Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityil mio tesoro./ Dante
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


il mio tesoro./ Dante

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hawaï, hôtel splendide, vue magnifique, partenaire idéal. Nous venions d'arriver dans notre hôtel où nous allions séjourner toute la semaine. Quelques jours avant de partir, le lendemain de la vente aux enchères winthrop et Cabot, j'avais envoyé un message à Dante pour l'inviter à venir avec moi. Je n'avais pas eu envie de convier quelqu'un d'autres pour ces vacances j'avais juste envie qu'on se retrouve un peu, qu'on se dise ce qu'on avait à se dire et qu'on profite à fond de ces quelques jours loin d'Harvard. Durant le vol qui reliait Cambridge à Honolulu, Dante et moi n'avions pas vraiment parlé ne voulant pas être entendu par tous les autres. Je m'étais endormie au bout d'une trentaine de minutes de vol contre son épaule et sa main avait glissé dans la mienne. Nous venions de découvrir notre chambre et la vue que nous avions du balcon était juste à couper le souffle. Nous allions sûrement passer une semaine de rêve. Je retire mes talons et sors sur la terrasse pour m'accouder à la rambarde qui me sépare du vide. Dante a filé à la douche, je lui ai laissé l'honneur d'y aller en premier pour pouvoir admirer le décors avant lui.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Just us (Swante)
Entre les deux italiens, la situation était toujours compliquée. Les sentiments sont là mais la situation est d'un complexe... La mafia entre eux, Dante a l'impression qu'elle finira par en mourir, qu'un jour, elle sera juste morte et qu'on ne pourra plus rien faire, alors quoi ? Il doit être egoiste, la laisser entrer entièrement tout ça parce qu'il veut qu'elle soit avec lui ? Il ne pense pas en être capable. Il a déjà perdu Sarah pour la mafia, maintenant, il pourrait perdre Swan... Mais en dépit de tout, à la soirée d'enchère, Swan était venue, pour l'acheté, et elle avait réussi et c'est comme ci les sentiments avaient pris le contrôle, pendant un temps. Etait-il en couple ? Non. Marié officiellement ? Non plus. Ils étaient mariés, aux yeux de la mafia, mais ça ne signifiait pas qu'ils l'étaient réellement, ils sont juste dans une relation étrange que peu de monde comprend et donc Dante ne s'étale généralement pas sur ce sujet. Peut être que ce voyage a Honnolulu leur remettra les idées en place et qu'ils sauront à quoi s'en tenir ... C'est du moins ce qu'ils espéraient en partant ensemble. Elle avait pensé à lui et au début ça l'avait étonné, pourquoi lui ? mais en même temps, vu sa jalousie de plus en plus présente à cause des autres filles, il comprenait bien que des sentiments se cachaient derrière. Il avait l'impression que leur relation était autoriser aux yeux de tous, mais pas pour lui. Comme ci ils se retrouvaient en Roméo et Juliette avec une interdiction de s'aimer. Et plus il s'ordonne de ne pas l'aimer, plus il y pense et plus il y pense, plus elle lui manque. Un cercle des plus vicieux et dur à vivre pour l'italien qui ne sait plus vraiment où il en est. Il était pourtant bien, sans attache, sans rien de sérieux, à vivre au jour le jour, mais Swan débarque et casse toutes ses idées, ses principes, son future tout tracé. Elle arrive et tel une italienne au sang bouillant elle fait tout éclater en passant. Et lui, il est là, comme un con, avec ses sentiments incontrôlable. Peut être qu'ils devaient juste se lâcher une fois, à Honnolulu et qu'il retrouverait enfin la raison ? Tant de questions sans aucunes réponses ...

Le trajet est long et pénible. Et en plus, lui qui généralement aime se balader dans l'avion histoire de se dégourdir les jambes a eu Swan qui s'est endormi près de lui comme un loir et pour ne pas la réveiller, il a dû ne pas bouger tout le vol. Alors il s'est contenté de rester là, sur son siège a regarder devant lui. Il a aperçut Madi la fourmi plus loin et a juste pensé à un tas de choses en restant le plus silencieux possible pour ne pas réveiller Swan. Bon, une fois, ça va mais au retour, il compte bien la prévenir : elle s'endort sur son siège histoire qu'il puisse bouger. Non mais parce que Dante en tout hyper actif a horreur de ne rien faire.. Mais vraiment ... Bref, whatever. Première chose à faire arriver à l'hôtel : prendre une douche et appeler Kyky. Il annonce donc qu'il veut y aller en premier et s'enferme dans la salle de bain, portable en main, il allume l'eau et envoie un sms à sa coloc de choc histoire de prendre des nouvelles après celle bouleversante qu'elle lui avait annoncé. Une fois le message envoyé, il fil sous la douche et finit par sortir, en caleçon, serviette sur les épaules il regarde sa jolie brune et se dit que quand même, sa femme est canon. Et si il pouvait être égoiste et la garder, il serait ravi.. « Hey ! Ca va ? Tu peux aller à la douche, elle est libre ! » un sourire se dessine sur ses lèvres et il va vers sa valise pour trouver des trucs à se mettre. Ah ! Hawai. Il va pouvoir narguer Athéna après cette semaine au soleil : il sera plus bronzé qu'elle et Swan et lui seront probablement les plus bronzés de tous. Trop de swag en ce duo !

