est son filleule, alors il l'adore tout simplement. Passons, les voila dans le hall, avec les valises énormes qui pèse une tonne -bah ouais, ils partent quand même 2 semaines, faut prévoir des fringues de rechange un peu-. Le jeune homme laisse ses amis à l'entré pour aller chercher la clef de leur chambre à l'accueil. Il discute avec l’hôtesse, grand sourire charmeur sur les lèvres. Oui oui, il ne perd jamais le nord. Une fois les cartes d'accès à la chambre en main il retourne vers les gars en annonçant « Bon les gars, on a la chambre 201, c'est au deuxième étage ! » il donne à Jay et Stu leur carte d'accès à la chambre et va vers l’ascenseur, heureusement qu'il y en a un d'ailleurs parce que sinon, pauvre Jay.. Une fois au bon étage, chambre repérer, Dante ouvre la porte et laisse les gars entrer en premier avant de dire « Oh ca va, elle est pas trop petite la chambre, c'est cool ! Jay on va te laisser choisir son lit en premier vu que tu es le grand blessé de la coloc ! » ils allaient enfin pouvoir se reposer un peu, une bonne chose avant de commencer à faire la fête pendant tout le voyage.

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Le vol avait été pénible... Resté assis tout ce temps, bon, ok, on pouvait se lever, mais marché entre les sièges s'est quand même pas quelque chose de facile à faire, surtout quand on a mal à la jambe résultat, j'étais resté assis tout le long, mais bon, à l'arrivée, ma cuisse était ankylosée, sensation vachement désagréable et j'avais eu vachement de mal à me relever de mon siège pour descendre de l'appareil, mais bon, de toutes façon, j'avais eu le temps de le faire car j'étais assis vers le milieu et dès lors, il fallait attendre que les autres sortes... Résultat, j'avais pu sortir, tant bien que mal, boitant comme pas possible, heureusement que j'avais réussi à garder ma béquille, ce qui me facilita la marche une fois que j'eu l'espace nécessaire pour l'utiliser sans encombres. J'avais ensuite attrapé mon sac, le passant sur mes épaules. L'avantage des sacs militaires, c'est qu'ils sont grand et pratique. Mon père m'en avait offert un étant plus jeune pour me motiver à rejoindre l'armée, ça n'avait pas trop marché mais j'avais conservé celui-ci. Ce fut encore une fois la misère dans le bus, rangée étroite, assis... Alors oui, quand on est enfin arrivé à l’hôtel je ne peux m'empêcher de retenir ce putain de soupire de soulagement, parce qu'enfin, on allait avoir la paix et surtout, on allait pouvoir s'asseoir de façon moins coincés... Laissant Dante aller à l'accueil, je reste avec Stuart un peu en arrière, ça me fait vraiment plaisir de partager une chambre avec lui, après tout, on se connait depuis un bail et je trouve ça fun qu'on puisse enfin passer des vacances comme ça ensemble. "Deuxième étage ? Sérieux..." Je répètes ça, cherchant déjà un ascenseur, parce que sinon, ma jambe, elle allait réellement être démolie en une journée là... Et heureusement pour moi, Dante les avait déjà repéré et nous guida jusqu'à ceux-ci. Je remercie le bon dieu de sa clémence sur le coup. Une fois aux deuxième étages, on suit notre guide attitré, parce qu'il semble aimé prendre les devants le petit Dante. Je m'engouffre ensuite dans la chambre en premier, laissant la place au trois autres pour rentrer dans la pièce. "On risque pas de se marcher dessus en tout cas." Elle était assez spacieuse au final et regardant les lits, je finis par poser mon sac sur l'un d'eux. "J'vous laisse vous battre pour les trois autres, vu qu'vous m'avez laisser choisir en premier." Je souris un peu, ayant prit le lit le plus éloigner de la porte et de l'interrupteur, je serais donc pas de corvée lumière ni portier. C'était une technique comme une autre pour rester tranquille une fois le soir arrivée non ?

