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Méline Bianca Milkovich
Fiche d'identité
Nom Milkovich, comme mes trois autres soeurs en fait. Au final, ça parait logique en fait.Prénom(s) Méline Bianca. Méline j'sais pas pourquoi, Bianca j'en ai aucune idée. J'trouve juste que je fais légèrement tâche parce que bon, Lana, Théa, Daya.. Et Méline. Allez, mettez moi à part, j'dirais rien.Âge Vingt deux ans. Donc j'ai passé la majorité internationale, tout vas bien, j'ai le droit de boire légalement maintenant.Date de naissance 13 mai 1993. Lieu de naissance Miami en Floride mais c'était au cours d'un voyage, techniquement, j'suis canadienne et j'ai un accent plutôt.. Spécial.Statut amoureux En couple avec mes clopes, le Jameson, mon lit, ma couette mais surtout pas les trucs vivants. Merci.Orientation sexuelle Hétérosexuelle. Y a même pas de question à poser, j'aime les mâles, fin de la conversation.Classe sociale Plutôt pauvre mais disons qu je sas avoir ce que je veux.Études majeures Chimie. J'ai pas forcément la tête de l'emploi mais c'est une passion et un choix logique pour moi.Études mineures Physique. Disons que ça va de paire et que je préférais rester dans un registre qui me correspondait.Job Strip-teaseuse. On arrondis les fins de mois comme on peut.Choix de groupe #1 Mather houseChoix de groupe #2 StudentMATHER HOUSE
Méline l'excentrique, Méline l'incontrôlable. Ouais, ça c'est moi. Disons que pour me qualifier, les gens utilisent des tas d'adjectifs. Ma première clope effleurait mes lèvres à l'âge de quatorze ans. Le joint suivait pour mes quinze, j'ai attendu les dix huit pour la cocaïne. Disons que.. Je ne suis pas les règles. Stéréotype de l'hippie de base, avachi dans l'herbe, roulant à la perfection le cône permettant de s'évader pour quelques temps. J'aime pas faire dans les règles, j'ai jamais aimé ça. Peut être une envie de sortir du lot, d'être marginale, de provoquer. Provocation, mon ultime descriptif. Allez y, dites moi que je ne suis pas faite pour la Mather House et je vous soufflerais avec plaisir les relents de mon quatre heure alcoolisé. Dites moi que je ne conviens pas à cette maison et je vous prouverez que personne ne sait mieux organiser et profiter d'une soirée que moi.
STUDENTS
Une autre maison ? Pour quoi faire ? Postuler à la Eliot serait probablement le comble de l'hypocrisie. J'ai pas une tune et qui plus est, j'suis une dévergondée. Je ne veux pas d'eux, ils ne veulent pas de moi. La Cabot house ? Blague de l'année. Jouer à la petite fille parfaite, c'est pas pour moi. J'ai pas l'étoffe et vivre qu'avec des filles, c'est me pousser au meurtre. Je ne parlerais pas de mon sens artistique sous développés m'empêchant par avance de rejoindre la Lowell, ni de mon inexistante gentillesse qui me fermera à coup sûr les portes de la Quincy. Démunie du service trois pièce, je pense pouvoir affirmer que la Winthrop ne me comptera pas dans ses rangs et puisque je ne suis pas un rat de bibliothèque, je préfère passer mon tour à la Dunster. C'est donc bien ce que je disais, la Mather ou rien. Quoi qu'il est peu probable qu'on me refuse l'entrée.
Méline l'excentrique, Méline l'incontrôlable. Ouais, ça c'est moi. Disons que pour me qualifier, les gens utilisent des tas d'adjectifs. Ma première clope effleurait mes lèvres à l'âge de quatorze ans. Le joint suivait pour mes quinze, j'ai attendu les dix huit pour la cocaïne. Disons que.. Je ne suis pas les règles. Stéréotype de l'hippie de base, avachi dans l'herbe, roulant à la perfection le cône permettant de s'évader pour quelques temps. J'aime pas faire dans les règles, j'ai jamais aimé ça. Peut être une envie de sortir du lot, d'être marginale, de provoquer. Provocation, mon ultime descriptif. Allez y, dites moi que je ne suis pas faite pour la Mather House et je vous soufflerais avec plaisir les relents de mon quatre heure alcoolisé. Dites moi que je ne conviens pas à cette maison et je vous prouverez que personne ne sait mieux organiser et profiter d'une soirée que moi.
STUDENTS
Une autre maison ? Pour quoi faire ? Postuler à la Eliot serait probablement le comble de l'hypocrisie. J'ai pas une tune et qui plus est, j'suis une dévergondée. Je ne veux pas d'eux, ils ne veulent pas de moi. La Cabot house ? Blague de l'année. Jouer à la petite fille parfaite, c'est pas pour moi. J'ai pas l'étoffe et vivre qu'avec des filles, c'est me pousser au meurtre. Je ne parlerais pas de mon sens artistique sous développés m'empêchant par avance de rejoindre la Lowell, ni de mon inexistante gentillesse qui me fermera à coup sûr les portes de la Quincy. Démunie du service trois pièce, je pense pouvoir affirmer que la Winthrop ne me comptera pas dans ses rangs et puisque je ne suis pas un rat de bibliothèque, je préfère passer mon tour à la Dunster. C'est donc bien ce que je disais, la Mather ou rien. Quoi qu'il est peu probable qu'on me refuse l'entrée.
APRÈS LA BOMBE.