CODE BY RESSAPANDA.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais bien compris que Dante n'était pas le genre de mec à se confier. Nous nous connaissions depuis plusieurs semaines à présent et nos conversations s'étaient faites rares. C'est un homme mystérieux qui ne dit pas vraiment ce qu'il pense mais qui parle beaucoup avec son regard et moi j'ai finalement prit cette habitude. Je ne suis pas non plus du genre à trop me livrer non plus mais parfois il faut que ça sorte. Alors j'espérais au plus profond de moi-même que ce petit séjour loin de Cambridge nous aidera à débloquer un peu cette situation compliquée qui c'est installée entre nous. Je ressentais clairement des sentiment pour cet homme et j'avais tenté de le lui faire comprendre trois semaines plus tôt dans le restaurant japonnais. Malheureusement pour moi les frères Chang avaient décidé de nous attaquer ce jour là. Mais une fois que je le lui aurais dit tout cela, qu'adviendrait il de notre relation ? Peut être prendrait il peur et il retournerait illico à Harvard. J'étais heureuse d'être à Hawaï mais un stress permanent s'était installé en moi et dès que je le voyais mon petit coeur s'embraquait dans un battement un peu trop prononcé à mon goût. Je n'avais pensé qu'à lui pour m'accompagner, n'ayant plus vraiment envie de voir d'autres personnes à part Grace, Léo et Maxime. J'avais besoin de passer du temps avec lui surtout après qu'il ai décidé de s'éloigner de moi pour ne plus m'attirer d'ennui. J'avais très mal vécu son absence ne comprenant pas comment nous pouvions passé de tout à plus rien. Ce n'était plus lui qui veillait sur moi tous les jours de la semaine mais Alfio.

La vue était magnifique, nous étions chanceux d'être à Hawaï une semaine avant de partir au Chili pour le SB. J'avais hâte d'aller retrouver les Mather pour le cocktail de bienvenue et je me demandais comment je devrai qualifier ma relation avec Dante au moment des présentations. La plupart savet qu'il y a quelque chose entre nous depuis les postes de CS mais aucun ne sait vraiment le pourquoi du comment. J'entends l'eau coulée dans la douche et je me retiens de ne pas entrer pour aller le rejoindre mais ça serait sûrement un peu déplacer de ma part même si Dante est mon mari. Finalement j'entends la porte s'ouvrir, je me tourne pour le découvrir à moitié cseulement vêtu de son caleçon. Mon dieu qu'il est bien foutu. Très bien et toi ? Je lui souris aussi et le regarde aller fouiner dans ses affaires. Dante, si je n'étais pas venue aux enchères, tu serais revenue vers moi ? Je voulais savoir si je lui avais manqué, s'il comptait toujours vivre éloigner de moi.. Je me suis avancée pour me retrouver qu'à quelques centimètres de mon Dieu grec ou plutôt italien.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Just us (Swante)
Dante est loin d'être une personne qui se confit beaucoup, pour plein de raison. Déjà parce que dans sa famille, quand tu es un homme, tu dois être un genre de bonhomme, qui ne pleure pas, qui ne dévoile pas ses sentiments. Il faut avoir cette carapace pour ne rien laisser t'atteindre, sinon, tu risques de finir sous terre ou en dépression quand on voit tous ce qu'ils doivent faire. Comment se remettre de tout ça quand on a une conscience et qu'on laisse ses sentiments prendre le dessus ? Comment aller se coucher le soir alors que aux infos, il est dit qu'un gamin est mort d'une overdose la nuit dernière et que c'est probablement de la drogue que la famille commercialise qui l'a tué ? Comment faire face à ça ? A cette culpabilité qui te prend les trippes et te serre le bide à tel point qu'on ne se supporte plus et qu'on arrive plus à rien ? Il faut savoir être fort et dur. Il faut savoir se contrôler et bien faire la différence entre le travail et le hors travail. Pas d'état d'âme, pas de regret, le boulot, c'est le boulot, on le fait sans se plaindre. L'italien s'était encore plus refermé avec la mort de son ex. La voir morte comme ça, si brutalement sans crier garde, ça l'avait détruit et ses sentiments s'étaient peu à peu fermer pour laisser place au vide. Du moins, il laissait parraitre le vide. Il était capable de rester stoïque dans la plupart des situations, il était capable de ne pas réagir au quart de tour, pour ne pas s'énerver et de prendre de la distance sur les choses. Il avait dû apprendre pour survivre, pour vivre avec ça. Et ça, Swan le savait. Il n'était pas loquasse sur ses sentiments, ses complexes ou sa culpabilité. Il ne disait rien et dans un sens, il admirait Swan pour ça. Elle était capable de parler de ses doutes, de ses frustrations -bon même si, j'avoue, la dernière fois qu'elle a essayé de le faire, ils ont été attaqué par une bande de chinois fou et que l'italien n'a donc pas du tout écouter ce que sa femme lui racontait et qu'il n'a donc absolument aucune idée de ce qu'elle était entrain de lui dire, pas même un souvenir ...- elle était capable de communiquer, de s'exprimer si naturellement alors que pour lui, tout ça, c'est vraiment pas du tout naturelle. Pour lui, c'est pas logique, ça tien pas la route, ça colle pas. Il doit se faire violence pour dire les choses qui ne vont pas, il doit se faire violence pour parler lui quand elle semble le faire vraiment simplement. En plus certains disent que c'est caractéristique aux hommes de ne rien dire mais c'est faux, ça l'est pas, certaines femmes sont comme Basini à ne rien dire et des hommes sont comme Swan à s'exprimer, c'est une question de personnalité tout simplement pas de sexe.