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Le Spring Break c’était vraiment la meilleure période de l’année pour les étudiants américains parce que c’était clairement les semaines de débauche la plus totale, des semaines de liberté comme on en faisait pas mieux ! Cette année c’était le Chili qui avait été choisi comme destination du Spring Break en cette année 2016 et comment dire tu étais content de pouvoir faire partie de ce périple. En plus tu avais la permission d’emmener ton fils avec toi puisque tu ne pouvais pas le laisser à quelqu’un d’autre… Tes parents ne pouvaient pas le garder, tes ex beaux parents non plus alors tu n’avais pas le choix, il fallait que tu l’emmènes avec toi. Le vol avait été long mais tu avais passé ton temps à bosser sur certains de tes cours pendant que ton fils jouait avec les petites tablettes disposées sur les banquettes. A un moment donné, ton fils te disait qu’il espérait voir sa marraine et toi aussi, tu aimerais la voir mais il semblerait que depuis la dernière fois – cette fois-là où vous aviez eu une nuit ensemble – que la jeune femme avait disparu de la circulation. Tu décidais alors de lui envoyer un message pour lui dire que tu aimerais qu’elle revienne et tout, puis tu caressais ton fils qui s’endormait jusqu’à ce que vous n’atterrissiez sur l’aéroport de Santiago (Chili). Une navette vous conduisez par la suite jusqu’à votre hôtel et cette chambre que tu partagerais avec Dante et Jay ! Tu étais content de cette colocation parce que c’étaient assurément les deux types les plus importants dans ta vie, ils étaient comme tes frères.

Vous arriviez finalement à l’hôtel et ce fut Dante qui se chargea de toutes les formalités pendant que toi, tu réveillais doucement ton gaillard de sept ans qui devenait aussitôt comme une pile électrique. « On se calme Russell ! » grondas-tu gentiment ton fils surexcité à l’idée de passer un peu de temps hors des Etats-Unis. Le dernier vrai voyage que vous aviez effectué ensemble c’était en Allemagne mais ça ne comptait pas vraiment puisqu’il s’agissait d’une réunion familiale avec tes grands-parents allemands. Puis finalement Dante vous annonçait le numéro de votre chambre qui se trouvait au deuxième étage et comment dire, Jay se mit à râler. « Pleures pas vieux. Tu as l’ascenseur ! » dis-tu pour le taquiner un peu alors que vous montiez pour rejoindre votre demeure pour ces quelques jours de vacances bien mérités. Une fois arrivés à votre chambre, ton meilleur ami proposait que ça soit Jay qui choisisse son lit en premier vu qu’il est le grand blessé de la bande et alors que celui-ci venait de trouver son bonheur, ton fils se précipitait vers un lit avant de faire du trampoline dessus. Je veux celui-là papa ! s’exclamait-il gaiement sans cesser de sautiller dessus. Tu étais amusé par la situation alors tu te tournais vers Dante. « Tu seras le commis à la lumière alors ! »
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Partager sa chambre avec Jay et Stu coulait de source pour Dante. Jay, son bizuteur avec qui il s'entend bien, et Stu, son meilleur ami qui est accompagné par son fils. Les deux semaines de Spring break devrait être bien remplis. Celui qui n'a quand même pas de chance là dedans, chez Jay. Avec sa jambe en vrac, les balades et autres, c'est pas ce qu'il y a de plus conseiller malheureusement, c'est pourquoi, dès qu'il est entré dans l'hôtel, Basini a chercher des yeux un ascenseur, histoire que son ami n'est pas à se taper toutes les marches à pieds, déjà qu'il galérait, autant ne pas en rajouter. Une fois en haut, dans la chambre, Dante propose de laisser Jay choisir son lit en premier. Après tout, c'est lui le grand blessé, alors qu'il choisisse le lit qu'il préfère, pour Dante, ce ne sont que des lits, tant qu'il en a un, ça lui convient. Jay en choisit donc un le plus loin possible de la porte et de l'interrupteur, ahah, il est malin ce jay ! Il faut bien avoir une tactique comme une autre pour éviter d'en faire trop. Stu propose ensuite à Russell de choisir son lit et c'est tout excité que le gamin en choisi un. Et ni une ni deux, histoire probablement de marquer son lit, le voila partie à sauter sur le lit comme un fou, prenant son lit pour un trampoline, et cette attitude fait sourire Basini qui se revoit très bien à cet âge là faire des trucs du genre pour exprimer sa joie, alors il pouvait totalement comprendre un comportement pareil. Et tant qu'il ne saute pas sur le sien, ça lui va. Dante a des côtés un peu maniaque, qui aime quand les choses sont ranger. Stuart prend le lit proche de son fils et Dante se retrouve donc avec le lit proche de l'interrupteur et de la porte. Il pose sa veste dessus et sourit « Ca marche aucun problème ! » La chambre est cool, avec un balcon et même un mini bar que l'italien s'empresse d'ouvrir pour prendre une bouteille d'eau, histoire de se raffraichir un peu, il annonce alors « Elle est cool cette chambre. C'est mieux que les dortoires de 10 personnes je pense » il y avait plusieurs types de chambres possibles dont une possibilité de dormir en dortoir de 10. Bon, c'est le SB, mais pour se reposer un peu entre les journées chargés, c'est pas simple quand il y a 10 zouaves dans la piole. Là, 4 c'est bien, il n'y a pas trop de monde et en même temps, ça reste conviviale. Il se tourne vers Jay « Ca va ta jambe vieux ? » lui demande-t-il, parce que être assis dans l'avion comme ça pendant des heures, ça devait pas vraiment aider ...

