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SAMLIE + What the hell are you doing ?

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C'était une mauvaise journée. Ou devrais-je dire une mauvaise nuit, vu l'heure à laquelle je travaillais. J'avais pris mon service il y a toujours juste quatre heures et j'avais déjà perdu deux patients. J'avais pourtant tout fait comme il le fallait, et j'avais eu de l'aide de mes supérieurs. Mais rien à faire. Parfois l'on ne pouvait tout simplement pas faire de miracle. C'est donc déçue que je traînais dans les couloirs me dirigeant vers l'ascenseur pour rejoindre la morgue. Parce que évidemment, comme si m'a soirée ne tournait pas déjà assez autour de cette thématique, l'un des résidents m'avait chargé d'aller complété le dossier d'un patient décédé un peu plutôt dans la journée. Je devais donc me rendre à la morgue pour retrouver le fameux patient et l'examiner une dernière fois. C'est donc le dossier sous le bras que je prenais l’ascenseur pour rejoindre le sous-sol de l'hôpital. Je relisais un peu le dossier pendant l'interminable trajet. Monsieur Johnson, marié, deux enfants. J'échappais un court soupire en refermant le dossier, avant d'enfant franchir les portes métalliques qui venaient de s'ouvrir devant moi. A cette heure si, la morgue était sans surveillance, en faite, n'importe qui ayant un badge du personnel de l'hôpital pouvait y aller. Je validais donc mon badge pour ouvrir la porte avant d'entrer, notant que la lumière était déjà allumée. « Y'a quelqu'un ? »

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T’avais vraiment du mal à te remettre de cet échec cuisant. Ce n’était pas la première fois que tu ne réussissais pas un exercice, t’avais beau être un véritable petit génie - qui se gâchait avec toute la drogue qu’il consommait - ta maladresse et ton corps incontrôlable prenait parfois le dessus et tu te retrouvais bêtement sans rien dans les mains. Dingue de voir comme sur le plan théorique t’étais capable de merveille mais du coté pratique, c’était plus compliqué. Et pourtant tu aimais tes études, sincèrement, t’avais trouvé un équilibre plus sérieux qui te forçais à te concentrer à te bouger un peu les fesses. Alors ce soir, sans vraiment te rendre compte de la gravité de la situation, parfois un peu sociopathe sur les bords, t’étais descendu à la morgue de l’hôpital pour t’entrainer à l’opération que t’avais raté dans l’après midi. Un de tes amis t’avais dis qu’il l’avait déjà fait plein de fois sans mal, et fallait dire que la première partie de la soirée confirmait plutôt ses dires. Il n’y avait personne pour venir t’interrompre. C’était sans compter sur une blonde qui fit irruption dans pièce, et pris la main dans le sac, t’eus le bête reflex de lever une main en l’air, comme si on venait te demander une rançon, tandis que l’autre continuait de ponctionner quelques organes. « Euh je… » Quoi dire, hein ?
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Je n'avais pas rêvé, la lumière était bien allumée et je constatais rapidement que ce n'était pas un oublie. Vêtu d'une blouse déjà tâchée de sang, une main tenant un scalpel qui se trouvait à l'intérieur du thorax du patient, et l'autre en l'air, une jeune homme se trouvait là. Je l'avais déjà croisé dans les couloirs, c'était un interne, un petit nouveau, maladroit et souvent à l'ouest. Je m'avançais vers lui le pas légèrement hésitant, trop effrayer à l'idée de découvrir le massacre qu'il était entrain de faire. « Qui t'as autorisé à descendre ici ? » demandais-je plutôt froidement. Étant un interne il n'avait rien à faire à la morgue seule. Sans un résident ou un titulaire à ses côtés : il enfreignait déjà un bon nombre de règles de l'hôpital et de la faculté de médecine. Ma présence ici le sauvait un peu, étant administrativement parlant sa supérieur, mais ça ne l'empêchait pas de se faire renvoyer pour avoir visiblement disséqué le corps d'un pauvre vieille homme, sans autorisation et sans supervision. Je m'avançais près de la table d'opération, observant rapidement ce qu'il avait fait en fronçant les sourcils avant de m'en éloigner un peu. « Tu étudies ici ? Ou t'es un psychopathe qui a trouvé un scalpel ? » demandais-je à mi-voix, un peu effrayée, prenant même soin de reculer d'un pas pour ne pas me faire planter par la fameuse lame qu'il tenait.

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