Ils sont dans leur chambre, ils ont la même. C'était surement un moyen pour eux de se rapprocher, de reprendre contact après tout ce temps de torture sans même lui adresser pour Basini. La retrouver, il ne le dira pas, mais il en est ravi. Et surtout qu'il n'aurait plus à monter avec Alfio en voiture pour veiller sur elle -oui oui, comble de tout, pour ne pas se faire voir à veiller sur elle, il était monté derrière dans la voiture de Alfio histoire de veiller sur elle sans qu'elle ne s'en aperçoive. Psychopathe le Dante ? Non, juste un peu parano sur les bords quand il s'agit de Swan et de sa sécurité-. Le cadre était dingue tout de même, Hawai, le soleil, la plage et l'hôtel somptueux. Que demande le peuple franchement ? C'est ça la belle vie.

Alors qu'il sort tout juste de la douche, en boxer, il file vers sa valise pour prendre des vêtements propres et se changer parce que l'avion ça avait été long et chiant, mais vraiment. Lui qui déteste être figer et qui est plus du genre a avoir la bougeotte, être assis des heures, c'est presque une torture et ses aller-retour dans les allées sont sa seule expéditions possibles pour bouger un peu. Elle, elle est là, elle regarde le paysage et il lui jette un coup d'oeil un instant, la détaillant, elle et ses courbes parfaites. Il a quand même eu du cul, sa femme est tout bonnement canon. Elle lui sourit et son regard qui se voulait à la bise furtif se fige sur ses yeux bruns. Elle lui sourit alors comme un con, il lui adresse un sourire, il ne pouvait pas empêcher ses zygomatique de s'activer en sa présence. Mais sa question le met mal à l'aise. Elle aime s'exprimer mais lui, rien n'a changer. Il n'aime pas. « Oui probablement. » bon il dit ça pour pas dire "c'est certains". Il aurait certainement finit par lui reparler en inventant une excuse bidon à la con juste pour pouvoir la voir quelques instants. Parce que la voir, c'est toujours important pour lui. Il lui sourit, comme pour confirmer ses dires parce qu'il ne voit pas quoi dire de plus à ça. Sa réponse, c'est déjà bien, il aurait pu ne pas répondre comme il en a souvent l'habitude.