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Après avoir posé mon sac sur le lit que je comptais bien occupé, je me retourne en entendant la voix de Russell, regardant où le petit saute, je souris un peu avant de voir Stuart s'intaller à côté de lui, ne laissant au final pas le choix à Dante. Pas de chance pour lui dans un sens... Mais bon dans un sens, il aurait dû se douter qu'il n'aurait pas le choix en me proposant de choisir en premier. Encore il aurait laissé choisir le petit et Stuart en même temps, autant il aurait pu choisir avec moi pour le lit, mais bon, maintenant, c'était trop tard, on avait un peu tous choisit son lit et il allait devoir se faire à l'idée de devoir jouer les portiers et les lumières. "Vous m'auriez demander d'aller dans un dortoir, j'aurais jamais accepté ! Faut être malade pour vouloir ça... Ok, c'est cool, mais en même temps, faut savoir réussir à dormir en toutes circonstance et pas avoir peur du bordel des autres." Lâchais-je. Personnellement, ce qui m'aurait plus déranger et je pense que je ne suis pas le seul vu que Stuart a reçu en théorie une éducation similaire à la mienne, c'est le bordel... Puis surtout, avancer dans un capharnaüm quand on est en béquille.. J'ai même pas envie d'essayé vous voyez... J'ouvre alors mon sac pour préparer un peu les affaires, comme déjà sortir les affaires de douche et pas les chercher à la dernière minutes quand j'entends la question de Dante, relevant alors le regard vers lui, j'hausse un peu les épaules. "Faut bien, c'est pas comme si j'avais le choix." D'ailleurs, c'était ça, l'idée que j'avais en ouvrant mon sac de base, trouvé ma petite pharmacie perso pour prendre un antidouleur. Trouvant celle-ci, je sors la plaquette adéquate. "Tu sais me passer une bouteille aussi ?" Lançais-je à mon frère Winthrop, laissant sur le coup un peu Stuart en dehors de la conversation mais en même temps, fallait d'abord que je me shoote un peu aux anti-douleurs.

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