J'étais à New York, j'étudiais à New York, autant dire que physiquement, j'étais loin de ça. Alors bien sûr, j'en ais entendu parler à la radio, à la télévision. Faut dire que ça a fait la une et personne n'était susceptible de passer à côté mais comme ont dit, la vie continue. C'est comme pour tout, on regarde les infos, on trouve ça affreux, on regarde le téléfilm de la soirée et on n'y pense plus. Tant qu'on est pas soi même touché, on a ce pouvoir de placer le tout d'un côté de notre tête et de ne s'inquiéter que du dernier Iphone sortit qu'on ne pourra pas s'payer. Faut être réaliste, l'humanité n'existe plus vraiment, les bombes et les morts ça devient trop commun, on s'y intéresse quelques secondes et puis on pense à demain.
J'étais à New York, j'étudiais à New York, autant dire que physiquement, j'étais loin de ça. Alors bien sûr, j'en ais entendu parler à la radio, à la télévision. Faut dire que ça a fait la une et personne n'était susceptible de passer à côté mais comme ont dit, la vie continue. C'est comme pour tout, on regarde les infos, on trouve ça affreux, on regarde le téléfilm de la soirée et on n'y pense plus. Tant qu'on est pas soi même touché, on a ce pouvoir de placer le tout d'un côté de notre tête et de ne s'inquiéter que du dernier Iphone sortit qu'on ne pourra pas s'payer. Faut être réaliste, l'humanité n'existe plus vraiment, les bombes et les morts ça devient trop commun, on s'y intéresse quelques secondes et puis on pense à demain.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Idem que pour le premier. Peut être un peu plus marquant puisque c'était la deuxième fois que la célèbre université étaient touchés. A croire qu'il y a une malédiction par là-bas. A moins que ça ne soit qu'un point stratégique permettant de faire le buzz. J'en sais rien, c'est pas rassurant. Je sais pas quoi en penser au final. C'est peut être pour ça que j'ai encore une fois reculé ma demande pour Harvard. Disons qu'avoir envie d'intégrer cette université alors qu'une bombe et une prise d'otage venait d'éclater n'était pas la meilleure idée au monde. Mais encore une fois, on oublie vite. Encore une de nos capacités. On pleure les morts quelques semaines et on passe à autre chose. Quand je disais que notre humanité était en train de s'éteindre.
Idem que pour le premier. Peut être un peu plus marquant puisque c'était la deuxième fois que la célèbre université étaient touchés. A croire qu'il y a une malédiction par là-bas. A moins que ça ne soit qu'un point stratégique permettant de faire le buzz. J'en sais rien, c'est pas rassurant. Je sais pas quoi en penser au final. C'est peut être pour ça que j'ai encore une fois reculé ma demande pour Harvard. Disons qu'avoir envie d'intégrer cette université alors qu'une bombe et une prise d'otage venait d'éclater n'était pas la meilleure idée au monde. Mais encore une fois, on oublie vite. Encore une de nos capacités. On pleure les morts quelques semaines et on passe à autre chose. Quand je disais que notre humanité était en train de s'éteindre.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Méline l'égocentrique, l'indomptable, la provocatrice. Elle a ça dans le sens, la provocation. Elle joue avec les gens, elle règne sur eux, elle les balance quand elle veut. C'est comme ça qu'elle fonctionne madame la princesse. Sa mère est morte y a plus ou moins un an, elle a pas pleuré, elle garde la peine au fond d'elle. Son père, c'est plus vraiment un homme. Drag queen, elle préfère faire comme s'il n'existait pas. Alors elle a plus grand chose à part ses soeurs et même elles, elle ne les épargne pas. Parce que Méline c'est l'ouragan, la tempête. Elle en fait qu'à sa tête et se fiche de savoir qui elle blesse. Elle manipule les gens pour mieux parvenir à ses fins, elle ne prends pas grand chose au sérieux et s'amuse d'un rien. Méline c'est l'égoïsme même. La pauvre qui rêve d'une vie de luxe. Elle prend tout pour acquis, n'accepte pas un "non".
Méline l'égocentrique, l'indomptable, la provocatrice. Elle a ça dans le sens, la provocation. Elle joue avec les gens, elle règne sur eux, elle les balance quand elle veut. C'est comme ça qu'elle fonctionne madame la princesse. Sa mère est morte y a plus ou moins un an, elle a pas pleuré, elle garde la peine au fond d'elle. Son père, c'est plus vraiment un homme. Drag queen, elle préfère faire comme s'il n'existait pas. Alors elle a plus grand chose à part ses soeurs et même elles, elle ne les épargne pas. Parce que Méline c'est l'ouragan, la tempête. Elle en fait qu'à sa tête et se fiche de savoir qui elle blesse. Elle manipule les gens pour mieux parvenir à ses fins, elle ne prends pas grand chose au sérieux et s'amuse d'un rien. Méline c'est l'égoïsme même. La pauvre qui rêve d'une vie de luxe. Elle prend tout pour acquis, n'accepte pas un "non".
blasphemy
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle blasphemy et j'ai vingt deux ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mon petit doigt. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Azraël-Sky (student) et Jordan (lowell). J'utilise Leighton Meester comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweet nothing. Je fais environ trois mots par RP et mon personnage est un personnage inventé vu avec Delilah et Lana.
Mot de la fin ? ▲ fin.
Je souhaite ▲ Vivre d'amour et d'eau fraîche
Mot de la fin ? ▲ fin.
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(Invité)