CODE BY RESSAPANDA.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ma mère me disait toujours de ne jamais rien révéler aux gens. Il ne fallait pas leur montrer nos faiblesses me disait elle, ne jamais leur dévoiler mes sentiments pour ne pas paraitre faible. J'avais toujours réussit à dissimuler ce que je ressentais en amitié mais pour ce qui est de mes relations amoureuses ça a toujours été un échec. Avant je faisais exactement comme ma mère me l'avait apprit, je disais rien et le résultat n'était pas brillant. J'étais juste devenue une croqueuse d'hommes qui ne respectent rien et qui changeais de partenaire tous les soirs. Je n'avais aucune envie de rencontrer quelqu'un pour vivre une histoire d'amour ne croyant tout simplement pas à un amour réciproque. Mais quand mes sentiments amicaux étaient devenus amoureux pour Sam, ma vision des choses a complètement changée. J'avais ressenti pour la première fois les fourmillements dans le ventre, le coeur qui bat plus vite que d'habitude et l'envie d'être sans cesse à ses côtés. Après sa disparition plus rien n'avait de sens pour moi alors j'avais sombré dans une dépression qui m'avait conduite à cette anorexie. Peu de temps après, Gabriel avait réussit à prendre mon coeur et une fois mes sentiments révélés il s'était mit en couple avec une autre. J'avais mis du temps avant de passer à autre chose et maintenant que j'en étais sortie je me retrouvais dans une situation des plus étranges avec Dante qui se révélait être pareil que Gabriel, il ne se confiait pas.

Je ne suis pas dotée d'une grande patience et en général quand je veux quelque chose il me le faut tout de suite. J'avais besoin de réponses, qu'il me dise ce qu'il ressent réellement et qu'il ne soit pas juste là entrain de me dire qu'il ne veut pas que j'annule le mariage. J'avais juste envie de le secouer pour qu'il me dise enfin tout ce qui trotte dans sa tête mais je savais qu'avec lui ça ne marcherait pas. Alors je prenais sur moi, j'essayais de ne pas m'énerver, de passer pour la fille calme que je ne suis pas pas dans ce genre de situations. Alors je tentais de paraître détendue et prête à attendre le moment venu pour discuter de ce que j'avais commencé à lui dire au restaurant chinois. Il était devant moi et venais de me dire que oui il serait sûrement venu me voir si je ne l'avais pas fait. J'attendais tellement plus de sa part que ces simples mots que j'avais juste envie de sauter par la fenêtre pour enfin le faire réagir. Finalement je me dis qu'il est préférable que j'aille sous la douche plutôt que de me jeter du troisième étage. Je lui souris pour la énième fois de la journée et disparais derrière la porte de la salle de bain. Je reste une bonne vingtaine de minutes sous l'eau chaude de la douche avant d'en sortir. J'enroule une serviette autour de moi et sors de la salle de bain et sans vraiment réfléchir je m'avance vers Dante. Je suis toute proche de lui, nos visages se touchent presque alors je fais ce que j'ai envie de faire depuis la soirée où nous sommes devenus mari et femme. Je dépose mes lèvres contre les siennes tout doucement comme si je pouvais me brûler.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Just us (Swante)
S'ouvrir aux autres, c'est prendre un risque, un gros risque, celui d'être blessé, touché en plein coeur par des mots qui pourraient pousser au suicide les plus faibles.. C'est comme aimer, aimer est prendre le risque d'être blesser, d'avoir le cœur brisé. Il avait pris ce risque une fois. Une seule et unique fois. Avec elle. Sarah. Sarah avait résumé sa vie et tout ce qu'il voulait pendant longtemps. Il l'avait aimé passionnément à la folie. C'était ... fortissimo, un peu comme la musique des 4 saisons de Vivaldi. C'était fort et déchirant à la fois. Ils avaient des périodes, des périodes où tout était beau et roses... Des périodes où ils étaient tout simplement heureux, sans avoir besoin de plus. Et d'autres où c'était la déchéance, la souffrance et la douleur qui avait prit la place de l'amour qui leur suffisait normalement.. Ces périodes là étaient douloureuses pour Basini qui fou d'elle aurait été capable de se jeter en pleine mer si ça avait pu lui faire plaisir, même sans savoir nager ... Il lui avait donné son cœur, sa confiance, sa foi en elle et en lui et elle avait finit par mourir, assassiné par la mafia italienne qui ne validait pas du tout cette liaison. Il l'avait assumé au grand jour mais sa présence avait finit par poser problème donc elle avait été tué, comme ça sans prévenir. Dante se souvient encore de la peur qu'il avait ressenti suite à son appel d'adieu. Et de la douleur qu'il avait ressenti dans son cœur quand les autres lui avaient annoncé le départ de son aimé, de son tout, de celle qu'il appelait sa vie. La souffrance il l'avait ressenti dans chaque port de sa peau. La souffrance il l'avait ressenti dans chaque petit muscle, dans la plus infime parcelle de son corps car après tout ce temps avec elle, il ne savait plus comment vivre sans elle. Oui ... Sarah lui avait lacéré le coeur, attrapé et écrasé. Elle avait fait de lui un genre d'accidenté de la route. Que les gens regardant bizarrement, une genre de bête de foire, qui souffre en silence et se replie sur lui même. Il avait passé beaucoup de temps a ne plus sortir, à ne plus vivre et il apprenait seulement maintenant a revivre. Il s'était juré de ne plus se faire avoir comme ça à présent. Il s'était juré que tout était terminé qu'il épouserait par arrangement une fille, sans prévoir qu'elle pourrait lui plaire ou qu'il pourrait lui plaire. Mais maintenant, il y avait Swan. Et il faut le dire, pour lui, c'était ... terrifiant. Lui qui donne peu en amour, qui n'y arrive plus, il mettait des distances avec elle car finalement, elle avait été blessée dans ce restaurant par sa faute à lui, parce qu'on l'avait reconnu lui ... Elle aurait pu mourir. Et maintenant elle avait cette cicatrice au bras qui lui rappellerait qu'il ne doit pas s'attacher à elle, qu'il ne doit pas flancher. Il ne peut pas se le permettre. Il doit rester concentré avec son sang froid légendaire et sa tête froide, l'esprit tranquille, il ne doit pas s'encombrer de sentiment car comme tout le monde le sait, la plus grande faiblesse de l'homme, c'est les femmes et les amours surtout.

