Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(feldt) sea, sister and sun.
Le Deal du moment : -50%
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX ...
Voir le deal
49.99 €


(feldt) sea, sister and sun.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je profitais de ce moment tranquille durant notre semaine à Hawaï pour donner rendez-vous à ma grande sœur sur la plage. Nous allions pouvoir prendre un moment rien qu'à nous avec au programme : cocktail, bronzage, baignade et discussion entre filles. J'en avais des choses à lui dire. La remercier déjà, j'avais besoin de lui dire à quel point j'étais reconnaissante de l'avoir dans ma vie, qu'elle était certainement l'une des plus belles choses qui me soient arrivées. Néanmoins, ce n'était pas les choses les plus faciles à dire à quelqu'un qui compte à ce point. Mais, je lui devais ça. Il fallait que je la remercie d'avoir été là et de ne pas avoir baissé les bras. Puis, il fallait aussi que je lui dise que ça allait mieux. Que j'avais tiré un trait sur mon ex-petit ami. Le seul point que j'avais du mal à oublier, c'était ma fausse couche, le reste était désormais insignifiant, j'avais très bien compris que je n'allais pas pleurer pour un homme qui n'en avait rien à faire. J'avais enfilé une robe de plage par-dessus mon bikini, les lunettes de soleil sur le nez et les sandales aux pieds. Je crois que je pourrais vivre ici sans problème. « Salut rouquine de mon cœur » m'exclamais-je avec un large sourire en voyant ma sœur. Je venais allonger ma serviette de bain sur le sol, nous étions tranquilles, c'était juste ce qu'il fallait. « Tu vas bien ? » lui demandais-je finalement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hawaï, le soleil, des vacances, parfois, c’était juste ce dont on avait besoin. Les jumeaux étaient avec leur grand-pères, ce qui faisait que je pouvais penser à moi pour quelques jours. certes, être loin d’eux me peinait, et j’aimerai pouvoir les prendre dans mes bras, et de les embrasser. J’étais contente que FaceTime et Skype existaient, rendant le manque que j’avais pour mes enfants moindre. Autant que parfois, l’on pourrait crier sur la technologie et à quel point, elle nous rendait dépendante, on ne pouvait nier le fait qu’elle nous rapprochait quand on se trouvait quasiment à l’autre bout du monde. Aujourd’hui, c’était après-midi détente sur la plage avec Alaska. Elle semblait beaucoup mieux depuis sa fausse-couche, et la revoir en meilleure santé me faisait du bien. Je n’aimais pas voir les gens qui m’étaient proches triste, désorientés entrain de souffrir. La vie n’était pas toujours facile, certes, il fallait tout de même la vivre de son mieux. J’étais toujours bonne pour donner des conseils, et bizarrement, je ne les appliquais jamais, n’osant pas faire le pas vers un bonheur quelconque. Paréo, bikini, chapeau de paille et lunette de soleil, je viens rejoindre ma soeur, qui elle aurait la chance de ne pas finir rouge écrevisse comme moi pendant cette séance de bronzage. « Coucou toi! » Je lui faisais la bise, avant de venir m’allonger sur ma serviette à côté, sortant ma crème solaire de mon sac. « Ça va bien, et toi? » J’étais contente de passer du temps avec elle, d’avoir une après-midi rien que nous deux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Voir ma sœur allait me faire du bien. Surtout après tout ce que l'on a vécu ces derniers temps elle et moi. Enfin, j'allais pouvoir me rattraper, pouvoir lui montrer un sourire de ma part. C'était quand même mieux que les larmes et les crises d'angoisse à répétition que j'avais pu faire ces derniers temps. Puis, plus ça allait, plus c'était pire. Je n'avais jamais fait autant de crise d'angoisse que depuis que j'avais arrêté la drogue. Ouais, j'avais ce truc en moins pour me calmer en cas de grosse crise. Mais en ce moment, ça allait vraiment mieux. Alexander ne me manquait pas. J'avais enterré tout ce que j'avais pu ressentir pour lui et je ne parlais plus de ma relation que j'avais pu avoir avec le jeune homme. Si j'avais été très amoureuse, il avait inconsciemment réussi à se faire oublier de lui-même en me dégoûtant de jour en jour avec ses histoires. Chacun allait vivre sa vie de son côté et dans ce cas là, c'était pas plus mal - moins compliqué - que je ne sois plus enceinte. Du coup, je positivais. Aujourd'hui, j'étais avec Feldt pour une séance de bronzage sur la plage et je comptais bien lui montrer que j'avais retrouvé le sourire. Je l'accueillais en lui faisant la bise avant de m'allonger sur ma serviette de plage. « Je vais bien » affirmais-je avec un large sourire. « Ça ne doit pas être facile d'être une rousse en vacances au soleil ! » la taquinais-je en la voyant sortir sa crème solaire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’était tout de même étrange. Parfois, on rencontre des gens, et c’est directement le déclic, on ne peut plus se séparer. J’avais été très réticente à l’idée d’avoir une soeur, de ne pas être la fille légitime de mon père. Je refusais de croire que ma mère ait pu être infidèle envers mon père à un moment de sa vie. Je devais m’y faire à cette idée, n’ayant jamais une réponse de la part de ma mère. J’avais trouvé bien plus qu’une simple soeur en Alaska, j’avais trouvé une meilleure amie, quelqu’un vers qui me tourner, en qui me confier, en qui j’avais confiance pour mes enfants. Les dernières semaines n’avaient pas été facile pour elle, et je ne pouvais que trop bien la comprendre. Cette séparation d’un enfant et de sa mère était douloureux et créait un vrai vide en soit. J’avais perdu un enfant, et bien que je ne savais même pas qu’il existait, j’avais eu ce manque quand j’ai su qu’il n’était plus. Même quand j’avais avorté l’année dernière après mon viol, alors que je ne ressentais rien pour cet enfant, pour cette chose qui ne faisait que bien trop rappeler mon malheur, cela m’avait fait mal. Cette séparation était douloureuse, alors j’espérais que ces vacances à Hawaï lui ferait le plus grand bien. Je la voyais déjà sourire, me réchauffant ainsi le coeur. Je commençais à appliquer ma crème solaire, ayant tout de même pris un peu de couleur déjà. « M’en parle pas ! C’est une horreur, et si j’en mets pas, je finis comme une écrevisse. » Ce que je ne voulais pas. « Tu veux bien m’en mettre dans le dos? » Lui demandais-je alors que je finissais avec mes bras, et mon ventre.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)