Elle lui avait demandé si il serait revenu vers elle; Il répond avec un pieu mensonge. Probablement ? Basini, tu sais que c'est sûr et certains. Elle finit par disparaitre dans la salle de bain et lui s’attèle à s'habiller. Enfilant un short de plage et un tshirt histoire d'être prêt à sortir. Il se raserait demain, c'est pas bien grave, il pique juste un peu. Et il l'attend, dans la chambre, face à la télé. Adosser au mur, il fixe l'écran pour regarder les informations italiennes. Quand il est à l'étranger, il aime mettre cette chaine, avoir des infos sur son pays originel, savoir ce qu'il s'y passe. C'est une habitude. Au Maroc, il avait fait exactement la même chose. Elle finit par sortir de la douche ... En serviette ? Sérieusement ? Elle veut le tenter c'est certains. Elle arrive vers lui leur visage sont proche, trop proches. Elle finit par s'approcher pour l'embrasser, à peine, comme ci elle risquait l'électrocution en touchant ses lèvres .. Un instant, il s'égare et lui rend son baiser avec un peu plus d'intensité avant de se reprendre et d'y mettre fin, gêner. Son regard perdu dans le sien, il ne sait trop quoi dire.. Il cherche dans sa tête une excuse et reprend « Je vais me raser. » ouais, il avait prévu de le faire plus tard, mais bon ... Il passe a côté d'elle, attrapant sa trousse de toilette au passage, il va rapidement dans la salle de bain s'enfermer. Sérieusement Basini ? On dirait une filliette ce que tu fais là.

CODE BY RESSAPANDA.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
A quatorze ans j'ai été envoyée dans un pensionna pour les jeunes aillant des parents avec des facilités financières. Je me suis donc retrouvée avec toute la haute société de la NY et autant dire qu'il n'y avait pas que des saints. J'ai tout de suite commencé à traîner avec des jeunes plus vieux que moi, nous sortions en douce, buvions de l'alcool et surtout nous avons commencé à coucher avec des garçons. Je passais mes soirées à faire la fête et inévitablement je finissais mes nuits dans le lit des garçons du pensionna. Quand je suis revenue à Harvard pour mes études supérieures rien n'a vraiment changé. Je suis restée la même et ai intégré la Mather pour tout ce qu'elle offre aux étudiants ayant soif des plaisirs qu'offrent la vie. J'ai toujours eu qui je voulais, n'importe quel homme en pinçait pour moi et finir dans le lit de l'homme qui me plaisait à une soirée n'a jamais été compliqué. Je changeais de mec comme de chemise, des histoires sans lendemain et ça me plaisait. Seulement quand j'ai su ce qu'était une relation seine avec Sam tout a changé. Ma vision des hommes n'étaient plus du tout la même, je n'avais plus les mêmes attentes. Je me suis jurée que plus jamais je n'endosserais cette réputation de femme facile même si aucune rumeur n'a jamais tournée sur moi sur le campus. Mon histoire avec Gabriel a été plus que difficile, je lui avoué des choses et au final il m'a laissé tomber comme une merde. Je m'en suis relevée mais après cela il n'y a eu que Noa avec qui je me laissais un peu plus aller. Sauf qu'il y a eu cette fameuse soirée où Dante est devenu mon mari. Au départ ça a été dur à vivre, je ne l'aimait pas plus que cela car je le catégorisais comme une contrainte, la mafia et tout ce qui s'en suit. Mais depuis quelques semaines mon regard sur lui a complètement changé, je ressens clairement des sentiments pour lui et j'ai l'impression que je vais encore plus ramer qu'avec Gabriel. Il y a des échanges de regards qui ne veulent pas rien dire, ses comportement me montrent à quel point il tient à moi mais ça ne va pas plus loin.

Alors aujourd'hui, ici à Hawaï, loin de toute notre mafia familiale, je me suis lancée en posant mes lèvres sur les siennes. C'était un baiser furtif, hésitant et tellement impatient. Je n'avais pas osé faire auparavant ayant peur qu'il se recule rapidement et me repousse. Alors je profite de ces quelques secondes de répit, de ce court baiser. Finalement Dante se recule et me regarde sans rien me dire car il n'a tout bonnement rien à me dire. Je me sens gênée, vraiment bête d'avoir agit comme cela. Il me sort ensuite l'excuse la plus idiote que je n'ai jamais entendu après un baiser. Il va se raser, je reste complètement stoïque en le voyant aller s'enfermer dans la salle de bain. Et puis je sens qu'à l'intérieur je bous, j'ai juste envie d'exploser d'aller frapper de toutes mes forces sur cette porte qui nous sépare en lui disant que c'est clairement du foutage de gueule. Mais je ne fais rien de tout ça, je retire enfin ma serviette et m'habille. Les larmes me montent mais je les essuient rapidement, je suis plus forte que lui, que son refus de me dire que je suis toute seule dans ce désir de plus entre nous. Je me retrouve rapidement vêtue d'une robe dos nu et décide de me fumer une cigarette sur le balcon. J'entends la porte s'ouvrir, je ne me retourne pas n'ayant même pas la force de faire comme si j'allais bien. Je tire inlassablement sur ma clope comme si ça pouvait m'apaiser. Je suis en train de ruminer, pourquoi est ce qu'il a accepté de venir avec moi à Hawaï ? J'espère qu'il ne pense pas être là en tant que simples amis il se trompe réellement. Tu veux prendre une autre chambre ? Je ne voudrais pas que se soit une obligation d'être en ma compagnie. Quelque chose sort enfin de ma bouche et j'essaie de ne pas être trop agressive mais je ne me retourne pas pour autant.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Just us (Swante)
Les sentiments et toutes ces merdes, c'est tout simplement plus pour lui, il ne peut pas, il ne veut plus, comment vouloir de ça encore après avoir souffert le martyr ? Ca a duré deux ans, deux ans cette souffrance immense de la perte de Sarah, deux ans de douleur, deux ans de galère et ce n'est toujours pas finis. En perdant Sarah il avait par la même occasion perdue une partie de sa famille, car c'est ce que Baptiste et Naima étaient, des membres de sa famille et la cicatrice de cette perte était encore béante et grande ouverte, il la ressentait encore dans tout son corps, dans tout son être ... Comment guérir d'une perte pareil ? Le corps est conçu pour palier des manques, des problèmes, si on a un reins qui marche mal, l'autre va bosser deux fois plus pour palier le manque mais quand la perte est émotionnelle, mentale ? Comment le corps peut-il combler ça ? Comment peut-il supporter ça ? Il ne peut pas, on doit juste vivre sans, sans tout ça, sans toutes ces conneries d'amour, sans toutes ces merdes de sentiments, on avance sans, sans regarder par dessus son épaule, sans recommencer tout ça. Oui, on doit faire sans. Alors Dante avait fait sans elle, pendant toutes ces années. Il avait eu des histoires, oui, il avait eu Andréa par exemple, mais quand les sentiments avaient commencé à naitre et qu'elle s'était mise en danger, il s'était refermé sur lui même et l'avait quitté, il ne supporterait pas à nouveau une telle perte, il préférait la perdre quand c'était encore tôt, mais là, c'était différente car Swan était sa femme mafieuse. Entre eux, il ne devrait rien y avoir, que du business, c'est ce qu'ils s'étaient dit, alors ses sentiments pour elle, il ferait avec, il les enterrerait avec le temps, il ne faiblirait pas, mais le voila maintenant entrain de l'embrasser dans la chambre avant de fuir comme un gamin qui vient de faire la connerie de siècle pour s'enfermer comme un lâche dans la salle de bain. Porte bien verrouillé surtout, à s'engueuler mentalement * C'est pas vrai ! Mais pourquoi j'ai fais ça ? ... Bon maintenant c'est fait, la tentation sera plus là ! Maintenant c'est self contrôle, je suis là pour la protéger ! La protéger juste, parce que les chinois sont partout, mais rien de plus, rien de plus du tout, je vais me contrôler. T'entends Basini ? Tu vas te raser, te faire beau et agir totalement naturellement comme ci ce baiser ne venait pas de se passer, comme ci vos lèvres ne venaient pas de se toucher et j'espère qu'elle va faire PAREILLE, comme ça, pas de soucis, on reprend à zéro. * Il avait son plan en tête alors il attrape la mousse a raser, la met sur son visage, attrape son rasoir et c'est des gestes minutieux et quotidiens qui s'enchainent pour enlever le trop plein de poile qui pousse sur son visage d'ange, après ça, il aura les joues toutes douces ! Une fois fait, il soupire *N'oublie pas le plan, tient toi en au plan !* une grande inspirations, une expiration lente et il sort de la salle de bain où il s'était lâchement planqué, mais c'était sans compter sur Swan, qui n'était pas vraiment un cygne à ce moment même mais plus une tigresse ou une harpie qui ne suit en rien le plan mentale de l'italien en lui criant dessus. C'est pas vrai, pourquoi elle peut pas suivre le plan elle aussi ? Déjà, avant même d'attaquer, Dante doit se forcer à ne pas matter alors ses yeux se pose sur l'horizon au loin alors qu'elle lui dégaine ses paroles en tirant inlassablement sur sa clope. « Arrête c'est pas une obligation. On peut très bien dormir chacun de son côté. Sauf si tu tiens à ce que je prenne une autre chambre » Bien jouer Basini, je pense que là, tu t'es bien enfoncer en plus, au lieu de la rassurer ou de lui dire ce qu'elle veut entendre, ta maladresse et ton malaise face à cette situation t'enfonce plus qu'autre chose ...

CODE BY RESSAPANDA.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'ai beaucoup de mal à comprendre tout ce qui passe, à interpréter les signes qu'il y a entre Dante et moi. J'ai l'impression de capter quelque chose qui relève d'une certaine attirance quand il me regarde et puis la seconde d'après mon ressenti disparaît. J'ai l'impression de devenir folle, de me créer ma propre réalité avec les choses que je veux voir et entendre. Il ne m'a jamais dit éprouvé quoique se soit pour moi mais le fait qu'il m'ait dit de ne pas demander le "divorce" m'a fait conclure qu'il pouvait ressentir quelque chose pour moi. Seulement il n'y a rien de plus entre nous depuis quelques semaines que des tentatives de "suis moi je te fuis - fuis moi je te suis" et ça devient vraiment lourd à la longue. Je n'ai plus l'envie de me faire des illusions à croire qu'un homme s'intéresse à moi. J'ai réellement besoin de concret, d'aimer et d'être aimée en retour. J’estime avoir assez souffert niveau sentimental pour encore en baver avec Dante, j’aimerai juste qu’il me regarde toujours comme il le fait et qu’il arrête de se mettre des barrières. Alors je fais sans cesse des tentatives pour tenter de percer à jour cet homme mystérieux mais rien n’y fait. Cette semaine de vacance loin de tout le campus me paraissait être le moment propice pour pouvoir se retrouver et se dire les choses qui ne sortaient pas habituellement de nos bouches. Je venais juste de l’embrasser avec délicatesse et lui avait stoppé tout échange entre nous comme si la situation le dérangeait. J’étais clairement dans le néant, ne sachant pas quoi faire ni dire. Alors j’avais sortit mes dernières cartes, mon dernier espoir pour qu’il se livre enfin, rien qu’un petit peu. Mais mon côté positif avait encore jugé un espoir inexistant que ses paroles détruisaient petit à petit comme s’il n’accordait aucune attention à mon cœur de femme. Je le regarde en jetant la fin de ma cigarette par-dessus le balcon, je suis clairement à bout et je suis à deux doigts d’exploser. « Dormir chacun de son côté ». Voilà les seules paroles qui me restaient en tête comme une chanson que l’on voudrait oublier. Je sens mes mains se mettre à trembler signe que mon corps contrôle de moins en moins mon énervement. Je me dirige vers ma valise où je sors ma pochette pour sortir ce soir, j’y enfonce mon rouge à lèvres, mon paquet de cigarette et puis je m’arrête pour tourner mon visage vers cet homme pour qui mon cœur bat. « Ce n’est pas toi qui vas changer de chambre mais moi. Et au moment où j’aurais mis les pieds en dehors de cette chambre ce ne sera plus la peine de me suivre comme un petit toutou tous les soirs. » Ma voix se veut froide et forte, je marque une pause manquant de me briser en mille morceaux. « J’avais cru que peut être… Peut être tu ne voyais pas en moi une simple femme avec qui tu te pavanes dans la famille, je pensais qu’il y avait plus. Mais tes mots me montrent que j’étais complètement à côté de la plaque… » Je marque une nouvelle fois une pause quand je me relève. Les larmes coulent à présent sur mes joues et j’éclate. « Pourquoi accepter de venir ici, d’accepter d’avoir la même chambre que moi si tu ne ressens pas la même chose que moi, hein ?! Tu es loin d’être bête Basini, tu le lis dans mes yeux, tu sais ce que je ressens ! Si c’était de l’espoir que tu voulais me donner c’est gagner ! Et figure toi que dès la semaine prochaine toi et moi ne seront plus mariés, ça te fera un poids en moins et une comédie en moins à jouer. Basta ! » Je ne m’étais pas énervée de cette façon depuis longtemps. Je n'avais pas eu envie que ça se termine comme ça mais je ne peux pas me laisser prendre pour une conne à ce point là. J'enfile mes Louboutin, le regarde une dernière fois et m'apprête à sortir de la chambre....

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Just us (Swante)
Basini n'est pas du genre locasse. Les sentiments ne sont pas son fort. Il ne parle pas. Pour lui on souffre en silence, histoire de ne gêner personne. C'est un vrai mec l'italien et il ne s'est jamais vu parler de ses ressenties de ses sentiments. Petit pour régler les problèmes, il utilisait même ses poings, donc bon, rien de bien intelligent mais il n'a juste pas l'habitude de parler. Il gère ses sentiments lui même, sans se préoccuper des autres. Enfin il se préoccupe des autres mais ne leur parle pas. Une seule personne depuis Sarah lui permet de se confier et encore pas totalement, c'est Athéna. Athéna, sa soeur, sa vie. Oui il l'aime sa Athéna mais sinon, il ne se confit guère, à personne. Il a des amis, il leur parle, mais toute une partie de sa vie reste caché, cloisonné. La partie de la mafia. C'est dur à gérer. Il ne sait jamais trop comment faire et mentir est pour lui une habitude. Les mensonges filent d'entre ses lèvres sans même qu'il n'est vraiment à refléchir à une excuse à présent. Enfaite, les mensonges sortent et il ne culpabilise même plus de ce manque de franchise et d'honnêteté, pour lui, c'est normal, c'est son lot quotidien. Il n'a plus l'habitude de dire la vérité, il n'a plus l'habitude de dire les choses parce que la seule personne a qui il avait vraiment tout confié était morte à présent. Alors ces sentiments qu'il avait pour Swan, il n'en parlait pas. Il voyait bien qu'elle en avait mais ils ne devaient pas. Ils se l'étaient dit d'avance, ce mariage c'est un faux. Il veille sur elle, il s'attache à elle mais il ne peut pas se permettre de se laisser distraire et laisser toute cette histoire aller plus loin. Après ils feraient quoi hein ? Des bébés mafieux et des affaires ensemble ? Elle ne voit que les bienfaits de la mafia pour le moment, c'est nouveau, elle ne connait pas, elle ne sait pas ce que c'est. La mafia c'est pas sexy, c'est mauvais. Ca s'infiltre dans tes veines comme un poison, pourri ton âme, noircit ton être et te transforme en une personne moins compatissante, moins gentille, moins bien. Elle détruit tout sur son passage comme une invasion de virus mortel et finit par laisser tout un tas de débris. En plus de ça, dans la mafia, les femmes n'ont jamais eu une place privilégier. C'est un milieu d'homme, un milieu de matcho, surtout pour les italiens. Les femmes sont là pour l'image quand les hommes gèrent les vrais affaires. Elle finira par s'en rendre compte, trop tard, sauf si il arrive à la faire sortir avant le massacre. Bref. Son attitude froide et distante ne plait pas à la jeune femme qui pète littéralement un plomb. Elle lui parle froidement, de manière cru. Elle s'énerve, il le sait et il la laisse faire, un peu pris de court. Oula, trop d'émotion dans la pièce, c'est pas bon. Elle dramatise tout en plus. Il la regarde se diriger vers la porte et reprend « Tu t'attendais à quoi de ma part au juste ? Et tu attends quoi de cette putain de famille ? Tu as pas encore compris ? On peut pas divorcer Swan, on divorce pas comme ça. Je pensais qu'entre nous c'était claire : on fait semblant et qu'on s'en tiendrait à ça no matter what. Parce que si en plus on mêle les sentiments toi comme moi on finira par en souffrir. » et c'est la vérité. Peu de couple mafieu subsiste. Dante a un cousin qui en est à sa 3ème femme. Il les prend toutes jeunes à chaque fois et finit par les jeter comme des kleenex. C'est ça la réalité de la mafia : le sang, la trahison, la peur et la cruauté. Il n'y a pas de place pour l'amour ou les sentiments. Il y a juste la souffrance ressenti et rependu qui persiste.

CODE BY RESSAPANDA.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)